Une attaque vaginale chimique

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Une attaque vaginale chimique
Comment éviter une mycose vaginale ?



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Bons gestes pour l'éviter et la soigner
La mycose vaginale est une infection causée par une minuscule levure qui attaque le vagin et provoque une vaginite.
Cependant, il peut aussi toucher d’autres parties du corps. Les femmes victimes de cette infection souffrent à la fois du désagrément de la maladie sur le corps et aussi du gêne et mal à l’aise.
Les statistiques nous montrent que ¾ des femmes sont atteintes de cette infection au cours de leur vies. Il existe des moyens de prévention que vous pouvez utiliser contre la mycose vaginale. Si ces dernières sont bien suivies, elles maintiendront une propreté et une sécurité sanitaire pour vos parties intimes.
1. Évitez de porter les habits serrés et humides
Eviter le port des tenus humides sur le corps et les lingeries serrés, qui sont des facteurs aggravantes des mycoses vaginales.
Les sous-vêtements serrés qui ne sont pas en coton aspire la chaleur et provoque une humidité du corps. Cette dernière entraine des infections à cause de la multiplication des levures.
Pour votre santé il est donc utile de toujours enlever vos vêtements humides, que ce soit après une séance d’entrainement ou si vous avez été trempé par la pluie. En effet, le fait de les garder sur vous entrainerait un déséquilibre hormonal de votre entrecuisse.
2. Arrêtez d’utiliser des parfums chimiques et autres produits sanitaires
Les lingettes intimes, les serviettes hygiéniques parfumées, les tampons parfumés et les parfums peuvent changer le fonctionnement des microbes et bactéries dans vos parties intimes.
Car bien que ses produits soient conçus pour vous aider, les composants utilisés sont chimiques. Ces derniers sont donc néfastes car ils peuvent tuer les bactéries qui coopèrent avec votre corps pour votre défense et provoqueront des troubles hormonales.
Pour ce faire il est impératif de ne pas vous tromper sur le choix de produits que vous allez utiliser. Opter surtout pour les parfums qui ne contiennent pas de produits chimiques ou toxiques.
Choisissez également des tampons hygiéniques et organiques pour votre bien être.
Il est aussi indispensable d’éviter de pulvériser des parfums sur vos organes génitaux.
Il est nécessaire de faire bien attention aux crèmes épilatoires ainsi qu’aux savons intimes pour l’entretien de votre entrecuisse. Ces produits pourraient bien être les causes de votre souci vaginal.
3. Apprenez à contrôler ce que vous consommez
Une forte consommation de sucre et de levure multiplie la croissance du microscopique champignon appelée Candida Albicans, qui infecte les parties vaginales.
Il est donc très utile d’arrêter la consommation de nourritures sucrées ou du moins de les diminuer afin de limiter la propagation de l’infection.
Il est conseillé de choisir des aliments calorifiques comme les yaourts (sans sucre).
Beaucoup d’aliments peuvent contribuer à la prévention d’une mycose vaginale. Il faut tout simplement éviter les nourritures à bases de sucre et de levure.
La mycose vaginale devient trop habituelle chez les femmes. Elle provoque un complexe de gênes néanmoins il est facile de l’éviter. Le seul remède contre cette maladie c’est d’adopter un traitement préventif.

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Publié par Rédaction E-sante.fr , le 30/07/2007 à 02:00
La plus fréquente des infections vaginales est la vaginose bactérienne, suivie par la mycose .
Le point sur ces deux infections gynécologiques avec le Dr David Elia*.
La vaginose bactérienne est due à un germe dénommé "gardnerella vaginalis", extrêmement fréquent.
La contamination peut être sexuelle ou non (simple contact peau, eau…).
Elle se caractérise par des pertes abondantes, classiquement liquides, d'une couleur gris/verdâtre, et surtout d'une odeur très particulière de poisson pourri (aussi dénommée "fish syndrome").
Cette odeur se manifeste surtout à la suite d'une réaction chimique entre les pertes et le sperme ou le sang.
C'est donc après un rapport sexuel ou pendant les règles que les femmes peuvent vraiment se rendre compte de cette odeur désagréable.
La vaginose bactérienne n'est pas grave et donne rarement d'autres symptômes que ces pertes malodorantes.
Le traitement est extrêmement simple et se présente sous la forme d'ovules ou de comprimés qui font disparaître l'infection en l'espace de quelques jours.
Le traitement du partenaire ne se fait généralement qu'en cas de récidives fréquentes car il n'est pas exclu qu'il ait quelques germes dans son urètre.
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" Un rapport sexuel trop intense peut provoquer des irritations au niveau du vagin qui se manifestent par des brûlures , des sensations de gêne ou d'inconfort ou de sécheresse ", explique le Dr Bagot.
• Si les brûlures se répètent ou persistent, consultez rapidement un médecin généraliste ou un gynécologue qui pourra en déterminer l'origine et vous prescrire un traitement adapté (antibiotique, antifongique ...). Les irritations après un rapport sont généralement bénignes et sont souvent dues à une sécheresse vaginale, mais peuvent parfois être le signe d'une vaginite (inflammation causée par la présence d'une bactérie ou d'un champignon), d'une IST ou d'une intolérance à un produit chimique (lubrifiant, préservatif, spermicide, gel douche...). 

Anaïs Thiébaux

Mis à jour le 26/11/19 18:05


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Source : Guide familial des symptômes sous la direction du Dr André H. Dandavino - Copyright Rogers Media, 2005.
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Publié par Dr Philippe Presles , le 31/05/2001 à 02:00
Pourtant, les symptômes qui affectent la vulve et le vagin ne sont pas toujours attribuables à une vaginite à champignons, surtout s'ils sont récidivants.
Vaginite à champignons ou à Candida (infection dite "à levures")
Caractérisée par une irritation et une rougeur de la vulve, avec démangeaisons et pertes anormales, généralement épaisses et collantes, parfois accompagnées d'odeurs. Fréquente chez les femmes qui prennent des antibiotiques et chez celles qui souffrent de diabète mal maîtrisé, elle est de cause inconnue chez la majorité des femmes. Cette infection n'est pas considérée comme une infection sexuellement transmissible (IST) et traiter le partenaire ne changera pas le taux de récidive chez les femmes. Lorsque la vaginite est récidivante, il s'agit plutôt d'un trouble immunitaire local ; cela indique que le système immunitaire du vagin (seulement du vagin et pas du reste du corps) est défaillant.
Vaginose bactérienne (infection du vagin la plus fréquente)
Caractérisée par une odeur de poisson qui devient encore plus nauséabonde après les rapports sexuels. Une irritation survient également lors des rapports sexuels. La vaginose bactérienne n'est pas non plus une IST et elle n'est pas contagieuse. Traiter le partenaire ne changera pas le taux de récidive.
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