Une BBC attaque encore une fois

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Une BBC attaque encore une fois
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Publié le 14/08/2022 à 12h37
- Modifié le 14/08/2022 à 15h07




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Vous lisez actuellement : Attaque contre Rushdie : J. K. Rowling visée par une menace de mort



Par ANTARES_BETA_SCORPII le 15/08/2022 à 15:27




Par b-a ba le 15/08/2022 à 13:00




Par Sapaudia le 15/08/2022 à 12:36


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L a créatrice de la saga Harry Potter a été visée par des menaces provenant d'un internaute sur les réseaux sociaux. La police britannique a indiqué, dimanche 14 août, enquêter sur une menace présumée dont J. K. Rowling dit avoir été la cible sur Twitter après l'attaque au couteau contre Salman Rushdie aux États-Unis . J. K. Rowling avait réagi à l'agression de l'auteur des Versets sataniques en se disant « écœurée » sur le réseau social, ajoutant espérer son prompt rétablissement.
Un utilisateur, qui se présente sur son profil comme un étudiant et militant politique basé à Karachi au Pakistan , avait alors répondu : « Ne t'inquiète pas, tu es la prochaine. » Le tweet a ensuite été supprimé, mais J. K. Rowling a posté une capture d'écran, interpellant Twitter sur de possibles violations de ses règles.
Menacé de mort depuis une fatwa de l' Iran de 1989, un an après la publication des Versets sataniques , Salman Rushdie a été poignardé une dizaine de fois vendredi, une attaque qui indigne en Occident, mais qui est saluée par des extrémistes en Iran et au Pakistan. « Nous avons reçu des informations sur une menace proférée en ligne, et nos agents procèdent à des investigations », a indiqué une porte-parole de la police d'Écosse, où vit l'autrice.
L'an dernier, J. K Rowling avait indiqué avoir reçu de nombreuses menaces de mort provenant, selon elle, de militants pour les droits des transgenres , dont elle est devenue la bête noire ces dernières années. En 2020, J. K. Rowling avait partagé sur Twitter un article évoquant les « personnes qui ont leurs règles », en le commentant ironiquement : « Je suis sûre qu'on devait avoir un mot pour ces gens. Que quelqu'un m'aide. Feum ? Famme ? Feemm ? » Elle s'est ainsi attiré les foudres de certains internautes, qui lui ont rappelé que les hommes transgenres pouvaient avoir leurs règles, mais pas les femmes transgenres.
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A part JC et peut-être San Francesco le comportement RATP est totalement antinomique avec l'espèce humaine. Quant à la RATP elle a bien du mal à assurer le transport à Paris et IdF... Décidément le monde est bien imparfait...

Tout comme vous, abonné depuis des années, je trouve que Le Point a bien changé dans sa ligne éditoriale et a perdu sa singularité depuis quelques temps.

Dans ces conditions, je n’envisage pas de me réabonner.

Il ne faut pas tout mélanger, J. K. Rowling n’est pas menacée de mort par les transgenres avec lesquels elle a eu un différent mais pour son soutien à Salman Rushdie et ses écrits « Les versets sataniques »
Au passage, je signale qu’en Iran les personnes transgenres sont reconnues par le gouvernement et autorisées à bénéficier d’opérations chirurgicales.
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Publié le 25/11/2019 à 11h26




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Vous lisez actuellement : « La Guerre des mondes  » version BBC : tout simplement parfait



Par guy bernard le 31/12/2019 à 07:35




Par serge P le 27/11/2019 à 08:39




Par justinien10 le 25/11/2019 à 20:55


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Ils sont décidément très forts, ces Anglais, en matière d'adaptation littéraire ! Loin des choix de Canal+, la série british brille par son classicisme.
« La Guerre des mondes » fait l’objet d’une adaptation classique, mais réussie.
De mémoire de sériephile, on a rarement vu deux adaptations aussi dissemblables que celles de La Guerre des mondes sorties cet automne sur Canal+ et la BBC . Tandis que la version française choisissait de s'éloigner considérablement du roman SF d' H.G. Wells en se concentrant sur le sort délicat des survivants de l'invasion une fois celle-ci terminée, la version anglaise (diffusée prochainement sur TF1 ) joue la carte de la fidélité sinon à la lettre, au moins à l'esprit, du matériau d'origine. Il s'agit très probablement de son adaptation audiovisuelle la plus respectueuse, même si on peut apprécier par ailleurs le grand spectacle offert par le film de Steven Spielberg en 2005. La superproduction de Canal+ affichait huit beaux gros épisodes au compteur, avec la promesse de saisons supplémentaires en cas de succès ; celle de la BBC seulement trois (remontés en deux épisodes de 1 h 30 pour la diffusion française). Pour Léa Drucker, Gabriel Byrne et leurs compagnons d'infortune, l'attaque des extraterrestres a lieu de nos jours, au début du XXIe siècle, et la série en profite pour (longuement) brasser bon nombre de problématiques contemporaines (le terrorisme, l'immigration, etc.) sur fond de désagréable mélo. Eleanor Tomlinson (déjà aperçue dans Poldark, extraordinaire ici) et Rafe Spall, accompagnés de Rupert Graves (le Lestrade de Sherlock ) et Robert Carlyle évoluent, eux, à la fin de l'époque victorienne, celle où l'Empire britannique peut se vanter de régner sur toutes les mers du globe. Les différences sont flagrantes, et pas seulement d'un point technique ou visuel. Là où la série de Canal+ se résume en définitive à une sorte de The Walking Dead sans zombies, la minisérie de la BBC démontre encore une fois tout le talent de nos voisins d'outre-Manche dans deux exercices télévisuels difficiles : l'adaptation littéraire et la reconstitution historique.
On savait le scénariste Peter Harness capable d'un excellent travail d'adaptation : s'il n'avait pas vraiment convaincu les fans de Doctor Who lors de ses quelques essais de scénarios originaux (période Peter Capaldi), il avait réussi en 2012 un véritable tour de force en tirant du gargantuesque Jonathan Strange and Mr Norrell de Susanna Clarke une minisérie virtuose, déjà pour la BBC. Son travail pour cette Guerre des mondes est à nouveau remarquable : en choisissant la concision et la simplicité, que ce soit dans l'exposition comme dans le dénouement, ainsi que la clarté et la lisibilité lors du morceau de bravoure central qu'est l'attaque des Martiens à l'aide de gigantesques tripodes, de rayons mortels et de gaz effroyablement toxiques, il signe un script d'une redoutable efficacité, qui happe le spectateur dès ses premiers instants pour ne plus jamais le lâcher.
On savait les productions anglaises capables du meilleur en termes de reconstitution et l'on n'est donc absolument pas surpris d'évoluer ici dans un tout début du XXIe siècle criant de vérité. On connaissait également le talent de leurs comédiens, bien aidés par une direction d'acteur rarement prise en défaut : le casting de cette Guerre des mondes est simplement parfait, chaque acteur collant parfaitement à son rôle, y compris en arrière-plan et dans les seconds rôles (ce qui est loin d'être le cas de sa concurrente française). Plus que sur l'étalage spectaculaire des combats et des destructions, la série compte sur l'attachement du spectateur aux personnages (encore une fois : tous les personnages, y compris les plus discrets ou les moins sympathiques) pour entretenir la tension et le suspense. Les effets numériques, parcimonieux mais judicieux, viennent en renfort sans jamais être trop envahissants – tout au plus peut-on regretter un recours agaçant aux ralentis et à un filtre orangeasse hideux, compréhensible mais quand même hideux, sur les séquences de flash forward. Détails vite oubliés : cette production, de la première à sa dernière seconde, est impeccable, impossible à prendre en défaut. Bien entendu, chaque médaille ayant son revers, cette fidélité extrême a son pendant : un classicisme à peine moins extrême. À aucun moment, La Guerre des mondes version BBC n'essaye pas d'inventer quoi que ce soit de nouveau, ou de délivrer un message original ou révolutionnaire. Non, tout y est au service de l'esprit et du message du texte original de Wells. On peut le regretter, et aller chercher ailleurs le frisson du modernisme à tous crins. On peut aussi s'en féliciter : un travail aussi bien fait, à ce point au service de son sujet, ça mérite au moins un petit salut admiratif. Encore une fois, direz-vous, la télévision anglaise a excellé exactement là où on l'attendait… Certes, mais au moins, elle, elle excelle.
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Qui n’a jamais réfléchi à l’ascension du populisme devant un épisode des machiavéliens Game of Thrones ou Baron Noir ? Ou au bien-fondé – ou pas – de la transparence en politique en visionnant Borgen ? Quant au succès planétaire de La Casa de papel, ne reflète-t-il pas la montée de la pensée « antisystème » dans nos démocraties ? Plus pragmatiquement, que nous enseignent, du pouvoir, de ses enjeux et de ses jeux, sur la manière dont on le conquiert et dont on le garde, les grands récits contemporains que sont les séries ?

J'ai vu cette série hier soir et j'avais oublié à quel point le livre était noir, ce que reproduit bien la série, se clôturant sur une faible lueur d'espoir.
La performance d'Eleonor Tomlinson est à saluer, avec son physique nouveau et son jeu dramatique admirable, tour à tour lumineuse ou torturée.
Mais je reste attaché à la fable hollywoodienne de Byron Askin et Georges Pal qui a l'énorme avantage de délivrer le même message en faisant passer un moment agréable et dont la conclusion est un franc happy ending.

Le seul intérêt de la version Canal est la constatation que le politiquement correct est bien plus redoutable que les extra-terrestres et leurs "Chiens" métalliques grinçants et ridicules... Surtout qu'on hésite entre "Groland" et la "Septième compagnie" pour le scénario !
«Poldark» est aussi une réussite britannique !

«Poldark» est une superbe série romantique se passant à la fin du XVIII ème siècle en Cornouaille (toujours ensoleillée !), avec des acteurs et actrices superbes, mention spéciale au méchant sir Georges, d'une arrogance aristocratique terrifiante.
Moi aussi, j'ai été assommé par la version Canal de la Guerre des mondes, qui traite aussi du malheur des immigrés, des injustices sociales et du sexisme... , Il ne manque que l'homoparentalité...
Comme le dit très justement Vauban, les réalisateurs français ne font plus des films mais des tracts politiques.
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