Une ado qui sourit pour rien à son père

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Une ado qui sourit pour rien à son père
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« Sa désinvolture me révolte ! » se désole Hélène à propos de son fils de 18 ans, avec un exemple tout frais en tête : « A la fête organisée pour les 80 ans de mon père, Léo est arrivé très en retard, chemise et mine froissées. J'étais furieuse. D'autant qu'il n'a jamais voulu s'excuser. » Caroline aussi ne décolère pas devant la « mauvaise foi » de son fils de 16 ans. « Il devient systématiquement agressif plutôt que de lâcher ne serait-ce qu'un petit “Je suis désolé”… Faut-il l'obliger à présenter des excuses ? » se demande-t-elle.
« Reconnaître ses torts, c'est antino-mique avec la dynamique adolescente, plutôt du côté de l'anarchie , rappelle Nicole Prieur, thérapeute et philosophe. Le jeune cherche à s'émanciper de l'autorité familiale et à ne rendre des comptes qu'à lui-même. » Parfois aussi, l'édifice est tellement fragile chez l'adolescent en pleine construction identitaire, avec une estime de soi médiocre ou hypertrophiée, qu'il masque ses fragilités par une attitude butée. « S'excuser revient pour lui à s'abaisser face à un adulte en position dominante », explique la thérapeute. C'est en partie pour cette raison qu'exiger des excuses ne sera pas toujours la solution.
Leslie s'y est risquée avec sa fille de 17 ans. « Elle était odieuse avec sa cadette, qui a trois ans de moins qu'elle, l'appelait “dindon” ou du nom de sa crème anti-acné. Il y a peu, elle a été tellement méchante qu'on a exigé qu'elle s'excuse, tant ses mots abîmaient leur relation. Elle l'a fait mollement, disant que l'on n'avait pas d'humour… Et cela ne l'a pas empêchée de recommen­cer. » Même constat chez Joan : « Mon ado devait donner un coup de main à nos amis qui déménageaient. Le jour venu, pas de nouvelles. Deux heures (et cinq tentatives pour le joindre) plus tard, il rappelle. “La flemme…” Il est chez sa copine. Il a changé de plan. Je l'ai ser­monné sur l'engagement et j'ai exigé qu'il s'excuse. Il a refusé ! » Dans ce cas, mieux vaut prendre le temps de la réflexion avant de forcer les choses, au risque de crisper encore plus la relation.
Dans ce conflit qui oppose les sœurs, « il faudrait com­prendre d'où vient la vio­lence de l'aînée », estime la psychothérapeute Virgi­nie Bapt. Avec un ado qui, au fond, fait tout pour se mettre en tort, « il con­vient de chercher un échange qui lui permettrait de mesurer la complexité des enjeux relationnels dont il semble ne pas avoir conscience », complète Nicole Prieur. Arriver en retard ou faire faux bond est déjà une manière de se révolter contre l'autorité parentale et, par ricochet, contre le monde adulte… A celui qui arrive en piteux état aux 80 ans de son grand­-père, on peut dire, par exemple : « Tu penses que ça lui a fait quoi, à papy, de te voir comme ça ? » « Pas pour le culpabiliser ou l'abaisser, souligne Nicole Prieur, mais pour qu'il se regarde agir, qu'il y repense, qu'il comprenne aussi la valeur de l'excuse, qui ne le dédouanera pas pour autant de sa responsabilité. »
Lui arracher un « pardon » ne servirait à rien s'il ne prend pas conscience qu'il a dépassé les bornes… C'est bien le but de la « manœuvre » : ne pas le soumettre, mais l'éveiller. « Si l'on extorque des excuses, il faut être au clair avec soi­-même et savoir ce que l'on en attend , insiste Nicole Prieur. Sans ce préalable, cela peut ressembler plus à une humi­liation qu'à un apprentissage. » Philippe, 50 ans, raconte : « J'étais un ado du genre rebelle et un peu garnement. Un jour, j'ai balancé un pétard par la fenêtre dans le salon de la voisine que je n'aimais pas ! Ma mère m'a rendu un grand service en m'ordonnant d'aller présenter tout seul mes excuses. Si elle m'avait tenu par la main, cela m'aurait plus rabaissé que responsabilisé », raconte ­t-­il.
Sans nul doute, demandée à bon escient, l'excuse éteint la colère, la blessure ou l'agressi­vité des deux parties. Elle apprend à l'adolescent à développer son empathie : ce qu'il dit ou fait a un effet sur les autres, même s'il ne le mesure pas toujours ni à temps ! Il peut reconnaître ses torts, sans avoir l'impression que l'adulte cherche à lui « faire mordre la pous­sière ». Pour qu'il découvre que s'excuser permet de prendre soin de la rela­tion, on peut revenir avec lui sur le sens que prend l'expression du repentir. Au préalable, on pourrait proposer : « Je voudrais que l'on parle de ce que tu viens de faire/de dire », conseille Virginie Bapt. Puis expliquer : « L'excuse n'efface rien. Elle vise à rétablir la communication entre deux personnes et les fait grandir. “L'of­fensé” se sent considéré, et “l'offenseur” gagne en responsabilité, car il montre qu'il est capable de mesurer la portée de ses actes. Dans ce cas, s'excuser n'a rien à voir avec se soumettre . »
Eric Bouviala, principal d'un collège en Haute­-Garonne, traite le sujet au quoti­dien. « C'est surtout entre pairs que je demande aux élèves de s'excuser , explique t-­il, en les poussant à réfléchir au sens d'une insulte, notamment. Ce qui m'importe surtout avec un ado qui lance, par exemple, un projectile en cours pour faire rire les copains, c'est qu'il le reconnaisse (“C'est vrai, ça ne se fait pas”). Il y a aussi des comportements qui n'appellent pas forcément des excuses, comme sécher les cours ou fumer des joints… Cela me rappelle cet élève qui dégoupillait les extincteurs du collège. Il voulait surtout attirer notre attention. On ne demande pas à tout prix de s'excuser à un jeune qui, avant tout, a besoin d'aide. » Et, ironie de la situation, c'est parfois avec les parents qu'Eric Bouviala rencontre des difficul­tés quand il s'agit d'amener un ado­lescent à reconnaître la portée de ses actes. « A la maison, nous voudrions que notre ado reconnaisse ses torts, mais nous sommes les premiers à le couvrir à l'école (“Mon enfant est incapable de faire ce dont vous l'accusez !”, “C'est un jugement arbitraire”…), sourit le princi­pal, qui reçoit des parents depuis trente ans. Mais, quoi qu'il en soit, ajoute ­t-­il, une excuse obtenue sous la contrainte ne sera pas sincère et n'apprendra rien à l'adolescent. Elle peut même provoquer chez lui colère et frustration… »
Et, d'ailleurs, qu'obtient-­on ? L'un va dire d'un ton excédé : « Pardon ! Voilà, je me suis excusé… Tu es content ? » L'autre va lâcher un « Déso » (désolé), sans par­ler du « Je n'aurais pas dû, mais… » (sous­-entendu, « C'est de ta faute »). Les formules ne manquent pas pour annu­ler l'effet bénéfique d'une excuse. La meilleure tournure serait : « Je te prie de m'excuser » ou « Peux-­tu m'excuser ? » car, mieux qu'un « Pardon », elle laisse la liberté à l'offensé d'accepter, ou non, la réparation. On peut toujours débattre de ces méandres sémantiques avec nos ados pour, cette fois, les éveiller aux subtilités de notre langue française. Et s'ils ne le comprennent pas, un acte comme un petit travail d'intérêt familial pourra aussi remplacer une excuse qui a du mal à s'exprimer par des mots. Le jour où Paul, 16 ans, est parti en cla­quant la porte, il n'a pas eu à s'exprimer verbalement puisqu'au retour, sans un mot, il a entrepris de dresser la table et de ranger sa chambre, sujet au cœur de la dispute avec sa mère. L'action peut aussi accompagner l'excuse, une double réparation que Joseph, 17 ans, a trouvée juste après avoir griffonné des graffitis obscènes sur des bâtiments de son vil­lage : il a entrepris de tout effacer, puis s'est excusé auprès des responsables de la mairie. Il n'y a pas eu de poursuites. Joseph a retenu la leçon…

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On dit que l’amour des parents est aveugle. Pourtant, quand notre ado a « un truc qui cloche », qu’on le trouve mal fagoté ou défiguré par un bouton d’acné, ça devient une fixette : d’accord, il est le plus beau... mais il pourrait être mieux, quand même ! Et voilà, on va forcément lâcher la pique qui nous démange : « Tu te nettoies bien le visage le soir ? » , « Il est joli ton polo orange, mais... » , « Et si tu évitais de reprendre du dessert ? » Loin de nous l’idée de lui faire de la peine, on veut surtout lui rendre service en attirant son attention sur ce qu’il pourrait améliorer. Qui aime bien châtie bien, dit-on. Mais qu’est-ce qui nous touche à ce point pour que tout ce qui concerne leur physique nous pousse à réagir ainsi ? Parce qu’à voir leur tête et leurs réactions, on comprend vite que ce n’est pas la bonne méthode.
A moins d’être un spécialiste de la communication non violente, difficile de ne pas se laisser dépasser par nos émotions quand cet enfant à la tête d’ange, dont on était si fier de montrer les photos, entre dans « l’âge ingrat ». « Avec sa voix qui mue et sa moustache naissante, il ressemble à un grand dadais pas fini. Je n’arrive plus à le trouver beau ! » ose avouer Héléna, mère de Paul, 15 ans. Co-auteure de Nous sommes des parents formidables ! (Dunod), la psychologue Cécile Desmazières-Berlie nous rassure « C’est une réaction fréquente ! Leurs disgrâces physiques nous atteignent dans notre narcissisme et blessent notre amour-propre, parce que eux, c’est un peu nous ! On les voudrait parfaits, sans défaut, et voilà qu’ils font “tache” et nous déçoivent. » Et si la nature était bien faite ? « Ses imperfections nous ôtent l’envie de les câliner, de les garder pour nous, explique la spécialiste. Elles nous aident à défusionner et, surtout, quand l’enfant est de sexe opposé, à prendre conscience que son corps ne nous appartient pas. »
Par exemple, ce père qui, dans le cabinet de la psy, dit ne pas supporter que sa fille ait des poils sous les bras... au point de lui demander de s’épiler. Refus catégorique de l’ado. Et on la comprend. « A travers cette demande, la jeune fille peut se sentir regardée comme un objet de désir par son propre père... qui, lui, a bien du mal à accepter qu’elle soit devenue une femme. » Retenons que, d’une manière générale, les parents sont les plus mal placés pour faire passer les messages délicats. « D’ailleurs, ceux-ci prennent trop souvent une forme injonctive (“Va te raser”, “Va te laver”, “Arrête de te triturer la peau”...). Difficile à supporter pour l’ado, prévient la psychanalyste Anne-Catherine Sabas*. Une tante, un parrain ou le médecin de famille aura davantage d’impact et, surtout, de recul » , recommande-t-elle.
Les parents sont les plus mal placés pour faire passer les messages délicats.
Mais il faut bien l’avouer, parfois, ça défoule... « Je vis seul avec mon fils et je travaille beaucoup, confie Olivier. Parfois, quand je rentre le soir à la maison, je me sens envahi dans mon espace en voyant Tim avec sa coupe de footeux – que je déteste ! –, avachi sur le canapé. Je ne peux pas m’empêcher de l’agresser sur ses cheveux rasés sur les côtés, ils cristallisent mon énervement. » Voilà qui a le mérite de la franchise. Nathalie aussi fait un effort louable de remise en question en avançant que sa fille aurait un peu pâti de sa crise de la cinquantaine. « Je pense au fond que j’étais presque jalouse de sa jeunesse. Je ne pouvais pas m’empêcher de lui faire remarquer qu’elle avait des boutons ou les cheveux gras, je la rabaissais et je m’en voulais... En réaction, Julie m’attaquait sur mes cheveux blancs ou sur mes rides. C’était de bonne guerre ! » Anne-Catherine Sabas l’explique : « Un jeu de rivalité inconsciente peut se mettre en place, particulièrement entre mère et fille. En séance, on voit qu’elles ne se font pas de cadeaux, observe-t-elle. Or, c’est au parent de stopper le “ping-pong” verbal qui peut tourner à la surenchère, notamment en s’excusant d’une pique maladroite, et de réfléchir à des moyens de retrouver de la sérénité dans sa vie professionnelle ou personnelle, pour se poser en allié de l’ado, et non plus en adversaire. »
Mais si ce surpoids ou ces boutons nous sautent à ce point aux yeux, c’est peut- être qu’ils font écho pour nous à d’anciens complexes. « A 14 ans, j’étais dévorée par l’acné, se souvient France. Au lycée, mes copines ne voulaient plus me faire la bise, je ne sortais plus ou alors au cinéma, pour rester dans la pénombre. Résultat, quand ma fille a commencé à avoir des boutons, j’ai paniqué. J’avais peur qu’elle ne vive le même enfer que le mien. » Bien sûr, on aimerait leur épargner la souffrance et les moqueries. « Surtout que, lorsqu’ils étaient petits, il était de notre ressort de prendre soin d’eux, de pouvoir calmer leurs pleurs, d’anticiper les dangers, observe Cécile Desmazières-Berlie. En revanche, à l’adolescence, non seulement ce n’est plus possible, mais ce n’est pas souhaitable. D’autant que ce qui nous pose problème à nous peut ne pas déranger notre enfant ! Ses “défauts” physiques nous plongent dans l’impuissance. Les pointer du doigt nous donne l’illusion de conserver la mainmise sur la situa- tion et trahit notre besoin inconscient de vouloir garder le contrôle. »
Faut-il alors faire comme si de rien n’était ? « Pas forcément, répond la psychologue. Il est préférable que le parent garde à l’esprit qu’il peut être une ressource pour son enfant en cas de difficulté. » En insistant sur ses atouts qui échappent à la crise pubertaire (sourire, regard...) ou en partageant son vécu (« Moi aussi, j’ai eu à batailler contre mes boutons/mon surpoids... Voilà ce qui a marché ! »). Le soutien logistique (déodorant, soin assainissant, conseil d’un professionnel...) est aussi le bienvenu. « Il ne faut pas non plus hésiter à lui tendre la perche avec bienveillance » , conseille Anne-Catherine Sabas. Par exemple : « Ce n’est pas une période facile. Ça va pour toi, en ce moment ? », « A l’époque, je me sentais seul avec mes problèmes, j’aurais bien aimé pouvoir en parler à mes parents et qu’ils m’aident... » « La semaine dernière, c’est ma fille qui m’a demandé conseil sur sa tenue, s’amuse Hélène : “Maman, j’ai un rendez-vous, comment je m’habille ?” Comme elle avait pris des fesses et que son pantalon la grossissait, je me suis permis d’avancer : “Tu veux vraiment que je te donne mon avis ?” Apparemment, elle était mûre pour l’entendre ! »
« Quand j’étais ado, j’avais un problème de prognathisme, témoigne Marie. Mon père refusait que l’on m’opère de la mâchoire. “Tu es très bien comme tu es”, répétait-il. A peine majeure, je me suis fait opérer contre son gré. » Pour la psychologue Cécile Desmazières-Berlie, il est préférable que ce type de demande n’émane pas du parent. Surtout « à une époque où la chirurgie esthétique sur les jeunes se banalise et où les filtres photo sévissent sur Instagram. Si quelque chose cloche vraiment, les autres le pointeront forcément et il sera alors opportun d’y réfléchir calmement. Plus le parent use d’un “droit de regard” sur le corps de l’adolescent, plus celui-ci va jouer la provocation en multipliant, par exemple, les tatouages ou les teintures. Une façon de rappeler à l’adulte que, de son corps, il fait ce qu’il veut » !
* Auteure d’ Une famille enfin paisible . Sortir du cycle des conflits, Rocher.

Ma belle-fille, une ado amoureuse de son père.  
Bonsoir, c'est ma première fois dans un forum. Je naviguais sur Google pour la 100e fois, pour essayer de trouver des réponses et des solutions à mes problèmes et je vais vous avouer, je crois que je suis en train de devenir dingue. J'ai scruté longuement les conversations déjà ouvertes ici et je n'ai pas réussi à trouver une situation comme la mienne, semblable oui. Voilà je vous explique. Moi et mon fiancé sommes en couple depuis maintenant 2 ans mais nous nous connaissions déjà depuis longtemps avant ça. Lui, a une ado de 13 ans (le sujet problématique ici) . Elle n'a pas de relation avec sa mère vraiment et est avec nous 7/7. Moi j'en ai une de 4 ans et nous avons ensemble un garçon de maintenant 8 mois. Au début, comme d'habitude, tout était rose. La relation entre moi et sa fille allait bien, elle avait 11 ans à l'époque. Je ne remarquais pas du tout ses airs de jalousies ou ses commentaires, à ce moment. Les choses ont commencés à se compliquer lorsque je me suis rendu compte que la petite n'allait PAS A L'ECOLE! Elle se couchait à des heures impossibles et manquait l'école tout les jours.. Pour rester avec son père!!! Pour rester coucher près de lui, dans le même lit, coller! Mon copain travaillait de nuit et ne se levait pas le matin pour la superviser et elle lui inventait toujours un bobo, bref elle gagnait. Un soir alors que je passais la soirée chez lui, il m'a même demandé si sa fille pouvait dormir avec nous !! $ 😮 Entre nous deux. Bon dans ce temps je n'en faisais pas un cas.. Mais ça ma tout de même choqué. J'ai même eu droit à un appel de l'école de la petite parce que les psycho-éducatrices s'en ai mêlé évidement vu la situation. Elle disait être jalouse de moi parce que son père dormait avec moi et non elle.. Bref j'ai eu droit à un méchant questionnaire de leur part, parce qu'on va se le dire, c'est louche!.. Depuis, c'est l'enfer.. Les débuts de notre relation à moi et mon chum fut concentrer et n'était qu'alentour de sa fille. On pouvait pas faire ci, faire ça. Elle piquait des crises d'hystéries, jalousies, au point qu'il a fallu que j'arrete de montrer de l'affection à mon chum parce qu'elle n'aimait pas ça. Pour vous mettre un peu dans le contexte de la situation : Lorsque j'ai appris que j'étais enceinte de mon garçon et que je l'ai annoncé à mon chum, sa première réaction, fut d'aller la réveiller et lui en parler.. je n'ai même pas eu droit à un sourire, un bec de sa part avant
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