Une belle aventure anale pour une brune

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Une belle aventure anale pour une brune
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Une vlogueuse spécialisée dans le jardinage a fait le buzz sur le web grâce à l'une de ses vidéos en tenue très sexy. Non Stop Zapping vous fait découvrir la séquence.


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Je viens de
pousser la lourde porte en bois massif style Empire et je débouche sur le cours
Victor HUGO. C'est 19h et une légère brise s'insinue sous ma robe, rafraîchie
mes jambes et fait frissonner mes bras nus en cette fin de printemps.
Je marche
rapidement à l'ombre des platanes vers la station de bus, comme une bonne mère
de famille qui après une journée de travail va rejoindre son mari et ses deux
filles de 15 et 12 ans.
Je m'appelle
Sophie, J'ai 35 ans je suis belle, de longs cheveux noirs, un teint halé
naturellement, de beaux seins bien fermes malgré mes deux grossesses et
l'allaitement de mes enfants. J'ai fait de la course de demi-fond et mes fesses
sont musclées sans une once de cellulite ni de graisse, d'ailleurs je continue à
m'entraîner un peu de temps en temps. Je marche et dans ce quartier cosmopolite
de Bordeaux, les hommes me regardent passer, avec mon air sage et pressé, ma
tenue stricte, mon grand sac Vuiton en bandoulière et personne n'ose m'aborder
franchement même si quelque fois certains osent des réflexions..
Voilà bientôt un
an que j'emprunte cet itinéraire et je dois alimenter leurs rêves les soirs où
ils veulent s'évader de leur quotidien difficile, et de la monotonie des jours
qui passent.
Ce qu'ils ne
savent pas, c'est que 10 minutes plus tôt j'étais en train de me faire enculer
par Mr A...... directeur de la société A ......& K....... import/export, société
dans laquelle je travaille comme secrétaire de direction, ayant compétence dans
tous les domaines et en particulier dans celui du cul.
Quand ce n'est
pas Mr A…... qui m'encule , c'est Mr K…....... qui me baise ou les deux à la
fois, ou je leur taille des pipes.
Pourquoi moi,
bourgeoise des quartiers sud, femme aimante et aimée d'un cadre dans
l'informatique de pointe à Luminy, habitant un grand appartement confortable Bd
Michelet, ayant reçu une éducation des plus stricte, je me débauche ainsi en
secret et en cachette de tous ceux que j'aime ?
Je dois faire un
retour en arrière pour me rappeler comment cela a commencé, je me revois dans ce
train, quittant la gare de Florence assise face à mon mari, nos deux enfants
près de la fenêtre, en train de regarder le paysage de la campagne Toscane.
Le compartiment
était presque vide, Philippe mon mari, regardait par la vitre avec les filles et
répondait à la quantité de questions que posaient les enfants sur tout ce
qu'elles voyaient. J'ai tourné la tête et j'ai vu le regard de cet homme, assis
deux rangées plus loin face à moi, je ne me souviens que de ce regard expressif,
pénétrant, posé sur mes cuisses légèrement écartées. Je portais une simple robe
blanche assez courte, et quand je ne faisais pas attention, elle remontait
jusqu'à mi-cuisses, pouvant même comme c'était le cas, si je ne serrais pas les
jambes dévoiler la tache blanche de ma culotte, entre mes jambes bronzées. J'ai
aussitôt resserré mes jambes et rabattu ma robe le plus possible en me tournant
vers la fenêtre.
Quelques instants
plus tard je tournais à nouveau le regard vers cet homme, il a pris un air
désolé me montrant mes jambes et me faisant comprendre ses regrets de ne plus
pouvoir admirer mes dessous. C'était tellement imprévu, tellement incongru, que
j'ai failli sourire avant de me retourner à nouveau vers la fenêtre.
Pas longtemps, je
l'ai à nouveau regardé et il m'a fait les même gestes, prenant un air encore
plus désolé, alors dans une pulsion incontrôlée, j'ai pivoté légèrement sur mon
siège pour être face à lui et j'ai écarté légèrement mes jambes. Il m'a adressé
un grand sourire, portant ses doigts à sa bouche comme le font les
méditerranéens pour montrer leur enthousiasme, et nous avons commencé un jeu de
plus en plus érotique, de plus en plus pervers en ce qui me concernaient car je
jouais en cachette de mon mari assis en face de moi et qui ne se doutait de
rien.
Je serrais mes
cuisses ou les écartais en grand, allant même jusqu'à soulever ma robe pour me
ventiler et dévoilant ainsi la totalité de ma petite culotte. L'homme ne perdait
rien du spectacle, se penchant par moment pour avoir une meilleure vue de mes
dessous, me faisant comprendre, en posant la main sur sa braguette que je le
faisais bander. Je me prenais de plus en plus au jeu, j'ai essayé sans succès de
faire glisser ma culotte sur le côté pour lui montrer mon sillon, qui se
mouillait de plus en plus car j'étais gagnée par une excitation de plus en plus
forte.
L'homme s'est
levé, m'a fait signe de le suivre, et est sorti du compartiment. Je suis restée
figée sur mon siège, ne comprenant pas, ce qu'il voulait. Voyant que je ne
l'avais pas suivi, il est revenu à nouveau et m'a fait un signe impératif de le
suivre. Je me suis levée et je l'ai rejoint, il m'attendait sur la plate-forme
et quand je suis arrivée près de lui, il m'a entraînée dans les wc et a refermé
la porte sur nous.
Il m'a plaquée
contre la paroi et immédiatement, il a soulevé ma robe, écarté ma culotte et
planté sa bite dans la chatte que notre petit jeu précédent avait bien
lubrifiée. Il a commencé à me limer violemment tandis que ses mains pétrissaient
mes seins et qu'il me murmurait à l'oreille :
Que tu es belle
ma salope, belle comme l'amour......!!!! "
Notre étreinte a
duré deux trois minutes, Il a joui en moi, longuement, il n'en finissait plus de
remplir mon sexe, tandis que des spasmes de jouissances faisaient trembler mon
corps et m'obligeaient à me mordre les lèvres pour ne pas hurler mon plaisir.
Jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir sauvage, un orgasme si profond, je
découvrais le monde du plaisir trouble et de l'interdit, le hasard m'avait
entraînée sur une pente qui allait m'entraîner de plus en plus loin et qui
allait dévoiler ma vrai nature que les règles sociales et mon éducation avaient
jusqu'à maintenant bridée.
J'ai éprouvé un
déchirement quand sa queue a glissé hors de ma fente, il a ouvert la porte et
nous nous sommes séparés. J'ai rejoint aussitôt ma place, Philippe n'a pas eu
l'air étonné par ma courte absence.
Petit à petit,
les parois de mon vagin se resserraient et je sentais le sperme couler hors de
ma chatte sur mes cuisses et dans ma culotte.
Le train est
entré en gare de Pise notre destination, je me suis levée pour descendre, quand
Philippe m'a dit :
" Tu as vu ta
robe derrière elle est toute mouillée "
Heureusement que
je lui tournais le dos et qu'il n'a pas vu mon visage rougir :
"C'est tout à
l'heure au wc, j'ai perdu l'équilibre et j'ai appuyé mes fesses sur le lavabo,
mouillé, avec la chaleur ça va sécher de suite. "
Nous avons
récupéré notre voiture sur le parking de la gare et avons rejoint notre hôtel à
dix minutes dans la campagne Pisane, pas très loin de l'Arno.
Nous avons pris
un bain dans la piscine puis après nous être changés, nous sommes allés dîner.
J'ai commencé à
regarder les hommes autour de moi, les regards furtifs de ceux qui étaient
accompagnés ceux plus insistant des hommes sans femmes, et surtout le zèle
empressé du sous directeur toujours près à me rendre service. Jusqu'à ce jour je
n'avais pas prêté attention à cela mais je venais de m'apercevoir que j'étais la
plus belle femme dans la salle, que ces hommes me désiraient. Je sentais des
picotements dans mon bas ventre tandis que des bouffées de chaleur envahissaient
mon visage.
Nous sommes allés
nous coucher, Philippe m'a fait l'amour, tendrement, avec délicatesse, attentif
à mes réactions, il m'a fait éprouver du plaisir, mais rien de comparable à mon
orgasme de l'après midi, et tandis qu'il s'endormait, je me suis mis à envisager
de peut-être essayer à nouveau de me faire prendre par un autre homme.
Le lendemain la
chaleur avait augmenté encore de quelques degrés, et nous avons jugé plus
agréable de rester à l'hôtel. Philippe a amené les enfants se baigner dans la
piscine, tandis que pour éviter le soleil je restais dans l'ombre fraîche des
arcades ceinturant la façade principale de l'hôtel.
Je n'y étais que
depuis quelques instants que le sous directeur m'aborda et commença à me débiter
des banalités genre :
" Il fait chaud,
l'hôtel vous convient ? N'hésitez pas à me demander si vous avez un problème
..... "
Ce n'était pas la
première fois que cet homme m'abordait et j'avais jusqu'à maintenant coupé court
à la conversation, mais maintenant je regardais cet homme, d'un autre œil, je
savais qu'il me désirait, je me demandais s'il pourrait me faire jouir, comme la
veille. Il devait avoir dans les quarante ans et était assez bel homme,
j'appréciais sa gentillesse même si je savais qu'elle était intéressée.
Alors que je
pensais à tout cela il commença à me parler du confort des chambres des
modifications à apporter et me proposa d'aller voir une des chambres qui venait
d'être rénovée. Je jetais un œil sur Philippe et les enfants très occupés dans
la piscine, et j'emboîtais le pas de mon guide. Il m'a fait entrer dans la
chambre, m'a montré les changements, importants certes mais qui ne demandaient
pas des heures de visite. Comme nous allions sortir, il m'a dit:
 " Essayez la
literie, vous allez voir, ces nouveaux matelas sont exceptionnels. "
Je me suis
allongée sur le dos, il s'est assis à côté de moi et sans préambule, il a mis sa
main dans le bas de mon maillot. Je ne portais qu'un maillot deux pièces et un
tee-shirt. Bien sûr je l'ai laissé faire, c'est pour ça que je l'avais suivi et
il le savait. Il n'a eu aucun mal à enfoncer ses doigts dans ma pêche juteuse
tellement l'idée de cet homme me baisant m'avait excitée. Il m'a retiré le bas
du maillot remonté le tee-shirt, et dégrafé le haut. Il a pris mes seins à
pleines mains, et s'est penché pour en sucer les pointes, j'ai mis ma main à sa
braguette pour sentir son sexe en érection dans son pantalon, geste que je
n'aurais jamais osé tenter 24h plus tôt. J'ai baissé sa fermeture éclair mis la
main dans son slip et pris le membre dans ma main. Il a basculé sur moi, je
n'avais pas lâché sa queue et je l'ai présentée contre mes grandes lèvres
gonflées de désir et il n'a eu qu'à pousser pour les écarter et s'enfoncer dans
ma minette. Comme la veille j'ai éprouvé un orgasme complet au bout de deux
minutes Il n'avait pas joui, il continuait à me pilonner, alors des mots sont
sortis de ma bouche, mots que je n'avais jamais dits à personne et qui me sont
venus naturellement :
" Plus vite, plus
fort, fais-moi jouir encore, enfonce bien ta pine dans mon trou, gicle sur moi,
c'est trop bon, défonce-moi comme une bête, je suis une belle salope que tu te
régales à fourrer avec ton gros sexe, je te plais, je t'excite .....Vas y vas
y.... ! ! ! "
Tandis qu'il me
murmurait à l'oreille des obscénités en Italien que je ne comprenais pas, il a
éjaculé dans mon minou, provoquant un nouvel orgasme, le deuxième en cinq
minutes.
J'aurais bien
continué à me faire prendre par cet homme, mais il m'a fait comprendre, qu'il
devait reprendre son service. Je suis allée me rincer dans la salle de bain et
j'ai rejoint ma famille au bord de la piscine.
Ils n'avaient pas
remarqué mon absence et la journée s'est terminée par des jeux et beaucoup de
bonne humeur.
Le soir dans la
salle de restaurant, il était là toujours empressé mais rien dans son
comportement, n'aurait pu faire deviner ce qui s'était passé l'après midi. Plus
tard dans la chambre, j'étais allongée sur le ventre et Philippe sur moi, sa
bite dans ma minette, les mains sur mes seins m'embrassait la nuque. Je ne
pouvais m'empêcher de penser à ma partie de jambes en l'air de l'après midi et
pris d'une subite impulsion je lui demandais :
" Chéri et si je
te trompais, que dirais tu ? "
" Mais Sophie
j'ai entièrement confiance en toi, je te connais s'est impossible "
" Et si cela
arrivait quand même ? "
" ........je ne
peux l'envisager, tu es très belle et les hommes te regardent, mais tu es
fidèle, et tu ne te laisseras pas tenter "
Je ne dis plus
rien et les yeux fermés je revivais mes deux aventures précédentes ce qui eu
pour effet d'accroître mon plaisir et de me faire jouir presque aussitôt,
complètement, délicieusement, charnellement, avec un long feulement à la grande
surprise et à au grand plaisir de mon mari qui ne m'avait encore jamais fait
jouir de cette façon.
Le lendemain et
le surlendemain, nous avons visité Sienne, j'avais remis ma robe blanche avec un
string, et j'essayais de saisir le regard des hommes, posé sur mes fesses
moulées dans le fin tissu.
A l'hôtel le
sous-directeur avait tenté des rapprochements mais nous n'avions jamais pu nous
retrouver seuls. Le dernier soir après le repas, nous avions lié conversation
avec un autre couple. Les filles étaient fatiguées et voulaient aller se
coucher, Philippe les accompagna dans leur chambre tandis que je restais dans la
salle dix minutes de plus pour indiquer à nos nouvelles connaissances les
visites intéressantes à faire. Dans le couloir menant à la chambre, le
sous-directeur m'attendait. Quand je suis arrivée près de lui, il a ouvert une
porte, m'a pris par la main et m'a entraînée dans une petite pièce qui devait
être la lingerie. Il a refermé la porte, s'est pressé contre moi, ses mains se
sont posées sur mon corps, je le sentais trembler d'excitation, il me parlait en
Italien et je ne comprenais rien. Il m'a fait tourner, et pencher en avant
appuyée sur une pile de draps, il a remonté lentement la longue robe noire que
je portais, il a baissé ma culotte de la même couleur, et s'est penché pour
embrasser mes fesses, il s'est redressé, a fait glisser les bretelles de ma
robe, et dégager mes seins de leur soutien-gorge. Il les à pris à pleines mains,
les serrant entre ses doigts et la paume de la main, puis a délicatement pincé
les tétons jusqu'à ce qu'ils atteignent une érection maximum.
Pendant ce temps
je sentais sa pine se presser contre mes fesses à travers le tissu du pantalon,
ma chatte se mouillait et s'ouvrait, attendant le moment où accueillante elle
recevrait le membre de l'homme en rut. Cela ne tarda pas relâchant mon sein
droit, l'homme abaissa son pantalon et son slip, mis son sexe entre mes cuisses
et l'enfonça sans difficultés. Sa bite entrait et sortait par à coups de ma
chatte, tandis qu'il me maintenait fermement par les hanches. Mes seins libres
se balançaient au rythme du manche qui me tringlait en cadence.
J'avais été
fidèle pendant 8 ans et je trompais mon mari pour la troisième fois en moins
d'une semaine avec un plaisir et une jouissance que je n'avais jamais atteint
jusque là. Pendant que cet inconnu me baisait et que l'orgasme montait dans le
creux de mes reins je prenais lentement conscience que ma vie changeait et que
le sexe allait en devenir le centre d'intérêt principal. J'ai joui et cet homme,
a envoyé sa semence en moi, au fond du jardin le plus secret de mon être, et
j'ai aimé, j'ai gémit quand le liquide s'est répandu en moi, en une douce
caresse humide et chaude, j'étais comblée. Nous nous sommes désaccouplés en
douceur, je me suis redressée, j'ai remonté ma culotte, réajusté, mon
soutien-gorge et ma robe. L'homme m'a pris dans ses bras, sa bouche s'est posée
sur la mienne, mais je me suis dégagée en lui faisant comprendre que mon mari
m'attendait. Je suis sortie du local et j'ai rejoint notre chambre. Philippe
était déjà au lit, il m'attendait nu sur les draps :
" Oui, ils m'ont
demandé tout un tas de renseignements, j'ai cru que je ne pourrai pas m'en
débarrasser "
" Viens vite J'ai
envie de te faire l'amour "
Je suis rentrée
dans la salle de bain, j'ai enlevé ma robe et ma culotte collante de foutre,
j'ai passé mes doigts sur ma chatte pour récupérer le jus de mon amant
occasionnel, mon petit trou en était plein. J'ai léché mes doigts pour goûter la
saveur de cette liqueur puis je suis entrée dans la douche et j'ai lavé mon
minou, dirigeant le jet à l'intérieur pour éliminer toute trace de sperme. J'ai
ensuite rejoint Philippe, il était allongé sur le dos nu, sa queue dressée
verticalement comme un pieu entre ses jambes. Je l'ai enjambé et me suis empalée
sur ce piquet, ma chatte avait été bien préparée et a englouti la bite sans
difficultés. Nous avons fait l'amour, Philippe me prodiguant caresses et baisers
sans se douter un seul instant qu'un autre homme l'avait précédé quelques
instants auparavant.
Le lendemain,
nous avons fait les bagages, Philippe m'a demandé d'aller payer et accomplir les
formalités de départ, pendant qu'il préparait la voiture. Je suis allée à la
réception j'ai réglé, en parcourant la note distraitement, quand le
sous-directeur s'est approché, m'a pris la note des mains, la regardant en
fronçant les sourcils.
" Je crois qu'il
y a un problème venez dans mon bureau. "
Je l'ai suivi, à
peine dans la pièce il m'a appuyée contre le bureau, et a tenté de m'enlever le
short que je portais ce jour là. Je l'en ai empêché lui disant :
" Non ce n'est
pas possible, mon mari m'attend, je suis pressée, et mes vêtements vont être
froissés et salis, il va s'en apercevoir "
Alors l'homme, a
pris ma tête entre ses mains, m'a embrassée sur la bouche, et m'a fait baisser,
je suis tombée à genoux devant lui, il a ouvert sa braguette, sortit sa queue.
Le gros membre était à la hauteur de mon visage, le gland décalotté a effleuré
mes cheveux, ma joue, mes lèvres. J'ai donné de petits coups de langue sur le
méat, l'
Vieil homme mauvais se tape une chatte
Une dominatrix médicale
Donner Des Leçons Pour Allaiter Ses Seins

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