Une afro qui veut sa queue matinale se déchaîne
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Une afro qui veut sa queue matinale se déchaîne
Vous êtes ici Accueil » JE SUIS DEVENU NYMPHOMANE (Ep 5)
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J’étais maintenant sûr que j'allais avoir mon petit déjeuner de ce matin......J'étais tellement contente mais je ne voulais pas le lui faire savoir. J'essayais de me retirer. J'ai cru un temp qu'il allait me laisser partir mais il me reprenait par la hanche me faisant tourner face à lui et approchait ses lèvres pour m'embrasser. J'ai encore une fois esquiver cette tentative mais il me prenait par les cheveux redressait ; ma tête puis m’embrasse... Je pouvais sentir ma chatte s'ouvrir toute seule. Pendant qu’on s’embrassait, il prenait une de ses mains pour glisser sur le côté le tissu de string qui cachait ma chatte puis prenait un doigt pour me pénétrer puis il faisait des vas et viens…Mais franchement je ne savais pas à quoi il jouait puisque ça ne faisait que me chatouiller. Il ajouta un second doigt ; bon disons que ça faisait un peu d'effet mais j'avais hâte qu'il me baise. Je ne voyais pas l'utilité de me faire pénétrer par des doigts pendant que sa bite était dure et chaude même étant dans l'eau. Il ajouta un 3 ème doigt et là ça a eu de l’effet sur moi ; un courant à traverser tout mon corps...je commençais à attraper froid dans l'eau. Il souleva ma tête puis passait sa langue dans mon cou de gauche à droite toujours en me baisant avec ses doigts. Mon corps commençait à être paralysé ! D'un seul coup je bloquais sa main le faisant passer par derrière et le posa sur mes fesses car j'étais un peu sensible là-bas ; quand on me malaxe le cul (je l'avais remarqué avec Richard). Il a vite compris et posait ses deux mains sur mon cul le pressant comme une orange puis l'écarte ; fait passer une de ses mains entre mes fesses où ses doigts touchaient mon troue de cul et se posait sur ma chatte qu'il couvrait avec ses mains comme s'il bouchait un trou.
Il me retourna puis me faisait sortir presque de l'eau et me demandais de m’allongé sur le carreau ; j'ai donc la poitrine posée à terre et les pied dans l'eau. Je formais alors un angle de 90° ce qui faisait que mon cul lui faisait face dans l'eau. Il écartait mes jambes et il soignait chacun de ses mouvements comme si c'était une opération chirurgicale. Je senti son souffle posé sur mon troue de cul ; il écartait mes fesses au maximum mais ses mains n’arrivaient pas à contenir chacune de mes fesses... Sa langue faisait un premier balayage sur ma chatte suivis d'un deuxième avant de pénétrer ma chatte avec sa langue où il faisait des rotations au bout de cette dernière ce qui me mettais hors de moi. Il accélérait comme si c'était une bite il avait la maîtrise pour lécher une femme. Il faisait un balayage complet de ma chatte avant de prendre le bout de sa langue pour essayer de soulever mon clitoris. Je m’agrippais au sol comme si j'allais tomber d’un immeuble mon corps était tellement geler on dirait un poisson de frigo.... Il retirait sa langue et faisait pénétrer ma chatte par deux doigts et me baisait la chatte à une vitesse inestimable... J'ai commencé a crié de toutes mes forces. Moi qui me disais que deux doigts n'avaient pas d'effet j’ai parlé trop vite. Je le suppliais d'arrêter mais à chaque fois que j'essayais de parler il me donnait une gifle sur les fesses et augmente de vitesse.
Je coulais comme une fontaine... Daniel se retirait et je pouvais sentir la direction du chaque courant d'air qui passait poser sur ma chatte bref j'avais des larmes aux yeux. Je prenais goût à mon petit déjeuner ...... Je me demandais bien où il était passé ! Le temps de pencher ma tête voir s’il est derrière je voyais ses pieds de chaque côté de mon corps debout en train de s’étirer ... il s’abaisse, me tire par la hanche pour me sortir de l'eau puis me mettait en position cul en l'air. Il collait mes deux pieds et genoux... Je pensais que souvent c'était les jambes écartées qui faisait l'affaire mais lui me collait les deux pieds. Je m'attendais à ce qu’il se met à genoux derrière moi mais ce n'était pas le cas. Il faisait pression sur ma tête pour me tirer par les cheveux après ... Etant debout jambe écarter il s'abaisse un peu et me pénétrait d'un coup violent ce qui ne m'était pas indifférent. J'étais devenu un cheval à qui on tirait les cordes juste qu'ici c'était mes cheveux. Il me baisait sauvagement ; il me Galope comme le prince Arthur sur son cheval (Merlin). Chacun de ses coups étaient violent et ardent mais j'adorais car au moins il était plus rapide que se vaut rien de *Richard* . Le son de ma chatte était pareil au son de quelqu'un qui se noie « gloub gloub glouuuu ».
Chaque coup de rein était comme une explosion dans ma chatte ; il me baisait ainsi durant près de 20 minutes. Je n’étais pas étonné car il a un corps d'athlète.
Il finit par s'arrêter me laissant aucun répit puis me transportait sur l'épaule comme un sac de riz en prenant la route du salon. Ça me procurait de la joie mais je faisais semblant d'être à bout de souffle je priais seulement qu'il reprenne vite. Il me posait sur une table qui arrivait au niveau de ses reins puis il écartait mes jambes, m'embrassait et pendant ce temps je prenais sa bite pour caresser ma chatte. Je m'attendais qu'il me pénètre mais il me faisait descendre et me retournait à nouveau à croire qu'il aime prendre les gens par derrière. J'étais debout jambes écartées tête posé sur la table avec sa bite en main pour caresser ma chatte.
Je n'ai même pas eu le temps de terminer qu'il me pénètre centimètre par centimètre jusqu'à se coller à moi et il posait sa tête sur moi me donnant des baisers dans le dos en caressant mes cheveux puis se redresse et ressorti sa bite pour gifler mes fesses avant de replonger de la même façon suivis des vas et viens lent qui prenait peu à peu de l'ampleur.
Et il se déchaîne ; c'était à la vitesse de l'éclair ma chatte était en feu.
Durant 20 minutes on était dans la même position et mes pieds ne tenaient plus mais je m'efforçais à cause de cette phrase qu'il venait de prononcer à me défier je vais lui faire voir le feu.
Pendant qu'il continuait à me pilonner, j'essayais de faire passer ma main droite par derrière pour lui caresser la poitrine et m’attardais sur le bout de ses seins ce qui lui faisait vraiment d'effet je pouvais le sentir alors je continuais. Je commençais à ne plus rien ressentir dans cette position alors je soulevais mon pied gauche et le posa sur la table ; la pénétration était plus profonde comme ça.... J'étais sur le point d'atteindre mon orgasme puis je l’entendis crier derrière moi.
Il se retirait de moi.... Puis tomba à genoux derrière moi et je me redressais puis le quitta pour aller chercher mes tenues au bord de la piscine. En revenant il ne m'avait pas vu venir mais il prenait un appel et de cet appel j'ai juste écouté :
*Ehhhh bro sérieux tu crois que je bleuf ? Elle est toujours en mouvement pourtant j'ai épuisé presque toutes mes ressources…. Franchement Richard avait raison c'est une bête sexuelle cette meuf................. d'accord mais on fais comment....................à deux ???.................Tu crois qu'elle va accepter ??.....................bon démarre de chez toi pendant ce temps je vais voir si je pourrais la convaincre..........................mais ne dit rien à Richard il va me prendre pour un beau parleur mais franchement je ne pouvais pas imaginer qu'elle se tienne toujours debout et moi à genoux...........ok dépêche bro...........je coupe l'appel avant qu'elle ne revienne*.
Je m'en rends compte que c'était ce con de Richard qui leur avait parler de moi ; donc il s'était vanté qu'il allait me faire crier. Cette nouvelle devrait me taper sur les nerfs mais je voulais le ridiculiser pour qu'il réfléchit à plusieurs reprises avant de revenir …. Il y avait un autre en route je ne pouvais pas rater ça ; deux mecs contre moi seul ça devrait être suffisant pour ma chatte. Je m’attardais un peu puis je marchais vers lui en traînant les pieds toute souriante....
Je partais la prendre et m'installait ; pendant ce temps il avait l’air inquiet mais je connaissais déjà la question qu'il se posait : *Comment la demander si on pouvait la prendre à deux* ??? Il partait chercher une boîte de lait dans le frigo qu'il buvait.
Il s’approchait de moi et posait sa main sur ma main.
Quelques instants après, la sonnerie du portail retentissait…ça doit être son pote ; pendant ce temps Daniel était sorti faire des courses car il avait prévu juste qu'on passe la matinée. Je restais dans mon string et une chemise de Daniel qui couvrait juste la moitié de mes fesses. Je partais lui ouvrir la porte. C'était un jeune homme qui avait le visage d’enfant mais avec la forme d'un agent de sécurité d’une boîte de nuit. II fallait que je soulève la tête pour le voir dans les yeux ...ma tête était au niveau de son épaule.
Il était beau et sexy. Il s'installait dans le salon. On était assis face à face et je pouvais sentir le poids de son regard posé sur ma poitrine.
En quittant le salon je faisais de mon possible pour lui lancer un regard provocateur ; je me demandais bien s'il avait saisi le message. Je rentrais dans la douche me m'était nu quelques instants puis j’entendis quelqu’un toquer à la porte :
Il ouvrait la porte et je lui faisais dos ; je faisais semblant de laver mes orteils en m’abaissant ; il restait figer derrière moi je priais seulement qu'il ne se retourne pas… j’entendis ensuite la porte se renfermer.
J'avais le cul toujours en l'air bien écarter et toujours mouillé malgré que je fusse furieuse qu'il soit reparti ainsi. Comme une étoile filante je sentis une main rude se posé sur mon dos un crachat qui sortait de sa bouche
Une perforation pas possible c'était énorme j'ai crié de toute mes forces je n’ai même pas eu le temps de voir sa bite mais ça doit être énorme .
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Sylvina aimait le matin, lorsque le soleil se lève pour faire apparaître ses premiers rayons dorés. Elle était sortie de sa salle commune, il était encore tôt, malgré tout les rayons du soleil perçaient les ténébres qui s'éloignaient peu à peu. Il faisait un peu froid et elle avait revêtu une cape pour lui tenir chaud. Elle se dirigea à l'entrée de la forêt et s'assit contre un arbre, elle ouvrit le livre qu'elle avait emportée, elle sortie sa baguette et murmura un lumos, une faible lumière dorée vint éclairer les pages de ce livre d'occlumencie * J'espère que cette fois ci personne ne viendra me déranger * Mais quelque minutes plus tard, un bruit de pas se fit entendre. Sylvina soupira, elle referma son livre et leva la tête en direction de la personne qui avançait vers elle.
Vénus ne dormait pas beaucoup, aussi à chaque fois qu'elle le pouvait, elle sortait se ballader dans le parc. Mais cette fois elle n'était pas seule et cette fille qui la regardait n'avait pas vraiment l'air heureuse qu'elle soit là. Soit elle n'allait pas se laisser intimider. Comment tu t'appelles ? *Je ne sais pas pourquoi mais je ne la sent pas cette fille *
Sylvina était dérangé par une personne qui lui était inconnue, mais le blason cousue sur sa cape indiquait qu'elle provenait de Gryffondor. * Encore une! * Un léger sourire malfaisant se dessina sur ses lèvres. Sylvina se releva et toisa la gryffondor d'un regard froid; Tout aussi froid que sa voix Tout ce qu'il faut que tu saches de moi, c'est que je suis à Serpentards. Mais aujourdhui je vais être ... gentille. Ce mot, elle l'avait prononcée de manière ironique. Je suis Sylvina. Sylvina la regarda une dernière fois et partie en direction du château mais elle fut stopper par la jeune fille qui la rattrappa * décidément je ne serais jamais tranquille pour lire ce bouquin *
Sylvina tu sai sque le mot "gentille" sonne faux dans ta bouche ? *non mais pour qui elle se prend celle là tout ça parce qu'elle est à Serpentard je rêve ! * Après cette brève réflexion Vénus s'en alla et se promit de ne plus croiser cette furie. *Bon et bien je crois que je ne me suis pas fait que des amis ici*
hj: non ne part pas !!!!!!!!! Dj: Vénus l'avait rattraper pour lui dire ... ça. Elle la vit s'éloigner, mais Sylvina ne voyait pas leur "conversation" se finir comme ça, elle sortie sa baguette et prononça Levicorpus Vénus c'était retrouvée la tête en bas et la cheville attaché en l'air. Sylvina s'approcha d'elle tout en souriant Je ne suis gentille qu'avec les personnes que je respecte, et toi vu que tu te trouve à Gryffondor, je ne vois aucune raison de me montrer gentille. je te prends ça Sylvina avait pris la baguette de Vénus avant que celle ci ait put réagir. Elle avait lui avait pris sa baguette par sécurité, car elle savait que la jeune fille pouvait ripostée.
La veille au soir Fenrir avait pris sa baguette, au cas où. Il était allé au plus fin fond de la forêt interdite. Puis, il avait regardé dans une minuscule clairière la lune arrivait. Il s'était alors transformé, avait laissé sa baguette sur un tronc d'arme, après l'avoir ensorcelé avec une baguette d'occasion qu'il avait acheté à Ollivanders. Il fut alkors hors de controle, s'attaqua aux arbres, aux oiseaux qui passaient par la, et à toutes les créatures qui croisaient son chemin ... Flash back terminé Fenrir avait récuperé sa baguette, il avait des lambeaux de vêtements sur lui. Il était fatigué, avait faim, et devait boire à tout pris. Il avait déja fat un lavage d'estomac grace à sa baguette, et avait recraché racines, oiseaux etc etc ... Il arriva alors près de deux jeunes filles, dont une en l'air. Il pensa aussitôt : * Liberacorpus * La fille suspendut fut libéré, il murmura " Expelliarmus " La baguette de la Gryffondor vola dans mles airs, Fenrir la rattrapa, et la donna à sa propriétaire, sans un mot. Puis, il murmura : " Vous n'aurez rien si vous m'emmenez à l'infirmerie ... tout de suite !! " Il avait dit ce 'tout de suite' après un temps, qui s'était avéré de la stupéfaction des deux jeunes élèves ...
Vénus était encore sous le choque, cette folle avait osée lui jeter un sort ! En plus elle n'avait même pas eu le temps de riposter. Oh ça elle le lui paierait mais pour le moment il fallait emmenner cette homme à l'infirmarie. Il l'avait demandé tellement gentillement (hironique) *Je me demande pourquoi il doit aller à l'infirmerie ! * pensa elle quand elles l'ammenèrent.
Bien que surprise de l'apparition de Greyback, Sylvina se précipita vers lui et le soutint. Elle regarda la gryffondor qui les regardait tout les deux, elle était là toujours abasourdie de la scène qui se déroulait Aide moi, il faut l'emmener au plus vite! Sa voix trahissait l'inquiètude pour Greyback, mais elle restait ferme. Elle pensait savoir ce qui lui était arrivée, la nuit précédente fut une nuit de pleine lune, et c'était un loup garou incontrôlable lors de ses moments. Voyant que la jeune gryffondor ne bougeait pas, elle lui dit ça va aller je me débrouille très bien seule, mais va appeler la directrice qu'elle nous rejoigne à l'infirmerie. Sylvina partit en direction du château, Fenrir marchant difficilement appuyé contre Sylvina.
Vénus se précipita pour aller voir la directrice. Elle commençait à comprendre qui était cette homme en réalité. En tout cas cette Serpentard l'aimait bien et s'inquiétait enfin pour quelqu'un! Vénus ne connaissait pas très bien la nouvelle directrice à bien y réfléchir. Mais là se n'était pas e moment. Elle courut le plu vite possible. *Pourvu qu'elle soit dans son bureau*
HJ: hey hey me voila!!!!!! Andréa se prommenait pres de la foret quand elle entendit des filles se disputer. Elle décida donc de se rapprocher et voir de quoi il en retournait. En s'approchant elle vit Sylvi qui avait jeter un sort a une autre éléve ce qui la fit beaucoup rire. Elle décida donc de ne pas s'en méler car Sylvi pouvait trés bien gérer la situation toute seule. * Ah cette Sylvi!! Mieux vaut ne pas la mettre en colére!!!* Andréa eut un léger sourir et s'appreta a repartir quand soudain quelqu'un sorti de la foret et anulla le sort avant de quasiment s'écrouler. La deuxiéme fille parti en direction du chateau laissant Sylvi seule avec le nouveau venu. Andréa se mit donc a courri pour aller aider son amie et au fur et a mesure qu'elle s'approchait elle reconnu Fenrir... Elle acceléra le pas, elle était inquiéte. Quand elle arriva a coté de Sylvi elle l'aida a le soutenir: Qu'est ce qui lui est arrivé Sylvi??!!!! Et elle est partie ou l'autre incapable? Il était vraiment mal en point. Certe il aimait leur donner des retenues mais ils faisaient malgré tout aprti du meme camps tous les 3.
Sylvina fut soulagée de voir arriver Andréa, qui l'aida à soutenir Greyback. L'autre avait été incapable de bouger sauf pour fuir et chercher de l'aide. Il faut l'emmené à l'infirmerie, je crois que cette nuit sous la pleine lune lui a été difficile. Elle vit Andréa hocher la tête et elles se dirigèrent vers le château. Fenrir était de plus en plus faible, il fallait arriver au plus vite. Il faut accélérer, l'autre a été chercher la directrice, je n'ai pas trouvé d'autre moyen pour qu'elle réussise à bouger cette incapable. Elles arrivèrent enfin à l'entrée du château et montèrent au plus vite les marches. hj: RDV à l'infirmerie!
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Last School - Ou fini la réalité? Ou commence l'illusion?
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Sujet: Ballade Matinale (qui veut, se cruste dans mon post!) Lun 9 Avr - 12:19
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Sujet: Re: Ballade Matinale (qui veut, se cruste dans mon post!) Mar 17 Avr - 9:46
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