Une Blonde insatiable

Une Blonde insatiable




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une Blonde insatiable

العربية
Deutsch
English
Español
Français
עברית
Italiano
日本語
Nederlands
Polski
Português
Română
Русский
Svenska
Türkçe
中文




العربية
Deutsch
English
Español
Français
עברית
Italiano
日本語
Nederlands
Polski
Português
Română
Русский
Svenska
Türkçe
中文


Ukrainian is now available on Reverso!

Arabic
German
English
Spanish
French
Hebrew
Italian
Japanese
Dutch
Polish
Portuguese
Romanian
Russian
Swedish BETA
Turkish
Ukrainian BETA
Chinese


Synonyms
Arabic
German
English
Spanish
French
Hebrew
Italian
Japanese
Dutch
Polish
Portuguese
Romanian
Russian
Swedish BETA
Turkish
Ukrainian BETA
Chinese
Ukrainian



These examples may contain rude words based on your search.



These examples may contain colloquial words based on your search.


Translation of "une blonde" in English



Maggie McGinty, une blonde , exubérante.



Et Regina King dans "la revanche d' une blonde ".




And Regina King in Legally Blonde .



C'est une blonde qui traverse Central Park en plein hiver.




This blonde ... she was walking through Central Park in the middle of winter.



Je suis Luana, une blonde au scandale...



Je suis une blonde attrayante aux yeux fonces.




I am an attractive blonde with dark eyes.



Hier soir j'ai vu une blonde devant mes phares.




Last night I saw this blonde lady at the end of my high-beams.




But I saw him with a blonde woman .



Pas mal, une blonde et une brune...




Well, it might not be too bad with a blonde and a brunette...



En rentrant, j'ai vu Oren embrasser une blonde dans l'allée.




When I came back, I saw Oren kissing some blonde woman in the driveway.



L'échantillon de cheveux fait d'elle une blonde décolorée.




Hair sample makes her a bleach-bottle blonde .



Selon elles une blonde est passée pour les mesures.




They said some little blonde came in for new measurements.



Je prends toujours une blonde avec mes repas.




You know, I always have a blonde with my meals.



Parce que vous êtes une blonde intéressante.




Because you're an interesting blonde .



Je porte toujours un œillet rouge quand je pense rencontrer une blonde .




I always wear a red carnation when I expect to meet a blonde .



Il était en ville hier soir avec une blonde .




He was around town last night with a blonde .



Pourquoi t'encombrer d' une blonde avec trois enfants ?




After all, where do you come to a blond with three children?



Enfin, à choisir entre ça et une blonde .




I mean, if it was a choice between that and a blonde .



Disons... une blonde qui utilise les toilettes.




Perhaps... a blond who always uses the toilet?


Display more examples
Suggest an example

Voice and photo translation, offline features, synonyms , conjugation , learning games
Results: 881 . Exact: 881 . Elapsed time: 207 ms.
© 2013-2022 Reverso Technologies Inc. All rights reserved.


Décryptage de style : Chelsea Handler, une blonde plus potache que potiche


Chelsea Handler, un véritable couteau suisse à Hollywood.

Membre de la Pureteam depuis la première heure, Amélie, c'est l’experte joaillerie de la bande. Forcément croqueuse de diamants, mais aussi fashion experte tout sauf victime !
Ni canon ni moche, Chelsea Handler c'est un peu l'anti-fashionista comme on la conçoit. Wonderwoman à sa façon, la blonde du petit écran transforme en or tout ce qu'elle touche. Présentatrice du Chelsea Lately show , actrice, écrivain, productrice... elle est plutôt du genre hyperactive. Insatiable à tous les niveaux, la blonde plus potache que potiche est à n'en pas douter l'une des personnalités américaines les plus drôles et piquantes et c'est pour ça qu'on l'aime nous aussi.
Girly mais pas vraiment fleur bleue, Chelsea Handler serait plutôt vodka tonique et blagues corsées, une recette miracle qui a fait les beaux jours de cette trentenaire toujours à l'affut de nouveaux projets. Un peu comme une Cameron Diaz du petit écran, elle n'hésite pas à privilégier le second voire le quarantième degré au glamour bête et méchant.
Anti-fashionista certes, elle sait tout de même faire son petit effet sur red carpet. Jamais trop sexy mais pas non plus insignifiante, elle réussit à allier style tout en restant fidèle à sa personnalité. Cela donne d'ailleurs souvent lieu à l'association robe courte et boots. Adepte donc des pièces courtes, elle préfère ne pas trop sortir le grand jeu et miser sur une allure délicieusement cool pour faire sensation.
Pas du genre à mâcher ses mots, elle n'est pas non plus de celles qui font des chichis question style. Résultat, quelques flops assumés et des looks sans prise de tête pour une personnalité pleine de caractère.
Découvrez sur Puretrend le look de Chelsea Handler décrypté.
Tapez votre recherche et appuyez sur entrer pour lancer la recherche :


Jeudi, 18h00. Il fait froid, - 12 000 environs. Le moteur de la voiture tourne depuis quelques minutes. Se sauver. Je lance mon sac dans le coffre arrière, m'installe au volant. Faire le plein et fuir Québec, l'espace de trois jours. N'ai avisé personne. Pourtant le week-end était planifié avec des copains. Le répondeur débranché. Waitress injoignable . La paix, la paix, la paix.
Je survole le fleuve, encore quelques kilomètres d'autoroute avant de tourner sur la route agricole qui aboutira sur Thetford . Le froid pénètre l'automobile, comme si la carrosserie perdait son étanchéité dès que j'atteins les grandes vitesses.
Les sapins sont chargés de neige, ils ont finit par baisser leurs longs bras. Les conifères ont abdiqué devant l'hiver. Je pense. C'est étrange de rouler et de reconnaître les arbres en bordure du chemin. De vieux copains qui attendent là, pour me dire quelle distance il reste à franchir. Plein d'étoiles dans le ciel. Un moment, je dévale les collines avec la Grande Ourse qui brille fort devant moi.
Je traverse la ville pour poursuivre vers la campagne, vers l'immense montagne qui domine le paysage de la maison familiale. P'tit frère est là, avec sa blonde. Ma soeur. Et la mère. Avec un souper qui m'attends, un plat mijoté longtemps, longtemps.
Trois jours de douceur. De ballade en forêt , de rire et de jeux. Du temps sucré, comme un baume pour le coeur.
Waitress au travail. Le restaurant est fermé, les serveurs font le ménage au plus vite pour quitter l'endroit. Patron dîne au comptoir. Entre deux bouchés, il passe des commentaires sur chacun de nous.
Patron: J'dois pas être si pire que ça, y'a Waitress que j'ai encore jamais fait pleurer.
Waitress: Parce que j'attends d'être chez nous pour brailler...
Patron la bouche ouverte. Pas un mot. Et le réconfort des sourires silencieux de mes collègues.


Libellés :
Les connards ,
Voisinage


Dans ma section, un client régulier. Il passe environs deux midis par semaine avec moi. Un homme en complet, fin quarantaine, bon sens de l'humour. Sauf lorsqu'il boit. Ce qui est le cas aujourd'hui. Il en est à son septième verre de vin lorsque je lui apporte l'addition. Une maladresse de ma part et je fais tomber un panier de crèmettes à café. Je me penche, ramasse le tout en m'excusant.
- Ça mérite une fessée ça, ma belle.
Je me relève et le regarde d'un oeil mauvais. Patron qui entend tout.
- Attention, je donne droit à mes serveuses de frapper les clients non-respectueux .
- Ça me plaît, ça me plaît, la fessée mutuelle.
Au bar, un autre régulier. Il a appris que je suis célibataire. Chaque fois que je me retrouve derrière le comptoir pour couler une bière en fût ou un allongé, il me crie son numéro de téléphone. 555-5052. Lâche pas, mon homme .
À la 18, deux hommes lunchent ensemble. Professeurs à l'université Laval en science politique. Après deux pintes de bière et trois verres de vin chacun, ils passent au Calvados. Monsieur au foulard rouge ne peut s'empêcher de me flatter le bras lorsque je vais à leur table. Et même si je me tasse, il recommence. Me pose des questions sur mes études. Je raconte que j'ai dû mettre fin à mon Bac après une pénurie d'argent, que j'aimerais peut-être retourner sur les bancs d'école.
- Ça te prend un sugar dady , quelqu'un comme moi.
À la machine Intérac pour son paiement, il me prend par les hanches, me colle ses lèvres sur la joues et me serre contre son corps. Beurk .
Un dîné payant pour la Waitress , oui. Mais deux heures un peu moches, quand même. Heureusement, il existe sans doute des gens timides parmi mes clients...
Retour au boulot. État: Beurk . Réservation : Aucune. Bonne nouvelle. Je pourrai fermer le resto assez tôt et retourner dormir. Dormir...
Arrive le premier couple de la soirée. Vingt minutes avant l'ouverture. Il y a pourtant une pancarte dans la porte avec un gros "De retour à 17h00". Ils sont vieux, peut-être aussi aveugles et analphabètes.
- Parfait, on va s'asseoir à la table près de la fenêtre.
Mise en place à peine entamée, je n'ai pas encore les informations du menu de la table d'hôte en vigueur. Le couple s'installe et me regarde me démener pour compléter un quart d'heure de travail en deux minutes. Mme Colorée, une habituée, fait son entrée. Moins dix. Bordel.
- J'vous fait couler un silex, vous donne ça dans un instant.
Regard mauvais. Elle me trouve incompétente; elle est là et le café n'est pas prêt. Câlis .
Un couple de nains passe la porte. Vestes de cuire , pantalons trop courts, la femme arbore une très chouette permanente. Et un bec de lièvre. Assez prononcé pour l'empêcher de bien articuler ses mots. Je lui fais répéter tout ce qu'elle me dit. Waitress mal à l'aise qui se concentre fixer les yeux. Non. Pas la bouche, les yeux. Remonte, remonte, Waitress . C'est ça. Les yeux.
Tandis que je leur explique le menu, une famille de quatre personnes arrivent. Décide d'aller s'asseoir eux-même . Leur fais signe de la tête que je les ai vu. Un homme et un garçon font de même. Suivit d'une femme seule. Merde, merde, merde . Bec-de-lièvre me demande pour la troisième fois le choix des entrées. Comme je lui réponds, une main sur mon épaule. C'est la mère de famille.
- Mademoiselle, est-ce que c'est vous qui allez nous servir ?
- Oui, je suis à vous dans deux secondes.
À 20h00, le cuisinier décide de partir. Terminé, plus de nouvelle table. Parfait. Il ne reste plus qu'un groupe d'étudiant qui prennent les dernières bouchées de leurs desserts et un jeune homme, seul, avec son portable et une tasse de thé. Nos regards se croisent souvent, petits sourires. Tandis que j'effectue le paiement de son repas avec sa carte de crédit, il se lève et me rejoint. Il me raconte qu'il vient d'emménager dans le coin, qu'il vient de Sorel. Je lui pose des questions sur son travail, ce qui l'a emmené à venir s'établir ici. Sourire charmant, joli visage. Gentil. Il me demande mon horaire , dit qu'il reviendra. Dommage que la Waitress soit malade. Elle aurait saisit l'occasion pour cruser un peu.
Seule dans le bistro, j'effectue la fermeture. Je monte les chaises sur les tables, vide le lave-vaisselle. Patron arrive, en criant. Ça fait trois heures qu'il tente de me rejoindre au téléphone. Mais la ligne n'a pas été raccrochée. Il m'engueule, déverse sa colère sur moi, me postillonne au visage. Les yeux pleins d'eau, je m'excuse. Rien d'autre à ajouter. Il vérifie les messages sur la boîte vocale, puis fait son enquête. Pour s'apercevoir que c'est le cuisinier qui a oublié de fermer le téléphone. Me demande pardon. Je ne réponds rien.
En prenant ma voiture, je réfléchie. Je suis malade. Me présente quand même à mon poste puisque personne n'est disponible pour me remplacer. Une journée à chier. Patron qui vide sa colère sur moi, comme tout le temps. J'aime pas ça. Mais pas du tout.
Le pire ? C'est que lundi, j'étais présente lorsque Patron a parlé de l'histoire du téléphone au cuisinier. Il en a fait une blague. Pas fâché du tout. Lui a même dit que ce n'était pas grave . Pourquoi moi je me suis fais engueuler, alors ?
Waitress a comme une envie de vacances.
N.B . La Waitress est désolée de venir pondre un texte de chialage . Mais faut que ça sorte, des fois !
Lendemain légèrement pénible. Je me sens fatiguée. J'ai atterri dans mon lit à 2h30 du matin. En voyant la tête du Patron, j'ai l'impression d'être en pleine forme. Il sent encore l'alcool. Et m'apprend qu'il a dormi sur une banquette du restaurant. Que sa femme est bien fâchée. Qu'elle croit qu'il l'a trompée. Waitress fait le reste des déductions. Avec moi. MOI. Merde. Merde. Merde.


Libellés :
les questions ,
Voisinage


J’émerge du sommeil. Je suis sur le canapé, lumières et télévision ouvertes, allongée dans la même position que dans le rêve. Le cœur qui bat fort, je ne veux pas regarder autour de moi. Au cas où il y aurait quelqu’un. Je me raisonne après un moment, vais me coucher dans mon lit. Le même rêve une autre fois au cours de la nuit.
À 11h00, je quitte l’appartement pour me rendre au travail. Cigarette aux lèvres, Metric dans les oreilles. Sur le chemin St-Louis, tout prêt du restaurant, une voiture surgit d’une allée, me coupe le chemin. Au lieu d’avancée, elle s’arrête dans la rue. Demeure immobile. J’écrase la pédale de frein. Ma Sunfire glisse sur l’asphalte mouillée, un coup de volant à droite. Certaine d’emboutir le derrière de l’autre, je m’arrête à quelques millimètres de lui.
Les mains tremblantes, je me présente au travail. Le patron m’apprend que sept journalistes viennent luncher chez nous, que je m’occuperai d’eux. Pas de problème. Puisqu’ils arriveront d’ici peu, je tente de me ressaisir. Avec plus ou moins de succès. Toujours parcourue de tremblements, la bouche sèche. Ils arrivent. Prennent l’apéritif. Un deuxième. Ils attendent l’arrivée d’un retardataire. Tandis que je sers une autre table, Monsieur Magasine se pointe. (Voir ici et là ) Merde. Merde, merde, merde . Patron m’accroche pour me dire qui il est.
- Je sais. - Une ancienne flamme ? - Non. - J’espère que l’histoire s’est bien finit, faudrait qu’il parle en bien du resto…
Dès qu’il me voit, il se lève, m’embrasse les joues, demande de mes nouvelles.
Les mains tremblantes, j’ouvre les bouteilles de vin, en fait le service, apporte les corbeilles de pain, les entrées sous l’œil calculateur de M. Magasine.
Malgré la nervosité, tout se passe bien. Waitress retire les assiettes vides, remplit les verres de vin, ajuste les couverts. Puis, le voisin de M. Magasine m’accroche par le coude.
- Mademoiselle, vous savez que le beau jeune homme ici est célibataire ?
Waitress bégaie. Merde, merde, merde. POURQUOI MOI ?
M. Magasine me demande si je passe l’hiver dans ce bistro.
- J’en suis à ma première semaine, je sais pas encore.
Premier à quitter la table pour poursuivre sa journée de travail, le garçon me fait à nouveau la bise en ajoutant qu’on se reverra bientôt. Sûrement, oui…
Avec un chef à l’air bête, aux réponses cinglantes, avec la pluie et le fait que ce n’est que le deuxième jour de la semaine, c’est ce que j’appelle une journée de merde.
Et en passant. Les journalistes, ça mangent et boient comme des porcs.
Dans la nuit de samedi à dimanche, j’ai fait un rêve étrange. De ceux qui vous fichent le cafard longtemps, même après une nouvelle nuit vide. Waitress déteste ce genre de songe. Comme s’ils annoncent de grosses briques à prendre sur la tête. Impuissance. Angoisse. Janvier ou peut-être février. Une journée noire et froide. Ce n’est pas seulement l’hiver; je me sens attaquée par la température, même la Nature m’en veut. Une sorte de menace. Je marche dehors. La lune éclaire le chemin, mon haleine se transforme en buée. Je m’arrête devant une petite maison. Par l’unique fenêtre, je vois la lumière d’une bougie. Du mouvement. Puisque je grelote, je décide d’y entrer. À l’intérieur, un vieux plancher, des poutres au plafond. Des meubles massifs partout, des livres recouverts de poussière. Je m’assois à la table et je regarde les dessins que forment les nœuds du bois. Lorsque je relève la tête, une femme se trouve en face de moi. Une cousine que je n’ai pas vue depuis quelques années. Les yeux exorbités, le visage plissé par la colère. Elle lève la main, me pointe de l’index. M’apprend qu’elle veut me tuer. Je tente de discuter avec elle, mais ça ne mène à rien. Je sais qu’elle mettra ses menaces à exécution. Je me sauve de la maison. Retour à l’extérieur. Je courre dans la neige, il n’y a plus de lumière, je ne vois plus du tout où je vais. « L’hiver m’attaque, l’hiver aussi veut me tuer ». Je me répète cette phrase en boucle. Je finis par arriver devant une autre maison. Là, c’est un feu de foyer que j'apperçois par la fenêtre. J’y entre. Les murs sont couverts de cadres. Différents de taille, de couleurs, de motifs. Et tous vides. Juste du noir ceinturé de bois. La propriétaire des lieux les montrent à un groupe de femmes qui se trouvent là. Mes yeux rivés sur un cadre double, teint en bleu et sans détail. « Je ne pourrai pas m’y cacher ».
Symptômes: Affamée, assoiffée, avide, dévorante, exigeante, gloutonne, inapaisable, inapaisée, inassouvie, inassouvissable, incontentable, inextinguible, insatisfaite, insaturable, intéressée, rapace, vorace.

Brooke ramenée de force à la maison, se fait punir par papa
Envahir le cul d'un brunette
Meryl Street baise un jeune

Report Page