Une Camerounaise de 25 ans dans son premier porno

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Par Alexandra Guichard cosmopolitan.fr

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Dans notre sociĂ©tĂ©, ĂȘtre une femme signifie faire attention dans les transports, faire attention Ă  notre façon de nous habiller et ne pas provoquer. Oui, parce qu’ĂȘtre bien dans sa peau et dans son corps pour certains, c’est de la provocation. Porter un short peut vite tourner Ă  la catastrophe et c’est justement ce qu’a voulu dĂ©montrer la chaĂźne YouTube Immature Life. PrĂ©parez-vous Ă  ĂȘtre choquĂ©e !























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C’est un fait, ĂȘtre une femme mĂȘme au XXIĂš siĂšcle n’est pas Ă©vident : insulte, harcĂšlement sexuel et bien Ă©videmment, regards salaces.
Vous savez, ce moment oĂč, vous vous trouvez jolie et oĂč vous sentez un regard pervers vous dĂ©shabiller du regard ? A ce moment-lĂ , vous vous sentez mal, rĂ©duite Ă  un morceau de viande et vous n’avez qu’une envie : filez vous mettre en jogging. 
Il y a peu, la chaßne YouTube Immature Life a décidé de mettre en lumiÚre la façon dont les femmes sont jugées en fonction de leur tenue.
Pour rĂ©ussir leur expĂ©rience, les membres de la chaĂźne ont demandĂ© Ă  une jeune femme de porter un short assez Ă©chancrĂ© au niveau des fesses. Ensuite, ils ont filmĂ© en camĂ©ra cachĂ©e la rĂ©action des hommes et entre nous, ce n’est pas beau Ă  voir (c’est mĂȘme trĂšs laid).
L’expĂ©rience commence et la jeune femme se promĂšne normalement dans le parc. Elle est sur son tĂ©lĂ©phone et ne semble pas se prĂ©occuper des gens qui l’entourent. En somme, elle profite simplement du soleil et n’est pas lĂ  pour sĂ©duire un homme ou se pavaner.
DĂšs le dĂ©but de la vidĂ©o, on aperçoit un homme se retourner sans aucune discrĂ©tion pour mater son popotin. Ensuite, c’est encore pire, deux jeunes hommes sont en train de bronzer lorsqu’ils l’aperçoivent. Un des deux donne un coup de coude Ă  son pote pour qu’il puisse se rincer l’Ɠil et multiplie les coups d’Ɠil appuyĂ©s.
Et le pire de tout, c’est Ă  la fin, lorsqu’un garçon accompagnĂ© de sa chĂ©rie, la dĂ©laisse pour regarder les fesses de la fille. Pas de chance pour lui, il n’a tellement pas Ă©tĂ© discret que celle-ci s’en est aperçu et l’a plantĂ© tout seul !
Il ne faudrait pas non plus oublier de parler de celui qui la filme Ă  son insu, sans doute pour pouvoir se re-rincer l’Ɠil une fois rentrĂ© chez lui. #creepy
Alors quoi, il faudrait ne plus porter de jupe , de robe d’étĂ© ou de shorts mĂȘme par 40°C ? Non, ce n’est pas Ă  nous de changer, c’est aux hommes d’évoluer et de combattre les clichĂ©s sexistes !
Quatre rendez-vous hebdos pour quatre fois plus de Cosmo




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Sur cette version linguistique de WikipĂ©dia, les liens interlangues sont placĂ©s en haut Ă  droite du titre de l’article. Aller en haut .

3.1 Le protectorat, les mandats et les tutelles

3.2 Colonisation allemande (1884-1914)

3.3 Protectorats britannique et français

4.1 Statut et organisation administrative

4.2 Liste des maires et délégués du gouvernement

4.3 Consulats et représentations étrangÚres

5.2.2 Principaux lycées d'enseignement général

8.3 Corruption et lourdeurs administratives

10 Jumelage et coopération internationale
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Géolocalisation sur la carte : Cameroun
Géolocalisation sur la carte : Cameroun
Source : Tableau climatique de Douala (en °C et mm, moyennes mensuelles) fr.climate-data.org [ archive ]
Article détaillé : Chronologie de Douala .

Lycée bilingue de Logpom II
Lycée bilingue de Bonaberi
Lycée bilingue de Nylon Brazzaville
Lycée bilingue de New-Bell
Lycée bilingue de Deïdo
Lycée de Nylon Ndog-Passi
Lycée de Ndog-hem
Lycée d'Akwa
Lycée de Sodiko
Lycée Joss
Lycée Français Dominique Savio
Lycée de la cité des palmiers
Lycée de Maképé
Lycée Mongo Joseph
Lycée d'Akwa-Nord
Lycée bilingue de Bépanda
Lycée d'Oyack
Lycée de Japoma
Lycée de Nyalla
Lycée bilingue de Bobongo Petit Paris
Lycée bilingue de Mambanda.
Lycée de PK 21


Université de Douala
École Nationale SupĂ©rieure Polytechnique de Douala
École normale supĂ©rieure de l'enseignement technique de Douala
Université catholique Saint JerÎme de Douala
Institut universitaire du golfe de guinée
Institut universitaire de la cĂŽte
Douala Institute of Technology
Institut SupĂ©rieur de Gestion et d’HĂŽtellerie (ISGH)
CAE Oxford Aviation Academy Douala

Article connexe : Langues au Cameroun .

↑ Revenir plus haut en : a et b (en) PopulationStat, « Douala, Cameroon Population » [ archive ] , sur PopulationStat.com (consultĂ© le 20 avril 2020 ) .

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↑ « A la dĂ©couverte du peuple Mpo’o - Culturebene », Culturebene ,‎ 10 aoĂ»t 2012 ( lire en ligne [ archive ] , consultĂ© le 20 avril 2018 )

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↑ Revenir plus haut en : a b c et d Thomas Deltombe, Manuel Domergue, Jacob Tatsita, KAMERUN !, La DĂ©couverte, 2018

↑ « ThĂšse Institut de recherche pour le dĂ©veloppement : l’approvisionnement et la distribution alimentaires Ă  Douala » [ archive ] [PDF] , 29 octobre 2011 .

↑ VIOLENCE, DÉLINQUANCE ET INSÉCURITÉ A DOUALA [ archive ] , MichĂšle M’PACKO, aoĂ»t 2000

↑ « État des lieux: Douala reste une ville morte, les violences se poursuivent Ă  Bamenda, un semblant de calme ailleurs. » [ archive ] , sur cameroon-info.net , 28 fĂ©vrier 2008 .

↑ Juridis pĂ©riodique n o 24, ArrĂȘtĂ© du Haut-commissaire du Territoire du Cameroun du 25 juin 1941 , p. 83 [ archive ] , Juridis SA, YaoundĂ©, octobre 1995.

↑ Loi organique 55/1489 du 18 novembre 1955 relative Ă  la rĂ©organisation municipale en Afrique Occidentale française, en Afrique Ă©quatoriale Française, au Togo, Ă  Madagascar et au Cameroun

↑ « Les dirigeants successifs » [ archive ] , sur osidimbea.cm (consultĂ© le 12 avril 2020 )

↑ Embassy Pages, Douala [ archive ] , 2021.

↑ Virginie Laure Nantchop Tenkap GĂ©ocarrefour, L'action publique urbaine Ă  l'Ă©preuve des rĂ©formes du service d’eau Ă  Douala [ archive ] , 2015.

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↑ BUCREP 2005 et Annuaire statistique de la RĂ©gion du Littoral publiĂ© par l’INS, Ă©d. 2019

↑ Carte scolaire du Cameroun, DĂ©partement du Wouri [ archive ] , (consultĂ© en 2020).

↑ J. Gordon Melton, Martin Baumann, ‘‘Religions of the World: A Comprehensive Encyclopedia of Beliefs and Practices’’, ABC-CLIO, USA, 2010, p. 484-486 .

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↑ Simon Ngono, Les DĂ©bats tĂ©lĂ©visĂ©s dans l'espace public au Cameroun : logiques et jeux d'acteurs , Paris, Édilivre, 17 novembre 2016 , 168 p. ( ISBN 978-2-334-21534-3 ) .

↑ Simon Ngono, Les DĂ©bats tĂ©lĂ©visĂ©s dans l'espace public au Cameroun : logiques et jeux d'acteurs , Paris, Édilivre, 2016 , 168 p. ( ISBN 978-2-334-21534-3 , lire en ligne [ archive ] ) , p. 62 .

↑ Revenir plus haut en : a et b Owono Zambo, « L’espace de la parole publique au Cameroun : un risque (encore) actuel » in Simon Ngono, Les DĂ©bats tĂ©lĂ©visĂ©s dans l'espace public au Cameroun, Paris, Édilivre, 2016, collection, « Classique », 168 p. , Paris, Édilivre, 2016 , 168 p. ( ISBN 978-2-334-21534-3 ) , p. 5 .

↑ Revenir plus haut en : a et b Julie Gailhard, « Les 10 choses incontournables Ă  faire Ă  Douala » [ archive ] , sur generationvoyage.fr , 16 juillet 2021 .

↑ La langue française dans le monde, 2014, Éditions Nathan, p. 30

↑ La langue française dans le monde, 2014, Éditions Nathan, p. 31

↑ Codatu, Entretien avec la Directrice gĂ©nĂ©rale de la Socatur [ archive ] , 1 er mars 2019 .

↑ ThĂšse Institut de recherche pour le dĂ©veloppement : L’Approvisionnement et la distribution alimentaires Ă  Douala , page 167 et s. [ archive ] .

↑ Mutations - 8 novembre 2006 [ archive ] .

↑ « Bulletin du GICAM n°28 - 04/2005 » (version du 28 septembre 2007 sur l' Internet Archive ) .

↑ Emmanuel Batamag, « Cameroun : qui Ă©tait Son Altesse Royale le Prince RenĂ© Douala Manga Bell ? » [ archive ] , sur afrik.com , 4 janvier 2013 .

↑ Osidimbea, La Ville de Douala [ archive ]

↑ CommunautĂ© urbaine de Douala, CoopĂ©ration internationale [ archive ] .




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Pour les articles homonymes, voir Douala (homonymie) .

Douala est la capitale Ă©conomique et le principal centre d'affaires du Cameroun , en Afrique centrale . PeuplĂ©e de 5,7 millions d’habitants [ 1 ] , [ 2 ] , elle est l'une des deux plus grandes villes du pays avec la capitale politique YaoundĂ© . La ville se dĂ©veloppe Ă  partir de son port de commerce sur l'estuaire du fleuve Wouri ouvert sur le golfe de GuinĂ©e . Chef-lieu de la rĂ©gion du Littoral et du dĂ©partement du Wouri , elle a le statut de communautĂ© urbaine constituĂ©e de six communes d'arrondissement.

Pour le commun des habitants de Douala, le nom de cette citĂ© est une altĂ©ration phonĂ©tique d’EwalĂ©, nom de l’ancĂȘtre Ă©ponyme des Duala. Cette version est contestĂ©e par EbĂ©lĂ© Wei qui, dans l’ouvrage Paradis tabou, autopsie d’une culture assassinĂ©e , professe que : « La ville de Douala qui (
) porte officiellement son nom actuel depuis le dĂ©cret colonial allemand du 1 er janvier 1901, le portait dĂ©jĂ  rituellement depuis 1578 par la grĂące de son fondateur EwalĂ© quand celui-ci installa son peuple au bord du Wouri, en un lieu qu’il baptisa pĂ©remptoirement Madu M’EwalĂ© ou l’embouchure d’EwalĂ© (situĂ© entre l’estuaire et le plateau Joss, et plus tard Ă©tendu vers l’Aqua Beach, aux alentours de Bonamouti. Madu M’EwalĂ© progressivement simplifiĂ© en MadumwalĂ©, puis en MadumalĂ©, est la forme plurielle de Dul’EwalĂ©, simplifiĂ© en DuwalĂ© qui par la « faute » du gĂ©nitif A de Duwal’A Mbedi est devenu Duala. DĂšs lors, l’on peut considĂ©rer comme une anecdote ou un simple jeu de mot l’hypothĂšse situant l’étymologie de Duala Ă  l’exclamation « Dua, Ala! » (« DĂ©marre, vas-y ! ») qui n’a rien Ă  voir avec le dĂ©barquement des fils d’EwalĂ©, et encore moins avec le patronyme de l’ancĂȘtre donnĂ© au site par voie de baptĂȘme » [ 3 ] .

Aujourd’hui, Douala est une mosaĂŻque des diffĂ©rentes ethnies de toutes les rĂ©gions du Cameroun .

Site portuaire situé en bordure de l' océan Atlantique , au fond du golfe de Guinée, à l'embouchure du fleuve Wouri , Douala a le plus grand port du pays, et l'un des plus importants d'Afrique centrale. La ville s'étend sur les deux rives du fleuve. Depuis octobre 2017, un second pont s'étend sur le fleuve pour en relier les deux rives.

Le climat de Douala est de type équatorial : il se caractérise par une température à peu prÚs constante, autour de 26°, et des précipitations trÚs abondantes, particuliÚrement pendant la saison des pluies, de juin à octobre. L'air est presque constamment saturé d'humidité : 99 % d'humidité relative en saison des pluies, mais 80 % en saison sÚche, saison sÚche « relative », d'octobre à mai [ 4 ] .


Ces prĂ©cipitations sont Ă  l'origine de frĂ©quentes inondations , qui contribuent en outre au dĂ©veloppement de maladies telles que le cholĂ©ra ou le paludisme . Pour remĂ©dier Ă  ces difficultĂ©s, un projet de drainage des eaux pluviales et d’amĂ©nagement de plusieurs quartiers riverains des drains a Ă©tĂ© lancĂ© en 2019 [ 5 ] . Ces drains sont des poubelles remplies de plastique et sont peu curĂ©es. Ce qui ne ralenti pas les inondations qui paralysent la ville toutes les annĂ©es depuis 2000.

Faute d'écrits, l'histoire de Douala, comme celle du Cameroun et d'une grande partie de l'Afrique centrale, ne nous est connue que par des témoignages extérieurs, trÚs rares avant le XV e siÚcle.

Au IV e siÚcle av. J.-C. [ 6 ] , un explorateur carthaginois du nom de Hannon longe les cÎtes africaines, découvre de hautes montagnes en éruption qu'il nomme, « Char des dieux », puis une baie qu'il appelle « corne du Sud ». Hannon aurait ainsi découvert le mont Cameroun . On doute aujourd'hui que les Carthaginois soient allés aussi loin.

Entre les X e et XIII e siÚcles, certaines communautés (les bakokos et les bassas [ 7 ] ), auraient résidé à Ngog Lipondo (en bakoko) ou Ngog Lituba (en bassa) avant de descendre jusqu'aux berges du fleuve Wouri dans la région du Littoral .

Au XV e siÚcle, en 1472 , des explorateurs portugais conduits par Fernùo do Po reconnaissent la cÎte de l'actuel Cameroun. Ils découvrent notamment une grande montagne, puis l'estuaire d'un fleuve doté d'une grande population de crevettes. Ils baptisent la montagne Serra de Fernao do Po et le fleuve Rio dos Camaroes (RiviÚre des crevettes). Ils auraient ainsi reconnu le Mont Cameroun et l'estuaire du Wouri , le fleuve qui traverse Douala.

Les Espagnols arrivent plus tard et délogent les Portugais mais adoptent le nom donné par ces derniers, l'adaptant en espagnol : Rio de Camarones .

En 1578 , les Douala , partis du bassin du Congo , s'installent non loin de l’estuaire. Les nouvea
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