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Depuis l’âge de 14 ans, je faisais des baby-sittings chez des particuliers. J’avais des clients réguliers dont je connaissais les enfants comme mes propres frères et soeurs. Il y avait aussi des gens qui me prenaient juste occasionnellement, pour une soirée. J’avais à l’époque 18 ans, quand un soir, une jeune femme me téléphona :
-« Bonjour, je suis Mme Faure, une amie de Mme Bilet. Elle m’a parlé de vous, je voudrais faire garder mes enfants demain soir ».
Mme Bilet est une de mes plus fidèles clientes, nous nous entendons très bien, je fus donc tout de suite mise en confiance et je lui répondis :
-« Demain soir, bien sûr ! Vos enfants ont quel âge ? »
Antoine et Rémi avaient 5 et 3 ans. Leurs parents allaient au restaurant avec des amis et la belle-mère de Mme Faure, qui gardait les enfants d’habitude, était en voyage. C’est pourquoi c’était la première fois qu’ils faisaient appel à moi. Nous nous donnâmes donc rendez-vous à 20h00 chez Mr et Mme Faure. Ma mère m’y déposa et je sonnai à leur porte. Mme Faure vint m’ouvrir, elle m’accueillit tres chaleureusement et me somma de l’appeler Hélène. Elle n’avait pas plus de 27 ans et était très belle. Elle me présenta ses enfants qui regardaient la télévision. Après m’avoir donné quelques recommandations, nous discutâmes gentiment de tout et de rien. Alors qu’elle me demandait si j’étais encore vierge, une question qui me gêna un peu, un homme grand et brun entra dans la pièce et fut figé sur place quand il me trouva au milieu du salon. Sa femme émit un petit rire et lui dit :
-« Voyons Marc, reprend-toi ! C’est seulement la baby-sitter ».
Il reprit contenance et me serra la main, dévisageant au passage mon décolleté et mes jambes dévoilées par la jupe que je portais. Ce regard me troubla, car malgré les nombreuses avances des garçons du lycée, je n’avais jamais vraiment eu de petit ami. Les garçons de mon âge me semblaient tellement ennuyeux. Soudain, Hélène dit :
-« Et bien, je pense que nous pouvons y aller ».
Ils me laissèrent donc seule. Je m’occupai des enfants pendant une heure, puis ils allèrent se coucher. Environ deux heures plus tard, revinrent les parents, mais ils n’étaient pas seuls ! Ils ramenaient avec eux toute leur bande de copains, en tout trois couples et deux hommes seuls. Lorsque Marc entra dans la pièce il me regarda et, se retournant vers ses copains qui le
suivaient, il leur dit d’un air entendu :
J’étais à nouveau bien embarrassée, heureusement, Hélène prit les choses en mains et lui dit :
-« Marc, arrête de faire l’imbécile et ramène cette jeune fille chez elle ».
Je saluai tout le monde et nous partîmes. Il démarra la voiture et commença à me parler :
-« Vous savez que vous êtes très bandante ? »
Ne sachant que dire, je bredouillai un merci. Tout en conduisant, il glissa sa main sous ma jupe et se mit à me caresser
la chatte. La gêne laissa place au plaisir et je gémis. Il me dit alors :
Il gara sa voiture sur le bord de la route et plongea sa tête entre mes jambes. Il était ardemment en train de me lécher la chatte, lorsque son téléphone portable sonna. C’était un téléphone main libre et j’entendis la conversation aussi bien que mon amant. C’était sa femme. J’étais très gênée mais lui, l’air de rien continuait de me lécher. Hélène dit :
-« Marc, je suppose que tu es en train de baiser Elisa ? »
-« Tout juste ! Et sa chatte est vraiment délicieuse ! »
-« Ramène cette jeune vierge à la maison, que tout le monde puisse en profiter ! »
Marc redémarra la voiture et conclut le dialogue en disant :
Je ne savais plus que faire. D’un côté les léchouillages de Marc me donnaient envie d’en savoir plus sur le sexe, d’un autre, j’étais effrayée par ce que l’on pourrait me faire là bas. Marc dut sentir ma peur car il me dit :
-« J’espère que ça ne te dérange pas que je te ramène à la maison. Mes copains aiment beaucoup les jeunes vierges, ma femme aussi d’ailleurs, mais ne te fais pas de souci, tout va très bien se passer. »
Tout en disant cela, il glissa une main dans mon tee-shirt et me tripota les seins. J’étais très excitée quand nous …
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Par
Juliette Harau
le 07/02/2019
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La cinéaste turque Dilara Elbir, installée aux Etats-Unis, a décidé de rendre hommage au cinéma lesbien. Dans cette compilation qu'elle a postée sur Twitter, elle rassemble des scènes issues de 34 films.
« Ce ne sont pas tous mes préférés, et tous les films lesbiens que j'aime n'y sont pas , précise-t-elle dans un tweet, avant que vous me demandiez 'Où est tel film ?' » . Le résultat est réussi en tout cas. On adore !
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Accueil » Dans le train et avec ma cousine
Aujourd’hui, j’ai 20 ans. Assez grande et très mince, j’ai de longs cheveux châtains clairs qui ondulent jusqu’au milieu du dos, des yeux bleu ciel, un visage qui mélange douceur et volonté. J’ai de mignons petits seins bien ronds dont je suis très fière et une peau satinée, légèrement bronzée naturellement. Sportive et active, j’ai toujours aimé être habillée assez sexy mais classe. Coquine, je le suis depuis longtemps et c’est ce que je me propose de vous raconter.
À dix-huit ans, j’ai commencé à goûter les plaisirs d’être une femme. Depuis, mes aventures n’ont cessé de s’accumuler et j’avoue que mon expertise, dans le domaine aujourd’hui, vaut celle de plusieurs femmes mûres. Voici donc le récit d’une de mes premières aventures sexuelles.
Cet été là, je viens tout juste d’avoir dix-huit ans et je vais passer deux bonnes semaines chez ma cousine Nathalie en Suisse. Je ne la connais qu’en photo, mais bigre ! Qu’elle est jolie ! On m’a toujours parlé de cette cousine en tant qu’informaticienne travaillant pour une grosse boîte suisse, mais elle ne semble pas avoir la grosse tête. Après les adieux à mes parents, on monte dans le train de nuit pour Genève. Nathalie est avec moi car elle est venue me chercher à Paris. Nous partageons notre compartiment avec une dame et ses deux fils. Le plus âgé, probablement 18 ans, est beau gosse. Blond aux yeux gris-bleu, il porte un chouette T-shirt et un pantalon sport avec des Doc Martens, mais le plus important, c’est qu’il me fait immédiatement un gentil sourire sans rien oser me dire. Moi je fais petite fille bien sage avec ma robe d’été en coton bleu à bretelles sur un chemisier blanc à courtes manches. Je suis assise en face lui, il fait semblant de lire mais je sens bien qu’il ne me quitte pas des yeux. Il a l’air sportif et ses jambes couvertes de petits poils blonds montrent une peau douce. Après avoir mangé, on met les couchettes en place et je prends une des couchettes supérieures. Je sens son regard sous ma jupe quand je grimpe à l’échelle. Comme par hasard il grimpe aussi ! Je m’endors immédiatement en pensant à ce garçon. Plus tard dans la nuit, lors d’un arrêt dans une gare, une main me caresse doucement les cheveux. En me retournant, je le vois se glissant à nouveau sur sa couchette mais il a enlevé son T-shirt et dans la pénombre son torse me semble superbe.
Il me lance de nouveau un merveilleux sourire auquel je réponds. Il me tend sa main et en regardant si tout le monde dort, je lui tends la mienne. En me la caressant doucement, il essaie de remonter le plus haut possible le long de mon bras. J’en frissonne de partout. Il me fait alors signe de le rejoindre sur sa couchette. C’est impossible pour moi, j’ai peur de ma cousine, mais je lui fais comprendre de me rejoindre, ce qu’il fait sans tarder. Je suis brûlante. Il se glisse alors entre moi et la paroi et, en chien de fusil, je me blottis contre lui, mon dos contre son ventre. Je sens son souffle dans mes cheveux, sur ma nuque et la chaleur de son corps. Sa main me serre contre lui et bien vite elle prend place sur un de mes petits seins pointés pendant qu’il inonde mon cou de baisers. Je ne sais que faire mais un sentiment de bien-être m’envahit. On reste d’abord un bon moment ainsi l’un contre l’autre. Puis, se redressant sur son coude sans doute pour mieux me voir, il me fait pivoter sur le dos et doucement comme dans un rêve, il me caresse le ventre au travers de ma robe et de mon chemisier pour revenir régulièrement sur mes nénés. N’y tenant plus, je fais glisser les bretelles de ma robe et guide sa main sous mon chemisier en abaissant le haut de ma robe. C’est alors que se penchant sur moi, il m’offre un merveilleux baiser. Je sens vite une envie de toucher sa langue avec la mienne. Je ne sais plus combien de temps on reste ainsi, mais c’est si doux. Ses bras m’enlacent et mon chemisier, maintenant largement ouvert, laisse libre cours à ses caresses. Je lui laisse enlever mon soutien. Je n’ai plus que ma robe repliée sur mes hanches et ma culotte sur moi. À mon tour, je caresse son torse musclé, pendant que sa main me doigte ma chatte…
L’appartement de ma cousine est superbe. Il donne sur le lac, le long de la rue du Mont-Blanc. Après ce voyage, elle me propose de prendre une douche.
– On la prend ensemble, me dit-elle ?
– Si tu veux, bien sûr !
Elle a à peine vingt-cinq ans et quand je la vois nue, faisant couler la douche, je ne peux m’empêcher de lui dire qu’elle a un corps superbe. Elle sourit, mais avant que je ne puisse réagir, elle fait glisser les bretelles de ma robe.
– Petite coquine, me dit-elle en voyant que je n’ai pas de slip.
Puis avant que je ne me justifie, elle me caresse la peau en me disant :
– C’est un rêve de voir comme on peut être jolie à ton âge.
Dans la douche elle me passe un délicieux bain mousse sur le corps et ça sent si bon. Puis elle me demande d’en faire de même sur elle. Quand nous sommes bien couvertes chacune de mousse, elle me dit :
– Viens, je vais l’étendre parfaitement.
Et me retournant, elle plaque son ventre contre mon dos, m’enveloppant de ses bras. Ses mains caressent d’abord mon ventre puis l’une s’attaque à mes seins tandis que l’autre se glisse sur mon pubis.
Je réponds affirmatif de la tête. C’est vrai que c’est très agréable et ce contact avec un corps adulte est bien plus voluptueux que ceux que j’avais eu avec mes copines plus jeunes. On inverse les rôles et elle me dit très douée. Après la douche, elle me sèche consciencieusement. Comme nous restons nues en séchant nos cheveux, elle me prend par la main et m’attire dans sa chambre. Dans l’obscurité et sur son grand lit, je me blottis contre elle. Après un moment, elle m’embrasse d’abord sur le bord des lèvres, pour voir ma réaction sans doute, puis profondément et d’une infinie douceur. Puis lentement, elle descend le long de mon corps, suçant le bout de mes seins puis mon nombril et mon clitoris. Je replis mes jambes en les ouvrant, elle sourit et puis rentre goulûment sa longue langue dans mon vagin. Déjà fort excitée, je mouille à souhait. Elle épouse complètement mes lèvres vaginales puis, me soulevant lentement, elle continue jusqu’à mon anus, un doigt dans mon vagin pour continuer à m’exciter. Mes petits cris de jouissance l’encouragent sans doute, puis se retournant tête bêche, corps contre corps, couchées sur le côté, elle offre son sexe aux caresses de ma langue. Son odeur intime est plus forte que ce que je connaissais déjà mais je ne peux résister à la lécher à mon tour. Après plus d’une demi-heure, nous jouissons presque ensemble avant de nous endormir dans les bras l’une de l’autre. À notre réveil, de faim probablement, après un dernier câlin, on se lève pour s’habiller.
– Comme tu es assez coquine, mais c’est un secret entre nous, je te propose qu’on ne mette pas de sous-vêtements pendant ton séjour.
Rien que cette idée m’excitait à nouveau, je réponds :
Un jean et un T-shirt moulant et nous sommes habillées, comme deux sœurs. Au resto puis au Makro, les hommes n’arrêtent pas de nous regarder sous toutes les coutures. Quelle drague en perspective ! La nuit, on la passe ensemble comme presque toutes les autres, mais ça c’est une autre histoire. Et dans son appart, on est plus souvent nues ou presque, il faut dire qu’il y fait très chaud. Puis une nuit, c’est la catastrophe ! J’ai mes règles et je salis les draps. Je suis très ennuyée vis-à-vis de ma cousine mais elle ne m’en veut pas du tout.
– Ce n’est pas grave, tu sais, ça arrive. On va vite tout changer, prendre une douche et tout sera oublié.
Elle me prête des tampons et je dois enfiler une culotte, je crois que c’est plus prudent. Au petit déjeuner, elle me demande :
– Dis, Isa, tu prends la pilule ?
– Non, ma mère ne m’en a jamais parlé et j’ai un peu peur de lui demander, elle me croit si sage encore.
– Et tu n’es plus sage ?
Je deviens toute rouge, puis comme un aveu de soulagement, je lui raconte mes galipettes dans le train.
– Et bien je crois que tu dois penser à prendre la pilule, sinon tu vas rater bien des occasio
Deux queues dures baisent une salope blonde
Donner à la russe tout ce dont elle a besoin
Un après midi de dimanche romantique