Une anale après la classe

Une anale après la classe




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une anale après la classe




Domaine concerné




Thérapeutique





Degré d'innovation




Important





Avancement




Recherche clinique





Impact soin




Important





Arrivée dans la pratique




Futur proche





Rédacteur




Docteur Vincent DE PARADES




Une nouvelle classification des fistules péri-anales de la maladie de Crohn : think different !

En 1976, Alan Guyatt Parks (1920-1982), chirurgien au Saint Mark’s Hospital de Londres, publiait son article sur « A classification of fistula-in-ano » dans le British Journal of Surgery.
Cette classification éponyme des fistules est encore utilisée aujourd’hui dans le monde entier. Cependant, l’algorithme de prise en charge des fistules de Crohn n’est pas facilité par cette classification car elle ne prend par exemple pas en compte le niveau d’activité de la maladie et le ressenti des patients. C’est ce qui a poussé un groupe, constitué de gastroentérologues, de chirurgiens, de radiologues experts internationaux et d’un patient, à développer une classification plus pragmatique.

Les fistules péri-anales de Crohn ont ainsi été individualisées en 4 classes : 
Outre les différences en terme de traitement, cette stratification en différentes classes vise à mieux préciser les critères d'inclusion et d’évaluation des essais cliniques. Par exemple, les patients de la classe 1 sont peu concernés par les essais interventionnels en raison du caractère peu symptomatique de leur maladie péri-anale. Les patients de la classe 2a relèvent d’essais dont le critère d'évaluation principal serait l’obturation de la fistule tandis que ceux de la classe 2b ou de la classe 2c-ii relèvent plutôt d’essais dont le critère d'évaluation serait le contrôle des symptômes ou le gain de qualité de vie. Les patients de la classe 3 relèvent d’essais dont le critère d'évaluation principal serait soit le contrôle des symptômes ou le gain de qualité de vie, soit la diminution du risque de survenue des sinus ou des plaies. Enfin, les patients de la classe 4a relèvent d’essais dont le critère de jugement principal serait la fermeture du sinus ou de la plaie tandis que ceux de la classe 4b semblent mieux convenir à des essais dont le critère d'évaluation serait le contrôle des symptômes ou le gain de qualité de vie.
 
Cet article est original et passionnant. En effet, il souligne les limites de nos outils de classement des fistules péri-anales de la maladie de Crohn. Les recommandations françaises, coordonnées par Dominique Bouchard, nous ont proposé des algorithmes intéressants pour guider le clinicien mais cet article nous offre l’opportunité de progresser encore.
Cette nouvelle classification tient compte des paramètres de gravité de la fistule péri-anale mais aussi de l'impact des symptômes sur la qualité de vie et des objectifs des patients. En effet, l'essai PISA nous a montré que ce dernier point était essentiel puisque les patients ayant choisi le contrôle des symptômes avec un drainage par séton étaient plus satisfaits que ceux ayant été randomisés pour ce traitement (versus l’obturation chirurgicale). Cette classification fait donc la distinction entre les fistules destinées à être obturées (chirurgie alors souvent nécessaire) et celles dont il faudrait seulement atténuer le retentissement fonctionnel (patients en général non désireux de chirurgie). Enfin, cette classification devrait aussi nous aider à la conception d’essais cliniques plus homogènes.

Une nouvelle classification des fistules péri-anales de la maladie de Crohn : think different !

Classifying perianal fistulising Crohn's disease: an expert consensus to guide decision-making in daily practice and clinical trials

Geldof J, Iqbal N, LeBlanc JF, Anandabaskaran S, Sawyer R, Buskens C, Bemelman W, Gecse K, Lundby L, Lightner AL, Danese S, Spinelli A, Carvello M, Faiz O, Warusavitarne J, Lung P, De Looze D, D'Hoore A, Vermeire S, Hart A, Tozer P.

The Lancet Gastroenterology & Hepatology

Lancet Gastroenterol Hepatol . 2022 Jun;7(6):576-584. doi: 10.1016/S2468-1253(22)00007-3.

Gastroscoop
est un service de la Société Nationale Française de Gastro-Entérologie




À la une




12/07/2022



J’ai eu une relation anale et j’ai saigné. Est-ce dangereux? Est-ce que je dois absolument consulter un médecin?
Devrais-je arrêter la pénétration anale? Dans la négative, combien de temps devrais-je arrêter avant de recommencer?
Sirius
Réponse mise à jour le 16 avril 2018
Cher Sirius,
J’aimerais d’abord te dire merci pour avoir choisi AlterHéros.
Le saignement rectal immédiatement après une relation sexuelle anale est généralement causé par une fissure anale. La fissure anale est une petite déchirure au niveau du sphincter. Généralement, la personne ressentira une douleur au niveau du rectum, celle-ci sera pire au moment de passer une selle ou la personne ressentira un inconfort dans les heures suivant la défécation. La plupart du temps, la personne notera aussi du sang sur le papier de toilette ou dans l’eau de la cuvette de la toilette. Parfois, une personne reporte de l’irritation, une sensation de grattage ou une douleur intense lors du passage d’une selle volumineuse.
Si tu n’as pas eu d’antécédents similaires, il s’agit probablement d’une fissure aiguë. La plupart des fissures se guérissent d’elles-mêmes après quelques jours, voire quelques semaines. Assure-toi de manger une diète riche en fibres et en eau pour viser des selles molles. Il faut effectivement éviter la constipation et le fait de forcer pour déféquer, puisque ceci risque de retarder la guérison de la fissure. Tu pourras au besoin débuter une ou deux cuillères à soupe de psyllium par jour (ex: Metamucil) ou même du PEG lyte sans électrolyte (LAX-A-DAY ou Restoralax) 17 g par jour pour quelques semaines afin de rendre tes selles plus molles. Tu peux aussi faire des bains de siège (10-20 minutes trois fois par jour et après la défécation si possible) dans une eau tiède pour promouvoir la guérison.
La fissure anale n’est pas une contre-indication aux relations sexuelles anales, mais peut rendre l’expérience plus douloureuse et évidemment retarder la guérison. N’oublie pas non plus que les relations sexuelles anales peuvent transmettre plusieurs ITSS (infections transmises sexuellement ou par le sang) et même le virus du papillome humain qui augmente les chances de cancers rectaux (sans compter que les tests de dépistage courants ne le recherchent pas).
Bref, lorsque les saignements et les symptômes d’inconfort se seront complètement résolus, tu pourras reprendre les relations anales. Je t’invite à réfléchir au port du préservatif et à l’usage d’un lubrifiant adéquat pour limiter le risque de nouvelles fissures. Si les symptômes persistent ou deviennent incommodants, tu pourras alors consulter un.e professionnel.le de la santé qui te prescrira au besoin des crèmes médicamentées pour les fissures chroniques (ex: nifidipine locale), ou même une chirurgie si tes symptômes sont réfractaires afin de faciliter la cicatrisation.
(PS: Il arrive que certaines personnes confondent le sang dans les selles avec la pigmentation rougeâtre encourue par l’ingestion de betteraves rouges… Soyez-en avertis! )
Frédéric Picotte (il/he)
Médecin de famille
Frédéric est médecin de famille pratiquant dans la région de Shawinigan. Il a complété en mai 2008 mon doctorat en médecine à l’Université McGill et deux ans plus tard sa spécialité en médecine familiale via l’Université de Montréal. C’est l'une de ses amies, étudiante en psychiatrie, qui lui a présenté AlterHéros en 2008. Elle cherchait alors un bénévole qui répondrait de manière plus spécifique aux questions à thème « médical », ce qui a constitué la majeure partie de sa contribution jusqu’à maintenant.


You must be logged in to post a comment.
· 2020 © Tous droits réservés AlterHéros · Powered by ·

Confessions-Intimes.com ATTENTION: CONTENU RESERVE AUX ADULTES ENTRER        Sortir



Rechercher :



Les meilleurs sites d’histoires érotiques
Webcams Libertines
Nous contacter
Soumettre votre confession


Dernières confessions


Parcourez les histoires de sexe


Des petites confidences intimes à lire


Initiation et premiers émois


Facile et soumise


Toujours prête !


Bien déchirée…


La mère de ma petite amie


Plaisir féminin


Le tatoueur


Du baby-sitting


Le fantasme Corinne


L’inconnu


Dans le train et avec ma cousine


Dominatrice et lesbienne


Lydie


Avec Fabienne


Exhib à la piscine


Copines de fac


Mon premier amour gay



Catégories

Confessions Gays

Confessions Lesbiennes

Exhibition/Voyeurisme

Histoires érotiques

Récits érotiques

Récits Sado Maso




En visitant ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies qui assurent le bon fonctionnement de nos services afin de vous garantir la meilleure expérience sur notre site Confessions-Intimes.com Ok
Site sur les confessions intimes et les récits érotiques
Accueil » Initiation et premiers émois
Je devais avoir entre 13 et 14 ans. Mais un des mes camarades de classe était plus âgé de 2 années, suite à un redoublement puis d’un accident de mobylette qui l’avait immobilisé pendant de longs mois. C’est pourquoi il marchait encore à l’aide de béquilles et que je m’accompagnais chez lui, après la classe, en portant son sac.
Un jour, profitant d’une pause sur un banc public dans le parc que nous traversions pour rentrer, il me montra une revue naturiste piquée à ses parents, soigneusement dissimulée dans son bouquin de géo. A l’époque ( années 60 ), la censure était sévère et tous les sexes et systèmes pileux étaient soigneusement gommés lors du tirage. Mais nous nous régalions de la vue des belles ondines : les petits tétons gros comme des abricots des jeunes adolescentes, les seins en poire bien galbés des jeunes filles, les beaux seins ronds et pleins des jeunes mères de famille et ceux en forme de gants de toilette des vieilles mémés. Pour moi, c’était une découverte d’un monde inconnu. Il me proposa de passer chez lui le jeudi suivant pour me faire voir d’autres numéros de cette publication.
Je m’en souviens parfaitement. Il faisait chaud car nous étions fin juin, l’école finissait dans quelques jours. C’est donc en chemisette légère et en short que je me présentai chez lui à l’heure convenue. Ses parents étaient absents et il avait baissé les persiennes pour éviter la chaleur. Cela donnait un petit air intime à notre réunion.
Il trônait dans son fauteuil et avait préparé toute une pile de revues que nous feuilletâmes avec gourmandise, rigolant à qui mieux mieux au vu des nénettes à poils. Puis soudain, il entrouvrit sa braguette et en sortit son sexe dardé. Pas bien grand, environ 13 à 15 cm mais bien droit comme un poignard, joliment couronné d’un gland conique, le fût de son membre décoré d’une série de petites veines gonflées et planté dans un joli buisson de poils noirs et très bouclés. J’étais médusé et en admiration devant ce magnifique membre. Il se caressa et me demanda de le prendre en main. D’abord je refusai mais il insista tant et si bien que je finis par prendre sa queue en main : elle était terriblement chaude et très douce au toucher.
Puis il me demanda de sortir la mienne. Je refusai, le rouge au front. Il me menaça d’en parler aux autres élèves et de faire de moi la risée de la classe. La mort dans l’âme, je me résignai et sortis laborieusement ma banane gonflé de mon slip kangourou. Elle était bien plus longue que la sienne, courbe, et dénuée de pilosité, mis à part un petit duvet qui pointait sur mon bas-ventre. mais il ne se moqua pas et lorsqu’il posa sa main sur ma queue pour l’emprisonner, je fus pris d’un vertige et dus me retenir à son fauteuil tant mes jambes tremblotaient de gêne.
J’aurais volontiers échangé mon sexe contre le sien, tant je le trouvai esthétique et sexy, bien plus que ma banane encombrante.
Il posa son pouce et son index le long de son membre et toujours en me tenant la queue de sa main gauche, il s’activait de bas en haut, de façon de plus en plus rapide. Pour ma part, j’avais déjà des érections mais je n’avais pas encore découvert la masturbation. Je fus donc interloqué en le voyant s’activer et au bout de 1 ou 2 minutes, de petites coulées de liquide épais surgirent de son gland, se répandant sur son membre et se perdant dans les boucles de sa toison noire. Il avait fermé les yeux à cet instant et sa pression sur ma verge s’était accentuée dans un spasme de plaisir. Je venais de découvrir l’éjaculation.
Je remballai mon matériel, un peu honteux et décontenancé, pendant qu’il s’épongeait la touffe avec des mouchoirs en papier. Mon cœur battait la chamade.
Quelques jours plus tard, l’année scolaire prenait fin et je changeai d’établissement, perdant tout contact avec LUI, mon initiateur. D’ailleurs j’oubliai cet épisode ou du moins, je l’enfouis dans le plus profond de mon subconscient.
Des années plus tard, je dormais d’un sommeil agité à côté de mon épouse légitime. Et soudain je me revis, dans un rêve, debout à côté de mon camarade de classe assis dans son fauteuil, mon short et mon slip sur les chevilles, mon sexe dressé. Mais cette fois ci, il me caressa d’abord puis se pendant vers mon bas-ventre, il couvrit mon membre de baisers, lécha mon gland, titilla mon trou de bite avec sa langue puis soudain me prit dans sa bouche chaude et humide, commençant un doux va et vient, d’abord « soft » avec ses lèvres, puis un peu plus virilement avec ses dents en se retirant puis à nouveau en mode soft puis à nouveau avec ses dents…alternance de sensations avec une agréable douleur de matérialisant sur mon sexe. J’étais pris d’un vertige de bonheur, j’avais envie de fondre de plaisir. La scène dura de longue minutes, ma température montait en flèche. Éperdu de plaisir et de reconnaissance envers mon maître des plaisirs, mon doux initiateur, je reculai d’un pas pour me dégager de sa bouche et me précipitai entre ses jambes écartées pour saisir son petit glaive. Je commençai par l’astiquer copieusement puis l’engloutit dans ma bouche, faisant tourbillonner ma langue autour de son gland, suçant avec avidité et gourmandise à grand renfort de bruit de succion. Je l’avais EN MOI, je le possédai, il était ma chose, mon amant, mon maître, je suis son esclave, je me livre à lui, je lui offrirai ma virginité anale, il pourra défoncer ma petite rondelle s’il le souhaite, je me livrerai à toutes ses demandes, je serais sa chose, sa chienne, son serviteur …je fis tant et si bien, avec application et excitation, que soudain un liquide chaud et épais envahit ma bouche, une vague de miel se répandant en moi par petite saccades témoignant du plaisir que je lui avais donné…
Et soudain je me réveillai, les joues humectées de ma propre bave, les cuisses inondées de mon propre sperme car j’avais éjaculé de plaisir tant mon rêve était réaliste ! J’étais réveillé, presque triste et déçu, écoutant la respiration régulière de ma femme endormie, elle qui n’avait jamais accepté de me sucer car cela était contraire à sa conception des relations intimes. Je gardai donc mon rêve au plus profond et n’en parlai à quiconque avant cet instant.
A, si tu te reconnais, fais mois signe, j’ai des choses à rattraper…et des regrets à effacer !
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.

Une africaine chaude se masturbe
Un anglais regarde son ami baiser sa femme
La vie nocturne

Report Page