Une anale bien crue

Une anale bien crue




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Une anale bien crue
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Ça peut vous sembler incroyable, mais mon oncle est plus jeune que moi. Il est nĂ© quand j'avais deux ans. Ma grand-mĂšre, elle-mĂȘme maman de deux filles de 21 et 24 ans, tomba enceinte par surprise Ă  l'Ăąge de 46 ans. Car ce fut vraiment une surprise. Elle s'Ă©tait crue mĂ©nopausĂ©e, ses rĂšgles ayant disparues depuis pratiquement une annĂ©e. La nature se plaĂźt Ă  jouer avec les ovaires des femmes mĂ»res et une grossesse se dĂ©clara qu'il lui fallut bien accepter. Mon tonton, bien que pourvu de deux sƓurs, eut un statut d'enfant unique et il fut Ă©levĂ© comme tel, pourri, gĂątĂ© jusqu'Ă  la moelle, cernĂ© par un arĂ©opage de femmes.

Il fut mon compagnon de jeu pendant toutes les vacances scolaires jusqu'à ce que j'atteigne mes 15 ans ùge auquel, suivant mes parents dans leur carriÚre professionnelle, je partis pour le Canada. DÚs lors, nous vécûmes séparés, nous retrouvant seulement l'été en Europe ou en Amérique une fois sur deux en alternance. L'histoire que je vais vous narrer a eu lieu en juillet dernier chez ma grand-mÚre à Guétary.

PrĂšs de la frontiĂšre espagnole, cette petite ville de pĂȘcheurs s'est muĂ©e en station balnĂ©aire qui accueille beaucoup de touristes pendant la pĂ©riode estivale. Ma grand-mĂšre y a une villa situĂ©e juste sur le front de mer. Les rochers font des avancĂ©es qui s'Ă©tirent loin dans l'ocĂ©an, avec des anfractuositĂ©s propices Ă  la bronzette intime. Des couples s'y installent tout nus pour s'y hĂąler en toute quiĂ©tude et parfois pour s'y amuser. Curieux comme l'on est Ă  cet Ăąge, dĂšs mes 14 ans j' y allais avec mon tonton, en voyeurs. Nous revenions rarement bredouilles. Il ne se passait guĂšre de jours sans qu'on prenne en flagrant dĂ©lit des bites insolemment dressĂ©es et nous nous branlions en duo. Cela n'allait jamais plus loin. Une fois le sperme crachĂ©, nous prenions un bain sur la plage puis rentrions Ă  la villa pour une partie de baby-foot. Or, ce dernier mois de juillet il en alla tout autrement.

Mais avant que de continuer, une prĂ©sentation s'impose. Je suis Fabien, j'ai 19 ans. J'ai un visage plutĂŽt mince fendu par une bouche grande mais sensuellement dessinĂ©e sous un nez Ă©troit, aquilin. Je ne suis donc pas trĂšs beau. Heureusement mon corps le compense car je suis parfaitement gaulĂ©. Quand le me promĂšne sur la plage, les regards convergent sur moi et sur la bosse de mon calbute, lequel est abondamment garni. J'ai en effet une grosse bite et je me masturbe souvent. Je n'ai pas de petite amie, ça viendra peut-ĂȘtre ou bien non. Je n'ai pas encore trouvĂ© ma voie.

Tonton Louis est trĂšs diffĂ©rent. Ses traits sont finement dessinĂ©s, ce qui le classe parmi les beaux gosses, et sa silhouette de 17 ans, celle d'un ado fin et gracile, Ă©merge tout juste de l'enfance. Il a une petite queue bien raide que je branle depuis plusieurs jours et il a l'air d'adorer ça. Elle mesure 13cm, ce qui n'est quand mĂȘme pas beaucoup pour un garçon de 17 ans. Peut-ĂȘtre que le maternage qu'il a subi toute sa vie a bloquĂ© son dĂ©veloppement. Mais comme il jouit abondamment, cela ne lui soucie pas vraiment. Il voudrait que je l'appelle Louis, moi j'adore l'appeler Tonton parce que ça surprend et intrigue. Il a une copine Ă  Bayonne qui lui suce quelquefois la bite. Pour autant, ma main sur sa queue ne le rebute pas, au contraire, car il pense que ce n'est qu'un jeu. D'autres garçons l'ont masturbĂ©, ça ne lui pose aucun problĂšme et mĂȘme il en est plutĂŽt fier. La convoitise des jeunes l'excite et il voit ça comme un tribut Ă  sa jolie petite gueule d'ange.

Un aprĂšs-midi nous poussĂąmes jusqu'Ă  l'extrĂ©mitĂ© des rochers, conduits par notre voyeurisme. Nous n'avions rencontrĂ© personne car le temps Ă©tait incertain et la menace de l'orage dissuadait sans doute les nudistes malgrĂ© la chaleur Ă©touffante. Nous Ă©tions prĂšs de revenir quand sous une dalle en surplomb, nous entendĂźmes un bruit Ă©trange. DissimulĂ©s derriĂšre un roc, nous vĂźmes un bandant spectacle. AllongĂ©s sur la mĂȘme serviette, deux garçons, en 69, se pompaient avec Ă©nergie. Ils pouvaient avoir 25 ans, comme en tĂ©moignaient leurs corps sveltes et leurs visages dĂ©jĂ  virils ombrĂ©s d'une barbe de trois jours. Tous deux coiffĂ©s d'une courte brosse, ils ressemblaient Ă  des jumeaux. MĂȘme fessier rond et poilu, mĂȘmes Ă©paules noueuses et fermes, mĂȘme nuque tondue, au poil sombre ; oui c'Ă©taient bien des jumeaux. Quand ils changĂšrent de position et se retrouvĂšrent face Ă  face pour se rouler une pelle au jus, je vis leurs pĂ©nis identiques. Encore bandĂ©s, luisants de sperme, ils Ă©taient longs et peu Ă©pais dressĂ©s sur leurs pubis rasĂ©s.

Nous nous éloignùmes en silence et ne prononçùmes pas un mot jusqu'au retour à la villa. Ce soir-là, Louis vint dans ma chambre. Ce n'était pas son habitude car il aimait se retrouver seul pour jouer sur son ordinateur.

— J'arrĂȘte pas de penser Ă  ces mecs, me dit-il d'une voix altĂ©rĂ©e. Ils sont beaux et vachement bandants. C'est autre chose que la branlette de se sucer en 69. T'as pas envie qu'on fasse comme eux ?

— Doucement, Tonton. Je sais qu'on est sexuellement majeurs, mais ça serait un pur inceste. Et qui te dit que tu m'intĂ©resses ? Si ça se trouve je suis hĂ©tĂ©ro mĂȘme si je n'ai jamais eu de chatte.

— Ta queue parle pour toi, Fabien. Tu bandes que c'est un plaisir ! Allez, sors-la moi, ta grosse bite. Au moins, laisse-moi la sucer si tu n'as pas envie de la mienne.

Tonton se mit Ă  genoux, baissa mon calbute sur mes chevilles. Mon chibre de 19cm avait jailli sous l'Ă©lastique et se dressait, majestueux. Louis l'avait masturbĂ© souvent et mĂȘme pas plus tard qu'hier en revenant de la baignade. À ce stade on pouvait encore se la jouer et dire qu'on s'amusait entre potes, comme beaucoup d'adolescents. Mais s'il me prenait dans sa bouche une Ă©tape serait franchie pour un voyage sans retour. Étant l'aĂźnĂ©, je me devais de l'informer de cette limite.

— C'est bon, c'est bon, rĂ©pondit-il quand je lui exposai mes craintes. Je vais te pomper rien qu'une fois, juste pour expĂ©rimenter. Si ça se trouve, ça ne me plaira pas et on reviendra Ă  nos branlettes. Qu'est-ce ça coĂ»te d'essayer ?

Sur ces mots, il saisit mon chibre et l'avala gloutonnement. Il faut un commencement à tout, mais ce début fut un désastre. Louis m'égratigna salement et je me retirai de sa bouche en glapissant comme un putois.

— Mais qu'est-ce que tu me fais là, Tonton ? Tu me la suces pas, tu la manges. Putain, mais fais donc attention !

— DĂ©solĂ©, me rĂ©pondit-il, je vais rentrer mes dents, promis.

— T'as intĂ©rĂȘt parce que sinon, je vais me retrouver infirme. Si elle est trop grosse pour toi, trouve-toi une petite quĂ©quette qui soit mieux Ă  ta dimension.

— T'inquiùte, j'ai compris la leçon, je vais te faire un fourreau bien doux en n'utilisant que mes lùvres.

Et il fit comme il avait dit. Il m'enveloppa ma grosse pine avec davantage de douceur, mais il pompait maladroitement et quelquefois une incisive me rùpait, ne fût-ce que légÚrement. Enfin, ce n'était pas le Pérou, il y aurait des progrÚs à faire. Je résolus de m'impliquer.

— Baisse ton slip, je vais te montrer.

J'Ă©tais aussi novice que lui car ce serait ma premiĂšre pipe, mais ses erreurs m'avaient instruit. S'il avait arrondi ses lĂšvres, il ne m'aurait pas massacrĂ©. Comme il avait une petite queue, avec un peu d'habiletĂ© je ne lui ferais aucun mal et du mĂȘme coup il apprendrait. Il faut bien que jeunesse se passe, pensai-je du haut de mes 19 ans. Je le renversai sur mon lit. Me couchant tĂȘte-bĂȘche contre lui, je pris sa petite bite bien raide et la fourrai dans mon gosier en Ă©cartelant mes mĂąchoires, mais j'avais vu tellement grand que je lui effleurai le sexe sans le serrer comme il fallait. Ce fut Ă  son tour de gueuler.

— Putain Fabien, mais j'hallucine ! J'ai pas besoin d'une porte de grange, je veux juste une bouche pour me pomper.

Bon, j'étais aussi nul que lui, mais continuant à nous sucer comme les jumeaux des rochers, nous parvßnmes à nous ajuster, lui en ouvrant grand ses mùchoires et moi en les rétrécissant. BientÎt la pression fut correcte, il ne nous restait plus qu'à synchroniser la succion. Tonton pompait comme une machine, mon tempo à moi était lent, ce qui faisait un décalage dans l'élaboration du sperme. Mon sexe, pris dans le maelström de cette fellation infernale, déchargea donc précocement et je lui inondai la gueule. Il avala et, tout surpris, déclara :

— C'est pas mauvais, sucrĂ© salĂ© comme les sauces de maman. Et maintenant, c'est Ă  mon tour de te balancer la purĂ©e.

Mais j'avais joui et mon désir disparaissait comme par magie. Tant pis pour le zob de Tonton. Pas question de le garder en bouche alors que j'avais débandé.

— Branle-toi, tu vas cracher bientît. Quant à moi, je file à la douche.

Je n'entendis pas ses insultes parce que j'étais déjà parti.

Le lendemain, vers les 16h, nous reprĂźmes machinalement notre marche sur les rochers, espĂ©rant trouver, comme la veille, l'excitation du voyeurisme. HĂ©las, sous le surplomb rocheux, il n'y avait ni mecs ni bites et nous fĂ»mes cruellement déçus. La marĂ©e lĂ©chait le plateau oĂč s'Ă©tait trouvĂ©s la serviette et les deux gars qui se pompaient. Quels idiots nous Ă©tions, vraiment ! Consulter l'horaire des marĂ©es, ce n'Ă©tait pourtant pas sorcier. Il nous fallait chercher plus haut, lĂ  oĂč la mer n'atteignait pas. En rebroussant notre chemin, nous aperçûmes une caverne que nous n'avions pas explorĂ©e car elle s'ouvrait sur l'ocĂ©an, tournant le dos Ă  la levĂ©e. Elle faisait un amas de rocs perpendiculairement Ă  la digue, sĂ©parĂ©e d'elle par le jusant. On n'y accĂ©dait qu'Ă  la nage ce qui rendait l'endroit secret car pratiquement inaccessible.

— Je parie que les jumeaux sont lĂ , dit Tonton dĂ©jĂ  excitĂ©. Allez mon neveu, on y va !

Il plongea dans l'eau Ă©cumante et l'imitant, je m'Ă©lançai. Il ne nous fallut que quinze brasses pour aborder au terre-plein qui formait la base de la grotte. Petite, elle semblait un Ă©crin destinĂ© Ă  quelque sirĂšne. Nos deux sirĂšnes Ă©taient bien lĂ , sous la forme plus masculine de deux jumeaux qui s'enculaient. Sortant Ă  peine la tĂȘte de l'eau, nous admirĂąmes le spectacle. L'un des garçons, Ă  quatre pattes, tendait son postĂ©rieur pommĂ© Ă  la pine qui le bourrait. En un mouvement rĂ©gulier, elle le labourait tranquillement. Parfois elle sortait du cul pour s'y renfoncer aussitĂŽt, rigide comme une barre Ă  mine. L'enculĂ©, tout Ă  son plaisir, avait la tĂȘte relevĂ©e. Son regard disait le bonheur d'avoir le sexe de son frĂšre dans la moiteur de ses entrailles. Sa queue bandĂ©e entre ses jambes pointait oblique contre son ventre. Il ne la branlait mĂȘme pas et dĂ©diait toute son attention Ă  ce que son sphincter dilatĂ© Ă©trangle convenablement le chibre qui le dĂ©fonçait. Son partenaire, pour le bourrer, lui avait enserrĂ© la taille de ses deux mains jointes en cerceau, et en regardant son visage, je voyais le sosie l'autre.

Leurs traits Ă©taient fins et virils, leurs yeux, sous les sourcils arquĂ©s, brillaient d'une concentration intense, due Ă  l'amour qui les liait autant qu'Ă  leur imbrication charnelle. Ils n'Ă©taient qu'un Ă  cet instant. Comme le ventre maternel avait couvĂ© leurs embryons, la grotte semblait l'utĂ©rus qui protĂ©geait leurs corps adultes, les ressoudant comme des fƓtus dans leur Ă©treinte prĂ©natale. Maintenant leurs bouches se joignaient et leurs langues, de mĂȘme que leurs sexes, les pĂ©nĂ©traient intimement. Le monde extĂ©rieur, disparu, laissait place Ă  un monde Ă  deux, indemne de toute intrusion. Pourtant deux intrus Ă©taient lĂ  et qui les mataient sans vergogne. Entre les rochers Ă  fleur d'eau situĂ©s Ă  l'entrĂ©e de la grotte, Tonton et moi, exorbitĂ©s, contemplions les deux amants qui, emboĂźtes Ă©troitement, s'enculaient avec tant de passion. Nos tĂȘtes Ă©mergeaient Ă  peine, mais nos queues, sorties du maillot, bandaient collĂ©es contre la roche et nous nous frottions comme des chiennes sur le granit recouvert d'algues.

Les jumeaux avaient inversĂ© leur rĂŽle. L'enculĂ© bourrait Ă  prĂ©sent le cul de son alter ego avec fougue et avec tendresse, car chez des jeunes de 25 ans, l'une n'exclut pas toujours l'autre. AppuyĂ© contre la paroi, son frĂšre disait : "Fred, je vais jouir !" lorsque je poussai un grand cri. Une souffrance fulgurante me dĂ©vastait le bas du ventre. Je me prĂ©cipitai hors de l'eau, en gueulant comme un possĂ©dĂ©. Tonton me suivit, affolĂ©, se demandant ce qui m'arrivait. Les jumeaux s'Ă©taient arrĂȘtĂ©s et regardaient interloquĂ©s ces deux mecs surgis de la mer. Leurs bites Ă©taient toujours bandĂ©es. MalgrĂ© leur regard effrayĂ©, leur libido restait intacte. Fred se rendit compte le premier que j'avais pris un crabe aux couilles car moi je ne le savais pas encore. La douleur m'irradiait si fort que je ne songeait Ă  rien d'autre.

— DrĂŽle de façon de pĂȘcher des crabes, dit Fred en Ă©clatant de rire et en me dĂ©signant du doigt. T'en as pris combien jusqu'ici ? Au fait, je ne vois pas ton panier, tu l'as sans doute perdu en route ?

Je baissai les yeux et je vis, Ă  l'endroit oĂč pointait son index, un crustacĂ© qui s'agrippait. Une goutte de sang perlait mais encore plus que la douleur, le ridicule de l'Ă©vĂ©nement m'empourpra violemment les joues. Le jumeau s'Ă©tait accroupi.

— Tu es sacrĂ©ment pincĂ©, me dit-il, va falloir t'amputer d'une couille. Ça ne lĂąche jamais, ces bĂȘtes-lĂ . Dominique, passe-moi ton couteau.

— ArrĂȘte, FrĂ©dĂ©ric, c'est pas drĂŽle.

Dominique, accroupi aussi, me soulevait mon testicule. Ma queue, à moitié débandée, laissait voir la pince fermée sur ma peau piquetée de poils.

— Un beau morceau, s'exclama-t-il, sans prĂ©ciser s'il parlait du crabe ou de la taille de mon sexe. On ne peut rien faire sans couteau.

Il alla chercher un canif dans la poche de son sac Ă©tanche qui comprenait, outre du gel, des kleenex et de l'eau de Vichy, sans compter une boĂźte de capotes. Mais qu'est-ce qu'ils pouvaient bien en faire, vu qu'ils baisaient en mode bareback ? À moins que, en plus du duo, ils se prennent parfois le braquemart d'un homo qui passait par lĂ .

— Bon, on va desserrer l'Ă©tau, dit-il en approchant la lame. Ça va te faire un peu mal, accroche-toi, je dĂ©fonce son cul.

Dominique enfonça la lame à l'arriÚre de la carapace et la remonta en vissant. Mais avant de quitter la vie, le crabe, dans un ultime effort, transperça la peau de ma couille. Je hurlai.

— Ça y est, c'est fini, dit Dominique, jetant le crabe. Putain, il s'est bien dĂ©fendu !

Pendant ce temps, petit Tonton, sans s'occuper de mon épreuve, détaillait les deux jouvenceaux et il n'en croyait pas ses yeux. Leurs bites étaient restées bandées. Fines et longues de 20cm, elles étaient pratiquement pareilles, sauf que celle de Frédéric était circoncise et pas l'autre.

— Un phimosis, dit FrĂ©dĂ©ric, lorsqu'il surprit son regard. C'est notre seule diffĂ©rence mais ça permet Ă  nos amants de distinguer entre nous deux. On ne baise pas seulement ensemble. Vous le savez que nous sommes pĂ©dĂ©s, sinon, qu'est-ce que vous feriez là ? Apparemment vous l'ĂȘtes aussi. Ne me dĂźtes pas que c'est par hasard que vous avez trouvĂ© la grotte ! Ni que c'est aussi par hasard que vous avez la queue toute raide ! Vous nous espionniez, mes salauds, mais on a tellement l'habitude ! Je vous reconnais, c'est vous qui nous regardiez nous pomper hier, Ă  l'extrĂ©mitĂ© de la digue ! Vous croyiez qu'on vous a pas vus ?

— Nous, on est juste des voyeurs, rĂ©pondit Louis, dĂ©sarçonnĂ©. On mate et on se branle en mĂȘme temps. Ça veut pas dire qu'on est homos.

— Ta gueule, Tonton, on est des gays, dis-je en le secouant avec force. MĂȘme qu'on s'est pompĂ©s hier soir. À quoi bon se voiler la face ?

— Ça, c'est pas l'envie qui t'en manque. À voir comme tu mates leurs bites, je te sens tout prĂȘt Ă  essayer.

— Ça te dit, une bite de puceau ? dit FrĂ©dĂ©ric Ă  Dominique. Une bite qui te navigue dans le cul, Ă  l'aise Blaise, sans rien dĂ©foncer ?

— Prends-la si tu veux, moi je prĂ©fĂšre le gros chibre de son copain.

— Je suis pas son copain, je suis son neveu, rĂ©pondis-je avec impatience, c'est pas Ă©vident, je le sais, mais c'est pourtant la vĂ©ritĂ©.

— Sans blague, tu te fous de notre gueule ? C'est carrĂ©ment le monde Ă  l'envers. Si c'est vrai, vous ĂȘtes incestueux tout comme nous. Tu parles d'un quatuor de putes !

— Aussi vrai que je m'appelle Fabien et que mon oncle s'appelle Louis. VoilĂ  les prĂ©sentations faites. Quant Ă  vous, je connais vos noms. FrĂ©dĂ©ric, c'est le petit blagueur, toi Dominique, mon sauveteur. Merci d'avoir sauvĂ© ma couille.

— C'est que vois-tu, j'en aurai besoin si tu me dĂ©fonces la rondelle. J'aime les couilles qui tapent au cul et tant qu'Ă  faire, plutĂŽt deux qu'une. J'ai des capotes XL, si tu veux on se fait un plan. Ton oncle va baiser FrĂ©dĂ©ric, mon frĂšre aime bien les petites queues.

— Petite queue ? Non, mais tu te prends pour qui ? Ma queue est peut-ĂȘtre moins longue mais elle est plus grosse que la tienne !

— Si tu le penses, tant mieux pour toi, mais faudra qu'elle grossisse encore. AmĂšne-toi, mon jumeau t'attend. Vois comme il se met en position. TĂąche de ne pas lui faire saigner le fion avec ton braquemard Ă©norme.

— Connard, dit Louis en s'approchant.

FrĂ©dĂ©ric pointait haut son cul car il Ă©tait Ă  quatre pattes. Tonton s'avança derriĂšre lui tout en se masturbant la bite. Il hĂ©sitait Ă  s'enfoncer mais Fred, reculant d'un seul coup, vint s'empaler, Ă  l'aise Blaise, et commença un va-et-vient, mon neveu restant immobile. Ça amusait bien FrĂ©dĂ©ric d'ĂȘtre un actif Ă  sa maniĂšre, puisque Tonton ne bougeait pas. Car si mon neveu Ă©tait puceau, Fred avait une longue expĂ©rience, ayant baisĂ© avec son frĂšre depuis l'Ăąge de 14 ans, sans compter la branle et les pipes commencĂ©es dĂšs la prime enfance.

Pendant ce temps l'autre jumeau s'Ă©tait abouchĂ© Ă  mon chibre et me pompait comme un expert. Dieu qu'elle Ă©tait bonne sa bouche ! Il y avait de la maĂźtrise, de la douceur et beaucoup de coquinerie. Pour ma deuxiĂšme pipe c'Ă©tait fort ! Rien Ă  voir avec hier soir oĂč Tonton m'avait massacrĂ©. Je dĂ©couvrais les jeux de langue autour du gland, et la souplesse du sphincter buccal, moelleux et ferme en alternance. Trois fois il m'amena tout prĂšs d'Ă©jaculer entre ses lĂšvres mais il sut m'arrĂȘter Ă  temps. Sa queue, lĂ©gĂšrement plus longue que la mienne, avait un petit capuchon brun d'oĂč suintait un filet de mouille. Quand il jugea que j'Ă©tais prĂȘt, il tourna son cul sans rien dire et j'y entrai mon gros mandrin. Sa caverne Ă©tait accueillante, large et humide de sĂ©crĂ©tions. Si vous n'avez jamais fourrĂ© bareback, mes mots ne pourront rien vous dire : on n'exprime pas l'indicible. Dominique s'Ă©tait Ă©largi pour aider Ă  l'intromission mais se referma aussitĂŽt, et alors commença pour moi une expĂ©rience inoubliable. Je me sentis enveloppĂ© par un fourreau doux, veloutĂ©. La voluptĂ© m'envahissait, ma bite ne faisait plus qu'un avec les entrailles de mon mĂąle. Mais au bout d'une minute ou deux, il se dĂ©gagea de mon chibre.

— Mets une capote s'il te plaĂźt. Je ne sais pas ta sĂ©rologie et tu ne connais pas la mienne. Inutile de prendre des risques.

Il avait mille fois raison. Qu'est-ce que nous savions l'un de l'autre ? J'étais un baiseur débutant et lui un baiseur confirmé. Cependant je fus trÚs déçu et ça se vit sur mon visage.

— Faisons une pause. Il faut qu'on parle. Je suis sĂ©ropositif, Fabien. Ça va faire bientĂŽt quatre ans que j'ai chopĂ© cette saloperie, maĂŻs de grĂące aux nouveaux traitements mon virus est indĂ©tectable. En fait je ne suis pas contagieux. Mais par principe je demande Ă  mes partenaires de bien vouloir mettre une capote.

— Clean, archi clean. Pourtant on a baisĂ© les mĂȘmes mecs et on a pris le mĂȘme sperme. Moi seul ai Ă©tĂ© infectĂ©. VoilĂ  notre seule diffĂ©rence, sauf que je ne suis pas circoncis. Le toubib dit que la circoncision peut protĂ©ger du VIH. Si c'est le cas, Fred a eu de la chance de se payer un phimosis. Ceci dit, maintenant on s'en tape, on baise bareback et il est toujours sĂ©ronĂ©gatif. Et toi, t'es clean ou sĂ©ropo ?


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