Une asiatique va savonner une bite

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Une asiatique va savonner une bite

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J’aimerais vous raconter ma premiùre fois dans un salon asiatique.
Je m’appelle Martin, j’ ai la petite trentaine, cĂ©libataire depuis peu, j’expĂ©rimente car plusieurs annĂ©es de mariage m’ont sacrĂ©ment frustrĂ© 

Je ne souhaite plus m’engager mais essayer de nouvelles choses, me faire plaisir sans supporter toutes les contraintes de la vie Ă  deux. Un jour, je me suis dĂ©cidĂ© Ă  passer le cap et Ă  aller me faire faire un massage Ă©rotique dans un salon asiatique. C’est une devanture bizarre que j’ai souvent croisĂ©e, rose et grise, avec de grandes vitres noires et opaques. Il y en a beaucoup dans la capitale, mais ce salon de massage-lĂ  m’a toujours un peu hantĂ©.
De temps en temps, une vieille asiatique au ventre gonflĂ© fumait sa clope devant la porte. Je n’avais jamais pensĂ© Ă  y mettre les pieds avant que le patron ne lance, un beau jour : « Et si quelqu’un allait se faire masser dans un salon thaĂŻlandais ? »
J’ai hĂ©sitĂ©, pensĂ© Ă  rien et me suis portĂ© volontaire quand mon cerveau a interprĂ©tĂ© ce vide comme un « oui ».Il a d’abord fallu attendre que ma situation financiĂšre me permette de m’offrir cette belle aventure, les prix de ce salon s’ouvrent sur des sommes Ă  trois chiffres. AprĂšs, j’ai dĂ» me dĂ©cider. En quelques requĂȘtes bien placĂ©es sur Google, j’avais compris que la lĂ©gende de la finition Ă©tait bel et bien fondĂ©e.
Le tout a Ă©tĂ© d’accepter que j’allais effectivement me faire branler par une thaĂŻlandaise aux mains huilĂ©es. Ça m’a pris quelques mois, je suis sensible. MalgrĂ© tout, je peinais Ă  y croire vraiment .Et puis je me suis retrouvĂ© face Ă  cette porte de verre noir. Il faut sonner. J’appuie, j’attends, j’entends des pas de pieds nus sur du parquet et on m’ouvre. Une asiatique d’une trentaine d’annĂ©es m’invite Ă  entrer d’un geste, elle a les joues percĂ©es d’acnĂ©, un dĂ©bardeur rose pĂąle de petite fille et un mini short. Elle referme. Il fait trĂšs sombre et ça sent bon. Elle me demande ce que je veux dans un français presque incomprĂ©hensible ; ce sera le plus petit prix de la carte, une demi-heure de massage. Il faut payer d’abord, c’est 100 euros.
Elle me lance un « merci chĂ©ri » trĂšs Ă -propos en comptant les billets et me pousse derriĂšre une porte coulissante. C’est une toute petite chambre, peut-ĂȘtre 4mÂČ. La lumiĂšre est basse et rouge. À droite, il y a un lit recouvert de papier, comme chez le mĂ©decin. À gauche, sur une petite table, des corbeilles avec des madeleines en sachets individuels et des bonbons Ă  la menthe. Il y aussi une bouteille en plastique blanc. Je devine que la patronne me demande si je veux boire quelque chose : un thĂ©, un cafĂ©, un jus de fruit, un coca. Je refuse, elle ne dit rien et part en faisant coulisser la porte derriĂšre elle. Ici, on se fout que ce soit ta premiĂšre fois.
Je prends un bonbon et je me demande ce que je suis sensĂ© faire. Me dĂ©shabiller, bien sĂ»r ; sur le lit il y a une serviette. Je fais le piquet pendant une minute et j’enlĂšve mon sweat. Finalement, je me retrouve Ă  poil. Je mets le bout de tissu verdĂątre autour de ma taille en pensant Ă  toutes les fois oĂč il a Ă©tĂ© lavĂ© avant d’arriver lĂ . On toque Ă  la porte, c’est une jeune femme. Elle est nue, cachĂ©e derriĂšre une serviette identique Ă  la mienne.
C’est celle qui va me masser. Elle a mon Ăąge, peut-ĂȘtre un peu plus. Elle ne parle pas trĂšs bien français, elle s’adresse Ă  moi avec les yeux et les mains en formant un mot unique : « douche ». On sort de la chambre pour faire quelques pas vers l’intĂ©rieur du salon et atterrir dans une piĂšce fourre-tout Ă©clairĂ©e crĂ»ment. Il y a une trĂšs grosse machine Ă  laver, des piles de linge, une tĂ©lĂ©vision cathodique Ă©teinte sur son meuble et, en face, un canapĂ© avec deux jeunes femmes dedans. Je leur jette un petit signe de tĂȘte auquel elles ripostent en souriant. Elles sont Ă  portĂ©e de vue d’un petit renflement qui sert de salle de bain. La douche leur est dissimulĂ©e par un mur. La piĂšce est un peu plus grande que la chambre. Il y a du carrelage brun au sol et sur les murs, un miroir et un lavabo. Je remarque quelques brosses Ă  dents dans un verre posĂ© sur une petite Ă©tagĂšre. Tout est impeccable, les vitres de la cabine de douche sont si immaculĂ©es qu’elles ont l’air d’ĂȘtre neuves. J’entre dans le bac, la masseuse enlĂšve nos serviettes et me rejoint. Elle a de petits seins et un peu de ventre, pas assez pour cacher la bande de poils trĂšs noirs qui marque son pubis. Premier contact entre les chairs, je n’essaye mĂȘme pas de cacher ma bite. Je me sens vide et calme, comme si j’étais sur le point d’adresser mes premiers mots Ă  un nouveau psy.
La masseuse joue du mitigeur avec des gestes prĂ©cis ; la tempĂ©rature de l’eau est parfaite au premier essai. Elle le sait ou elle s’en fout, parce qu’elle ne me demande pas si ça me convient. Elle garde la tĂȘte baissĂ©e. Sachant qu’elle m’arrive Ă  la poitrine, je vois moins son visage que ses cheveux sombres et volatiles quand elle braque la pomme de douche sur moi. Deux points bien prĂ©cis sont visĂ©s : ma queue et mon cul, on ne perd pas le nord. Comme chez le coiffeur, je m’adapte tant que possible Ă  sa routine quand elle commence Ă  me savonner. Je baisse les Ă©paules, je lĂšve les bras, je tourne un peu sur moi-mĂȘme. Ses gestes sont lĂ©gers. Finalement, ses mains descendent jusqu’à mon sexe. Je laisse venir un dĂ©but de trique mousseux. Rinçage.
En me sĂ©chant, je suis gĂȘnĂ© Ă  l’idĂ©e de repasser devant le canapĂ© et ses occupantes. Du coup, je dissimule au mieux mon demi-barreau dans ma serviette. Tout ça pour rien, elles sont parties toutes les deux. Retour dans la chambre. La porte coulisse, les serviettes glissent Ă  nouveau, je m’allonge sur ma bite. La tempĂ©rature est agrĂ©able, le lit et l’oreiller aussi. La masseuse laisse couler un peu d’huile sur ma jambe gauche et la pĂ©trit vaguement de bas en haut dans une caresse grasse et sans affection. MĂȘme traitement indolent pour ma jambe droite.
Ça dure plusieurs minutes, c’est long, je suis tendu et je commence Ă  m’ennuyer. Et puis ses mains remontent, cette fois elles appuient, elles agrippent, elles malaxent, mĂȘme, et fort ; mes fesses ont droit Ă  bien plus d’énergie que mes jambes. Ça me plaĂźt assez, j’arrĂȘte enfin de retenir ma respiration. Malheureusement, ça ne dure pas. Quand elle glisse ses mains luisantes dans ma raie pour me caresser de l’anus jusqu’au pĂ©rinĂ©e en effleurant mes couilles par-ci par-lĂ , je me tends un peu. Elle le sent et laisse tomber mon cul pour remonter vers mes Ă©paules et mes bras, qu’elle masse comme mes jambes, avec des gestes lents et lassĂ©s de travailleuse Ă  la chaĂźne. MĂȘme mode opĂ©ratoire pour le dos. Je ricane intĂ©rieurement en me disant que des Ă©tudiantes m’ont massĂ© mieux que ça. Jusqu’ici elle Ă©tait restĂ©e debout. LĂ , elle m’enjambe. J’ai la tĂȘte dans l’oreiller mais quelques bruits visqueux me font deviner qu’elle s’enduit d’huile.
Elle s’incline ; je tourne un peu la tĂȘte, elle est Ă  quatre pattes au-dessus de moi. Son ventre tombe, il est gras et plissĂ© comme celui d’une femme distendue par une grossesse. Je sens ses tĂ©tons frĂŽler mes fesses et puis mon dos, jusqu’aux Ă©paules. ArrivĂ©s lĂ , ils disparaissent sous ses petits seins chauds. Elle s’est Ă©crasĂ©e contre moi, contact total, elle monte et descend en expirant profondĂ©ment par la bouche. Son haleine pue l’ail. Plus ou moins consciemment, je calque ma respiration sur la sienne. PlaquĂ© lĂ , emportĂ© dans le rythme qu’elle m’impose, je perds un peu les pĂ©dales : on m’avait dit qu’il ne fallait jamais toucher mais ma main droite agrippe le creux de son genou. Retardataire, je demande si je peux ?
Elle ne capte pas un mot, elle se laisse faire, elle continue ses allers-retours, alors je remonte vers ses fesses. Elles sont petites et fermes, je m’y cramponne d’autant plus fort. Son souffle s’accĂ©lĂšre alors le mien aussi. Nouveau changement de position. Elle se relĂšve, me tourne le dos et s’accroupit au-dessus de moi. Je n’ai pas le temps de comprendre qu’il va bien se passer ce que je pense qu’elle plaque son cul contre le mien. La voilĂ  assise sur moi, de tout son poids. Tout en souplesse et en quadriceps tremblants sous l’effort, elle frotte ses fesses jusqu’à mes Ă©paules et redescend, ainsi de suite. Tout ça me semble furieusement anti-Ă©rotique, je suis embarrassĂ© et Ă  nouveau tendu, j’en perds ma trique. Elle se relĂšve une derniĂšre fois et m’explique avec quelques gestes et beaucoup d’onomatopĂ©es qu’il est temps de me mettre sur le dos. Je m’exĂ©cute alors qu’elle s’empare de la bouteille d’huile. Elle en rĂ©pand sur mon aine et le haut de mes cuisses, mais pas sur mon sexe rougi et brĂ»lant d’avoir Ă©tĂ© tant Ă©crasĂ© au cours des vingt derniĂšres minutes. Nouvelles caresses indolentes. Une petite partie de moi m’empĂȘche encore de croire au grand final ; quelle naĂŻve.
La masseuse pose son torse en travers de mes cuisses. Ma bite est Ă  quelques centimĂštres de son visage, je me remets Ă  bander. Finalement, elle l’attrape en douceur et l’enserre pile comme il faut, ni trop peu, ni trop fort. Son geste est tellement sĂ»r, je me sens comme le mitigeur de la douche. AppliquĂ©s sur ma queue, ses va-et-vient gras et mous font enfin sens. Pas de prologue en douceur, le rythme est immĂ©diatement soutenu, elle se remet Ă  souffler fort. Les sensations dĂ©boulent en un quart de seconde et je suis Ă  ce point inondĂ© d’huile qu’aucun frottement cuisant ne vient leur faire obstruction. Cette fois c’est elle qui synchronise ses gĂ©missements sur les miens.
Elle se redresse et frotte mon sexe contre ses seins en me regardant droit dans les yeux. Je sens ses tĂ©tons durs sur ma queue qui raidit encore, je commence Ă  avoir vraiment chaud. Le rythme s’accĂ©lĂšre, sa main s’enrobe de plus en plus fort autour de mon gland Ă  chaque aller-retour. Je sens l’orgasme se gorger dans les trĂ©fonds de mon bassin, je lutte un peu, pas trĂšs longtemps. Je ne rattrape plus ma cervelle. J’ai peur de lui gicler en plein visage, elle est trĂšs proche, tant pis. Tous mes muscles se tendent une bonne fois pour toutes. C’est intense mais piteux. Je garde un Ɠil ouvert malgrĂ© la dĂ©charge, trop inquiet Ă  l’idĂ©e d’éjaculer lĂ  oĂč il ne faudrait pas. Elle ne sursaute pas et continue Ă  me branler de plus en plus doucement, gentiment, sa routine est rodĂ©e jusqu’au bout. C’était trop court Ă  mon goĂ»t mais j’expire enfin. PremiĂšre phrase intelligible de la masseuse : « C’est fini ? » Je souffle « oui » en pensant Ă  la pauvre serviette verte. Je lui demande son prĂ©nom, elle rĂ©pond « Kim ».
AprĂšs m’avoir laissĂ© respirer en essuyant le sperme de mon ventre et de ses seins, la masseuse me guide vers la douche. Cette fois j’y reste seul et je m’y nettoie Ă  l’eau froide, rapidement. Mes vĂȘtements enfilĂ©s, je me dirige vers la porte. « Kim » a disparu, il n’y a plus personne oĂč que ce soit. Je reste plantĂ© devant la sortie pendant quelques secondes ; comme un couillon, j’attends que quelqu’un vienne et me dise au revoir, merci, quelque chose. Je comprends finalement que ça ne fait pas partie du service et je m’en vais.
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Article mis Ă  jour le 19/08/22 11:20

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