Une artiste de la masturbation

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Une artiste de la masturbation
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par Djinnzz ·
Publication 19 janvier 2014 · Mis à jour 21 janvier 2014
Quiconque s’intéressant de près ou de loin à l’œuvre de Salvador Dalí a déjà croisé le Grand Masturbateur au détour d’une de ses toiles. La figure est reconnaissable entre toutes: un visage étrange aux cils démesurés et au nez énorme évoquant bien évidemment l’artiste lui-même. La forme est d’ailleurs inspirée de celle d’un rocher existant réellement dans la région natale de l’artiste, près du Cap Creus en Espagne.
« Le Grand Masturbateur » … Pourquoi donc ce nom? Serait-ce à cause de la forme du nez qui pourrait aisément servir de sex-toy aux plus imaginatifs d’entre nous? (Ne riez pas, c’est la première chose qui me soit venue à l’esprit la première fois que j’ai vu l’œuvre!) Non, vous vous en doutez, la vraie raison est loin d’être aussi triviale. Le peintre avait peur des femmes et disait à qui voulait l’entendre qu’il avait régulièrement recours à la masturbation (du moins, avant sa rencontre avec Gala, le grand amour de sa vie).
La tête est donc en train de rêver, d’imaginer une scène pour alimenter son plaisir autosuffisant. Les yeux fermés, elle imagine une scène de sexe torride faisant fantasmer l’artiste, matérialisée derrière le crâne dans le coin supérieur droit de l’œuvre. La bouche féminine se prépare, gourmande, à pratiquer une fellation à son partenaire qui reste pourtant désespérément au repos… contrairement au pistil de l’arum qui se dresse fièrement entre les seins de l’amante!
La sensualité de la scène contraste fortement avec d’autres éléments du tableau autrement moins excitants! Les cuisses de l’homme sont meurtries et pleines de sang, le visage féminin lui-même possède des veines inquiétantes et surtout une immense sauterelle, apparemment en putréfaction si on se réfère à la multitude de fourmis qui couvre son abdomen, a élu domicile juste sous le nez du Grand Masturbateur.
Le Grand Masturbateur, Salvador Dali, 1929, Huile sur toile, 110 cm x 150 cm. Madrid, Museo nacional centro de arte Reina Sofia.
Au sol, les personnages évoquent la jeunesse compliquée de Salvador Dalí et ses relations conflictuelles avec son père. Un homme tient le corps d’une femme morte en putréfaction, référence à la mort douloureuse de sa mère. Plus loin, un homme marche seul vers l’horizon, sans doute un moyen allégorique d’évoquer le remariage du père de l’artiste avec sa tante, la sœur de la propre mère de Salvador Dalí, qui ne sera jamais accepté par l’artiste. Un remariage qui fait d’ailleurs directement référence à un épisode de la Bible durant lequel Onan est obligé par les lois ancestrales de se remarier à la femme de son défunt frère. Refusant de donner un enfant à sa nouvelle épouse, il se retire au dernier moment lors de leurs étreintes « laissant sa semence se perdre dans la terre » (Genèse, 38,9). De là viendra le terme « onanisme » synonyme de plaisir solitaire.
Désir sexuel, angoisse, pourrissement, peur de la mort, souvenirs douloureux,… Tout est là. Pas étonnant que la figure du Grand Masturbateur soit un leitmotiv omniprésent dans l’œuvre de Dalí!
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Créateur et rédacteur d' EtaleTaCulture
 par Djinnzz · Published 9 novembre 2013
 par Djinnzz · Published 2 décembre 2013 · Last modified 3 décembre 2013
 par Djinnzz · Published 8 novembre 2013 · Last modified 9 novembre 2013
Vous avez disséqué ce tableau de Dali comme un médecin légiste de grande renommée l’aurait fait sur sa table de travail ! Bravo ! En ce qui me concerne, je ne suis pas très fort en peintures. Je savais tout de même que Dali avait désigné la Gare de Perpignan comme le centre du monde !! Peut-être voyait-il là, non pas un centre mais un point de départ ? C’est sans garantie ! Bravo pour votre travail toujours passionnant et merci !
« Serait-ce à cause de la forme du nez qui pourrait aisément servir de sex-toy aux plus imaginatifs d’entre nous? »
Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre! Il faut vraiment avoir l’esprit tordu pour avoir envie de s’enfoncer le nez de Dali dans le c**! 😆 Mais je vous l’accorde, Salvador Dali fait partie de ces artistes qu’il faut connaître en profondeur pour pouvoir commencer à apprécier la qualité des œuvres.
« Plus loin, un homme marche seul vers l’horizon, sans doute un moyen allégorique d’évoquer le remariage du père de l’artiste avec sa tante »
Oui, enfin bon… D’un simple gars qui marche dans le désert, je ne vois pas bien comment vous arrivez à cette conclusion.
Une oeuvre envoutante, onirique. Je ne connais pas du tout les tableaux de Dali, hormis les plus connus du genre la pendule qui fond. Il va falloir que je rattrape le temps perdu, moi 😈
Je rajouterais que je n’imaginais même pas que l’on puisse représenter un acte profondément obscène et pornographique comme la fellation d’une manière aussi subtile, si poétique, si… excitante!
comme toujours: tout n’est que question d’interprétation …….
tout d’abord je dois préciser que etc est pour moi de loin ce qu’il y a de plus divertissant dans l’ensemble, cela dit, globalement les articles de djinnzz sont d’un grand intérêt, mais là …..
prenons l’exemple (pour la question d' »interprétation ») sigmund freud, de qui on sait qu’il prenait quotidiennement des doses de cocaïne à tuer un cheval, ne faisait en fait qu’extérioriser ses propres pathologies. (personnellement je préfère de loin gustav jung (plus pragmatique)).
autre exemple: les allemands ont pour coutume de désigner chaque année une ville qui célèbrera ce qu’ils appellent « die bundesgartenschau » (la revue fédérale des jardins). une ville (pforzheim pour ne pas la nommer) fit placer à l’entrée 2 tubes de 15 mètres de hauteur plantés dans le sol, ce qui a valu la modique somme de 200.000€ (honoraire de l’artiste). pour ainsi dire de la m**de en boîte. or un journaliste (article affiché au pied de « l’œuvre d’art ») a interprété cette sculpture comme des aiguilles d’acupuncture pour guérir la terre! là je me suis dis que la sculpture est certes à ch**r, mais que la VRAIE œuvre est en fait l’article ……
et je pourrais vous citer moultes exemples de cette sorte, mais je ne veux pas ennuyer la galerie.
quoi qu’il en soit, il suffit d’une bonne rhétorique, d’un peu d’éloquence et personne n’ose contredire, d’après le modus vivendi: « people! eat shit! ’cause 100 billion flies can’t be wrong! » (peuple! bouffe de la m**de! car 100 milliard de mouches ne peuvent pas se tromper!)
autant pour l’interprétation. dali que je considère de loin comme le meilleur peintre de tous les temps, à surtout souvent provoqué …. (je vous assure que je sais de quoi je parle pour lui avoir parlé une fois lors d’un vernissage à paris). si l’anecdote vous intéresse: je me baladais et j’ai vu une table où était posé un chaudron plein de goudron et de la vaisselle blanche. je n’y ai pas prêté trop d’attention et continuée ma promenade. une 1/2heure plus tard je repasse et je vois dali comme un hurleur de marché gueuler à la foule: « messieurs, dames, vous pensez de la m**de, vous faites de la m**de, et maintenant vous allez en bouffer! » et il trempa les pièces de vaisselle une par une dans le goudron et hurla: « c’est 100 Francs la pièce! » et ce fut vendu plus rapidement qu’il n’en faut pour le dire (et cela sans aucune signature). cependant je lui ai lancé un regard qu’il a soutenu, et croyez-moi, il s’est passé quelque-chose. 30 minutes plus tard, j’entends derrière moi quelqu’un hurler: « 100 Francs pour celui qui me dit où sont les chiottes! » je me retourne et qui vois-je? eh oui! salvatore en personne. je lui ai indiqué le chemin mais ai renoncé au 100 balles, résultant d’une arnaque! il m’a fait promettre de l’attendre pour parler. cet hurluberlu était doté d’une intelligence très fine et analytique et il m’a appris à bien tailler mes pinceaux, ce qui a nettement amélioré mes œuvres par la suite.
Lisez « Le grand M », de Richard Texier aux éditions Gallimard.
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Lea Cardinal

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mer. 03 février 2021


à 11h38



- Mis à jour le mer. 03 février 2021 à 14h44


Ce mardi 2 février, Anne-Elisabeth Lemoine a reçu de nombreux artistes sur le plateau du Grand Échiquier. Parmi eux, la chanteuse Yseult, qui s'est confiée sur la masturbation féminine. Un sujet auquel ne s'attendait pas l'animatrice, qui ne s'est pas laissée perturber pour autant.
C'est une chanteuse qui est connue pour être cash. Ce mardi 2 février, Anne-Elisabeth Lemoine a reçu Yseult, parmi de nombreux autres artistes, dans l'émission Le Grand Échiquier diffusée sur France 2. Après avoir interprété son titre Indélébile, la jeune femme est venue rejoindre l'animatrice pour échanger avec elle durant quelques minutes. Très vite, Anne-Elisabeth Lemoine a complimenté la tenue de son invitée. " Ces gants sont dingues!" , s'est exclamée l'animatrice. Et la chanteuse de rebondir : "En latex, on aime ! On aime ça, c'est pour me toucher le soir tranquillement dans ma chambre " , a lâché Yseult, face à l'animatrice surprise et gênée. " Ah oui ? D'accord ok... " , a-t-elle rétorqué, étonnée par cette confidence coquine.
"Ben bien sûr ! Ben attendez, masturbation féminine, on est là" , a affirmé Yseult, sans tabou. "On y va!", a renchéri Anne-Elisabeth Lemoine, qui a tenté de changer de sujet : "J'adore vos tenues. À chaque fois que je vous vois sur un plateau de télévision, je suis époustouflée. Je rêverais de m'habiller comme vous Yseult ! Je n'ose pas ! Les gants, je n'aurais pas osé" , a confessé l'animatrice de France Télévisions. Flattée, la chanteuse de 26 ans a tenu à remercier son équipe : "Franchement, j'ai fait ça un peu à la dernière minute. Je dirais surtout que j'ai une équipe de feu."
Si elle affiche une confiance et une assurance sur scène ou dans les médias, il arrive parfois à Yseult de douter, comme elle l'a confié sur le plateau du Grand Échiquier : "On fait un métier où on est super exposés. Si je devais vraiment parler pour moi, ce n'est vraiment pas évident d'être exposée ainsi parce que j'ai un corps qui ne rentre pas dans les normes. J'ai des périodes où je prends beaucoup plus de poids, j'ai des périodes où je me sens bien, j'ai des périodes où je me sens belle, j'ai des périodes où je me déteste et je fais un métier où je vis tout ça en permanence et en public" , a expliqué Yseult, qui a avoué se reconnaître en Dalida . Une femme forte dans la lumière, qui peut se montrer plus vulnérable une fois dans l'ombre.
Crédits photos : Capture d'écran France 2
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Elke Krystufek (née en 1970 à Vienne ) est une artiste contemporaine autrichienne . Elle travaille à Vienne et à Rotterdam . Son œuvre, très souvent marquée par la sexualité , suscite parfois de vives polémiques.

Dans les années 1990 , Elke Krystufek a étudié à l’ Académie des Beaux-Arts de Vienne , notamment sous la direction du peintre Arnulf Rainer . Elle subit l’influence d’ Egon Schiele et de l’ actionnisme viennois , qui étaient déjà préoccupés par les questions de la sexualité.

Elke Krystufek utilise plusieurs médiums : photographie , vidéo , dessin , installations , performances . Mais son activité artistique reste centrée sur elle-même, son visage, son corps, son sexe. C’est finalement l’artiste, qui, par sa présence, constitue et unifie l’œuvre créée.

En 1994 , à la Kunsthalle de Vienne , Elke Krystufek fait installer une salle de bain, d’un blanc clinique. Elle y offre au spectateur une séance de masturbation , avec ses doigts, des vibromasseurs ou des godemichets . En 1995 , dans une vidéo intitulée Wreckage , elle épile son sexe, notamment à l’aide de bandes de cire. En 1997 , dans Share the night , elle se fait filmer par un de ses partenaires et l'attire dans ses jeux érotiques.

Les critiques hésitent à se prononcer sur son travail. La masturbation renvoie à un processus d’érotisation qui efface les frontières entre l’art et la pornographie ; mais cela reflète aussi une tendance du monde contemporain où les images sexuelles sont de plus en plus présentes et de plus en plus facilement accessibles, par la télévision , par la vidéo , par Internet . L’épilation, elle, joue-t-elle sur le même registre ? Elle présente au public des gestes intimes, qui vont peut-être à l'encontre de la séduction.

Dans tous les cas, le corps est montré avec la plus totale liberté, en effaçant la barrière qui sépare la sphère privée de la sphère publique. L’intimité est exhibée, ce qui est jugé par certains comme de la provocation mais correspond aussi à une tendance lourde de notre société m
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