Une assistante sexy tringlée par le patron

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Une assistante sexy tringlée par le patron
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Une assistante dentaire de l’Etat d’Iowa (Etats-Unis) a été licenciée pour avoir mis en danger le mariage de son patron et a déposé un recours pour discrimination devant la Cour suprême de son Etat.
La plainte de la jeune femme a été rejetée en début de semaine par la Cour suprême de l’Etat d’Iowa, le plus haut niveau de juridiction.
Melissa Nelson jeune assistante dentaire vient d’être déboutée de sa demande de poursuites contre son ancien patron, qui l’aurait renvoyée parce qu’il la trouvait “trop sexy” et mettait en danger son mariage.
“Je suis dévastée” a t-elle déclaré en apprenant le rejet de sa plainte.
Melissa Nelson a travaillé dix ans aux côtés du dentiste James Knight, qu’elle dit avoir considéré comme un père et un “homme d’intégrité”.
Mariée et mère de famille elle s’est vue reprocher au cours de la dernière année, ses vêtements trop moulants et son employeur a commencé à se plaindre de la passion gqu’il éprouvait pour elle.
L’épouse du dentiste a découvert des SMS.
Melissa Nelson a toujours décliné les avances de son patron qui aurait évoqué la rareté des rapports sexuels de son employée, affirmant que “c’était comme avoir une Lamborghini dans son garage et ne jamais la conduire”.
Le dentiste aurait finalement décidé de licencier son assistante, considérée comme “une grande menace” pour son mariage après que son épouse ait découvert des SMS échangés entre lui et Melissa Nelson.
La Cour suprême de l’Iowa, a estimé que si ce renvoi n’était pas juste, il ne constituait pas pour autant une discrimination interdite par la loi.
L’avocat du dentiste James Knight a estimé que la décision de la Cour suprême de l’Iowa permettra “aux employeurs de licencier les employées cherchant à exciter la jalousie de leurs épouses”.
De son côté l’avocat de la jeune femme licenciée à ironisé, et déclaré que “les femmes devraient commencer à travailler en Burqa , de peur que leurs employeurs les trouvent trop attirantes”.
La Cour suprême de l’Iowa qui a tranché dans ce litige est uniquement composée d’hommes.
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Laurence, 45 ans, a suivi les travaux de la petite maison de vacances qu’elle a achetée avec son mari, à Royan. Elle s’y est rendue régulièrement pendant plus de quatre mois, mais pas seulement pour surveiller le chantier…
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Quand l’entrepreneur est parti de chez nous ce jour-là, Daniel, mon mari, m’a dit : « Eh bien, ma Lolo, ce chantier, il est pour toi. Tu le voulais, tu l’as eu ! » Cela faisait des semaines qu’on révisait les devis et, une fois d’accord avec l’entreprise, j’étais soulagée. Il me faudrait me rendre sur place seulement une fois par semaine pour surveiller les travaux de gros œuvre que nous avions lancés. Toiture, maçonnerie, plomberie, tout était à refaire. Je m’étais organisée en conséquence avec le dentiste dont je suis l’assistante et, chaque semaine, je quittais Tours le jeudi matin pour revenir en fin de journée. Heureusement, sur place, j’avais mon amie Chantal, avec qui j’avais prévu de déjeuner lors de mes visites, histoire de joindre l’utile à l’agréable. Les travaux démarraient bien mais, un jeudi, quand je suis arrivée, j’ai vu débarquer de nouveaux ouvriers, l’entrepreneur, M. Jobert, m’apprenait qu’il venait de changer son équipe de maçons.
Parmi eux, un jeune homme, visiblement étranger, ne parlant pas un mot de français et peu enclin à se mêler aux autres. Pendant les pauses, il se mettait à l’écart et jouait avec son téléphone. Agé d’une trentaine d’années, il avait une carrure d’armoire à glace et des muscles à se damner. J’avais beau m’intéresser au laïus de l’entrepreneur, mon regard dérivait toujours vers le magnifique maçon. Un jour, je me suis approchée de lui pour lui offrir une bière qu’il a acceptée sans dire un mot, en posant sur moi des yeux doux. « Vous ne parlez pas français ? » Il a secoué la tête. « Do you speak english ? » Il a opiné en me laissant comprendre qu’il se débrouillait mieux en anglais. Il s’appelait Vislav, il arrivait de Cracovie, il comptait rester quelques mois en France.
Nos échanges étaient très limités, mais, au fil des jeudis, j’avais pris l’habitude de venir lui parler quelques minutes. Sans pudeur, il retirait son T-shirt devant moi, me découvrant un torse superbe, sculpté comme celui d’un athlète. Mais, immanquablement, M. Jobert, l’entrepreneur, rappliquait et nous interrompait. Au cours du mois d’avril, M. Jobert m’a appelée pour me dire que, le jeudi suivant, il ne pourrait pas être sur place, mais que je ne devais pas m’inquiéter, tout allait pour le mieux. Qu’à cela ne tienne, ce jeudi-là, je me suis préparée pendant des heures avant de prendre la route en oubliant d’acheter les bières rituelles. Et quand je suis arrivée, le beau Vislav était là, œuvrant comme toujours avec application. « No beer today ? » a-t-il demandé en souriant d’un air malicieux. Il a déposé ses outils et m’a fait signe de le suivre.
Une fois que nous sommes arrivés près de son scooter, il m’a tendu un casque et je suis montée derrière lui. Je me demandais où mettre mes mains et, je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je les ai posées sur ses hanches. Je portais une robe de printemps, j’avais les jambes nues, l’humeur légère. A son tour, il a posé ses mains sur les miennes et les a placées sur son dos. Dans la foulée, j’ai collé ma joue sur son T-shirt qui sentait l’enduit et la sueur. Une odeur qui m’a emportée. Jamais je n’avais senti le corps d’un homme de cette façon, la puissance virile à l’état pur. Nous avons acheté des bières à l’épicerie du village, sans nous dire un mot, tous les deux troublés par le trajet de l’aller et, au moment de reprendre le scooter, il m’a enlacée. Je disais non, non, mais je me laissais faire, me serrant davantage contre lui, me délectant du désir qui montait entre nous. Au lieu de reprendre le chemin de la maison, il nous a emmenés dans un sous-bois. Il s’est déshabillé, un spectacle d’une beauté inouïe, m’invitant à m’allonger sur son T-shirt et son jean. J’ai obéi, comme envoûtée.
Et nous avons commencé à faire l’amour sans nous parler. Je l’entendais gémir, prononcer quelques mots de polonais auxquels je ne comprenais évidemment rien, tout en prenant les choses en main avec une douceur et une détermination merveilleuse. Le monde a fondu autour de moi alors que Chantal m’attendait pour le déjeuner. Mon portable sonnait dans tous les sens mais je ne répondais pas. J’ai ce jour-là éprouvé un plaisir physique d’une intensité que je ne connaissais pas. Un orgasme digne des plus grandes scènes de cinéma. Une heure plus tard, nous sommes repartis vers la maison et, devant le portail, j’ai reconnu la silhouette de Chantal. « J’étais morte d’inquiétude ! Où étais-tu passée ? » a-t-elle demandé avant de réaliser que je descendais du scooter de Vislav et de comprendre la situation. Vislav s’est éloigné et je suis restée devant Chantal à bredouiller des mots inconséquents, tout à mon trouble. « T’as perdu la tête ou quoi ? Tu couches avec les ouvriers maintenant ? Qu’est-ce qui t’arrive, Lolo ? – Je ne sais pas, Chantal, c’était juste… incroyable », ai-je répondu. Elle s’est contentée de sourire et m’a fait monter dans sa voiture où je lui ai raconté ce qui s’était passé.
A partir de ce jeudi-là, Chantal a couvert mes ébats. Elle m’a même autorisée à dire à M. Jobert qu’elle avait de menus travaux à faire chez elle et que Vislav pourrait s’en acquitter pendant l’heure du déjeuner. N’y voyant que du feu, M. Jobert a gentiment répondu que ça ne lui posait pas de problème, au contraire, que ça permettrait à son ouvrier de gagner un peu de sous puisqu’il venait de débarquer et qu’il en avait plus besoin que les autres. Alors, avec Vislav, à l’heure du déjeuner, nous enfourchions son scooter et nous partions faire l’amour dans les bois. C’était court mais c’était chaque fois plus sauvage et plus délicieux. Notre manège a ainsi duré jusqu’à la fin des travaux. Nous ne parlions presque pas, c’était un contrat tacite entre nous, un pur jeu érotique.
Le dernier jour, quand M.Jobert a livré le chantier, mon mari m’avait accompagné. Les nouvelles réalisations l’enchantaient, il me félicitait, complimentait M. Jobert et, pendant qu’il lui signait ses derniers chèques, je me suis éclipsée pour aller dire au revoir à Vislav. J’étais triste, quelque chose s’arrêtait mais j’avais vécu une expérience divine. Je me suis exprimée en français tout en sachant qu’il ne comprendrait rien. « Merci, Vislav, c’était magique, cette maison restera marquée par cette magie, et je ne t’oublierai jamais. » Il m’a répondu dans sa langue et, à l’intonation, j’ai senti que c’était tendre et gentil. Ce fut notre dernier échange. Chantal n’a jamais trahi mon secret mais, chaque fois qu’elle vient nous rendre visite, elle se débrouille pour me glisser dans un sourire : « La maçonnerie de cette maison, quelle réussite ! Heureusement qu’on a les maçons polonais. Ça, c’est du savoir-faire.»
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