Une aventure avec une brune carrément sexy

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Je l’ai connue au travail. Je ne me souviens pas exactement du “premier jour”. En tout cas ce n’était pas un coup de coeur. Plutôt de la curiosité. Une autre fille dans le service. Asiatique, lunettes épaisses, gros pull, jeans, et surtout chaussettes blanches avec chaussures noires, elle avait tout à fait le stéréotype d’ingénieur informaticien. Une fois je l’ai vue à la pause café, et je me suis approchée pour me présenter. Je ne me souviens pas trop ce que je lui ai dit. Des banalités. Comme je suis timide, et j’aime pas qu’on m’interroge, je ne lui ai pas demandé d’où elle était, ni combien de temps ça faisait qu’elle était dans la région. Elle avait un fort accent, je ne comprenais pas tout ce qu’elle disait. Après ce jour, nous parlions souvent ensemble, mais de rien de spécial. Nous ne sommes pas beaucoup de filles à faire l’informatique, et les informaticiens, ils sont souvent lourds avec nous. En général, les histoires de mes collègues, qui ont tous enfanté des prodiges et s’achètent des belles bagnoles, ne m’intéressent pas. Avec elle, c’était facile. Elle n’avait pas d’enfants, comme moi, alors je ne me sentais jugée par l’absence d’enfants, ni par mon look. Parce que, bon, je ne fais pas trop attention non plus. J’évite tout juste les chaussettes blanches. Je ne me rappelle pas non plus quand j’ai commencé à trouver qu’elle avait des jolis yeux. Tous fins, comme un coucher de soleil sur l’océan derrière des nuages bas. Sauf que le soleil, il est noir comme une tache d’encre. Par contre, je me souviens précisément du jour où j’ai pensé à elle et ça ma coupé le souffle. Nous n’étions même pas ensemble. Je marchait vers la gare pour rentrer chez moi. C’était l’automne, les magasins venaient d’allumer les lumières. J’ai vu des chaussures derrière une vitrine, et j’ai eu envie de les lui acheter. Elle m’est apparue en pensée, très nette, avec ses tâches de rousseur, ses longs cheveux noirs et lisses, et son gros pull. J’ai même senti son odeur. J’ai eu le tournis, puis je me suis rappelé de respirer. J’étais tombée amoureuse sans m’en rendre compte. J’étais amoureuse depuis plusieurs semaines, et je ne le savais même pas. Dix ans ont passé. Je suis toujours amoureuse d’elle. J’essaye de me rappeler de ma confusion, à cette époque, mais je ne trouve pas les bon mots. Je n’avais jamais pensé une seconde que je pouvais être attirée par une fille, et je n’avais pas encore abandonné l’ambition de devenir un membre exemplaire de notre société, avec voiture, maison, mari, enfants, un chien, et une voiture. Enfin, pas exactement dans cet ordre. Mari, j’avais déjà. Et voiture. Je vois que je vais mettre un certain temps à tout raconter.
Je l’ai connue au travail. Je ne me souviens pas exactement du “premier jour”. En tout cas ce n’était pas un coup de coeur. Plutôt de la curiosité. Une autre fille dans le service. Asiatique, lunettes épaisses, gros pull, jeans, et surtout chaussettes blanches avec chaussures noires, elle avait tout à fait le stéréotype d’ingénieur informaticien. Une fois je l’ai vue à la pause café, et je me suis approchée pour me présenter. Je ne me souviens pas trop ce que je lui ai dit. Des banalités. Comme je suis timide, et j’aime pas qu’on m’interroge, je ne lui ai pas demandé d’où elle était, ni combien de temps ça faisait qu’elle était dans la région. Elle avait un fort accent, je ne comprenais pas tout ce qu’elle disait. Après ce jour, nous parlions souvent ensemble, mais de rien de spécial. Nous ne sommes pas beaucoup de filles à faire l’informatique, et les informaticiens, ils sont souvent lourds avec nous. En général, les histoires de mes collègues, qui ont tous enfanté des prodiges et s’achètent des belles bagnoles, ne m’intéressent pas. Avec elle, c’était facile. Elle n’avait pas d’enfants, comme moi, alors je ne me sentais jugée par l’absence d’enfants, ni par mon look. Parce que, bon, je ne fais pas trop attention non plus. J’évite tout juste les chaussettes blanches. Je ne me rappelle pas non plus quand j’ai commencé à trouver qu’elle avait des jolis yeux. Tous fins, comme un coucher de soleil sur l’océan derrière des nuages bas. Sauf que le soleil, il est noir comme une tache d’encre. Par contre, je me souviens précisément du jour où j’ai pensé à elle et ça ma coupé le souffle. Nous n’étions même pas ensemble. Je marchait vers la gare pour rentrer chez moi. C’était l’automne, les magasins venaient d’allumer les lumières. J’ai vu des chaussures derrière une vitrine, et j’ai eu envie de les lui acheter. Elle m’est apparue en pensée, très nette, avec ses tâches de rousseur, ses longs cheveux noirs et lisses, et son gros pull. J’ai même senti son odeur. J’ai eu le tournis, puis je me suis rappelé de respirer. J’étais tombée amoureuse sans m’en rendre compte. J’étais amoureuse depuis plusieurs semaines, et je ne le savais même pas. Dix ans ont passé. Je suis toujours amoureuse d’elle. J’essaye de me rappeler de ma confusion, à cette époque, mais je ne trouve pas les bon mots. Je n’avais jamais pensé une seconde que je pouvais être attirée par une fille, et je n’avais pas encore abandonné l’ambition de devenir un membre exemplaire de notre société, avec voiture, maison, mari, enfants, un chien, et une voiture. Enfin, pas exactement dans cet ordre. Mari, j’avais déjà. Et voiture. Je vois que je vais mettre un certain temps à tout raconter.
C'est un joli conte pour ces fêtes de Noël .... Mais qu'est devenue cette collègue ?
Je l’ai connue au travail. Je ne me souviens pas exactement du “premier jour”. En tout cas ce n’était pas un coup de coeur. Plutôt de la curiosité. Une autre fille dans le service. Asiatique, lunettes épaisses, gros pull, jeans, et surtout chaussettes blanches avec chaussures noires, elle avait tout à fait le stéréotype d’ingénieur informaticien. Une fois je l’ai vue à la pause café, et je me suis approchée pour me présenter. Je ne me souviens pas trop ce que je lui ai dit. Des banalités. Comme je suis timide, et j’aime pas qu’on m’interroge, je ne lui ai pas demandé d’où elle était, ni combien de temps ça faisait qu’elle était dans la région. Elle avait un fort accent, je ne comprenais pas tout ce qu’elle disait. Après ce jour, nous parlions souvent ensemble, mais de rien de spécial. Nous ne sommes pas beaucoup de filles à faire l’informatique, et les informaticiens, ils sont souvent lourds avec nous. En général, les histoires de mes collègues, qui ont tous enfanté des prodiges et s’achètent des belles bagnoles, ne m’intéressent pas. Avec elle, c’était facile. Elle n’avait pas d’enfants, comme moi, alors je ne me sentais jugée par l’absence d’enfants, ni par mon look. Parce que, bon, je ne fais pas trop attention non plus. J’évite tout juste les chaussettes blanches. Je ne me rappelle pas non plus quand j’ai commencé à trouver qu’elle avait des jolis yeux. Tous fins, comme un coucher de soleil sur l’océan derrière des nuages bas. Sauf que le soleil, il est noir comme une tache d’encre. Par contre, je me souviens précisément du jour où j’ai pensé à elle et ça ma coupé le souffle. Nous n’étions même pas ensemble. Je marchait vers la gare pour rentrer chez moi. C’était l’automne, les magasins venaient d’allumer les lumières. J’ai vu des chaussures derrière une vitrine, et j’ai eu envie de les lui acheter. Elle m’est apparue en pensée, très nette, avec ses tâches de rousseur, ses longs cheveux noirs et lisses, et son gros pull. J’ai même senti son odeur. J’ai eu le tournis, puis je me suis rappelé de respirer. J’étais tombée amoureuse sans m’en rendre compte. J’étais amoureuse depuis plusieurs semaines, et je ne le savais même pas. Dix ans ont passé. Je suis toujours amoureuse d’elle. J’essaye de me rappeler de ma confusion, à cette époque, mais je ne trouve pas les bon mots. Je n’avais jamais pensé une seconde que je pouvais être attirée par une fille, et je n’avais pas encore abandonné l’ambition de devenir un membre exemplaire de notre société, avec voiture, maison, mari, enfants, un chien, et une voiture. Enfin, pas exactement dans cet ordre. Mari, j’avais déjà. Et voiture. Je vois que je vais mettre un certain temps à tout raconter.
Très jolie histoire, style très agréable à lire. On est très impatient de connaître la suite de cette belle histoire d'amour, surtout de la façon où cela est narré. Ça donne vraiment envie, merci à toi, ça change de ce que l'on peut lire habituellement.
Hier, en écrivant, je me suis souvenue d’un rêve que j’ai eu des années plus tôt, dans une autre entreprise. Pour montrer comment ils appréciaient leur personnel, ils organisaient une sortie de boîte annuelle. Sauf que, radins comme ils étaient, on n’avait jamais droit à une nuit d’hôtel. C’était en fait une excursion en autobus à un de leurs bureaux dans une autre ville. Il fallait se lever hyper tôt, puis arriver au bureau, puis monter dans un bus et faire des heures. Dans cette entreprise il y avait une fille qui programmait, comme moi. Elle était grande, forte, elle devait faire plus de 100 kilos, avec des grosses mains. Elle faisait de la moto. Nous étions dans le bus, et nous nous sommes arrêtés sur une aire d’autoroute pour prendre un café. Le chef avait apporté des thermos, donc on nous ne sommes même pas entrés dans le restaurant. C’était encore 6h00 du matin, et j’étais frigorifiée. En rogne contre la vie, les entreprises, le capitalisme et l’humanité en général, à l’écart des autres, je ne voulais pas aller chercher mon café parce que je ne voulais pas dire merci au chef. Je me demandais pourquoi je n’avais pas pris ma veste de ski. La fille s’est approchée derrière moi. - Ça va? - Non. Elle m’a mis les mains sur la tête, comme un chapeau. Elle avait les mains chaudes. Elle les a tenue quelques minutes. J’ai arrêté te trembler. - Je crois qu’on y va Nous sommes remontées dans le bus. Je n’étais pas assise à côté d’elle, je ne lui ai plus dit grand chose ce jour. Ni après, parce qu’on n’était pas dans la même équipe, et que je la trouvais un peu vulgaire. Peu après j’ai fait le rêve. J’était appuyée contre un mur, ou un arbre, et elle était toute contre moi, et elle parlait de la météo. Elle était lourde, et je ne pouvais absolument pas bouger. En fait, j’étais au sol, et elle était sur moi. Je gigotais pour me dégager, et son énorme cuisse était entre les miennes. Et je sentais que si je bougeais encore j’allais jouir. J’osait plus bouger, et elle parlait de bêtises. Je me souviens encore de ce rêve comme quelque chose de vaguement gênant, mais j’y pense pas souvent. Je crois que je n’ai plus parlé à cette fille parce qu’elle me plaisait. Pour revenir à mon histoire, mon amie asiatique se faisait appeler Céline. Comme beaucoup d’asiatiques, elle avait occidentalisé son nom. Céline apportait souvent sa gamelle. Et moi aussi. On a commencé à partager le repas. C’était une excuse pour prendre rendez-vous à midi. Partager des choses à manger est très intime, surtout si on les a cuisiné avec ses doigts. C’est impossible de toucher quelque choses sans y laisser de sa propre matière. La plupart du temps, nous prenions un seul dessert pour les deux. Des fois c’était une orange, et elle me la pelait. Ce que j’aime le plus chez elle c’est ses mains. Je crois que j’aurais pu passer mon temps à l’aimer en secret si la boîte n’avait pas décidé de s’économiser des sous en déménageant dans la banlieue à l’autre côté de la ville. Soit disant pour gagner de l’espace, mais le résultat c’est toujours qu’il faut prendre les transports publiques pendant des heures. Ben sans ça, il ne ce serait rien passé.
Edité le 27/10/2021 à 8:58 PM par petit-poirier
hâte de lire la suite ! vraiment bien écrit...
Les nouveaux bureaux, ils étaient en banlieue. Il n’y avait que notre petite équipe. Nous étions juste deux développeurs. L’autre était un petit jeune, très gentil mais taciturne. Il y avait aussi quelques vendeurs d’une autre section, et des téléphonistes. Au début j’étais furax, parce que ça m’ajoutait 20 bonnes minutes pour prendre le bus et arriver à la gare. J’avais perdu mon amie. Je lui ai téléphoné deux ou trois fois, mais en fait je n’avais pas tellement de choses à lui dire. Seulement « tu me manques », mais je n’osait pas. J’avais comme un glaçon à l’estomac. Nous avons fait la planification du projet et arrivé à la conclusion que c’était impossible de terminer dans les délais que les chefs avaient prévu. Le truc à faire, quand les chefs imposent des délais intenables, est de réserver tout de suite tes vacances à partir de deux ou trois semaines après la date de livraison. Comme ça ils sont obligés de les valider. Quand arrive la date de livraison, il n’y a rien qu’est fini, et l’enfer commence. Sauf que t’as déjà tes vacances prévues peu après. Mais cette fois, miracle, ils nous ont crû. Ils ont ajouté deux développeurs de plus. Quelques jours après, Céline m’appelle: - Coucou - Tu vas bien? - Devine! - Euh… - Je vais travailler avec toi! Elle avait l’air contente. Je ne savais pas comment réagir. J’essayais surtout de ne pas arrêter de respirer. - T’es pas contente? - Si. - Alors pourquoi tu dis rien? - Je suis contente - Tu viens me chercher? - Euh… maintenant? - Après le travail. On ira boire un verre. C’était la première fois qu’on est sorties ensemble. J’ai rien travaillé de l’après midi. J’ai regardé vingt fois l’horaire du bus. Je me suis forcée à ne pas partir trop tôt. Je me suis forcée à ne pas lui écrire avant de monter dans le bus. - Je t’attends à l’arrêt - qu’elle me répond par texte. Le bus a traîné tout ce qu’il a pu. Il a fait exprès de ralentir à chaque feu rouge en attendant qu’il devienne orange et pouvoir s’arrêter pour de bon. Il a freiné devant chaque piéton, même loin des passages cloutés. J’avais envie d’hurler, de joie ou d’impatience, je ne suis pas sûre. Enfin il a ouvert les portes à mon arrêt. Céline était là. Elle me souriait. Et moi je pensais - ne prends pas tes désirs pour des réalités, ne prends pas tes désirs pour des réalités, ne prends pas… Elle m’a fait la bise. Elle ne m’avait jamais fait la bise. Au bureau personne ne fait ça. Elle s’était mis un peu de parfum. Ne prends pas tes désirs pour des réalités.
Les nouveaux bureaux, ils étaient en banlieue. Il n’y avait que notre petite équipe. Nous étions juste deux développeurs. L’autre était un petit jeune, très gentil mais taciturne. Il y avait aussi quelques vendeurs d’une autre section, et des téléphonistes. Au début j’étais furax, parce que ça m’ajoutait 20 bonnes minutes pour prendre le bus et arriver à la gare. J’avais perdu mon amie. Je lui ai téléphoné deux ou trois fois, mais en fait je n’avais pas tellement de choses à lui dire. Seulement « tu me manques », mais je n’osait pas. J’avais comme un glaçon à l’estomac. Nous avons fait la planification du projet et arrivé à la conclusion que c’était impossible de terminer dans les délais que les chefs avaient prévu. Le truc à faire, quand les chefs imposent des délais intenables, est de réserver tout de suite tes vacances à partir de deux ou trois semaines après la date de livraison. Comme ça ils sont obligés de les valider. Quand arrive la date de livraison, il n’y a rien qu’est fini, et l’enfer commence. Sauf que t’as déjà tes vacances prévues peu après. Mais cette fois, miracle, ils nous ont crû. Ils ont ajouté deux développeurs de plus. Quelques jours après, Céline m’appelle: - Coucou - Tu vas bien? - Devine! - Euh… - Je vais travailler avec toi! Elle avait l’air contente. Je ne savais pas comment réagir. J’essayais surtout de ne pas arrêter de respirer. - T’es pas contente? - Si. - Alors pourquoi tu dis rien? - Je suis contente - Tu viens me chercher? - Euh… maintenant? - Après le travail. On ira boire un verre. C’était la première fois qu’on est sorties ensemble. J’ai rien travaillé de l’après midi. J’ai regardé vingt fois l’horaire du bus. Je me suis forcée à ne pas partir trop tôt. Je me suis forcée à ne pas lui écrire avant de monter dans le bus. - Je t’attends à l’arrêt - qu’elle me répond par texte. Le bus a traîné tout ce qu’il a pu. Il a fait exprès de ralentir à chaque feu rouge en attendant qu’il devienne orange et pouvoir s’arrêter pour de bon. Il a freiné devant chaque piéton, même loin des passages cloutés. J’avais envie d’hurler, de joie ou d’impatience, je ne suis pas sûre. Enfin il a ouvert les portes à mon arrêt. Céline était là. Elle me souriait. Et moi je pensais - ne prends pas tes désirs pour des réalités, ne prends pas tes désirs pour des réalités, ne prends pas… Elle m’a fait la bise. Elle ne m’avait jamais fait la bise. Au bureau personne ne fait ça. Elle s’était mis un peu de parfum. Ne prends pas tes désirs pour des réalités.
C'est très agréable ce "suspens", mais ce qui est sûr, c'est qu'avant d'en arriver à la petite culotte de cette jeune asiatique, il va encore falloir encore patienter quelques jours au moins.... Et c'est très bien comme ça.
C'est très agréable ce "suspens", mais ce qui est sûr, c'est qu'avant d'en arriver à la petite culotte de cette jeune asiatique, il va encore falloir encore patienter quelques jours au moins.... Et c'est très bien comme ça.
Merci du support. Je promet qu'il y aura des petites culottes. Je peux même anticiper ceci: les siennes ont toujours un peu de dentelle, et je vais être explicite. Mais il faudra patienter. Je n'ai pas encore les bons mots pour parler des choses croustillantes L'amour c'est de la passion, et la passion c'est aussi de la douleur. Au début je croyais que je pouvais tout raconter en un seul long post. Je l'ai connue au travail, et nous sommes devenues copines, puis proches, puis il y a eu le premier baiser, puis... Mais chaque petit pas dans notre relation a été difficile. Je suis informaticienne, je n'ai pas d'aptitudes sociales. Si, j'en ai, mais pas normales. Je m'entends bien avec d'autres informaticiens. La drague, pour moi, c'est impraticable. Je sais qu'il y a des gens qui voient quelqu'un à leur goût, ils s'approchent, ils lui disent un truc, et ils ne se font pas jeter immédiatement. Moi je ne peux pas. Je suis bien consciente qu'il s'agit de suivre un protocole établi. En informatique on l'appelle ça une couche de transport (de transport d'information - je te kiffe, moi aussi, faisons-le, ok). Le mec est en général le client, il dit bonjour. L'hôte, en général la fille, peut soit rejeter la communication, soit répondre avec une phrase qui indique le ton et l'humeur du moment. Le mec répond avec une blague, une boutade, ou un truc qui va bien. Si la fille accepte le ton, alors il y a quelques échanges, puis si tout va bien, ça peu finir au lit. Ou dans les toilettes publiques, mais je trouve ça tellement glauque que ça me dépasse. Ce module, il n'est pas installé chez moi. Ce n'est pas que je n'ai pas envie de m'approcher des gens, c'est qu'il me manque les protocoles. Par exemple, le protocole pour dire bonjour à la caisse du supermarché - installé. Le protocole de demander des renseignements dans la rue - installé. Pareil pour les relations professionnelles - j'ai mes protocoles installés et à jour. Je peux collaborer dans mon équipe, avec d'autres équipes, avec des clients, je peux même parler en public, à l'aise. Le protocole de la drague, par contre, il n'est pas installé. Pire, il est incompatible avec moi. Ce n'est pas que je manque de sentiments, ou que je ne m'intéresse pas au gens. C'est le contraire. Mes sentiments sont trop forts, et je ne peux pas les gérer. Je suis incapable de suivre un protocole où il s'agit de les mettre à la portée d'un gars que j'ai rencontré sur place. Je ne vais pas le raconter ici, mais entre que j'ai connu mon mari, et que j'ai osé lui avouer que je l'aimais, il a fallu attendre 6 mois. Pourtant nous étions jeunes, beaux, pleins d'hormones, tous nos amis étaient en couple, et en plus il s'est e
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Ces deux mères ont du temps libre pour baiser ce weekend car leur hommes sont partis avec leur enfants a la montagne.

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