Une beauté dans une cage

Une beauté dans une cage




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Une beauté dans une cage
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Le jeune homme se retourna dans son lit, et se glissa tout entier sous sa couette, en poussant un profond soupir de bien être. Le soleil filtrait à travers son rideau, il faisait jour...à présent il ne craignait plus rien. Et sans vraiment y prendre garde, il se laissa enfin glisser dans les bras de Morphée. Le pauvre garçon, il n'avait pas fermé l'oeil de la nuit, persuadé que s'il le faisait, il e retrouverait loin de chez lui, dans les bras d'un inconnu...encore un... L'insomnie chez lui, avait la vie dure. Et comme il preferait se battre plutôt que de se laisser battre, les nuit lui semblait longue. Surtout qu'il était tout seul dans sa chambre aux couleurs chatoyantes. Lorsqu'il ouvrit de nouveau les yeux, la pendule en face de lui indiquait qu'il était quatre heures de l'après-midi. Il repousse sa lourde couette, et glissa posa ses pieds nus sur le sol. Il n'y avait pas que ses pieds qui étaient nus d'ailleurs, tout son corps l'était. Pourquoi s'embrasser de morceaux de tissus completement inutiles pour dormir. Il traina ses pieds jusqu'à sa salle de bain où il prit une douche glacée pour se reveiller completement et enfila un leger pantalon blanc décoré de rouge, puis enfila une chemise tout aussi blanche. Avec une patience infini il brossa ses longs cheveux bleus, tout en faisant une cure de soleil sur le balcon de sa petite maison. Aujourd'hui, il n'avait ni peinture à faire, ni scéance de modèle a faire. Il était en quelques sortes en congés. Mais il aurait bien aimé avoir quelque chose à faire. Ou avoir quelqu'un avec lui. Il se sentait bien seul, même si sa maison n'était pas immense. La terreur et le poids de la solide lui faisait croire que les pièce étaient immense, que chaque coins d'ombres recelaient mille et un dangers...et chaque fois qu'il pensait ainsi, il sentait une vague de frisson remonter dans son dos, de manière vraiment très désagréable. Son regard alla se noyer dans sa tasse de chocolat, quand une idée lui traversa l'esprit. Il avait de nouveau le droit d'adopter des hybrides, alors peut-être que si il en adoptait un, il se sentirait moins seul ! Son regard plongea dans les rues de la ville qu'il voyait de son balcon, et un sourire étira ses lèvres. Oui il était temps pour lui d'essayer de nouveau. Il était juste trop instable avant, on lui avait interdit l'adoption, pour eux mais aussi pour lui. Mais il ne voulait repenser a ce moment sombre de son existence a Jitsu. Maintenant il allait mieux. Il ne serait jamais completement guéri, mais il faisait de gros effort sur lui même. Preuve ! Il travaillait vraiment maintenant ! Il attrapa son sac à dos et quitta sa petite maison sans fermé. Il n'y avait aucun objet de valeur dans sa maison...vraiment rien qui puisse interesser les voleurs. Puis en souriant il se dirigea vers l'animalerie. Cette fois aucun papillon bleu ne le détourna de son chemin, et lorsqu'il se retrouva devant la porte de la boutique il du prendre son courage à deux pour y entrer. C'était bien le genre d'endroit qui le metait mal à l'aise. Tout d'abord ce n'était pas bien grand, ensuite il y avait tellement cage, qu'elles soient pleines ou vide. D'accord les hybrides n'était pas de vrai être humains, mais quand même...etait-ce vraiment necessaire de les enfermer ainsi ? Laï était convaincu, que c'était une chose qui pouvait être changé. Mais il était peut-être le seul à le penser. La seconde d'après il avait déjà oublié cette idée, et déambulait de manière presque assurée entre les cages. Le vendeur s'approcha, et lorsqu'il le reconnu, prefèra le laisser tranquille. Ici, il était malheuresement connu, et pas en bien...mais la rumeur courrait qu'il avait un peu changé. Et puis de toute façon, il était aussi réputé pour detester qu'on vienne le déranger, ou qu'on le conseil. Donc il allait se debrouiller seul comme un grand, et ensuite il demanderait lorsqu'il en aurait besoin. Par ici, une Neko. Tiens dans ce coin là il y avait des Inu...que Laï évita avec une precaution toute particulière. En rasant les autres cages. Heuresement, il n'y en avait pas dans le fond de l'animalerie. C'est vers là qu'il se dirigea. Il s'accroupit devant la cage d'une lapine, allant même jusqu'à lui caresser les oreilles en souriant, quand une autre cage capta toute son attention. Sa main detombe mollement, et son regard se fit plus insistant. Au fond du magasin, une cage un peu plus grande que les autres, portant un ecriteau bien plus soigné que les autres. Il se releva, laissant la lapine dans sa cage. L'hybride qui se trouvait dans la cage qui avait attiré son attention était tout simplement magnifique. L'image d'une illustration magnifique toute pleine de couleur s'imposa à son esprit. Elle avait le regard triste, mais elle n'en était pas moins splendide. Il s'approcha doucement de la cage, sans faire de gestes trop brusque, pour ne pas lui faire peur. -Bonjour, toi... dit-il d'une voix douce. Il observa la jeune femme. De longs cheveux blonds, des yeux jaunes quasiment dorés. Ce n'est pas son avantageux physique humain qui a attiré son attention, mais les magnifiques plumes dans son dos. Il daigne enfin lire la pancarte qui est accrochée à la cage. -Une hybride rare hein...rien qu'à te voir je n'en doute pas. Tu es magnifique... La suite de la lecture lui permet de comprendre que c'est un Paon, un oiseau déjà sublime et majestueux en lui même. Elle était, apparement « pure » puisqu'elle est née d'autres hybrides et non pas crée de la main de l'homme. Pas etonnant que son prix soit aussi elevé. Mais Laï serait prêt à mettre le double s'il le fallait, simplement pour la sortir de cette cage. C'était la première fois depuis longtemps qu'il entrait dans l'animalerie, il ne s'attendait pas à être ainsi captivé des sa première visite. Il adressa un sourire à la jeune femme, de l'autre coté des barreaux. Il n'osait pas tendre la main vers elle, pour ne pas l'effrayer. Rester calme et maître de lui même pour le moment.
Il y a quelques jours encore, on pouvait aller voir "Maelys, l'incroyable hybride paonne", dans une exposition célèbre de cette ville. Tout ce qu'avait à faire la jeune femme était de tenir debout sur un piédestal et de déployer de temps à autre les plumes dans son dos dans le but de former un éventail et ainsi faire la roue comme le faisait les animaux dont elle était originaire. Le maître qu'elle avait à ce moment était encore une fois un collectionneur, il achetait les hybrides les plus rares et les exposaient ensuite au grand public en organisant des expositions à travers tout le pays. Mais la pièce maitresse de son expo était évidemment la jeune paonne, qui d'après les chercheurs était la dernière représentante de son espèce. Pour éviter toutes rebellions de la part de ses "objets de collections", il les battaient régulièrement histoire de leur inspirer la peur de ce qu'ils leur arriveraient s'ils tentaient de s'échapper ou d'attaquer le publique. Une méthode dont avait été plusieurs fois victime Maelys, depuis sa tendre enfance elle changea souvent de maître soit par mort de celui-ci soit pour le vendre à un prix exorbitant et devenir encore plus riche. Mais, quelques que soit le maître à qui elle eût appartenu, elle fut toujours battue de la main de celui-ci. La jeune fille faisait tout ce que lui demandait son maître actuel de peur de s'attirer des ennuis, tout sauf sourire, qu'elle avait perdu il y a longtemps tout quand elle perdit foie en l'être humain. Il y eut peu son collectionneur actuel mourut. Ses hybrides furent mit aux enchères, beaucoup trouvèrent un nouveau maître mais les plus rares, ceux qui étaient donc plus chers restèrent invendus. Ils furent donc envoyés aux quatre coins du pays dans des animaleries de luxe histoire de faire de la publicité et d'attirer plus de clients. Évidemment l'argent ne reviendrait pas à la personne qui tenait la boutique mais à l'État qui avait prit spécialement soin de s'occuper des enchères. C'est comme ça que Maelys se retrouva dans une cage, bien plus brillante et scintillante que les autres mais une cage quand même. Cela faisait quelques jours qu'elle y était mais elle avait pu remarquer que certains hybrides enfermés eux aussi dans la boutique la dévisageait à cause de son traitement de faveur. Mais ne se gênaient pas pour rire d'elle quand la boutique était fermée et qu'il n'y avait plus d'humain, beaucoup lui disait qu'elle ne serait jamais vendue à cause de son prix. Il est vrai que depuis son arrivée beaucoup c'était arrêtait devant elle mais était vite reparti face au prix. La paonne ne s'en préoccupé pas plus que ça, même si elle n'aimait pas être en cage, elle n'était pas pressée de retrouver un maître. Une nuit elle entendit une discussion entre lapines, celles-ci disaient qu'elles avaient hâte de trouver un maître ou une maîtresse à choyer, d'autres encore pleuraient le leur, décédé. La jeune Maelys ne pouvait pas les comprendre. Elle comprenait mieux les rebelles qui avaient étés capturés et qui passé leur temps à faire la morale à ceux qui adoraient les humains. Elle aussi avait rêvé de faire partie des rebelles et ne plus devoir obéir à un maître, malheureusement elle était parfaitement consciente que seule dans la rue elle ne survivrai pas, et puis elle serait traquer comme une bête dangereuse qu'il ne faut pas laisser s'enfuir. Plus encore, son corps encore recouvert d’hématomes à cause de son ancien maître ne survivrait pas à d'autres coups encore plus violents. D'ailleurs, ses anciens maître et le boutiquier toujours prit soin de l'habiller en ne dévoilant pas les parties du corps où la jeune fille avait été frappée. L'élément à ne surtout pas touché était son visage, pourtant une fois elle se prit un mauvais coup dans la mâchoire et cela se voyait à l’œil nu, furieux son ancien propriétaire l'avait frapper encore plus car il ne pouvait plus l'exposer pendant un certain temps et cela lui ferait perdre de la clientèle. Suite à ça la paonne eut pour réflexe de protéger sa tête directement au moindre mouvement brusque d'un humain, sans faire exprès elle avait aussi développé le tic de reculer et de faire la roue avec ses belles plumes lorsqu'elle était effrayée. Aujourd'hui la boutique était plus calme que d'habitudes peu de monde y était venu. En fin d'après midi il y eut plus de gens mais aucun n’achetèrent d'hybride, c'était une mauvaise journée pour le gérant qui ne savait pas pourquoi il avait peu de clients aujourd'hui. Comme il faisait beau peut-être que les gens voulaient en profiter plutôt que d'aller dans une animalerie. Pourtant à un moment, sans qu'elle ne l'ai aperçue rentrer dans la boutique, trop occuper pour ça, un humain restait devant sa cage, elle le remarqua seulement quand il lui adressa la parole en le saluant. Maelys pourtant polie ne répondit rien, elle l'observa derrière ses barreaux, comme la plupart des autres humains il lui avait dit qu'elle était magnifique, mais la jeune femme ne trouvait pas son physique ou même ses plumes magnifiques ou plutôt elle détestait son apparence car c'est à cause de celle-ci qu'elle était malheureuse, être une paonne lui avait apporté des ennuis toute sa vie et elle ne voyait pas pourquoi ça changerait. Même si elle ne lui avait pas répondue le jeune homme lui adressa un sourire. Elle ne voulait pas de nouveau maître elle était à la limite bien là où elle était, elle se mit de dos et déploya ses plumes pour se cacher.
La première chose que le jeune artiste pensan en regarda la jeune femme en cage c'était qu'elle était vraiment magnifique. Mais c'était une chose qu'elle devait savoir, il ne devait pas être le seul à le lui dire, ni même à le penser. Mais il le dit tout de même tout haut. Laïhanär était venu ici, pour trouver de la compagnie, pour se sentir moins seul lorsqu'il serait chez lui. Il était certes quqlu'un d'assez spécial, mais comme tout le monde il y avait des choses qui comptaient beaucoup pour lui : et chasser la solitude était l'une de ses choses. Mais en la regardant avec un peu plus d'attention on pouvait remarquer qu'elle semblait triste et que surtout elle ne faisait pas vraiment attention à ce qui se passait autour d'elle. En la regardant ainsi, il avait l'impression de se voir, lorsqu'il laissait vagabonder ses pensées, mais qu'il n'arrivait pas à revenir. Il pouvait ainsi rester des heures entières, a remuer le fond de son cerveau, en pensant à de bonnes choses comme à des mauvaises. Il s'adressa à elle, elle se contenta de le regarder, se rencognant même au fond de sa cage sans même lui répondre. Laï ne put s'empecher de sourire. Elle ne voulait pas qu'il s'intéresse à elle ? N'avait-elle pas envie de sortir de là ? La question n'était sans pas celle qu'il fallait poser. La bonne était peut-être de savoir combien de maîtres elle avait eu et combien l'avaient deçue. Laï ne pouvait pas détacher son regard d'elle. Sa beauté était captivante, il ne pouvait pas le nier, mais il lui faudrait sans doute un autre argument que ça pour la deloger de son fond de cage. -Tu es bien silencieuse...je t'embête ? Demanda Laï sans cesser de sourire. Mais elle se cacha derrière sa queue, deployant ses plumes magnifiques pour se soustraire à la vue de cet homme sui semblait avoir des vues sur elle. Laï fit une moue boudeuse, avant de se mettre à rire. -Tu fais ça souvent ? Ou juste quand en marre de quelque chose ? Il insitait le bougre. Mais c'était une de ses qualités, trop peu nombreuses hélas. Quand il avait une idée en tête, il fallait qu'il aille jusqu'au bout. Juste par principe, pour ne pas se decevoir lui même. Il se demanda un instant, si elle ne se sentait pas seule dans sa cage et se mordit la lèvre. Peut-être...peut-être qu'elle ne voulait vraiment pas en sortir. -Dis...tu ne t'ennuies pas toute seule ici ? Sa voix avait un petit air de deception, un peu feint. Elle ne l'avait pas encore deçu, elle n'avait pas ouvert la bouche la pauvre. Mais, il avait envie de lui parler. Et il était fermener decider a rester planter devant cette cage jusqu'à ce qu'elle lui dise clairement qu'il lui cassait les pieds. Il pouvait venir à bout des personnes les plus patiente s'il le voulait. Et c'était peut-être cette idée là qu'il avait en tête le jeune homme. Il ne pouvait pas se mettre à sa place, il était humain, et il l'avait toujours été. Mais ça faisait quoi d'être un hybride et de passer de mains en mains ? Est-ce qu'un jour on arrêtait d'esperer ? On lui avait dit que les hybrides, pour la plupart avait une façon de pensées identiques à celle des humains, ils n'avaient d'animaux que les attributs qu'ils possédaient. A l'epoque, il n'avait pas tout compris, son esprit était encore bien trop embrumé par son ancienne vie de débauche. A y repenser, un lueur triste traversa son regard. Est-ce qu'elle le prendrait mal s'il lui disait qu'il cherchait une personne qui veuille bien lui tenir compagnie dans son chez lui, qu'il trouvait froid et vide. Qu'il avait besoin de voir une personne vivante partager sa maison, même plusieurs personnes...parce que tout seul il avait peur, et qu'il ne se sentait pas bien ? Il n'en savait rien. Mais pour qu'il soit fixer il fallait qu'elle réponde. -Je ne voulais pas te vexer...tu n'aimes pas qu'on te dise que tu es belle ? C'est ça ? Un éclair de génie ? Ou simplement l'enchainement logique d'une suite de pensées confuses ? Allez savoir, l'esprit de Laï est bourré de court-circuits et passages secrets que l'on ne peut connaître qui si on est lui. Il avait une façon de penser bien à part. Il jeta un coup d'oeil au vendeur qui l'observait depuis son comptoir, et lui adressa un petit sourire, que ce dernier lui rendit. Il semblait méfiant. Presque autant que tout ceux qui connaissait sa réputation étrange. Mais il reporta son attention sur la jeune femme, et tenta de croiser de regard. Mais elle était trop bien planquée derrière ses belles plumes. Alors il tendit la main, et les effleura du bout des doigts. Les reflets irisés de ces plumes magnifiques ui arrachèrent un sourire. -Ce serait une couleur magnifique pour une peinture... murmura-t-il pour lui même. Il ne pouvait s'en empêcher. La peinture est tout ce qui lui restait pour ne pas devenir completement fou.
Maelys était restée de dos , la queue en éventail, mais cela ne dérangeait pas l'humain, au contraire cela semblait l'amuser. Pourquoi ce jeune homme ne partait pas? La paonne en avait une petite idée, peut-être qu'il voulait décorer sa maison lui aussi? Ou alors la montrer à touts ses amis? Parmi tout les propriétaire qu'elle avait eut la jeune hybride en avait eut des comme lui, des jeunes riches cherchant seulement à avoir une belle ou un beau hybride histoire de faire beau dans la maison, comme on accroche un tableau au milieu du salon. Que tout le monde peut admirer mais évidemment à qui personne ne parle ou ne considère pas comme une personne à part entière. C'est vrai, qui s'adresserait à une œuvre d'art de le but de la connaître? Il faudrait être complétement fou pour parler à une chose qu'on trouve jolie mais qui pour nous n'a pas de vie. La jeune paonne ne détestait pas être belle mais si elle avait pu choisir elle aurait voulu être banal. La vie aurait été beaucoup plus simple pour la demoiselle. L'humain qui semblait absolument vouloir rester planter là lui demanda à un moment s'il l'embêtait. De dos elle ne pouvait pas le voir, seulement l'entendre, de toute façon qu'est-ce que ça pouvait bien lui faire? Un humain ne se fichait-il pas de sa créature? Pourquoi aurait-il soudain l'envie de savoir les états d'âmes de la paonne qui ne voulait pas ouvrir la bouche? Pourquoi elle se confierait de toutes façons, elle ne lui devait rien. Pas plus qu'à un autre humain. Et puis quand elle avait fait la roue pour se cacher le jeune garçon avait rit, de toutes les réactions qu'elle avait provoquait en déployant ses ailes dans son dos, c'était bien la première fois qu'on se moquait d'elle. Si elle faisait ça souvent? Non, d'ailleurs on lui avait demandé tellement de fois de faire la roue pour que le publique admire que ce n'était pas une chose qu'elle aimait faire, contrairement à ce qu'on pourrait appelait ses ancêtres les paons, elle ne le faisait plus pour montrer à quel point elle était jolie, mais seulement parce qu'on la forçait à le faire, et elle ouvrait ses plumes seulement quand elle était fâchée et ça lui arrivait aussi quand elle avait peur, mais jamais pour elle même ou par plaisir. Elle regrettait tellement d'être une paonne que ça lui ai souvent arrivé de penser à arracher ses belles et longues plumes. Sans nul doute qu'un jour, dans un moment de détresse, elle le ferait. Elle pu constater dans son malheur que l'humain intéressé était aussi très curieux. Il n'arrêtait pas de lui poser des questions, notamment une qui l'intrigua car elle ne se l'était jamais posé elle même en fait. Au fond, se sentir seule, qu'est-ce que ça voulait dire vraiment? Le fait de ne plus posséder ses parents, la rendait malheureuse mais était-ce vraiment de la solitude? Le fait d'être le seul paon encore en vit peut-être?. Avec ses anciens maîtres elle avait côtoyé d'autres hybrides rares comme elle et malheureux aussi, mais elle n'avait pas vraiment sympathisé avec eux, les occasions étaient presque inexistantes de toutes manières et puis une œuvre ne parle pas n'est-ce pas? Même avec les humains envers qui elle avait nourrit de la crainte et de la haine, elle ne leur avait jamais vraiment parlé, se contentant de ne jamais prendre la parole quand on ne l'y autorisé pas, et répondant à quelques questions qu'on lui posait. En fait, Maelys ne s'était jamais posée cette question car ce n'était pas la bonne, celle qu'on aurait dû poser était de demander si la jeune femme était seule, l'hybride le savait, elle ne sentait pas seule, elle savait qu'elle était seule, et ça quelque soit le nombre de personne qui soient autour d'elle. Aussi loin que remontent ses
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