Une Religieuse paie pénitence

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« L'homme doit être tout à fait sûr qu'à chaque instant Dieu le regarde du haut des cieux » Saint Benoît
Après la prière, la pénitence: ce sont les deux ailes données au moine, pour s'éloigner de la terre et s'approcher du ciel.
Dans sa pénitence comme dans sa prière, le religieux voit deux choses: Dieu et l'homme. Dieu, le premier, l'homme ensuite.
Il voit Dieu, qu'il faut glorifier et apaiser; il voit l'homme, qu'il faut purifier et sanctifier. Il veut en premier lieu, par sa prière, glorifier Dieu; et par sa pénitence, l'apaiser. Il veut ensuite, par sa pénitence, purifier l'homme; et, par sa prière, le sanctifier. Voilà pourquoi il prie et pourquoi il se mortifie: voilà pourquoi il consume sa vie dans l'oraison et les macérations. Il se consacre à Dieiu et à l'humanité, intercesseur et réparateur pour l'humanité auprès de Dieu.
Toutes les voies de Dieu sont la miséricorde et la justice. Toutes les voies de Dieu, c'est-à-dire, les voies par lesquelles il vient à l'homme et par lesquelles il ramène l'homme à lui.
La miséricorde répand les dons et les grâces, la justice ajuste les mérites et les démérites. Et la miséricorde, qui donne, veut être priée; la justice qui ajuste, veut être payée. La miséricorde de Dieu attend la supplication de l'homme, et sa justice attend sa réparation. La pauvreté de l'homme a besoin de la miséricorde qui donne; son iniquité a besoin de la justice qui ajuste. La pauvreté doit prier, l'iniquité réparer.
(nb: quid de la miséricorde sans le saint sacrifice de la messe? ... )
Jésus-Christ, qui est sans cesse vivant, afin d'intercéder pour nous, auprès de la miséricorde souveraine, est aussi sans cesse mourant sur l'autel, afin d'apaiser pour nous la justice infinie.
Et le moine, qui est venu enfermer sa vie auprès d'un tabernacle, mêle chaque jour la petite goutte d'eau de son sacrifice au vin du sacrifice du Rédempteur, afin d'accomplir en sa chair ce qui manque aux souffrances du Christ, pour l'Eglise qui est son corps.
Chaque jour l'iniquité abonde; et le religieux s'est séparé du monde mauvais où l'iniquité abonde, afin de s'approcher avec foi du trône de la grâce et d'y trouver la miséricorde et d'en obtenir les secours de grâce opportuns, de telle sorte que, là où abonde l'iniquité, la grâce arrive à surabonder.
Il s'immole donc auprès de Jésus et avec lui, d'abord en holocauste, qui est le sacrifice pour l'honneur divin; heureux d'offrir à son Seigneur l'accomplissement des voeux que ses lèvres ont prononcés.
Il s'immole ensuite en victime pacifique, qui est le sacrifice pour le péché, heureux de coopérer avec l'Agneau, à ôter le péché du monde!
Et quelles pénitences offre-t-il à Dieu avec Jésus-Christ? D'abord les séparations et les sujétions imposées par ses voeux. Il brise les liens avec la famille, les relations du monde, les divertissements extérieurs, les jouissances de la richesse, les fantaisies de l'indépendance.
Les pénitences de règle: la clôture et le silence, le coucher sur la dure et le lever de nuit, le cilice et la discipline, l'abstinence prolongée et quelquefois perpétuelle, les jeûnes fréquents, le travail spirituel, intellectuel ou matériel,
Les pénitences providentielles , c'est-à-dire, celles que le Souverain Maître aime à demander aux âmes décidées à ne lui rien refuser. Ainsi les épreuves ordinaires du froid comme dans une certaine abbaye où un certain moine s'aimait à dire:" ici on est enrhumé 364 jours sur 365" !! ou de la chaleur, (on les plaint assez par de très grands froids, supporter une bure par de très grosses chaleurs, on ne s'imagine pas.. !)
des accidents ou des maladies, des contrariétés, de la vie commune, des désolations spirituelles, des angoisses du coeur et des ténèbres de l'esprit.
Toutes ces croix, le religieux les prend dans la mesure où sa vocation le lui demande: il les prend et il les porte avec joie, à l'exemple et en compagnie de son Sauveur.
Il prend les croix de sa vocation, celles-là; mais point d'autres. - Pourquoi? parce que les croix de sa vocation lui viennent de Dieu, lui sont imposées par Dieu; elles sont divines et elles ont une vertu divine.
Elles lui viennent de Dieu, par sa règle et par les évènements.
Le religieux se défie des pénitences humaines, qui n'ont qu'une vertu humaine, c'est-à-dire, qui démolissent l'homme sans édifier Dieu en lui.
Les pénitences divines sont merveilleuses d'à propos, pour détruire le mal humain et réparer la construction divine. Ce sont des remèdes d'un discernement si pénétrant, qu'ils vont, que dans les dernières fibres de l'être, saisir jusqu'aux dernières traces du mal, assainissant ainsi et rendant à leur pureté et à leur vigueur première toutes les facultés.
Voilà pourquoi le religieux y a foi et y recourt; et voilà pourquoi il évite les autres...
Mon Dieu, donnez-nous beaucoup de moines

Publié dans
#spiritualité
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Accueil » Brèves » Justice et pénitence religieuse au Moyen Age
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Par Véronique BEAULANDE-BARRAUD , maître de conférences e à l’université de Reims Champagen-Ardenne Au Moyen Âge, l’Église possède une juridiction importante, associant justice et pénitence. Ces deux notions sont intimement liées. Si la confession est le « tribunal de la conscience », le tribunal ecclésiastique, lui, se veut d’abord un instrument du salut.
Bar l’Atelier 203 rue de Bourgogne 45000 Orléans
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Revue des sciences religieuses Année 1928 8-1 pp. 124-141
Amann E. La pénitence. Les rapports de l'Église et de l'Etat. In: Revue des Sciences Religieuses , tome 8, fascicule 1, 1928. pp. 124-141.
IllliOMOl K D'HISTOIRE DE l\ THEOLOGIE
La Pénitence, les Rapports de l'Eglise et de l'Etat
Suivant une coutume déjà ancienne dans la Compagnie de Jésus, le R. P. d'Alès distribue aux étudiants qui suivent à la Faculté de théologie de Paris ses leçons de dogmatique l'esquisse du cours qu'il est chargé de leur professer. La méthode a ses avantages et ses inconvénients. Au lieu des feuillets polycopiés sur lesquels ont pâli leurs devanciers, les étudiants d'aujourd'hui ont reçu ces prima lineamenta sous la forme plus avenante et plus maniable d'un petit volume (i) qui depuis a été mis dans le commerce. Il faut connaître cette origine pour comprendre le vrai caractère de ce livre où, sur la foi du titre, on pourrait être tenté de chencher un traité complet du sacrement de pénitence. Ce n'est rien de tel que l'auteur a voulu réaliser, et son œuvre ne fait nullement double emploi avec le volumineux travail de son confrère le R. P. Galtier dont nous avons jadis entretenu longuement les lecteurs de la Revue. Memento à l'usage des étudiants qui ont suivi les cours, l'opuscule en question peut rendre à ceux-ci de signalés services, en leur fournissant les références exactes dont l'indication à la volée pourrait laisser en leurs cahiers de nombreuses inexactitudes. Mais, de toute évidence, il ne saurait suppléer un enseignement oral groupant sous quelques idées directrices ces innombrables fiches, organisant en une synthèse ces matériaux amoncelés. Privés de cette ressource, le lecteur en est un peu réduift à se frayer lui- même son chemin dans un terrain bien embrousaillé et il lui faut une certaine constance pour poursuivre la lecture d'un livre où il semble que tout se réunisse pouîr arrêter les bonnes volontés : latin quelque peu recherché et parfois laborieux, absence de blancs dans les pages et de divisions apparentes, multiplica-
(i) De sacramento poenitentiae , Paris, Beauchesne 1926. In-8°, xi-176 p.
ghroniquE^b'hlstoire de là théologie 125
tion de sigles dont un bon nombre ne sont pas résolus, etc. Nos chartae parcimus, écrit l'auteur, p. 116. A vrai dire, le papier est cher ; mais est-ce seulement pour des raisons d'économie que le docte professeur se montre parfois si avare d'explications ? Disons donc, bien nettement, que nous regrettons cette absence absolue de composition qui risque de décourager les lecteurs. Un livre doit être, nous semhle-t-il, autre chose qu'un amas de fiches, parmi lesquelles on laisse le public se débattra.
Ces restrictions faites, et l'auteur nous pardonnera de les exprimer avec cptjte franchise, nous ne saurions trop engager quiconque veut étudier d'un peu près le traité de la Pénitence à recourir à ce petit livre. Il s'y rencontre en effet une quantité prodigieuse de renseignements, qui, dûment mis en œuvre, permettraient de renouveler bon nombre de pages des anciens manuels de théologie. Sur la plupart des questions auxquelles il touche le P. d'Alès se montre très consciencieusement averti ; on connaît du reste son érudition patristique, et il n'est guère de texte important de l'ancienne littérature chrétienne qui ne soit mentionné ; peut-être souhaiteraifHon plus d'exactitude dans 1' enumeration et le classement des théologiens du Moyen-Age et dans l'appréciation des thèses de maîtres plus récents. Mais, encore une fois, ce n'est pas par défaut de renseignements que pèche l'ouvrage. — Le plan est strictement dicté par la préoccupation dogmatique. Un premier chapitre établit l'existence du sacrement de pénitence, sous la forme d'un jugement qui relève du pouvoir des clefs. Les divisions suivantes étudient successivement la matière du sacrement, c'est-à-dire les actes du pénitent (confession, contrition, satisfaction) et la forme, c'est-à-d-irie l' absolution donnée par le prêtre. Mais l'auteur est trop historien pour s'être contenté des maigres développements que les manuels classiques consacrent à chacun de ces points, plusieurs des thèses entre lesquelles se répartit la matière étudiée, font largement appel à l'histoire ; signalons, pour leur étendue, la thèse 2 sur le pouvoir des clefs, et la thèse 8 suri la nécessité « de droit divin » de la confession omnium et singulorum pec- catorum morialium. Mais, c'est ici surtout qu'une exposition nuancée serait indispensable ; et l'on se prend à regretter la fâcheuse méthode qui consiste à jeter les unes après les autres, sans aucun discernement apparent, les différentes pièces du dossier. Et que dire de cette remarque qui précède une enumeration de vingt pages : ne quid consulte) praetermissum videa- tur, offeremus etiam quaedam dicta dubiae aut controvensae
inter pretationis ? Nous voilà bien lotis ! A parler net, cos documents .amoncelés ne peuvent prendre leur signification que dans un exposé historique d'ensemble qui permettrait de situer cha-* cun d'eux. Jadis nous regrettions que le R. P. Galtier n'ait pas davantage accordé à la méthode historique dans rétablissement du plan de son magistral traité. Ce regret, à plus forte raison, faut-il l'exprimer ici. D'autant plus qu'il n'eût pas été difficile de garder les grandes lignes de la division du R. P. d'Alès, tout en se conformant aux indications de l'histoire. Il 9e trouve en effet que, des diverses parties du sacrement de pénitence, chacune a, tour à tour, attiré l'attention des Pères et des théologiens : satisfaction d'abord, puis confession, puis contrition, absolution enfin, jusqu'à ce que soit faite la synthèse complète de ces divers éléments, et que le caractère sacramentel, au sens strict du mot, ait été définitivement proclamé par tous, et solennellement promulgué par les définitions conciliaires. Replacées dans ce cadre historique, les affirmations de divers théologiens, anciens ou plus récents, que l'auteur signale, de ci de là, à la réprobation de ses élèves ou de ses lecteurs, sont loin d'apparaître aussi monstrueuses. Ainsi des opinions de Gratien (p. io5) sur la nécessité de la confession, des scholas- tici veteres (p. n4) sur le rôle purement déclaratif de l'absolution, de Scot (p. i45, cf. p. 49 et 5.7) sur l'essence du sacrement de pénitence, etc. Le bienheureux Duns Scot, à la p. 49, se voit mis presque sur le même pied que Luther, du chef de son opinion sur la matière et la forme du sacrement ; que veut dire les néo-scotistes ? — - II serait facile de multiplier ces exemples. Mieux que tout autre le P. d'Alès sait que les dojg- mes ont une histoire et que l'histoire même d|e ce développement est le plus sûr moyen de rendre compte des divers éléments qui rentrent en leur constitution. Pourquoi donc ne pas utiliser ce merveilleux instrument d'analyse ?
Quoi qu'il en soit, di' ailleurs, de cette question de plan et de méthode, la plupart des problèmes que soulève l'étude du sacrement de pénitence ont été touchés, les uns avec un grand luxe de développement, les autres sous forme d'indications assez brèves. Ce n'est pas à dire que la liste des questions difficiles soit définitivement épuisée. En particulier il ne nous est pas apparu que l'obligation de soumettre au pouvoir des clefs les fautes déjà remises par la ' contrition parfaite ait reçu toutes les précisions nécessaires. A coup sûr les diverses époques n'ont pas conçu de la même manière l'absolue nécessité pour les chrétiens de chercher dans le sacrement de pénitence le pardon de leurs

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Le pape François a autorisé, lundi 21 novembre, tous les prêtres à prononcer l’absolution des fidèles confessant avoir eu recours à l’avortement. Il rend par là définitive une décision prise temporairement à l’occasion de l’année sainte de la miséricorde. Auparavant, seuls les évêques (et les prêtres auxquels ils déléguaient ce pouvoir) pouvaient pardonner cet acte que l’Eglise considère comme un péché grave.
Ce n’est pas la première fois qu’un pape ou un concile décide de modifier les règles qui régissent la manière dont les péchés des fidèles sont remis. Décryptage des évolutions et terminologies d’un mécanisme compliqué.
Au I er siècle, le seul sacrement permettant de pardonner les péchés était le baptême. Celui-ci, reçu à l’âge adulte, ne pouvait avoir lieu qu’une fois dans la vie. Rapidement, des cérémonies publiques de réconciliation ont été autorisées si des fautes graves étaient commises après le baptême. Les conditions de pénitence étaient très sévères, nécessitant une reconnaissance publique de la faute et pouvant même inclure des mises en quarantaine par l’évêque.
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A partir du VI e siècle, les rituels de pénitence s’organisent et ne concernent plus seulement les fautes graves mais tous les péchés, s’adaptant à leur sévérité ; plus la faute est lourde, plus la pénitence sera dure à accomplir. Les pénitences pouvaient pr
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