Une ado curieuse essaie la queue de son beau-frère

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Une ado curieuse essaie la queue de son beau-frère
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2 mois après : “L’enfer by calahan”
“A toi, Atlante Elana, Père a convaincu la bienveillante Ascyl. Normalement, adulte Natus comme Atlante ne peut s’estimer victime de maladresse à coucherie. Mais il a juré en son honneur, tout comme nous tous, de ta blessure. Le crime de Mauvel est détesté de tous Candides et nous avons été grandement touché de surprise quand ta situation a transité. Navrée et excuse nous t’amenons avec ce pli. La bienveillante Ascyl a apporté nos requêtes à plusieurs des Grands. Et il semblerait que la Batailleuse Vida, notre dirigeante, ai voulu apprendre le contenu de ces demandes. Si Artus n’a pas osé parler, à grandes hésitations de sa voix encore en exercice, nous avons tous été reçu. C’est honneur inattendu venant de telle femme et attention portée à ton cas par notre guide. Nous avons parlé de ce jour. Et nous avons juré en nos honneurs ta blessure qui ne mérite que guérison. Pour nous récompenser de cette bravoure, la Batailleuse Vida m’a mandé de te transmettre sa décision. Mais puisque que j’ai main tremblante tant je suis émue à l’annonce, Père est auprès de moi pour dicter ces mots. Vida a mandé autorisation auprès des Atlantes pour te faire venir et éviter tout malentendus. Le crime de Mauvel est si peu répandu que seuls meilleurs Candides peuvent espérer le résoudre. Science médicale Atlante est certes très avancée. Mais tu pourrais apporter beaucoup de réponses à nos champions qui ne cherchent qu’à rendre toujours plus grand leur art. Si tu acceptes de venir à nous et d’avoir courage à leur offrir cette chance, toi femme blessée à sujet d’exercice, nous avons pour toi un accès en l’Antre. Sans condition de temps ! Je suis heureuse pour toi, Dame Elana, j’en suis sincère. Mais j’aimerai te mander faveur ! En cette heure, mon père s’en est allé cuisiner. Aleya et Reltyss ont encore brûlé l’âtre et Père veut manger bon ce soir. Je glisse ma demande et j’ai tremblement rien qu’à cette idée. Puisses-tu patienter encore un peu ? Ma première journée en l’Antre est dans ce que vous appelez douze jours. J’ai première conquête en vue mais j’ai crainte de maladresse. Comment pourrais-je dire à Père que je veux moi aussi art Candide pour ma première fois ? Me permettre bonne préparation pour mon lien que j’ambitionne ? Je te sais vide de regard en lisant ceci. Mais en ton coeur se trouve l'intérêt de mes lettres. Veux tu bien m’accompagner ce jour en l’Antre ? Nous serions toutes deux plus fortes pour faire le choix de notre désir… Aleya promet de t’emmener voir le musée de la Guerre. Et Artus veut te montrer première grande toile que les sages ont accepté de dresser dans l’une de leurs offices. Nous songeons à toi. Ton portrait était accroché au-dessus de l’âtre pour que tu sois avec nous à dîner. Mais Aleya et Reltyss ne savent pas cuisiner. Ton image à peu souffert des flammes… … Tu n’est juste plus visible. Et tu nous manques. Vyme. Reltyss. Aleya. Artus. Aulbeck.”
2 mois après : “L’enfer by calahan”
En finissant la lettre, elle décida d'envoyer des cookies artisanaux aux Natus, histoire de compenser l'échec de repas récurrent et dangereux pour les portrait du couple de la famille. Et ainsi Aulbeck pourrait noyer son chagrin dans de bonnes pâtisseries. Elle était en train de méditer sur comment répondre et de se bouger un peu le cul pour se rendre en magna, quand Will attrapa un paquet de galette au beurre breton. « Je croyais qu’il n’avait que le sirop d’érable de bon en sucrerie ? » lança t’elle pour le charrier. Elle adorait ce partage constant d’affaire et de denrée, elle trouvait ça normal de leur faire profiter les ‘gros’ colis de son paternel. « Bah bien sûr qu’y a que ça...mais j’vais pas réussir à draguer la France en me badigeonnant de sirop d'Érable. Ouep. Faut être plus vicelard et connaître la cible !!! » Il fit le dernier mot en mimant des gros yeux et enfournant la première galette toute entière. Mais Izabel, qui était venue par derrière, lui donna un si bon taquet sur le casque qu’il s’étouffa en expulsant des morceaux un peu partout. Elana se marra aussitôt « Finalement le sirop d'Érable serait plus attirant que la salive… aromatisé au beurre de bretagne ! » elle fit un clin d’oeil a Iza. Tandis que Will s’écartait pour reprendre sa respiration et cesser de tousser, Izabel revint s’installer devant elle en tailleur et lui prit les mains. « On peut parler des affaires de fille ? » lui demanda-t-elle avec une petite étincelle dans le regard. Généralement, lorsqu’elle faisait ça, c’était le moment où elle forçait légérement plus sur les échanges de son traumatisme. Elana releva la tête vers Will, mais elle ne le chassa pas, cette fois. « Ruth ne veut rien me dire. Et Rita a piqué le dictionnaire Allemand/Latin/Américain que Will a dans son sac. Tu risques rien. Mais...je voudrais avoir les nouvelles si ça te dit. » Elle ne savait pas trop comment le dire, elle regarda Will, autant qu’il sache qu’elle va partir sur magna quelques jours. « Je vais surement partir en magna quelques jours. » Iza la gratifia d’un sourire très avenant. « Ce sera le grand jour ? » fit-elle pour ne pas préciser un élément qu’elle détenait sur la raison d’une visite en Magna. « Tu veux pas m’emmener avec toi, t’as failli m’étouffer avec ton gâteau. Tu me dois bien ça... » « WILL !!! » fît le sergent de loin. « Arrête d’ennuyer ta collègue et viens par là, on a un boulot pour toi. » Will soupira d’une forme de tristesse et il passa à côté d’Elana. En se tournant vers elle, il joignit ses mains en forme de pitié avant de reprendre un air sérieux. Cela amusa Elana qui mima un roulement d’yeux digne d’une princesse pour l'embêter. « Quel clown ! » fît Iza en secouant la tête. Ses cheveux lui tombaient tout juste sur les oreilles. Elle commençait à reprendre confiance en elle sur ce point. Et Elana lui avait trouvé une barrette licorne que l’infirmière dissimulait dans son casque pour ne pas porter préjudice à son capitaine. Elle l’avait adopté dès qu’Elana le lui avait offert pour qu’elle garde son sobriquet. Iza en rigolait maintenant. « Alors, on peut en parler un peu ? Tu te sens prête ? » Elana lui lu le passage sur Vida et l’acceptation de la demande de la famille… « Non, j’ai peur... » avoua-t-elle à la fin de sa lecture. « C’est normal. » La rassura Izabel en lui frictionnant l’épaule. « Tu t’es occupée de moi quand j’ai débuté chez Calahan et c’est grâce à toi qui j’y suis restée. Tu m’aides même à supporter Will. » « J’AI RIEN FAIT !!! » fît sa voix plus élevée avant d’être sévèrement ramené à l’ordre par Tim. Elana tourna la tête, surprise, il était en train d’écouter ? En réalité, Elana se rendit rapidement compte qu’il avait lancé ça au hasard et qu’il avait fait mouche. Quel AS ! Plaisantin comme toujours, même devant le capitaine. Il était en train de s’excuser au garde à vous sous le regard amusé de Danny, assis sur son blindé, une clope à la bouche. « Ce qu’on va faire, c’est que tu viendras me voir une petite semaine avant ton départ. » continua Izabel en récupérant son attention. « Je te mets sous un léger anxiolytique. » Elle leva la main pour lui interdire la réplique. « Je ne te drogue pas Elana... » Précisa-t-elle. « Tu iras là-bas détendue avec suffisamment d’heures de sommeil pour profiter de ton passage en Magna et prendre ta décision. Tu marches ? » Elana hocha la tête, elle ne ferait pas faux bond au Natus, mais serait angoissé cela allait l’aider à mettre un pied devant l’autre pour ne pas faire un refus d’obstacle. « Merci ma licorne. C’est bête, mais j’ai aussi l’angoisse d’un rapport... même si ce n’est pas la base de l’art candide, ça m'obsède c’est dingue. » « Te bile pas, terminator ! » S’amusa Rita en arrivant à coté d’elle. Elle s’installa à l’emplacement de la poche de chips après l’avoir récupéré et piocha dedans. « Ils vont te remettre en forme et tu voudras même plus sortir de leurs chambres. T’avais pas remarqué que les queutards de la base se bousculent sur les missions communes avec les Natus ? » Rita lui fit un petit clin d’oeil en dévorant quelques chips. « Les mecs essaient de devenir Héros de la Magna pour foutre les pieds là-bas. Et toi, t’as le pass tout chaud dans la poche petite veinarde. Y’a juste la porte à franchir, ce sera le plus emmerdant pour le trac ! » « Ils ont juste pas pigé que c’est pas une maison close en fait... » « Ils ont juste pigé que c’est avec les Candides qu’on tire les meilleurs coups. Tu me vends ton passe combien ? » « RITA !!!!! » S’offensa le médecin en lui balançant un poche vide. L’italienne ricana et donna un petit d’épaule à sa comparse. « J’suis un peu jalouse. Mais je peux t’assurer que ça va bien se passer là-bas. T’aura qu’à te dire que c’est ta “seconde” première fois. C’est terrain allié tu sais, t’as rien à craindre... » Rita avait parfois une manière de faire très provocante et bourrine, mais ça faisait son charme après tout. « Je te le file si tu prends le traumatisme avec. C’est le paquet complet. » lança Elana pour bousculer un peu Rita, mais elle était reconnaissante qu’elle tente de la rassurer à sa manière « Bah tant que tu me refiles pas Will ! » déconna-t-elle en retour. Ce qui fit rire les filles. Will était le sujet récurrent pour blaguer. Elle posa la poche de chips et sortit de sa veste le fameux dictionnaire. « Il est quand même con-con des fois. Essayer de chopper des mots par-dessus l’épaule d’une spécialiste en renseignement et surligner les defs. Ca fait plus aucun sens son bordel ! » Elana tendit une main pour réceptionner le dictionnaire… Will était un peu trop curieux quand même. « Il se prend de ses obsessions parfois... » « Oh oui, ça a strictement rien à voir avec toi. » « Et encore moins la fois où il t’a gaulé en train de faire la pissette ! » Rita secoua la tête. « T’as qu’un mot à dire et il osera même plus penser à ton petit derrière pendant six mois. Foi de ritale ! » Elle se souvenait bien de cette fois… le hasard fait de drole de chose, il était partit chercher du bois quand il était tombé sur une Elana le cul à l’air qui remettait son froc… Il avait été vernis ce jour là, découvrant qu’elle avait deux grain de beauté sur la fesse droite en forme vague de papillon. « Je suis certaine qu’il serait capable de prendre la place d’un natus pour surveiller tiens ! » dit-elle en allant dans la surenchère. « Surveiller ? » fit Iza en levant un sourcil. « Il prendra surtout la place de ton Natus, oui. » Elana donna un coup à Iza gentiment. « Laisse moi ma naïveté ! Sinon je vais cauchemarder encore ! » un peu d’humour était bienvenu, bon toujours sur le dos de ce pauvre Will. Mais le problème étant qu'à force de la charrier sur lui et Elana, cela devenait flou de savoir si cela était sincère ou bien simplement une continuité d’un jeu instauré depuis le début. « Bon vous serez sages ? Pendant qu’on me répare. Sinon, vous irez tenir compagnie à Will pendant les tours de garde. » « Il va être imbuvable pendant ton absence. » Soupira Iza. « Par contre, tu reviens avec la photo. J’suis sérieuse Elana ! » « La photo de mon Natus ou bien de son entre-jambe ? » taquina t’elle. « J’vois que j’ai pas besoin de te faire un dessin. On a cinq cents dollars dans la cagnotte sur le type de mec que t’aura choisi donc...faut le résultat. » « Cinq cent dollars ? Je vais t’épargner la photo. Je prendrai celui qui ressemble à Liam ! » dit-elle, Rita connaissait bien la référence, l’italienne en aurait bien fait son quatre heure du pompier et elle avait bassiné Elana pour l'inviter à une soirée de l’escouade. “On partage les apéritifs” qu’elle lui avait dit avec un sourire amusé. De toute façon, il avait eu des rumeurs comme quoi Liam et Elana avait une relation intime. Ce qui n'était pas vrai, le pompier n’avait pas eu le courage de lui avouer son attirance. « Ta-ta-ta. C’est du sérieux ma chère. Danny, Will et même Tim ont ajouté au pot. Qui sait si tu trouveras pas mieux que Liam là-bas et que tu nous reviendras avec une photo différente ? » « On verra. Ça se trouve ça sera une Rita. » elle masquait par de l’humour sa gêne face à ce pari. « Désolé chérie. Mais je préfère encore me taper Matt avec un sac sur sa tête ! » Elana ricana. « Bah voilà vous avez trouvé de quoi le consoler durant mon absence. » Elle soupira quelques secondes « Et vous avez parié sur quel type d’homme ? » oui là elle était curieuse. « Elana, voyons...les statistiques, les quotes, les risques de voir Will fouiner partout... » « Ruth tient les paris dans un carnet codé donc on sait pas qui a voté le plus près de tes goûts de Natus...et je te donnerai pas mon choix. » « Ni le mien... » « Tsss… » fit-elle faussement déçue. Après tout elle aurait fait comme elles. Mais bon quand on est le sujet du pari, on a toujours envie de savoir. « Tu veux savoir le pire ?... » fît Ruth en passant dans son dos. Elle avait visiblement écouté la conversation. Décidément la salle de repos était un moulin aujourd’hui, mais c’était toujours le cas, quand elle recevait un colis ou une lettre Natus. Enfin dès que quelqu'un avait reçu quelque chose au final. « Fait moi rêver... » « Tim a trouvé que ça manquait de piquant. Donc si tu décides de faire demi-tour, que tu ne reviens pas avec la photo ou que tu nous en montre une factice. Et crois moi Will est fortiche pour déceler les montages : les filles du groupe que nous sommes devront convaincre le Capitaine Allen de remettre l’argent à Calahan en tant que vainqueur par défaut... » Elana fit de gros yeux avant de se mettre à rire, imaginant la tête d’Allen… et elle devait être au courant de ce pari à la con encore. « Ola il met la pression ! » « Il a mit cent dollars pour toi, c’était sa condition. Il veut que le pari soit…”équitable” en gain comme en perte. » « Franchement vous me faites peur quand vous vous y mettez... » cela allait toujours un peu loin mais ça restait dans les clous. Au moins, ils s’étaient tous bien trouvé au final. En tout cas, elle était curieuse de savoir ce qu’ils avaient parié chacun. « On ne peut pas tous être aussi glaciale que toi très chère. » « Et ça dédramatise ton petit voyage. » glissa gentiment Iza.
2 mois après : “L’enfer by calahan”
“ A la famille de Magna, Je suis très honoré et touché de voir que votre demande à été relayé auprès de la Batailleuse Vida et surtout qu’ils y prennent attention. Mais je suis particulièrement fière de l’honneur qu’elle vous a fait. Je ne vous remercierais jamais assez de votre bienveillance. Je viendrais sous douze jours, je ne vous cache pas que j’ai une certaine appréhension, mais le fait de vous revoir me donne du courage. Pour répondre à ta demande Vyme, je serais honoré d’être avec toi pour ce grand jour. Et surtout j’espère que tu me présenteras ce jeune Natus qui fait battre ton cœur. Le programme est fantastique, entre le musée et le vernissage d’Artus… j’ai d’ailleurs trouvé des crayons pour ses dessins, cela lui donnera encore plus de précision que ses mines de charbons. Ce n’est pas grave pour mon image, j’espère juste que d’ici là Reltyss et Aleya seront moins maladroit en cuisine. Vous me manquez aussi. A très vite ! PS : Je joins une boîte de cookie, cela aidera Aulbeck à apprécier une meilleure nourriture quand vos repas seront cramés. Elana ”
2 mois après : “L’enfer by calahan”
12 JOURS PLUS TARD L’équipe CHARLIE était au repos. Elana était en train de finir son sac à dos, vérifiant qu’elle n’avait rien oublié, elle avait entendu prit des présents pour sa Famille pégasienne, autant pour les remercier que pour partager avec eux. Ainsi Artus aurait une boite de crayons de papier de différentes mines allant du plus sec au plus gras. Vyme, une robe de facture Athosienne de la célèbre et excellente couturière qui faisait un ravage fou chez les Atlantes : June. Son style s’était adapté aux goûts des terriennes. Ainsi, la petite blonde aurait une robe de cocktail verte de différentes voilages colorés du même ton qui mettrait en avant sa future séduction. Elana avait été aidé pour ce choix, puisqu’elle n’avait pas vraiment de goût pour les vêtements. Iza avait été une excellente conseillère. Son père Aulbeck une bouteille d’un alcool Atlante, une bière artisanale (française bien entendu) fruité de 1L. Aleya, qui avait confié son goût pour les belles pierres à Elana durant une lettre aurait une améthyste d’un violet profond et de belle taille. Cette fameuse pierre qui semble quelconque quand on la ramasse mais, une fois brisée recèle un beau trésor. Et pour finir le marmiton du coin qui fait brûler les plats, un mini extincteurs pour le charrier, mais son vrai cadeau était un aiguiseur de lame très performant pour sa baïonnette qui ne manquerait plus jamais de coupant et surtout qui prendrait moins de temps. Une fois que ses affaires étaient faites, la française, qui ne portait pas son uniforme, mais une combinaison en deux couleurs. Elle aimait bien ce style de vêtement fluide et simple à mettre. Le haut étant rose poudré avec un pantalon bleu marine portant de larges fleurs rosées. Elle avait choisi des chaussures ouvertes a petites talons de 4 cm carrés et noirs. Elle inspirait doucement, elle redoutait le passage, mais les calmants que lui avaient donné Iza la veille l'avait rendu moins stressé elle devait le reconnaître. Elle fut contente de voir sa brochette de copine et sœur d'arme venir jusqu'à la porte avec elle. La française joua un peu avec les bretelles de son sac à dos trahissant un peu sa nervosité… avant de toiser ses amies. « Merci d’être venue... » oui, elle était touchée de ce soutien inestimable à ses yeux. Izabel, Ruth et Rita était venue ensemble. En dehors de son service militaire, le médecin était bénévole pour renforcer les équipes médicales sur des sujets moins importants. Comme des manifestations sportives, lors des activités des clubs plus risqués comme l’escalade ou la plongée que quelques plaisantins ne préparaient pas. Bowers était donc dans une blouse blanche. Sa coupe au bol ignoble s’embellissait de la barette licorne qu’elle gardait avec elle. En s’approchant, elle prit Elana dans ses bras en souriant. Ruth était, comme toujours, dans son uniforme, les lunettes chaussées sur son nez et le calepin en poche bourrés de notes codées. Elle attendit que le médecin libère le passage pour l’imiter. « J’évalue ton taux de réussite à 73.7%. » lui glissa-t-elle à l’oreille comme s’il s’agissait d’une promesse rassurante plus mathématique. Elana lui sourit, Ruth et ses chiffres cela était impressionnant de la voir établir des stats où elle était la seule à comprendre ses brouillons illisible d’intellectuelle. Elle lui frictionna le dos puis laissa la place à Rita. Elle avait un sweet délavé sur lequel un énorme “ITALIA BEST” était inscrit. Elle machait négligemment son chewing gum et lui fit une tape sur l’épaule. « Hé ! Fait passer les Natus pour des radasses trop prudes, d’acc ? » « Mais t’es électrique ce matin, c’est dingue ! » lui fit Iza. « J’ai pas mis assez de bromure dans ton café on dirait ! » Bowers se retourna dans sa direction. « Bon...soyons sérieuse...c’est pour toi. » Elle sortit de la poche de sa blouse un petit boitier métallique bleu. Quelque chose de très simple et passe partout. « Tu as tout les petits trucs de fille pour passer un bon moment. Je te demande, en ma qualité de médecin, de ne pas mettre ta médication de côté. Le but c’est que tu passes un bon moment et que tu décompresses. Tu n’as rien à prouver, c’est pas un challenge, d’acc ? » Elana prit la boite, même si elle ne voulait pas forcément prendre plus que nécessaire et surtout elle voulait réussir elle même sans pillule. Et puis, elle avait l’impression qu’elle allait vraiment dans un club privé pour faire sa première fo
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