Une asiatique consacrée au plaisir

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Quel que soit le pays ou le continent, Occident inclus, la sexualité a toujours été une affaire de mâles dominants, consacrée à leur plaisir, au détriment souvent de femmes soumises. Le patriarcat, « maladie de l’humanité », comme le nomme Philippe Brenot, bien que, de moins en moins en première ligne, influence encore les comportements intimes.
C’est forcément la première représentation de la sexualité qui s’impose lorsque l’on parle de ce pays. Un symbole de sensualité ? C’est, comme l’explique le spécialiste, un manuel de savoir-faire, réservé aux hautes castes au temps des maharadjahs, pour savoir comment un homme doit séduire, assurer en toutes circonstances, et surtout comment une femme doit se comporter afin de le satisfaire : « Avec ses préceptes amoureux, ses positions, son érotisme, il s’imposait dans les palais où les nantis s’ébattaient sans retenue et où les courtisanes délicates comme des fleurs s’offraient et étaient légion. Mais, au sein du peuple, la majorité des femmes ont toujours subi les pulsions masculines rustres et brutales. »
Une différence de taille qui, aujourd’hui encore, influence le comportement de ces Indiens autrefois appelés hindous. Pour le plus grand nombre, en effet, pauvreté et inculture sévissent. « Et quand la sexualité rime avec dénuement, elle est souvent sommaire, sans intimité réelle, parfois imposée, voire violente » , poursuit-il. Alors, même si le pays s’est mondialisé, même si la sensualité est de plus en plus véhiculée par le cinéma et les médias, l’accès à la culture de l’érotisme n’est pas encore une évidence pour tous. C’est pourtant le premier Etat, en 2014, à avoir officialisé un troisième genre, ni homme, ni femme, ou les deux à la fois. « Eunuques et transsexuels ont toujours été reconnus et protégés en Inde. Une tradition qui remonte à cinq mille ans. C’est nous, Occidentaux, qui manquons sans doute de recul », sourit le psychiatre.
Dans l’imaginaire collectif ne restent de ces mille deux cent cinq contes, écrits et remaniés au fil des siècles par des hommes et conçus pour eux, une fois encore dans des milieux privilégiés, que de belles histoires. « La partie émergée de l’iceberg, insiste Philippe Brenot, car la plupart de ces contes parlent d’une sexualité terrible, où meurtres, viols, vengeance, déviances… rythment les pages. » Les femmes, bien sûr, y sont fourbes, infidèles, et la gent masculine dominante et juge suprême. A contrario, d’autres aventures décrivent le corps des femmes, leur plaisir et leurs orgasmes, avec une volupté et une sensualité extrêmes.
Depuis, les mœurs ont évolué, les représentations sont, certes, moins caricaturales, ou antinomiques, mais, dans les faits, certains interdits sexuels demeurent. Un baiser dans une voiture peut attirer de gros ennuis, virginité féminine oblige, faire l’amour avant le mariage est puni, l’homosexualité est encore passible de la peine de mort dans certains pays, selon Philippe Brenot : « Alors, dans une société où tout ou presque est stigmatisé, la culture du secret sévit. Et les jeunes générations se débrouillent comme elles le peuvent. Elles donnent le change et jouent le jeu en se cachant, en présentant un certificat de virginité. »
Le continent africain comprend plus de deux mille ethnies et presque autant de cultures différentes, affectant la sexualité, qui ont évolué et varié au fil des siècles. Virginité prénuptiale, homosexualité, pratiques orogénitales… l’intimité navigue entre liberté et interdits selon son appartenance ethnique. Toutefois, plusieurs préceptes ou coutumes ancestraux communs, et plus ou moins pérennes, sortent du lot et imprègnent les mœurs sexuelles actuelles : la polygamie, la force virile et la magie. « Bien qu’en diminution, l’ensemble de l’Afrique est polygame. Avoir plusieurs femmes est un symbole de puissance, de virilité et de prospérité », explique le psychiatre.
Côté masculin, pour assurer, voire se dédouaner lors d’un incident de parcours, et se démarquer des autres. Côté féminin, pour être l’élue d’un jour ou d’une vie, la magie, experte en philtres d’amour, aphrodisiaques ou sorts jetés, est une alliée de taille. « C’est encore très présent dans la vie sexuelle actuelle. Pour faire succomber une personne indifférente, être à la hauteur ou, au contraire, expliquer une panne virile, ou un membre “riquiqui”, ces traditions persistent chez les jeunes gens. » Marabouts, sorciers et guérisseurs n’ont pas dit leur dernier mot !
La sexualité dans le Céleste Empire va se développer, entre autres, sous l’influence de cette philosophie qui mène à l’harmonie de l’âme, du corps et de l’esprit. En amour, l’homme « yang » – encore lui – puise son énergie et s’en nourrit dans la femme « yin » – ou plutôt plusieurs et fréquentes concubines – en la faisant jouir à l’envi, sans éjaculer. Le but : multiplier les conquêtes, afin d’en sortir renforcé, puissant, viril comme il se doit et immortel.
Et les mots pour en parler sont teintés de poésie, de métaphores et d’images précieuses. « Mais ça, c’était avant la domination mandchoue de 1644 à 1912, puis l’avènement de Mao en 1966, qui portent un coup d’arrêt à cet érotisme ancestral, réservé encore et toujours aux classes dominantes. Depuis, si les Chinois ont pour la plupart bravé ces interdits, ils ont laissé des traces », précise Philippe Brenot.
La vie sexuelle est aujourd’hui plus libre. L’univers de la pornographie est présent, mais la prostitution est sévèrement punie. De plus, la politique de l’enfant unique, appliquée entre 1979 et 2015, et les avortements sélectifs pour éliminer les futures petites filles ont déséquilibré le quota femme-homme, selon le psychiatre : « Résultat : des millions de frustrés sexuels se désespèrent de rencontrer une partenaire et plus si affinités… »
La culture de l’érotisme et de la jouissance féminine sont les fondements de la sexualité nippone. Palanquins coquins, godemichés, boules de geisha, estampes suggestives, les jeux amoureux regorgent d’originalité. Ils sont inspirés par la Chine et le taoïsme aussi, sont répandus autant parmi la noblesse que le peuple, et les Japonaises connaissent une longue période de plaisirs sensuels et sexuels. Le tout est mêlé de poésie et de beauté.
« Changement radical quand, au XII siècle, les samouraïs disent stop !, poursuit-il. Misogynes, guerriers prônant le combat, la virilité et l’homosexualité, les femmes deviennent des “ventres”. » Exit les pratiques douces et raffinées, place au shibari (bondage), l’art d’attacher pour abuser de la gent féminine et jouir de leur humiliation. Une pratique bien connue des sadomasochistes.
Mais ce n’est pas cette dernière pratique qui prédomine aujourd’hui. « Ni la grande culture de l’érotisme originelle, relate le médecin. Les jeunes générations, sous l’influence américaine et occidentale de l’après-Seconde Guerre mondiale, s’abreuvent de revues et de films érotiques et pornographiques, et prônent le culte de la masturbation . » Où, pudeur oblige, et c’est paradoxal, les organes génitaux sont floutés. Une forme de timidité poussée à l’extrême que l’on retrouve dans la vie intime. « Les Japonais en couple montrent peu d’intérêt pour le sexe partagé. Un tiers n’a pas fait l’amour depuis un an », relève-t-il. Et Philippe Brenot d’ajouter en guise de conclusion : « Les poupées d’amour , les bars et hôtels exhibitionnistes à câlins et à fellations pallient le manque affectif des hommes, et les “host clubs”, avec play-boys de compagnie, celui des femmes. » Ce qui traduit un réel désarroi sentimental et sexuel.

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La plupart des gens ont eu l’occasion d’admirer des estampes japonaises pleines de vie et de subtilité, même quand ils ne connaissent pas bien l’art de ce pays. Mais les maîtres les plus connus du « monde flottant » ( ukiyo ) ne se sont, bien souvent, pas contentés de représenter des lieux célèbres et des scènes et de la vie rurale et urbaine de l’Archipel sur leurs estampes. On leur doit aussi des shunga (littéralement « images de printemps ») qui consistent en des scènes de sexe pour le moins explicites. Ces estampes érotiques pleines de passion et d’humour sont aussi, dans bien des cas, satiriques.




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Le British Museum de Londres a organisé une exposition intitulée « Shunga : Sex and Pleasure in Japanese Art », qui a été inaugurée en octobre 2013 et jusqu’au début janvier 2014. Dans les lignes qui suivent, l’écrivain Tony McNicol donne un aperçu de cette manifestation consacrée à l’art érotique japonais, qui connaît un énorme succès.
Soir d’automne, La bécasse, Le bec pris dans une palourde, Ne peut s’envoler. (Yadoya no Meshimori)
Tim Clark, le conservateur du British Museum responsable de l’exposition Shunga : Sex and Pleasure in Japanese Art
Voilà le poème que l’on peut lire sur l’éventail de l’un des protagonistes d’une des « images de printemps » ( shunga ) exposées à Londres (voir ci-dessous, illustration n° 3). On le doit à Yadoya no Meshimori (1753-1830), un poète de la fin de l’époque d’Edo (1603-1868) spécialisé dans les kyôka (« vers fous »), un genre qui parodie allègrement les poèmes de style classique japonais notamment par le biais des jeux de mots. Le visiteur a vite fait de se rendre compte que les estampes érotiques du British Museum n’ont pas grand-chose à voir avec la pornographie.
« Je crois que les gens sont surpris par la beauté, l’humour et même l’humanité de ces scènes de sexe très réalistes », explique Tim Clark, le conservateur du musée responsable de l’exposition.
Une des œuvres qu’il préfère parmi les cent soixante-cinq shunga présentés au public, c’est une série de douze impressions sur bois de Torii Kiyonaga (1752-1815). Les corps enlacés des amants en pleine action sont admirablement dessinés (voir ci-dessus, illustration de la bannière), avec un sens de la composition et du cadrage si aigu que le regard du spectateur en est captivé.
Tim Clark avoue qu’il a une admiration toute particulière pour « la sensibilité et le raffinement des graveurs et des imprimeurs de planches xylographiques » qui ont réalisé les estampes à partir des images dessinées par Torii Kiyonaga.
1- Torii Kiyonaga (1752-1815) / Sode no maki (Rouleau de peinture pour la manche) Estampe érotique ( shunga ). Impression sur bois. Encre de Chine rehaussée de couleurs. (1785) Les amants au tissu rouge. Un homme et une femme s’étreignent et s’embrassent passionnément, les yeux fermés. Ils sont entièrement nus, à l’exception d’un linge rouge, qui ne cache pas grand-chose. Le format tout en longueur et le cadrage contribuent grandement à la beauté de l’image. Rien ne permet de dire quel est le statut social des deux protagonistes ou le type de relation qu’ils entretiennent.
L’exposition du British Museum consacrée aux shunga est l’aboutissement d’un projet de recherches qui a débuté en 2009 et mis à contribution trente collaborateurs. L’objectif de ce projet était de « passer en revue l’ensemble des œuvres et d’en faire une étude critique », précise Tim Clark.
Environ 40 % des estampes érotiques exposées font partie des collections du British Museum qui a commencé à faire l’acquisition de shunga dès 1865. La plupart des autres œuvres proviennent du Centre International de recherches pour les études japonaises (Nichibunken) de Kyoto.
Tim Clark définit les shunga comme une forme d’« art sexuellement explicite » où « l’art » occupe une place prépondérante. « En Occident, il n’existait pas, jusqu’à une époque récente, de forme d’expression à la fois réaliste sur le plan sexuel et d’une grande beauté du point de vue de l’art », ajoute-t-il. Au Japon en revanche, la plupart des grands maîtres de l’estampe se sont adonnés à l’art des shunga .
2- Nishikawa Sukenobu (1671-1751) /Estampe érotique ( shunga ). Impression sur bois rehaussée de couleurs, sur fond vert. (1711-1716) Scène de séduction entre un homme et une jeune femme avec, à l’arrière-plan, un luth japonais à trois cordes ( shamisen ). Le Museum of Fine Arts de Boston possède une œuvre identique, à ceci près qu’elle est dépourvue de couleurs.
Le catalogue de l’exposition précise que les premières estampes érotiques japonaises ont été réalisées avec des matériaux de grande qualité. Les shunga étaient soigneusement conservés et se transmettaient de génération en génération. D’après des documents de l’époque, un rouleau de peinture érotique coûtait soixante pièces ( monme ) d’argent, une somme qui correspondait alors à trois cents litres de haricots de soja.
Les shunga étaient très recherchés et pas seulement pour leur caractère érotique. Il étaient en effet censés donner un surcroit de courage aux guerriers avant la bataille et servir de talisman contre le feu.
Les estampes érotiques faisaient aussi office de manuel d’éducation sexuelle pour les jeunes couples. Et on pense que bien des femmes aimaient à regarder ce genre d’images, même si celles-ci étaient toujours conçues et réalisées par des hommes.
3- Anonyme (début du XVIIe siècle) /Rouleau de peinture érotique ( shunga ). Encre de Chine, couleurs, et poudre d’or et d’argent sur papier, avec application de feuille d’or et d’argent. Tiré d’une série de douze rencontres érotiques. Un homme d’âge mûr et une jeune femme sont étroitement enlacés. À droite, une autre femme ajuste la couverture qui recouvre en partie le corps des amants.
Une grande partie des couples représentés sur les shunga donnent l’impression d’être profondément épris et d’éprouver un plaisir sexuel partagé. « Ils sont très étroitement liés au monde ordinaire », ajoute Tim Clark. « Les scènes de sexe se déroulent souvent dans le cadre de la vie quotidienne, entre mari et femme. »
L’« image de printemps » qui se trouve à l’entrée de l’exposition du British Museum est emblématique à cet égard. Il s’agit d’une œuvre de Kitagawa Utamaro (1753-1806) intitulée Utamakura (Poème-oreiller) qui met en scène deux amants élégamment vêtus, installés au premier étage d’une maison de thé. Ils sont étroitement enlacés, les yeux rivés l’un sur l’autre. Le kimono retroussé de la femme laisse entrevoir sa croupe.
4- Kitagawa Utamaro (1753-1806) Utamakura (Poème-oreiller) /Estampe érotique ( shunga ). Impression sur bois rehaussée de couleurs. (1788) Illustration (n° 10) tirée d’une série de douze estampes réunies dans un album. Chaque estampe est montée séparément. Sur l’éventail que tient l’homme, on peut lire le poème de Yadoya no Meshimori qui figure au début de cet article.
5- Kawanabe Kyôsai (1831-1889)/Deux rouleaux de peinture érotiques ( shunga ) faisant partie d’un triptyque satirique. Encre de Chine et couleurs sur papier. (1871-1889). Collection Israel Goldman.
Mais beaucoup des « images de printemps » ne se limitent pas à une simple scène de sexe représentée de façon réaliste. À preuve les parties génitales de taille démesurée et les situations cocasses qu’on y voit bien des fois. Les shunga tiennent souvent à la fois de l’estampe érotique et du genre des « images satiriques » ( warai-e ).
Au début de l’ère Meiji (1868-1912), Kawanabe Kyôsai (1831-1889), à qui l’on doit de nombreuses estampes caricaturales, a peint un triptyque composé de trois rouleaux dont celui de gauche montre un couple en pleine action, vu de l’arrière. Au premier plan, un chat malicieux lève la patte en direction des parties génitales de l’homme. On imagine la suite…
« En fait, j’aurais aimé pouvoir rire beaucoup plus franchement devant un grand nombre de ces images », avoue Jess Auboiroux après avoir visité l’exposition, un dimanche après-midi. « Mais pour une raison ou une autre, la foule qui avait envahi les lieux était plongée dans une sorte de rêverie… une réaction bien loin de celle que les auteurs de ces œuvres attendaient du public ».
L’humour des shunga peut être aussi bien décapant que grivois. Comme la plus grande partie de la culture populaire de la période d’Edo et l’art érotique de l’époque moderne, les « images de printemps » font souvent preuve d’un esprit de rébellion.
« Les auteurs de shunga se sont emparés de pans entiers de la culture japonaise comme l’art et la littérature et ils les ont parodiés non seulement pour se divertir mais aussi à des fins politiques plus sérieuses », précise Tim Clark.
Les manuels d’éducation morale à l’usage des femmes version shunga sont tout à fait exemplaires à cet égard. Parfois, les parodies sexuelles réalistes ressemblent tellement à l’œuvre originale qu’on a l’impression qu’elles ont été réalisées par le même auteur et le même imprimeur. Elles devaient en tout cas provenir d’un milieu similaire.
Mais quand l’esprit satirique des estampes érotiques est allé trop loin, il s’est fait rapidement sanctionner par la censure. En 1722, les shunga ont été déclarés illégaux, ce qui a entravé leur production pendant vingt ans. Par la suite, la répression a continué mais sans jamais réussir à faire disparaître les « images de printemps ». Le genre des estampes érotiques a même profité de son statut semi-clandestin pour aller encore plus loin dans la satire. Un grand nombre de ces œuvres font preuve d’une imagination et d’une audace stupéfiantes.
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