Une ado des Philippines

Une ado des Philippines




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































Une ado des Philippines
Rejoindre nos Ă©quipes Join our teams
Ebola, Marburg et les fiÚvres hémorragiques
Vaincre la tuberculose : défi majeur du XXIe siÚcle
La chirurgie en situation humanitaire
Venir en aide aux populations déplacées et réfugiées
Paludisme : la grande tueuse des enfants de moins de 5 ans








20 novembre 2017


- mis Ă  jour le 29 mars 2018


Sélectionner un pays Afrique du Sud Allemagne Argentine Australie Autriche Belgique Brésil Bureau international Canada Corée du Sud Danemark Emirats Arabes Unis Espagne GrÚce Hollande Hong kong Inde Irlande Italie Japon Luxembourg Mexique NorvÚge Royaume-Uni Russie République TchÚque Suisse SuÚde USA
Avec les jeunes filles des bidonvilles de Manille

1999
MSF reçoit le prix Nobel de la paix


98,6 %
de ressources d'origine privée

Analyses de situations à partir de nos expériences de terrain.
Plus de 300 000 personnes s’entassent dans les bidonvilles de Tondo, adossĂ©s au port de Manille, capitale des Philippines. On y compte un mĂ©decin pour 36 000 habitants, un chiffre dĂ©risoire. C’est dans ces quartiers dĂ©favorisĂ©es que MĂ©decins Sans FrontiĂšres (MSF) a dĂ©cidĂ© de mener une opĂ©ration d’envergure : vacciner 25 000 jeunes filles contre le papillomavirus humain, en grande partie responsable du cancer du col de l’utĂ©rus.
Dans les dédales d'Aroma et d'Happyland
Vaincre le cancer du col de l'utérus
Cette maladie tue 12 femmes par jour aux Philippines, et si le gouvernement a dĂ©cidĂ© d’intensifier sa lutte contre ce cancer en 2015, il a privilĂ©giĂ© les rĂ©gions pauvres du pays, dont Manille ne fait pas partie. Dans cette capitale politique et Ă©conomique, les Ă©carts de richesse sont immenses et quelques kilomĂštres seulement sĂ©parent les quartiers d’affaires des bidonvilles de Tondo.
Des jeunes filles, avec leurs affaires, aprĂšs la destruction de leur foyer par un incendie.
Une bénéficiaire du programme de vaccination gratuit de MSF et Likhaan devant son abri de fortune.
Locel, 14 ans, elle vient de donner naissance chez elle Ă  sa fille Richelle.
Des jeunes filles, avec leurs affaires, aprĂšs la destruction de leur foyer par un incendie.
Une bénéficiaire du programme de vaccination gratuit de MSF et Likhaan devant son abri de fortune.
Locel, 14 ans, elle vient de donner naissance chez elle Ă  sa fille Richelle.
MSF, en partenariat avec Likhaan, une organisation locale, et avec le soutien de l’Agence de santĂ© de la ville, a mis en Ɠuvre un premier tour de vaccination entre fĂ©vrier et mars 2017. Plus de 25 000 jeunes filles ĂągĂ©es de 9 Ă  13 ans ont reçu une premiĂšre dose de vaccin, qui pour ĂȘtre efficace doit ĂȘtre complĂ©tĂ©e par une seconde injection, six mois plus tard.
Mais les bidonvilles de Tondo forment un dédale dans lequel les habitants changent réguliÚrement de logement, au gré des opportunités ou des infortunes.
Manille est une des villes les plus densĂ©ment peuplĂ©es du monde : on compte plus de 70 000 habitants au kilomĂštre carrĂ©, soit 3,5 fois plus qu’à Paris. Et si les noms des bidonvilles paraissent pittoresques, ils reflĂštent en fait les conditions d’insalubritĂ© dans lesquelles vivent ses habitants : Happyland vient d’Hapilan qui signifie dĂ©charge et Aroma fait surtout Ă©cho aux odeurs insoutenables du quartier.
La plupart des logements et des habitants de ces bidonvilles n’ont pas d’adresse exacte, ce sont souvent des entrepĂŽts dĂ©saffectĂ©s transformĂ©s en abris de fortune. Chaque entrepĂŽt peut abriter des centaines de familles. Dans cet environnement chaotique, trouver 25 000 jeunes filles en dĂ©but d’annĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un challenge ; en retrouver un maximum six mois plus tard s’avĂ©rait ĂȘtre encore plus compliquĂ©.
Il est possible que le manque d’information et d’éducation Ă  la santĂ© Ă  Tondo aient pu jouer contre la prise de conscience de l’importance d’une seconde injection. Et planifier un rendez-vous six mois Ă  l’avance pour des jeunes filles qui vivent au jour le jour et dans une pauvretĂ© extrĂȘme est un dĂ©fi.
C’est dans ce second temps que l’appui des partenaires locaux s'est rĂ©vĂ©lĂ© crucial.
MĂ©decins Sans FrontiĂšres s’est appuyĂ©e sur Likhaan, qui travaille depuis plus de vingt ans Ă  l’amĂ©lioration de la santĂ© des femmes aux Philippines, pour mener une campagne de sensibilisation de grande ampleur. Objectif : engager les familles et les jeunes filles Ă  revenir se faire vacciner une seconde fois.
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Les travailleurs sociaux locaux, qu’on appelle les « mobilisateurs », ont donc balayĂ© le terrain en porte-Ă -porte en sillonnant les dizaines de kilomĂštres de rues des bidonvilles.
Ils ont Ă©galement organisĂ© des campagnes d’envois de SMS aux familles concernĂ©es, sur prĂšs de 10 000 numĂ©ros de tĂ©lĂ©phones rĂ©coltĂ©s lors du premier tour.
Enfin, les Ă©quipes ont tenu des rĂ©unions d’information publiques, pour alerter les communautĂ©s et rappeler les enjeux de cette campagne.
AprĂšs des semaines d’efforts, les Ă©quipes sont parvenues Ă  un rĂ©sultat bien supĂ©rieur aux prĂ©visions : prĂšs de 90 % des jeunes filles ont reçu leur seconde injection. Dans ce type de campagnes, qui impliquent que les patients se rendent dans un centre de santĂ©, les organisateurs arrivent gĂ©nĂ©ralement Ă  remobiliser entre 60 et 70 % des jeunes filles vaccinĂ©es.
L'Organisation mondiale de la santĂ© recommande la vaccination des filles de moins de 15 ans. Le gouvernement philippin a ainsi intĂ©grĂ© cette vaccination au programme national en 2011, puis l’a intensifiĂ© en 2015. Cependant, les femmes plus ĂągĂ©es n’ont pu en bĂ©nĂ©ficier adolescentes et elles sont aujourd'hui largement concernĂ©es par le cancer du col de l’utĂ©rus.
MSF et Likhaan ont donc Ă©galement dĂ©veloppĂ© des activitĂ©s de dĂ©pistage et de prise en charge de ce cancer. GrĂące Ă  une clinique situĂ©e Ă  Tondo et Ă  une offre de soins mobiles, les Ă©quipes proposent des informations sur le cancer du col de l’utĂ©rus, ainsi que des consultations et des soins gratuits.
Un dĂ©pistage de routine ne prend que trois minutes. Les femmes prĂ©sentant des cellules prĂ©cancĂ©reuses reçoivent immĂ©diatement un traitement par cryothĂ©rapie. Celles suspectĂ©es de prĂ©senter des cas plus avancĂ©s sont rĂ©fĂ©rĂ©es Ă  l’hĂŽpital pour se faire diagnostiquer, et restent accompagnĂ©es par l’équipe Ă  chaque Ă©tape du processus.
Entre janvier et septembre 2017, plus de 1200 femmes ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un dĂ©pistage.
Retrouver 25 000 filles dans les bidonvilles de Manille

Rejoignez MĂ©decins Sans FrontiĂšres sur
Votre gĂ©nĂ©rositĂ© nous est essentielle pour sauver des vies. Merci d’apporter une aide vitale Ă  des enfants,
des femmes et des hommes privés de soins !
Rejoignez les professionnels de santé et les équipes non médicales qui ensemble apportent leurs secours aux populations dont la vie ou la santé est menacée.
Un point de vue unique et un compte-rendu régulier de nos actions sur le terrain.
L’actualitĂ© humanitaire vue par nos intervenants sur le terrain
En cliquant sur “JE M’INSCRIS”, vous acceptez de recevoir des communications et des formes d’engagement de la part de MSF via les coordonnĂ©es collectĂ©es dans le formulaire. Vos donnĂ©es personnelles collectĂ©es resteront strictement confidentielles. Elles ne seront ni vendues ni Ă©changĂ©es conformĂ©ment Ă  nos mentions lĂ©gales. L’exercice de vos droits, dont la dĂ©sinscription, est possible Ă  tout moment, voir notre page « politique de confidentialité ».
Tel : +33 (0)1 40 21 29 29
14-34 avenue Jean JaurĂšs
75019 - Paris

MSF (SIRET N°305 009 102 00081) est une association reconnue d'utilitĂ© publique. Chaque don donne droit Ă  une rĂ©duction d’impĂŽts Ă©gale Ă  75% du montant du don, dans la limite de 1000€ et 66% au-delĂ , dans la limite de 20% de votre revenu imposable.

Rejoindre nos Ă©quipes Join our teams
Ebola, Marburg et les fiÚvres hémorragiques
Vaincre la tuberculose : défi majeur du XXIe siÚcle
La chirurgie en situation humanitaire
Venir en aide aux populations déplacées et réfugiées
Paludisme : la grande tueuse des enfants de moins de 5 ans








20 novembre 2017


- mis Ă  jour le 29 mars 2018


Sélectionner un pays Afrique du Sud Allemagne Argentine Australie Autriche Belgique Brésil Bureau international Canada Corée du Sud Danemark Emirats Arabes Unis Espagne GrÚce Hollande Hong kong Inde Irlande Italie Japon Luxembourg Mexique NorvÚge Royaume-Uni Russie République TchÚque Suisse SuÚde USA
Avec les jeunes filles des bidonvilles de Manille

1999
MSF reçoit le prix Nobel de la paix


98,6 %
de ressources d'origine privée

Analyses de situations à partir de nos expériences de terrain.
Plus de 300 000 personnes s’entassent dans les bidonvilles de Tondo, adossĂ©s au port de Manille, capitale des Philippines. On y compte un mĂ©decin pour 36 000 habitants, un chiffre dĂ©risoire. C’est dans ces quartiers dĂ©favorisĂ©es que MĂ©decins Sans FrontiĂšres (MSF) a dĂ©cidĂ© de mener une opĂ©ration d’envergure : vacciner 25 000 jeunes filles contre le papillomavirus humain, en grande partie responsable du cancer du col de l’utĂ©rus.
Dans les dédales d'Aroma et d'Happyland
Vaincre le cancer du col de l'utérus
Cette maladie tue 12 femmes par jour aux Philippines, et si le gouvernement a dĂ©cidĂ© d’intensifier sa lutte contre ce cancer en 2015, il a privilĂ©giĂ© les rĂ©gions pauvres du pays, dont Manille ne fait pas partie. Dans cette capitale politique et Ă©conomique, les Ă©carts de richesse sont immenses et quelques kilomĂštres seulement sĂ©parent les quartiers d’affaires des bidonvilles de Tondo.
Des jeunes filles, avec leurs affaires, aprĂšs la destruction de leur foyer par un incendie.
Une bénéficiaire du programme de vaccination gratuit de MSF et Likhaan devant son abri de fortune.
Locel, 14 ans, elle vient de donner naissance chez elle Ă  sa fille Richelle.
Des jeunes filles, avec leurs affaires, aprĂšs la destruction de leur foyer par un incendie.
Une bénéficiaire du programme de vaccination gratuit de MSF et Likhaan devant son abri de fortune.
Locel, 14 ans, elle vient de donner naissance chez elle Ă  sa fille Richelle.
MSF, en partenariat avec Likhaan, une organisation locale, et avec le soutien de l’Agence de santĂ© de la ville, a mis en Ɠuvre un premier tour de vaccination entre fĂ©vrier et mars 2017. Plus de 25 000 jeunes filles ĂągĂ©es de 9 Ă  13 ans ont reçu une premiĂšre dose de vaccin, qui pour ĂȘtre efficace doit ĂȘtre complĂ©tĂ©e par une seconde injection, six mois plus tard.
Mais les bidonvilles de Tondo forment un dédale dans lequel les habitants changent réguliÚrement de logement, au gré des opportunités ou des infortunes.
Manille est une des villes les plus densĂ©ment peuplĂ©es du monde : on compte plus de 70 000 habitants au kilomĂštre carrĂ©, soit 3,5 fois plus qu’à Paris. Et si les noms des bidonvilles paraissent pittoresques, ils reflĂštent en fait les conditions d’insalubritĂ© dans lesquelles vivent ses habitants : Happyland vient d’Hapilan qui signifie dĂ©charge et Aroma fait surtout Ă©cho aux odeurs insoutenables du quartier.
La plupart des logements et des habitants de ces bidonvilles n’ont pas d’adresse exacte, ce sont souvent des entrepĂŽts dĂ©saffectĂ©s transformĂ©s en abris de fortune. Chaque entrepĂŽt peut abriter des centaines de familles. Dans cet environnement chaotique, trouver 25 000 jeunes filles en dĂ©but d’annĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un challenge ; en retrouver un maximum six mois plus tard s’avĂ©rait ĂȘtre encore plus compliquĂ©.
Il est possible que le manque d’information et d’éducation Ă  la santĂ© Ă  Tondo aient pu jouer contre la prise de conscience de l’importance d’une seconde injection. Et planifier un rendez-vous six mois Ă  l’avance pour des jeunes filles qui vivent au jour le jour et dans une pauvretĂ© extrĂȘme est un dĂ©fi.
C’est dans ce second temps que l’appui des partenaires locaux s'est rĂ©vĂ©lĂ© crucial.
MĂ©decins Sans FrontiĂšres s’est appuyĂ©e sur Likhaan, qui travaille depuis plus de vingt ans Ă  l’amĂ©lioration de la santĂ© des femmes aux Philippines, pour mener une campagne de sensibilisation de grande ampleur. Objectif : engager les familles et les jeunes filles Ă  revenir se faire vacciner une seconde fois.
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Une travailleuse sociale marche dans le quartier d'Aroma pour retrouver les jeunes filles qui doivent ĂȘtre vaccinĂ©es
Les travailleurs sociaux locaux, qu’on appelle les « mobilisateurs », ont donc balayĂ© le terrain en porte-Ă -porte en sillonnant les dizaines de kilomĂštres de rues des bidonvilles.
Ils ont Ă©galement organisĂ© des campagnes d’envois de SMS aux familles concernĂ©es, sur prĂšs de 10 000 numĂ©ros de tĂ©lĂ©phones rĂ©coltĂ©s lors du premier tour.
Enfin, les Ă©quipes ont tenu des rĂ©unions d’information publiques, pour alerter les communautĂ©s et rappeler les enjeux de cette campagne.
AprĂšs des semaines d’efforts, les Ă©quipes sont parvenues Ă  un rĂ©sultat bien supĂ©rieur aux prĂ©visions : prĂšs de 90 % des jeunes filles ont reçu leur seconde injection. Dans ce type de campagnes, qui impliquent que les patients se rendent dans un centre de santĂ©, les organisateurs arrivent gĂ©nĂ©ralement Ă  remobiliser entre 60 et 70 % des jeunes filles vaccinĂ©es.
L'Organisation mondiale de la santĂ© recommande la vaccination des filles de moins de 15 ans. Le gouvernement philippin a ainsi intĂ©grĂ© cette vaccination au programme national en 2011, puis l’a intensifiĂ© en 2015. Cependant, les femmes plus ĂągĂ©es n’ont pu en bĂ©nĂ©ficier adolescentes et elles sont aujourd'hui largement concernĂ©es par le cancer du col de l’utĂ©rus.
MSF et Likhaan ont donc Ă©galement dĂ©veloppĂ© des activitĂ©s de dĂ©pistage et de prise en charge de ce cancer. GrĂące Ă  une clinique situĂ©e Ă  Tondo et Ă  une offre de soins mobiles, les Ă©quipes proposent des informations sur le cancer du col de l’utĂ©rus, ainsi que des consultations et des soins gratuits.
Un dĂ©pistage de routine ne prend que trois minutes. Les femmes prĂ©sentant des cellules prĂ©cancĂ©reuses reçoivent immĂ©diatement un traitement par cryothĂ©rapie. Celles suspectĂ©es de prĂ©senter des cas plus avancĂ©s sont rĂ©fĂ©rĂ©es Ă  l’hĂŽpital pour se faire diagnostiquer, et restent accompagnĂ©es par l’équipe Ă  chaque Ă©tape du processus.
Entre janvier et septembre 2017, plus de 1200 femmes ont bĂ©nĂ©ficiĂ© d’un dĂ©pistage.
Retrouver 25 000 filles dans les bidonvilles de Manille

Rejoignez MĂ©decins Sans FrontiĂšres sur
Votre gĂ©nĂ©rositĂ© nous est essentielle pour sauver des vies. Merci d’apporter une aide vitale Ă  des enfants,
des femmes et des hommes privés de soins !
Rejoignez les professionnels de santé et les équipes non médicales qui ensemble apportent leurs secours aux populations dont la vie ou la santé est menacée.
Un point de vue unique et un compte-rendu régulier de nos actions sur le terrain.
L’actualitĂ© humanitaire vue par nos intervenants sur le terrain
En cliquant sur “JE M’INSCRIS”, vous acceptez de recevoir des communications et des formes d’engagement de la part de MSF via les coordonnĂ©es collectĂ©es dans le formulaire. Vos donnĂ©es personnelles collectĂ©es resteront strictement confidentielles. Elles ne seront ni vendues ni Ă©changĂ©es conformĂ©ment Ă  nos mentions lĂ©gales. L’exercice de vos droits, dont la dĂ©sinscription, est possible Ă  tout moment, voir notre page « politique de confidentialité ».
Tel : +33 (0)1 40 21 29 29
14-34 avenue Jean JaurĂšs
75019 - Paris

MSF (SIRET N°305 009 102 00081) est une association reconnue d'utilitĂ© publique. Chaque don donne droit Ă  une rĂ©duction d’impĂŽts Ă©gale Ă  75% du montant du don, dans la limite de 1000€ et 66% au-delĂ , dans la limite de 20% de votre revenu imposable.

A password will be e-mailed to you.

WorldTop - Tous droits réservés
Pour nous contacter : 8315904 (*) gmail com
Confidentialité
Une jeune femme, originaire des Philippines, a eu le visage totalement dĂ©formĂ©, aprĂšs qu’elle ait percĂ© un bouton sur son nez.


© 2022 - Tous droits réservés sur les contenus du site 24matins.fr - ADN Contents - 




Dimanche lors d'un discours, le prĂ©sident des Philippines Rodrigo Duterte a racontĂ© avoir sexuellement agressĂ© une domestique du temps oĂč il Ă©tait adolescent. Son porte-parole a ensuite pris la parole pour affirmer que cette histoire avait Ă©tĂ© "inventĂ©e" et "pimentĂ©e".
À la maniĂšre d’un Donald Trump, les frasques de Rodrigo Duterte s’enchaĂźnent dans une consternation quasi-gĂ©nĂ©rale sans pour autant que son fauteuil de prĂ©sident soit sensiblement menacĂ©. Dimanche, le chef d’État des Philippines a ainsi racontĂ© que, du temps oĂč il Ă©tait adolescent, il avait sexuellement agressĂ© une domestique.
Une confession qu’il aurait d’abord faite Ă  un prĂȘtre avant de l’étendre Ă  toute une assistance en fin de semaine derniĂšre. Le prĂ©sident Duterte a affirmĂ© qu’une nuit, il s’était faufilĂ© dans la chambre de sa domestique alors que cette derniĂšre Ă©tait en train de dormir.
Dans des propos rapportĂ©s traduits par franceinfo, le dirigeant poursuit sans visiblement chercher Ă  omettre des dĂ©tails : “J’ai levĂ© la couverture. [
] J’ai tentĂ© de toucher ce qui Ă©tait dans la culotte. J’étais en train de toucher, elle s’est rĂ©veillĂ©e, alors je suis sorti “. Il aurait confessĂ© au prĂȘtre ĂȘtre ensuite revenu et tentĂ© une nouvelle fois d’agresser la domestique.
Suite Ă  ces propos, le parti Gabriela, Ɠuvrant pour le respect des droits des femmes, a appelĂ© Ă  la dĂ©mission de Rodrigo Duterte, estimant que les mots qu’il avait employĂ©s constituaient un aveu de tentative de viol. “Une pĂ©nĂ©tration avec le pĂ©nis n’est pas la seule qui soit constitutive de viol. S’il s’agit d’un doigt ou d’un objet, c’est Ă©galement un viol” , a ainsi dĂ©clarĂ© la secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de Gabriela Joms Salvador.
Dans une vraisemblable dĂ©marche de dĂ©samorcer la polĂ©mique, le porte-parole du prĂ©sident Salvador Panelo a indiquĂ© que Rodrigo Duterte avait “inventĂ©â€ et “pimentĂ©â€ cette histoire : “Il a inventĂ© une anecdote risible pour attirer l’attention sur les agressions sexuelles que lui et ses camarades subirent au lycĂ©e” .
Le prĂ©sident philippin s’exprimait alors au sujet d’agressions sexuelles commises par des religieux sur des enfants. Il a notamment considĂ©rĂ© que l’Église Ă©tait “l’institution la plus hypocrite” qui soit et que plusieurs de ses camarades et lui avaient subi de telles agressions.

InfirmiĂšre japonaise en collants et talons hauts - Video porno films xxx sexe en streaming
La masturbation anale lui fait toujours du bien
Des salopes assoifées

Report Page