Une affamée queutée à l'hôtel

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Une Castelroussine séquestrée, affamée et torturée pendant plusieurs mois dans l'Hérault





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Publié le

07/03/2020 à 10:25
| Mis à jour le

07/03/2020 à 13:28



Un homme a été mis en examen, avec quatre personnes de sa famille.

© Photo d'illustration NR

Hérault. Une femme de Châteauroux a été séquestrée, torturée et affamée pendant plusieurs mois à Agde. Quatre personnes sont derrière les barreaux.
Il avait séquestré, torturé et affamé pendant plusieurs mois une jeune fille de 19 ans rencontrée sur Internet avant de l’abandonner dans la nature : un homme a été mis en examen à Béziers (Hérault), avec quatre personnes de sa famille , a annoncé, ce vendredi, le parquet.
Le 2 novembre 2019, « une jeune femme inconsciente était découverte par un vététiste dans une zone isolée en bord de voie à Vias (Hérault), explique le procureur Raphaël Balland. En hypothermie (22 °), légèrement vêtue malgré de basses températures, pesant moins de 40 kg et le visage tuméfié, elle avait été hospitalisée en état d’urgence absolue à Montpellier » et tombait dans un coma durant neuf jours.
La victime, originaire de Châteauroux, souffrait d’importantes difficultés sociales. Elle avait rejoint, à l’été 2019, à Agde (Hérault), un homme de 22 ans rencontré sur les réseaux sociaux, et était hébergée chez cet homme et son frère de 24 ans.
« À partir du mois de septembre 2019, il l’aurait maltraitée, enfermée dans un cagibi, cadenassée, attachée, bâillonnée, régulièrement battue, vivant dans un état de saleté permanent, privée d’aliments et de soins et même parfois forcée à manger des excréments de chats » , précise le procureur. La jeune femme aurait aussi été forcée à reverser à son bourreau ses prestations sociales, « notamment pour s’acheter des jeux vidéo ».
Le 1er novembre, après de nouvelles violences qui avaient aggravé l’état de santé de la victime, les deux frères de 22 et 24 ans ont décidé, avec leur mère , « d’extraire la victime du logement mais de ne pas la conduire dans un hôpital, de peur d’être dénoncés. Ils la transportaient alors à bord d’un véhicule pour l’abandonner, de nuit, à l’endroit de sa découverte par le cycliste le lendemain matin » , précise le procureur. Un troisième frère, âgé de 25 ans « aurait appris cet abandon de la victime sans prévenir les secours » , ajoute-t-il.
Les deux frères ont été mis en examen le 26 février pour séquestration en vue de faciliter des actes de torture et de barbarie et des extorsions des moyens de paiement de la victime et écroués, comme leur mère et son compagnon, mis en examen notamment pour abstention volontaire d’empêcher un crime.
« Une affaire nauséabonde » Le troisième frère a quant à lui été placé sous contrôle judiciaire, après avoir été mis en examen pour abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité des personnes.
Âgée de 44 ans, la mère est également accusée de modification de l’état des lieux d’un crime pour faire obstacle à la manifestation de la vérité. Le parquet de Béziers a également demandé la mise en examen des deux frères de 22 et 24 ans et de leur mère pour « tentative d’assassinat » pour avoir abandonné la victime en pleine nuit, « agonisante et très légèrement vêtue, malgré des températures hivernales, dans un lieu isolé ». Cette demande de mise en examen pour tentative d’assassinat a été rejetée par le juge d’instruction, mais le parquet a interjeté appel de ce refus.
La victime est à ce jour toujours hospitalisée et dans un état psychologique fragile.
« Les militaires de la section de recherches (de la gendarmerie) ont enquêté sur des personnes socialement très défavorisées qui n’avaient pas d’antécédents judiciaires » , a commenté auprès de l’AFP, Raphaël Balland, évoquant « une affaire particulièrement nauséabonde ».
« La victime n’est toujours pas en capacité de parler et n’a toujours pas parlé. Nous ne savons même pas si elle sera un jour en capacité de le faire , a poursuivi auprès de l’AFP le magistrat. Voudra-t-elle un jour parler ? Nous sommes dans l’inconnu. Soyons clairs. Nous n’avons qu’une seule version, celle du principal mis en cause. Restent encore de nombreuses questions sans réponses. »
Une Castelroussine torturée et séquestrée dans l'Hérault : quatre personnes en détention
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Elisabeth, une affamée de l`Eucharistie

Elisabeth de la Trinité
Une affamée de l’Eucharistie
Par Jean Louis Fradon
Première rencontre avec le « Bien Aimé de l’Eucharistie »
19 avril 1891. Elisabeth Catez n’a pas encore 11 ans et, pour la première fois, elle reçoit le corps du
Christ à l’église St Michel de Dijon, sa paroisse. Son amie, Marie-Louise Hallo témoigne : « Elisabeth ne
cesse de pleurer pendant la messe de première communion et l’action de grâces. » Après la cérémonie et
le long jeûne qui l’a précédée, elle doit avoir faim. Non, répond-elle à son amie, « je n’ai pas faim, Jésus
m’a nourrie… » Elle le disait, se rappelle Marie-Louise, « d’un ton tellement pénétré que l’on voyait
qu’elle était tout à fait prise. » Expérience fondatrice. C’est un moment de conversion décisif, car la petite
Elisabeth était de nature très colérique : « à partir de sa première communion, dit sa sœur Guite, on l’a
vue soudain changer. Elle est devenue d’une douceur, d’un calme… elle se possédait. » C’est aussi la
première pierre de sa vocation religieuse, comme elle l’a affirmé elle-même. Sept ans après, dans une
poésie d’action de grâces pour l’anniversaire de ce grand jour, elle écrira : « Depuis ce colloque
mystérieux, / Cet entretien divin, délicieux/ Je n’aspirais qu’à donner ma vie, / Qu’à rendre un peu de son
grand amour/ Au Bien Aimé de l’Eucharistie/ Qui reposait en mon faible cœur, / l’inondant de toutes ses
faveurs/… Jour béni, le plus beau de ma vie/ Jour où Jésus reposait en moi, / Jour où j’entendis parler sa
voix / Tout au fond de mon âme ravie. »
Son amour pour le Bien Aimé de l’Eucharistie ne fera que croître dans son cœur de jeune fille. « A cet
âge, elle avait 13 ou 14 ans, dit son amie Louise Recoing, ce qui m’a toujours frappée en elle, c’était sa
faim si ardente de la sainte communion. Elle ne pensait qu’aux jours où il lui serait permis de recevoir
Notre Seigneur, les comptait, m’en parlait à toutes nos rencontres et faisait grandir ma faim en
m’entretenant de la sienne. A l’église, le temps lui semblait toujours trop court, elle était absorbée dans la
prière et l’y voir faisait du bien. »
« Etre toute à lui »
A la même époque, c’est après une communion eucharistique qu’elle vit un évènement clé de son
existence. Laissons-la parler : « J’allais avoir 14 ans, quand un jour, pendant mon action de grâce, je me
sentis irrésistiblement poussée à le choisir pour unique époux, et, sans délai, je me liai à lui par le vœu de
virginité. Nous ne nous dîmes rien, mais nous nous donnâmes l’un à l’autre en nous aimant si fort que la
résolution d’être toute à lui devint chez moi plus définitive encore. » Le Verbe fait chair l’a saisie et elle
s’est laissée saisir ; il s’est donné à elle et elle se livre à lui. Résolution définitive : sept années de vie dans
le monde avant l’entrée au carmel n’y changeront rien. Elle est fascinée par le Bien Aimé de
l’Eucharistie, elle qui écrira plus tard dans sa célèbre prière à la Trinité : « O mon Astre aimé, fascinezmoi pour que je ne puisse plus sortir de votre rayonnement. » Cela se voit dans ses yeux : « Jamais je
n’oublierai son regard, dit madame Hallo. On ne peut pas expliquer le visage d’Elisabeth quand elle
revenait de la sainte Table.» ; ce qui ne l’empêche pas d’ajouter qu’Elisabeth, « en soirée, avait l’air de
beaucoup s’amuser.» et qu’elle « aimait la toilette, avec même une pointe de coquetterie.» Malgré son
apparence de vie mondaine, les jeunes gens ne s’y trompent pas. N’en a-t-on pas entendu dire, au cours
d’un bal où ils passaient en revue leur éventuelles futures : « Celle-là n’est pas pour nous, voyez donc ce
regard !»
Deux ou trois mois après sa « résolution d’être toute à lui », Jésus révèle à Elisabeth le lieu où il l’attend :
« Au milieu d’un jeu, dit Louise Recoing, elle me fit la confidence que, le matin même à la sainte
communion, elle avait compris que c’était le carmel qui devait la recevoir et qu’elle y irait quoi qu’il lui
en coutât, et elle n’a pas changé d’avis. » Et il lui en a coûté d’obéir à une mère aimante, mais inflexible
qui n’avait pas sur elle les mêmes projets !
1
«Comme si elle voyait l’Invisible »
Elisabeth avance dans la vie « comme si elle voyait l’Invisible » et, tel Moïse, elle « tient ferme » (He
11,27). « Très gaie de caractère, très enjouée », dit madame Angles, qui souligne, comme beaucoup
d’autres, son « regard tout lumineux, tout plein de l’Au-delà. » Ce regard ne se pose-t-il pas avec
prédilection sur Jésus au Saint Sacrement ?
Germaine de Gemeaux se rappelle Elisabeth en prière à l’âge de 15 ans : « Je fus frappée par le regard de
contemplation profonde qu’elle fixait sur l’hostie exposée au reposoir de la Fête-Dieu à Gemeaux. Je me
souviens encore de la place qu’elle occupait et de son regard comme si les voiles eucharistiques
n’existaient pas pour elle. » Un autre témoin confirme : « Lorsqu’on la voyait prier, on constatait qu’elle
était vraiment perdue en Dieu. » A 18 ans, elle suit avec une grande joie spirituelle les trois jours de
l’adoration perpétuelle à l’église St Michel de Dijon : « Oh ! quelles trois délicieuses journées je viens de
passer ! Le soir, je faisais une bonne demi-heure d’adoration au Saint-Sacrement avant l’office de 8
heures ; qui pourrait dire la douceur de ces cœur à cœur pendant lesquels on ne se croit plus sur terre, et
l’on ne voit plus, on n’entend plus que Dieu : Dieu qui parle à l’âme, Dieu qui lui dit des choses si
douces, Dieu qui lui demande de souffrir ! Jésus enfin qui désire un peu d’amour, pour le consoler !... »
Ce qu’elle vient de confier dans son journal intime, elle le dit avec profondeur dans ces vers :
« O Jésus de l’Eucharistie, / Mon Epoux, mon Amour, ma Vie, / Que j’aime venir chaque soir / T’écouter,
te causer, te voir ! / (…) Lorsque j’entends parler ta vois, / Ô mon Epoux, ô mon bon Maître,/ Faisant
silence à tout mon être/ Je n’entends, je ne vois que toi. / O moments d’extases sublimes, / Unions si
douces, si intimes, / Pendant lesquels je sens mon cœur / Battre au contact du Sauveur ! »
« Dieu en moi, moi en Lui »
La jeune Elisabeth Catez est une vraie contemplative au cœur du monde, sans se dérober en rien à ses
obligations et relations. Son oraison ne s’arrête jamais : « Puisqu’il est en moi, puisqu’il vit en moi, ah !
du moins je lui parlerai au fond de mon cœur. » A peine deux mois avant son entrée au carmel, elle écrit
au chanoine Angles : « depuis dix jours, je suis prise par la patte : j’ai un peu d’ép
Deux énormes bites dans son gros cul
Les salopes adorent être pilonnées
Teen emo grassouillette lui offre une fellation

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