Une amatrice assez chaude qui baise avec son mec

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Jacquie et Michel : la baise est dans le prĂšs


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Publié le 31 août 2014 à 12h00 Mis à jour
le 31 août 2014 à 12h00

Une jeune femme a fait valoir son droit à l'oubi pour faire retirer des vidéos d'elle du site Jacquie et Michel. (Jacquie et Michel)
Entre porno amateur et téléréalité, les productions Jacquie et Michel ont réussi une percée sur le marché du X en ligne. Analyse du phénomÚne.
Ils avaient fiĂšre allure les supporters lyonnais qui, Ă  Gerland cet hiver, ont dĂ©ployĂ© une banderole sur laquelle Ă©tait crĂąnement inscrit « Merci qui ? Merci Jacquie et Michel ». Mais plus tard, quand MaĂźtre Dorian (sosie du DJ allemand Superpitcher) du staff Jacquie et Michel est venu leur offrir de tourner une scĂšne avec deux filles, seul l’un des trois lascars a assurĂ©, les deux autres ont un peu perdu le ballon. L’anecdote suffit Ă  rĂ©sumer l’esprit Jacquie et Michel : un rĂ©seau de proximitĂ© basĂ© sur la puissance marketing d’un slogan rĂ©pĂ©tĂ© Ă  l’infini. Un mantra efficace qui, ces trois derniĂšres annĂ©es, a impactĂ© la France entiĂšre, pĂ©nĂ©trant les esprits, le langage, les rĂ©seaux, les afterworks, les vestiaires.
On ne sait qui on doit remercier : dans les films Jacquie et Michel, l’intervieweur est toujours en camĂ©ra subjective. Il ne participe pas, ou trĂšs rarement, aux Ă©bats. Sa voix est lĂ  pour faire le liant. Pour nous tenir la main. Et tout, dans le systĂšme Jacquie et Michel, se veut rassurant. Ainsi, les films se ressemblent. Tous commencent systĂ©matiquement dans une rue de France, banale, oĂč le camĂ©raman et son hardeur se les gĂšlent en attendant la fille qui, ils insistent, les a contactĂ©s « sur le site ».
« J’ai pas baisĂ© depuis avant-hier, tu le crois ??? »
Quand elle arrive, elle aussi est banale, et c’est un premier coup de gĂ©nie, ce look girl next door. Bon, qu’il vente ou qu’il neige, elle portera un manteau avec un rien en dessous, se dira excitĂ©e (« J’ai pas baisĂ© depuis avant-hier, tu le crois ??? »), entamera un petit strip sauvage (un nichon, une culotte, pas vu pas pris) et lĂ -dessus, la fine Ă©quipe prendra la voiture, cap sur un appart « prĂȘtĂ© par un fan du site Jacquie et Michel », trĂšs content de transformer sa garçonniĂšre en studio de cinĂ©ma et plus si affinitĂ©s. Les marches seront gravies une par une (avec un dĂ©but de pipe sur le palier) et, chemin faisant, la voix cuisinera la fille en question : « Tu es libertine ? Tu pratiques la sodo ? Ton compagnon et toi vous ĂȘtes candaulistes ? »
Puis, la voix, soucieuse de ne pas nous mettre sur la touche, s’empressera de faire part Ă  la fille des rĂ©actions enthousiastes des « internautes de Jacquie et Michel » qui ont vu sa premiĂšre vidĂ©o – et tant pis si cette premiĂšre vidĂ©o a Ă©tĂ© tournĂ©e le matin mĂȘme et n’a pas encore Ă©tĂ© postĂ©e. A la fin, ils baisent et le tout dure 42 minutes. Les « internautes de Jacquie et Michel » sont la colonne vertĂ©brale du succĂšs de l’entreprise Jacquie et Michel. C’est pour eux que le label quadrille la France, c’est Ă  eux que l’on s’adresse, mĂȘme lorsqu’on a la bouche pleine. Ils sont le ventre de ce site de cul trempĂ© de mythologie interactive. Dans une vidĂ©o d’autopromo, oĂč sont interviewĂ©s l’actrice/rĂ©alisatrice Margaux et son compagnon Juan, vieux compagnons de route de l’aventure J&M, la Marseillaise grande gueule a un peu tout dit : « On aime Jacquie et MichĂšl(e) pour le concept(e), ici c’est cool(e), on se prend pas la tĂȘt(e), c’est du tac(e) au tac(e). » Elle le rĂ©pĂ©tera mĂȘme deux fois : « C’est du tac(e) au tac(e). » C’est dire s’il existe un lien palpable entre eux et nous.
Un tiers des vidĂ©os seulement naissent d’un message laissĂ© sur le site
MĂȘme si au fond tout n’est pas si spontanĂ©, ni tout Ă  fait diffĂ©rent du reste de la production semi-amateur : un tiers seulement des vidĂ©os J&M naissent d’un message laissĂ© sur le site. Le reste, ce sont des filles qui veulent percer dans le cul, des filles croisĂ©es ailleurs, chez LFAP (La France Ă  poil), MSTX, Pornovrai.com (des anciens de J&M en mode dissidence), ou bien chez les lascars de Vince Banderos (le « Nuit et Brouillard du porno de cave »), et qui pour 450 euros les deux scĂšnes (selon LibĂ©ration) ont choisi de commencer lĂ  oĂč tout le monde se dirige. Aujourd’hui, Jacquie et Michel est le site français le plus visitĂ© : les vidĂ©os atteignent en moyenne deux millions de vues.
Et tant pis si ça Ă©corche l’idĂ©e diffuse d’une communautĂ© partouzarde, d’un club Ă©changiste interactif nĂ© il y a quinze ans environ. On parle au conditionnel car personne ne se souvient avoir parlĂ© ni Ă  Jacquie, ni Ă  Michel. On dit qu’ils Ă©taient enseignants ou fonctionnaires. Michel aurait saisi l’opportunitĂ© d’une formation CIF webmaster pour lancer un site pĂ©dagogique avant de bifurquer tranquillou vers un site de petites annonces caliente. Vers 2006, l’ADSL aidant, le site Ă©changiste s’est mis Ă  balancer des sextapes puis a dĂ©cidĂ© de les rĂ©aliser Ă  sa façon, jusqu’à devenir en 2014 les manitous du marchĂ© français.
MalgrĂ© le succĂšs, personne ne les a jamais vus en photo, ni ne sait vraiment s’ils existent. Ce sont des yeux sans visage. Peut-ĂȘtre sont-ils juste un nom de marque, une adresse IP, une idĂ©e rassurante que l’on se fait d’un couple coquin, toujours accueillant, bien que nous ne connaissions d’eux que leurs intermĂ©diaires, toujours gentils, toujours rigolards, toujours dans le respect, mĂȘme si finalement une fois la scĂšne lancĂ©e, c’est du hard sans aucune espĂšce de gentillesse – « chienne » y est l’adjectif le plus souvent balancĂ©, par les garçons mais aussi par les filles, qui se l’approprient, l’émulation voulant qu’elles soient dĂ©sormais prĂȘtes Ă  exploser leurs limites (« La triple vaginale ? Non j’ai pas ENCORE essayé  »). Laquelle fille, en partant, n’oubliera pas de remercier Jacquie et Michel qu’elle ne connaĂźt ni d’Eve ni d’Adam – comme on remercie le serveur du bar, mĂȘme quand on a bu au point de se mettre minable.
Dans ce systĂšme qui partout suinte le storytelling, aucun historien du langage n’a encore eu le courage de remonter leurs milliers d’archives pour dater au film prĂšs l’apparition du fameux « Merci qui ? » et peu importe : comme dans toute opĂ©ration de com rĂ©ussie, c’est sa banalisation qui atteste de son existence. Alors, force est de constater que lĂ  oĂč autrefois il y avait de la honte, il n’y a plus que de la connivence. « Merci qui ? » atteste qu’on est du mĂȘme club, on est quelques-uns – des millions en fait – Ă  consommer du cul sur internet, parce qu’il n’y a rien Ă  la tĂ©lĂ©, rien ou sinon des trucs qui finalement ressemblent comme des soeurs Ă  des pornos J&M : Tellement vrai sur NRJ 12, Confessions intimes sur W9, des modules qui, comme chez Jacquie, comme chez Michel, sonnent tellement rĂ©alistes qu’ils auraient pu ĂȘtre vrais. Ils sont fabriquĂ©s pareils, fouillent les mĂȘmes chambres Ă  coucher et deviennent bien quand ils trahissent un peu de leur falsification.
La mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base
DĂ©busquer la part de fake d’un J&M est aussi passionnant/excitant que de s’imaginer la charge de honte dont s’affranchissent celles qui ont dĂ©cidĂ© de tourner une vidĂ©o pour eux. La pionne du lycĂ©e Mireille-Grenet Ă  CompiĂšgne qui a buzzĂ© l’an dernier, n’est ni pionne, ni du lycĂ©e, ni de CompiĂšgne, mais via elle et les autres, Jacquie et Michel se sont donnĂ© pour mission mystique d’entretenir nos fantasmes de base, nous refaire bander pour la vendeuse d’en face qui tourne une vidĂ©o pour se venger de son mec qui dort Ă  cĂŽtĂ©, ou dĂ©tourner notre regard vers cette reprĂ©sentante en voitures d’occasion de Marignane Ă  qui le patron concessionnaire a voulu faire la surprise d’un petit tournage « à l’arrache ».
Tellement vraie donc, cette interminable et passionnante enquĂȘte socio-cul sauvage, oĂč les actrices sont soumises non-stop Ă  la question. Chez J&M, jamais l’interview ne s’arrĂȘte, elle a mĂȘme encore lieu pendant l’acte. Au dĂ©but, on trouvait ça assez peine-Ă -jouir comme concept mais on est dĂ©sormais accro Ă  ces filles qui se donnent comme des folles mais qui dĂšs que la voix leur demande « Merci qui ? » se redressent prestement et se transforment en speakerines, en femmes-sandwichs.
« Merci Jacquie et Michel. » A la place de dire : « J’ai joui. » Et, sans doute, les gens derriĂšre ce site de rĂȘver qu’un jour leur slogan prenne place dans notre pieu et que nous laissions la jouissance de notre extase Ă  la force marketing de ce faux couple anonyme. RĂ©sultat : selon une enquĂȘte de notre confrĂšre Snatch , le site J&M gĂ©nĂšrerait entre 5 et 10 millions d’euros de bĂ©nef annuel. Du tac au tac. Merci qui ? Merci mon cul.
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"Je ne sais pas si je pourrai me faire Ă  nouveau confiance."
VIE DE COUPLE - "L'autre femme", comme on désigne souvent celle qui est impliquée dans une liaison adultÚre, est une expression lourde de sens. Pourtant, il n'existe pas de terme équivalent pour les hommes. Pourquoi?
Des études récentes montrent que les hétérosexuelles qui découvrent que leur conjoint les trompe ont tendance à rejeter la faute sur l'autre femme plutÎt que sur leur partenaire masculin.
Mais, on le sait, tout n'est pas si simple.
Pour dissiper les mythes sur ce que signifie vraiment le fait d'ĂȘtre "l'autre femme", nous avons demandĂ© Ă  six femmes de raconter leur expĂ©rience. La maĂźtresse est-elle toujours la mĂ©chante de l'histoire?
Louise*, rédactrice freelance, 32 ans
"Cette relation a laissé chez moi un sentiment d'humiliation."
J'ai rencontré Josh* sur internet. Nous étions amis, tous deux mariés avec des enfants. Au début, nous parlions peu, mais nous avons fini par avoir des discussions vraiment intéressantes et profondes sur Facebook. Nous avions beaucoup de choses en commun, nous nous stimulions intellectuellement et nous riions beaucoup. Une connexion s'est créée entre nous, tout simplement. Nous nous sommes soutenus lors de périodes difficiles et, les mois passant, j'ai commencé à le considérer comme l'un de mes amis les plus proches. AprÚs plus d'un an, il est apparu que nous étions secrÚtement amoureux l'un de l'autre.
Avec rĂ©ticence, nous avons admis que nous Ă©prouvions des sentiments forts l'un pour l'autre, mais nous pensions aussi qu'il n'Ă©tait pas envisageable de les explorer. Pour lui comme pour moi, l'infidĂ©litĂ© Ă©tait contraire Ă  nos valeurs. Nous avons donc Ă©laborĂ© un plan pour prendre de la distance et nous consacrer Ă  nos mariages respectifs. Ça a Ă©tĂ© atroce. Nous Ă©tions les meilleurs amis du monde, nous nous aimions et nous voulions ĂȘtre ensemble, mais il nous semblait impossible de le faire sans dĂ©truire nos conjoints et nos enfants. Il avait l'impression d'avoir rencontrĂ© la femme de ses rĂȘves, mais quelques annĂ©es trop tard. Ça semblait tellement injuste et insupportable. Nous Ă©tions trĂšs malheureux.
À cette Ă©poque, je ne me voyais pas comme "l'autre femme" car nous n'avons jamais pensĂ© laisser les choses aller si loin. J'ai fini par me sĂ©parer de mon mari. Je ne pouvais pas rester mariĂ©e Ă  lui en sachant les sentiments que j'Ă©prouvais pour Josh. Avec le temps, cette relation adultĂšre a dĂ©passĂ© la sphĂšre Ă©motionnelle pour devenir physique.
Nous avons connu une brĂšve pĂ©riode de bonheur. Nous faisions l'amour, nous nous serrions dans les bras. Nous allions Ă  la plage main dans la main et avions un avant-goĂ»t de ce que pourrait ĂȘtre la vie ensemble.
Et puis il est retournĂ© chez sa femme. Il Ă©tait persuadĂ© que, pour les enfants, c'Ă©tait mieux qu'il reste avec elle. Il m'a dit ĂȘtre prĂȘt Ă  sacrifier son bonheur pour celui de ses enfants. Quand il a avouĂ© Ă  sa femme avoir couchĂ© avoir moi, elle m'a appelĂ©e, furieuse, et m'a dit des choses trĂšs cruelles. Je l'ai laissĂ©e faire car je me suis dit que je lui devais bien ça.
J'aimais Josh au-delĂ  de l'exprimable, mais une partie de moi le dĂ©testait aussi pour sa lĂąchetĂ©. Ça m'a dĂ©truite et cette relation a laissĂ© chez moi un sentiment d'humiliation, l'impression que je ne vaux rien et qu'il n'y a rien Ă  espĂ©rer. Tout ce qu'il ma lĂ©guĂ©, c'est un tas de questions sans rĂ©ponse. Je n'ai plus aucune certitude, les fondements mĂȘme de ce que je suis sont en miettes et j'essaie dĂ©sespĂ©rĂ©ment de trouver un sens Ă  tout cela. Si mon cƓur a pu se tromper sur cette relation, je ne sais pas comment je pourrai me faire Ă  nouveau confiance.
Anita*, rédactrice d'appels d'offres, 54 ans
"J'ai Ă©tĂ© bĂȘte de croire que je serais un jour sa compagne."
Nous travaillions dans le mĂȘme bureau. Juste avant les fĂȘtes de NoĂ«l, en 2008, il m'a demandĂ© de le suivre jusqu'Ă  sa voiture oĂč il avait une carte et un cadeau pour moi. J'Ă©tais choquĂ©e car on se connaissait peu, mais je me suis dit que c'Ă©tait impoli de refuser (je venais de vivre une rupture et Ă©tais dans cette phase oĂč l'on est vulnĂ©rable et ne rĂ©flĂ©chit pas). De toute façon, sa voiture Ă©tait sur le chemin de la mienne, alors je l'ai suivi. Il a sorti de son coffre une bouteille de Veuve Clicquot, accompagnĂ©e d'une carte. Une fois Ă  la maison, j'ai lu la carte et j'ai eu un moment de panique. Je l'ai dĂ©chirĂ© et je l'ai jetĂ©e, mais j'ai gardĂ© la bouteille. La carte disait simplement: "Ne fais pas trop d'excĂšs Ă  NoĂ«l. Prends soin de toi" ou quelque chose de ce genre, mais ça m'a mise mal Ă  l'aise.
Les choses en sont restĂ©es lĂ  jusqu'Ă  ce qu'on se retrouve Ă  travailler sur le mĂȘme projet en mars 2009. Vers le mois d'avril, il a commencĂ© Ă  me proposer d'aller boire un cafĂ© avec lui. Je ne savais pas s'il Ă©tait mariĂ©. Je pensais que oui, mais il n'avait jamais parlĂ© de sa femme, alors je me demandais s'il avait des problĂšmes dans son couple: ils Ă©taient peut-ĂȘtre en train de se sĂ©parer. Peut-ĂȘtre Ă©tait-elle malade? Il n'avait pas l'air de ces mecs qui cherchent Ă  s'amuser ou Ă  draguer. La curiositĂ© a fini par l'emporter et, un jour de mai, j'ai acceptĂ© de prendre un cafĂ© avec lui.
Je ne le trouvais pas sĂ©duisant et je n'avais pas de dĂ©sir pour lui. AprĂšs plusieurs cafĂ©s au dĂ©jeuner, il m'a proposĂ© de nous voir un samedi. Jusque-lĂ , nous n'avions parlĂ© que du travail et je ne savais toujours rien sur sa vie privĂ©e. Je brĂ»lais de curiositĂ©: que cherchait-il? CĂŽtĂ© personnel, je vivais une pĂ©riode difficile. Élever seule trois adolescents n'est pas une sinĂ©cure. Alors j'ai acceptĂ©. On a passĂ© un super moment ensemble! Il m'a emmenĂ©e Ă  Londres, oĂč nous avons fait une balade Ă  St James' Park suivie d'un pique-nique aux fraises et au champagne (j'avais gardĂ© son cadeau de NoĂ«l). Puis nous avons dĂźnĂ© dans un trĂšs bon restaurant et sommes allĂ©s au thĂ©Ăątre. Je n'en revenais pas. Au fil du temps, il m'a Ă©coutĂ©e me plaindre de mes problĂšmes d'argent, des enfants et de tout le reste, sans jamais me juger. Il m'a aidĂ©e Ă  rĂ©ussir ma vie, il m'a conseillĂ©e et soutenue comme mĂȘme mes propres parents ne l'avaient jamais fait. Le moteur de notre histoire n'a jamais Ă©tĂ© le sexe mais son envie de partager des choses avec quelqu'un. Je crois qu'il reste mariĂ© uniquement parce qu'il voit le divorce comme un Ă©chec. Mais qui sait?
Je ne me suis jamais sentie comme Ă©tant sa maĂźtresse. Quand j'ai fini par lui demander s'il Ă©tait mariĂ©, il a rĂ©pondu: "Tu sais bien que oui." Je n'ai plus voulu poser de questions. Je sais, c'est stupide, mais sur le moment, on n'arrive pas Ă  penser de façon rationnelle. Au bout d'un moment, j'ai fini par ne plus supporter de garder le secret sur tout ce que nous faisions ensemble, mais il me rassurait toujours en disant que les gens ne s'intĂ©ressent qu'Ă  eux-mĂȘmes. Et il avait raison: quand un collĂšgue de bureau me demandait ce que j'avais fait le week-end, il suffisait de lui retourner la question. Il se mettait alors Ă  parler de lui, ce qui m'Ă©vitait de rĂ©pondre et prĂ©servait notre secret.
Il s'accroche toujours et moi, je m'Ă©loigne doucement. Ça fait huit ans que ça dure et j'ai enfin compris. Sa femme n'a jamais Ă©tĂ© malade et il n'a jamais vĂ©cu de sĂ©paration traumatisante. J'Ă©tais complĂštement stupide de croire que je serais un jour sa compagne. Les hommes mariĂ©s sont des connards. Ne rejetez jamais la responsabilitĂ© sur l'autre femme.
Saskia*, chargée des relations publiques, 25 ans
"Il Ă©tait comme une drogue pour moi."
Il Ă©tait coiffeur visagiste et nous nous sommes rencontrĂ©s quand je suis venue lui demander conseil. J'ai tout de suite Ă©tĂ© attirĂ©e par lui. Nous avons Ă©changĂ© nos numĂ©ros car j'avais des questions sur ma coupe. Pendant les semaines qui ont suivi le rendez-vous, je n'arrĂȘtais pas de penser Ă  lui. Lors d'une soirĂ©e, j'ai fini par lui envoyer un SMS, mais je lui ai dit le lendemain que je n'aurais pas dĂ» car j'Ă©tais en couple.
MalgrĂ© cela, nous avons continuĂ© Ă  nous envoyer des messages. Sur le moment, je n'avais pas compris qu'il Ă©tait mariĂ©. Je l'ai su plus tard, en cherchant des informations sur internet. J'ai aussi appris qu'il avait dix ans de plus que moi. Pourtant, mĂȘme en sachant que c'Ă©tait mal, je n'arrivais pas Ă  arrĂȘter de lui Ă©crire, il Ă©tait comme une drogue pour moi. Quelques semaines plus tard, nous avons fini par nous voir et coucher ensemble. Le lendemain, j'ai rompu avec mon petit ami et je lui ai dit qu'il fallait qu'on arrĂȘte de se parler. Environ une semaine aprĂšs, je lui ai envoyĂ© un message et nous avons recommencĂ©.
Ça fait trĂšs clichĂ©, mais dĂšs l'instant oĂč je l'ai vu, j'ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©branlĂ©e. Je n'avais jamais rien ressenti d'aussi intense face Ă  quelque chose ou quelqu'un. Lors de nos rendez-vous, je tremblais littĂ©ralement de tout mon corps. Il m'obsĂ©dait.
Je dĂ©testais ĂȘtre "l'autre femme". Je savais que je ne voulais pas ĂȘtre en couple dans l'immĂ©diat et je crois que l'infidĂ©litĂ© a Ă©tĂ© la cerise sur le gĂąteau, mais j'Ă©tais malheureuse dans mon couple depuis longtemps. J'aimais rĂ©ellement cet homme e
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