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Le DSE, dossier social étudiant, c’est votre sésame pour obtenir des bourses étudiantes et un logement universitaire. La procédure est très simple, Studapart vous guide.
Votre demande de bourse et de logement étudiant dans les résidences universitaires du CROUS passent par une même procédure : vous devez remplir votre DSE, dossier social étudiant . Celui-ci se prépare très en amont, généralement dès le mois de janvier de l’année de votre prochaine rentrée. Le site gouvernemental Mes services étudiants permet de vérifier, en fonction de critères sociaux, votre éligibilité aux bourses étudiantes et de connaître le montant auquel vous avez le droit.
Pour savoir si vous êtes éligible aux bourses étudiantes, le site messervices.etudiant.gouv.fr propose de faire une simulation. Sur la page d’accueil du site, vous devez sélectionner le pictogramme “ Simulateur de bourse ” dans la rubrique “Demander une bourse ou une aide”. Il vous sera ensuite demandé :
Une fois ces trois éléments saisis, le simulateur de bourse affichera votre éligibilité à travers le montant annuel de la bourse à laquelle vous aurez le droit, ainsi que son échelon.
Puisque vous êtes éligible aux bourses du CROUS , vous devez sans attendre constituer votre DSE, dossier social étudiant . Il permettra de procéder à une demande de bourse sur critères sociaux et une demande de logement étudiant dans les résidences universitaires. Si vous avez déjà créé votre DSE lors des années précédentes, vous devez le mettre à jour afin d’activer votre demande.
Il est possible (et on vous le recommande) de préparer votre DSE même si vous ne disposez pas encore de l’ensemble des informations nécessaires. Vous pouvez donc ouvrir ou rouvrir votre dossier avant même de connaître les résultats de vos examens et l’orientation que vous souhaitez donner à vos études. Vous pourrez faire les modifications et ajustements par la suite.
Avant de se lancer dans la saisie proprement dite, vous devez réunir les documents sur lesquels figurent les éléments qui seront demandés :
Pour rappel, durant toute vos démarches de recherches, les informations vous concernant restent enregistrées à l’ académie de l'établissement dans lequel vous vous trouvez. Pour tout renseignement, même si vous vous apprêtez à rejoindre un établissement dépendant d’une autre académie , il faut vous renseigner auprès de l’ académie courante.
Pour procéder à la création de votre DSE , ou à sa mise à jour :
Vous êtes ensuite invité à saisir les informations demandées à chaque page. Il sera question de renseigner vos coordonnées, les aides demandées, vos vœux concernant la suite de vos études, etc. Surtout, prenez bien le temps de lire les instructions à chaque page. Vous êtes ainsi sûr de ne rien oublier.
A la fin du parcours des saisies, vous devez valider afin que les données soient conservées. Vous pourrez les modifier par la suite, mais il est important de valider sa saisie, sans quoi ce que vous avez entré pourrait disparaître au bout de sept jours.
En cas de soudaine déconnexion ou coupure d’électricité, pas d’affolement, les éléments que vous avez saisis sont conservés et vous pourrez reprendre la saisie après résolution de l’incident.
Lorsque vous avez saisi et validé l’ensemble de vos données, leur traitement est enclenché. S’il manque des éléments, vous recevrez régulièrement un mail pour vous prévenir que votre DSE reste à compléter. Vous recevrez également un mail en cas de changement notable dans la procédure.
La réponse du CROUS vous sera envoyée par mail, dans un document en pièce jointe. Vous pouvez suivre l’évolution de votre dossier sur le site messervices.etudiant.gouv.fr en cliquant “Suivi du dossier social étudiant (DSE)” dans la rubrique “Demander une bourse ou une aide”.
Si la demande de bourse est refusée par le CROUS , vous avez la possibilité de déposer un recours .
Il faut ensuite bien faire la différence entre la notification “conditionnelle” et la notification “définitive”.
La notification est réputée conditionnelle tant que le demandeur ne s’est pas inscrit dans son nouvel établissement. Le montant de la bourse indiqué est donc juste informatif, en attendant l’inscription effective. La notification, même conditionnelle, sera toutefois à présenter au moment de l’inscription. Elle permettra notamment de bénéficier d’une éventuelle exonération des frais d’inscription universitaires et de la CVEC (Contribution à la vie étudiante du campus).
La notification devient définitive quand l’inscription est effective et que le CROUS a bien reçu cette inscription. Le montant de la bourse affiché est donc acquis. Il faut vérifier que le justificatif d’inscription (ou un certificat de scolarité émanant du nouvel établissement) a bien été transmis au CROUS . Et si besoin, procéder soi-même à cet envoi. En effet, selon les établissements, cette procédure n’est pas toujours automatiquement réalisée.
L’inscription dans un établissement de l' enseignement supérieur est l’étape finale de l’application Parcoursup . Cette application mobile accompagne désormais les étudiants dans leur orientation et permet de faciliter les inscriptions.
Lorsque l’on a identifié quelle filière ou quelle formation on souhaite suivre, l’inscription à Parcoursup permet d’exprimer ses vœux et de contacter les établissements qui vous intéressent. La demande est immédiatement prise en compte et permet aux établissements d’envoyer une réponse assez rapidement. En cas d’acceptation, l’application permet une préinscription.
La demande de logement dans une résidence universitaire du CROUS se fait également par l’intermédiaire du dossier social étudiant (DSE). Lorsque vous avez rempli votre DSE , vous recevez un e-mail durant le mois de mai qui précède la rentrée suivante. Celui-ci explique la procédure pour faire une demande de logement universitaire. Vous pouvez également vous rendre sur le site Trouver un logement du CROUS (notamment si vous venez de l’étranger et n’avez donc pas accès au DSE ).
Il est demandé de choisir au maximum trois secteurs d’ académie , et de choisir deux options par académie . La réponse aux demandes arrive fin juin par mail et/ou par SMS. Lorsque vous aurez fait votre choix, la marche à suivre (inscription, montant, délai, etc.) vous sera expliquée.
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Home / Vidéos / Bagarre / [Ex VIP] Elle se fait humilier, battre et déshabiller par une fille de son école
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NetPratic
6 avril 2014
Bagarre
commentaires
112,096 Vues
Par ma gentillesse j'offre à tous les pauvres netpraticiens qui n'ont pas de compte VIP cette vidéo anciennement vip :
Elle se fait humilier , battre et déshabiller par une fille de son école
IL SE BAT CONTRE 5 FILLES POUR SAUVER SA PETITE AMIE
une catégorie de vans pire sans tète nie lois ni principe mes ou sons passer les droit de l’homme dans le monde on crée des bette avez une intèligence bien en dessous des animaux
Non?Tu crois? Comme tes compétences en grammaire,en gros…
– Cordialement .
Quel bande de connard et connasse j aurais ete la je les aurait crever c est gens . Les gens sont stupide mechant moqeur . L humanite me degoute.
je comprends pas pourkoi elle ne l’a pas mise sur ses genoux cuisses écartées pour lui donner la féssée cul nu,pour mieux l’humilier…
pour moi,voir une fille autoritaire soumettre et punir une bonne garce,c’est le pied!
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Publié le
10/01/2008 à 00:00
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Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique
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Du bout de leurs plumes, Laura D. et Eva Clouet lèvent un coin du voile sur un sujet obscur et dérangeant: la prostitution étudiante. Chacune à sa manière. Laura, 19 ans, en deuxième année de langues étrangères appliquées, sait ce que vendre son corps veut dire. «J'y ai été obligée pour payer mes études», dit-elle. Pour régler son loyer et remplir son réfrigérateur, aussi. Pour ne pas échouer aux Restos du c?ur, surtout. La faim au ventre, l'argent facile à portée de clic, le dégoût de soi: elle raconte la spirale du sexe tarifé dans un livre lucide et poignant, Mes chères études, qui paraîtra le 17 janvier aux éditions Max Milo et dont L'Express publie ici des extraits en exclusivité.
Le même jour, le même éditeur publiera La Prostitution étudiante à l'heure des nouvelles technologies de communication. Une enquête signée Eva Clouet, 23 ans, étudiante en sociologie qui a exploré les motivations de ces escort girls occasionnelles. Ce voyage en terre inconnue lui a réservé quelques surprises. Celle, notamment, de rencontrer «des filles normales, ordinaires, qui me ressemblent dans leur façon de vivre, dans leurs projets. Pas des bimbos maquillées à cuissardes noires».
Combien sont-elles? De 15 000 à 20 000, comme l'estime la police? 40 000, selon le syndicat SUD Etudiant? «Ce phénomène est de moins en moins marginal, juge Laura. Voyez les sites et les forums qui fleurissent sur la Toile. Et la demande est énorme...» Quant à l'offre, elle serait en hausse pour cause de précarité croissante. D'après l'Observatoire de la vie étudiante, 225 000 jeunes peinent à financer leurs études.
La France n'est pas une exception. Dans le cadre d'une étude menée en 2006 à la Kingston University, au sud-ouest de Londres, 10% des étudiants interrogés affirmaient avoir des camarades travaillant comme stripteaseuses, entraîneuses, masseuses ou prostituées. Un chiffre en hausse de 50% depuis 2000, sur fond d'explosion des frais de scolarité. Le Japon et l'Europe de l'Est seraient également touchés. Les Polonais ont même inventé un mot pour désigner ces étudiantes: les «universtituées».
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Mon père travaille comme ouvrier et ma mère est infirmière. Tous les deux gagnent juste le Smic, avec deux enfants à élever. [...] Je n'ai pas droit aux bourses, car je fais partie de ces innombrables étudiants qui se trouvent dans la fourchette fatale: très loin de ce que l'on peut qualifier de riches, pas assez pauvres pour recevoir des aides étudiantes.
Le professeur nous demande de remplir une fiche pour mieux nous connaître. [...] La fiche inclut une case «Projets professionnels». [...] Je note tout ce dont je rêve, je confie toutes mes attentes à cet inconnu, toutes les espérances que représente l'université pour moi. Il manque quelque chose. Je mâche mon crayon en levant les yeux vers le plafond. Puis, après quelques minutes, j'inscris tout en bas de mon inventaire de rêves pour le futur: «Vivre pleinement».
Manu a vraiment atteint le summum de sa radinerie. Il me réclame de l'argent pour le loyer, les courses, les factures, ce qui donne un montant avoisinant 450 euros par mois. Je n'ai pas assez avec mon salaire, alors je comble avec le peu d'argent de poche que me donne ma mère par mois. Pas grand-chose; le peu qu'elle peut se permettre, elle me le donne. J'ai depuis un mois arrêté de payer le forfait de mon téléphone, faisant passer les frais de l'appartement en priorité dans mes dépenses. En plus de cela, je travaille quinze heures par semaine dans cette boîte de télémarketing, vingt heures à la fac, plus les heures passées à réviser. [...]
Je tremble de voir un contrôleur dans le métro, et je me demande sans cesse comment je vais finir le mois. [...] Suis-je la seule à vivre cela? Toutes ces situations sont tellement honteuses, je ne peux pas en parler à mes copines étudiantes. Comment pourraient- elles comprendre? Alors je décline gentiment leur invitation à déjeuner et m'enferme dans la seule chose gratuite qu'il me reste: étudier. Tout ceci ne poserait pas vraiment de problème si j'avais de quoi manger à ma faim. L'état des lieux de mon placard à nourriture est toujours aussi triste et les victuailles de ma mère ont peu duré. Des pâtes, des pâtes et toujours des pâtes. Je les regarde au moment de préparer à manger, et
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