Une argentine excitée à l'école

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Publié le 2012-09-05 | lenouvelliste . com
Devenu centre d’hébergement de familles sinistrées du séisme de 2010, cet établissement public se trouve, deux ans après, dans une situation alarmante. Au camp de l’école nationale de la République d’Argentine, situé dans le quartier de Sans Fil (centre ville de Port-au-Prince), les habitants ne cessent d’exprimer leurs préoccupations tout en exhortant les responsables du ministère de l’Education nationale à prendre des mesures afin que cette école retrouve son autonomie avant la prochaine rentrée scolaire.
Deux des six salles de classe sont hébergées sous des structures préfabriquées qui commencent à être délabrées. Dans la cour, le voisinage immédiat ne sont que les tentes de bâche. L’établissement dispose de cinq instituteurs seulement, le directeur compris, pour les six salles de classe et pour près de 200 élèves. Révélations confirmées par un professeur gardant l’anonymat. La direction de l’école est logée dans un taudis en planche recouverte de tôles usées. Elle n’a ni buffet ni chaise, uniquement une table de fortune. Les latrines fournies dans le temps pour le camp se partagent entre déplacés et élèves. « Des fois, on retrouve des enfants qui font leurs besoins à l’air libre », raconte le professeur. Pour lui, pas la peine de démarrer la nouvelle année académique avec ces difficultés. Il demande à l’Etat haïtien de nommer à l’école nationale de la république d’Argentine d’autres professeurs et de relocaliser l’établissement dans un endroit décent. Toutefois, il reste perplexe quant à la perspective d’une école de qualité en Haïti.
« Comment exiger une bonne note à un enfant qui ne peut même pas s’asseoir convenablement », déclare Jeanne Almonor, mère de deux enfants dont l’un fréquente l’école nationale d'Argentine. Au regard de madame Almonor, la cohabitation constitue un handicap à la recherche de l’idéal; car les enfants subissent les effets pervers de cette situation qui perdure encore. Les tentes contournent le reste du bâtiment de l’école. Une promiscuité qui nuit gravement, fait remarquer Junior, élève en 5e année fondamentale. Cet adolescent de douze ans explique qu’à plusieurs reprises, son professeur a dû abandonner la classe, car les prises de gueule des déplacés du camp empêchent de dispenser des cours. Toutefois, il reconnaît que les gens n’ont aucun autre endroit pour se loger. Pour lui, le mieux serait de louer une maison avec une grande cour pour établir les locaux de l’école, car, pour cette année, il ne souhaiterait pas revivre certaines mauvaises expériences. « Ici, des enfants de cinq ans sont assis aux côtés de camarades qui en ont quinze », confie-t-il.
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Devenu centre d’hébergement de familles sinistrées du séisme de 2010, cet établissement public se trouve, deux ans après, dans une situation alarmante. Au camp de l’école nationale de la République d’Argentine, situé dans le quartier de Sans Fil (centre ville de Port-au-Prince), les habitants ne cessent d’exprimer leurs préoccupations tout en exhortant les responsables du ministère de l’Education nationale à prendre des mesures afin que cette école retrouve son autonomie avant la prochaine rentrée scolaire.
Deux des six salles de classe sont hébergées sous des structures préfabriquées qui commencent à être délabrées. Dans la cour, le voisinage immédiat ne sont que les tentes de bâche. L’établissement dispose de cinq instituteurs seulement, le directeur compris, pour les six salles de classe et pour près de 200 élèves. Révélations confirmées par un professeur gardant l’anonymat. La direction de l’école est logée dans un taudis en planche recouverte de tôles usées. Elle n’a ni buffet ni chaise, uniquement une table de fortune. Les latrines fournies dans le temps pour le camp se partagent entre déplacés et élèves. « Des fois, on retrouve des enfants qui font leurs besoins à l’air libre », raconte le professeur. Pour lui, pas la peine de démarrer la nouvelle année académique avec ces difficultés. Il demande à l’Etat haïtien de nommer à l’école nationale de la république d’Argentine d’autres professeurs et de relocaliser l’établissement dans un endroit décent. Toutefois, il reste perplexe quant à la perspective d’une école de qualité en Haïti.
« Comment exiger une bonne note à un enfant qui ne peut même pas s’asseoir convenablement », déclare Jeanne Almonor, mère de deux enfants dont l’un fréquente l’école nationale d'Argentine. Au regard de madame Almonor, la cohabitation constitue un handicap à la recherche de l’idéal; car les enfants subissent les effets pervers de cette situation qui perdure encore. Les tentes contournent le reste du bâtiment de l’école. Une promiscuité qui nuit gravement, fait remarquer Junior, élève en 5e année fondamentale. Cet adolescent de douze ans explique qu’à plusieurs reprises, son professeur a dû abandonner la classe, car les prises de gueule des déplacés du camp empêchent de dispenser des cours. Toutefois, il reconnaît que les gens n’ont aucun autre endroit pour se loger. Pour lui, le mieux serait de louer une maison avec une grande cour pour établir les locaux de l’école, car, pour cette année, il ne souhaiterait pas revivre certaines mauvaises expériences. « Ici, des enfants de cinq ans sont assis aux côtés de camarades qui en ont quinze », confie-t-il.
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EDUCATION - Pour les professeurs, capter l'attention des élèves est un défi permanent, et chacun y va de sa méthode. Certains projettent des films, d'autres font venir des intervenants... Debby Heerkens, professeur de biologie aux Pays-Bas, a quant à elle choisi de se déshabiller. Mais pas de panique, il y a un objectif pédagogique en-dessous.
Exit le traditionnel squelette en plastique. Pour faire découvrir l'anatomie du corps humain à ses élèves du lycée Groene Hart, Debby Heerkens a préféré utiliser son propre corps, revêtu pour l'occasion de trois combinaisons particulièrement révélatrices. La première représentait ainsi le squelette humain, la seconde les muscles et la dernière les organes.
"Au début, les élèves étaient un peu choqués parce qu'ils pensaient "le professeur est en train d'enlever ses vêtements". Jusqu'à ce qu'ils voient ce qu'il y avait en dessous", explique le professeur à la chaîne de télévision américaine CNN. Si la technique est peu orthodoxe, elle a cependant été approuvée par le directeur de l'établissement et devrait avoir suffisamment marqué les élèves pour qu'ils retiennent l'emplacement d'au moins quelques os et organes.
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