Une étudiante se donne à son copain

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Sophie de Tarlé •

Publié le 04/10/2017 à 17:00
• Mis à jour le 29/01/2018 à 17:17

INTERVIEW - Dans son livre «Les nouvelles courtisanes», la journaliste Nadia Le Brun a mené une enquête fouillée sur ces sites spécialisés qui mettent en relation des hommes mûrs avec des étudiantes.
«Améliorez votre style de vie, sortez avec un “sugardaddy”». La semaine dernière, un site de rencontres d’un genre très particulier a fait polémique en Belgique . Le principe? Il met en relation des hommes âgés, de préférence riches, avec des étudiantes, de préférence jeunes et jolies. Une pratique sulfureuse répandue dans le monde entier, mais qu’il est difficilie de quantifier.
La journaliste Nadia Le Brun a mené l’enquête auprès de ces hommes d’âge mûr et auprès de ces étudiantes afin de connaître leurs motivations et la teneur de leurs relations. Les nouvelles courtisanes, publié le 4 octobre chez Kero, est un livre sans tabou sur un sujet qui l’est hautement.
Le Figaro - Comment avez-vous eu l’idée d’enquêter sur les «sugar babies»?
Nadia Le Brun - J’ai eu l’idée de faire cette enquête parce que les jeunes et jolies étudiantes sont entrées dans
ma vie personnelle et ont mis à mal ma féminité de quadra. Un soir, où je retrouve un homme à une soirée, il me présente sa «sugar baby». Une étudiante en sciences po qui préparait l’Ena. Une jeune fille ravissante, sans aucun attribut d’escort, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession. Il l’entretenait. Autrement dit, il était son protecteur et subvenait à tous ses besoins financiers, le temps de ses études. En échange de rendez-vous réguliers et intimes avec elle, il lui payait le loyer de son appartement, ses factures, ses frais quotidiens, l’invitait dans des grands restaurants ou en voyage…
Quand il m’apprend cela, je suis mal à l’aise, mille questions me traversent l’esprit et le champagne aidant, j’interroge l’étudiante sans passer par quatre chemins. ‘Comment à 20 ans, peux-tu coucher avec un mec de 60 ans passés? Pourquoi te fais-tu entretenir, plutôt que de chercher un job d’étudiant? As-tu conscience que tu te prostitues? Y en a-t-il beaucoup comme toi?’ Elle me répond en toute transparence. J’oscille entre incompréhension, stupéfaction et indulgence. Bref, ça attise ma curiosité et me donne l’idée de réaliser ce livre sur les relations tarifées entre ces étudiantes qui font de grandes écoles ou de hautes études et ces hommes aisés et bien plus âgés.
Dans quelle mesure cette pratique s’apparente-elle à de la prostitution?
Les sites de mise en relation entre ces jeunes filles et ces hommes ne sont pas condamnables par la justice pour proxénétisme. Ils contournent les lois en revendiquant qu’ils ne sont qu’une plateforme de mise en relation et profitent du vide juridique qui entoure le web. Jamais, le mot prostitution n’est évoqué. Le succès de ces sites est basé sur la force de leur marketing: ils sont déculpabilisants! Ils vantent des relations romanesques et hédonistes.
Quoi de mal pour les jeunes filles désargentées de trouver un arrangement financier pour leur permettre de faire de grandes écoles ou de hautes études avec un protecteur, présenté comme altruiste et philanthrope? Ainsi, les jeunes filles ne se voient pas prostituées, et les hommes ne se considèrent pas comme des clients. C’est un jeu de dupe, un jeu de rôle, un double jeu où chacun trouve son compte.
Mais l’argent est tout de même le moteur de ces rencontres?
Oui, bien sûr. Ce phénomène sociétal vient des Etats-Unis, royaume des «babies», où les frais de scolarité sont très élevés. Il a pris son essor via Internet. C’est ainsi qu’il y aurait 679.407 babies au Royaume-Uni, 49.637 en Allemagne, et 40.000 françaises sur le seul site le plus important. En France, plus d’un quart des étudiants déclarent avoir connu de grandes difficultés à se nourrir, à se loger ou régler leurs factures. Face à cette précarité, certains opportunistes ont crée ces sites de rencontres, il y a plus d’une dizaine d’années. Ce qui permet à certaines jeunes filles d’avoir recours à ce genre de liaisons suivies et tarifées… sans pour autant se considérer comme des prostituées.
Quels sont les dessous de ces relations tarifées?
Au fil de mon enquête, je me suis rendue compte que ces jeunes filles avaient, pour la plupart, un passé ponctué de violences physiques ou psychologiques. Et en même temps une farouche détermination de s’en sortir et de réussir. Pour cela, elles jouent le jeu de la séduction qui n’est pas sans rappeler les codes des courtisanes des siècles passés. Elles flattent, elles admirent, elles écoutent et donnent l’illusion aux hommes qu’ils sont des pygmalions.
Sont elles amoureuses de leur sugar daddy? Parfois elles les aiment bien. Quid aussi de la sexualité qui est au cœur de cette relation rémunérée? A tous et à toutes, j’ai posé la question et ils m’ont répondu sans tabous. Beaucoup de ces jeunes filles m’ont dit qu’elles prenaient du plaisir et qu’elles se révélaient sexuellement avec ces hommes mûrs. Ce qui n’est pas le cas avec les garçons de leur âge, trop influencés par les films pornos et qui les déçoivent. S’agissant des hommes, en dépit de leur position sociale élevée, je les ai trouvés souvent étonnement crédules: ils idéalisent leur relation avec une sugar baby, et minimisent le rôle de l’argent dans leur relation.
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Chacun y trouve son compte. En quoi est-ce dérangeant? Si j’avais les moyens je prendrais une sugar baby et peut-être même plusieurs!
bertrand barbet le 05/12/2020 à 15:08
Ce qui est dommage, c'est qu'elles préfèrent vendre leurs corps, plutôt que d'essayer de faire autrement. Il y a le marché de l'emploi, certes fermé et bouché, d'autant plus vrai qu'aujourd'hui avec la crise du Covid, mais il y a un marché en plein essor, comme le marketing de réseau, avec des sociétés légales faisant parti intégrante de la Fédération de la Vente Directe (au même titre que EDF, Engie, KparK, Bonduelle...) Que, malheureusement, en France, beaucoup s'imaginent un système pyramidal à effet boule de neige ou système de Ponzi qui eux, sont illégaux. C'est dommage que les personnes fassent encore la confusion. Car mal compris par les médias qui influencent les gens. Certes il y a des '' faux'' qui ne sont pas référencés par la FVD. Mais il y en a des honnêtes. Ce n' est pas de l'argent facile et rapide comme certains se l'imaginent (vendre du rêve), mais c'est possible d'avoir des compléments (une centaine d'euros) supplémentaires par mois et pourquoi pas plus.
Le Comte de MAQUENS le 27/10/2017 à 20:33
Bonjour, Il s'agit bien d'une entreprise qui incite à la prostitution. Elle commet donc un délit puisque cela est interdit en France. Cela dit, 2 choses : 1). si c'est un délit, il faut interdire et sanctionner. Comment ? La Justice devrait communiquer là-dessus. 2). dans certains quartiers "spécifiques" de Paris, Lille, Marseille, Lyon, Toulouse, etc...on se prostitue au nez et à la barbe des forces de l'ordre, y compris chez les étudiants. Pour ces derniers, soit qu'ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, parce que "pauvres", soit qu'ils ont simplement besoin d'acquérir plus de produits que leurs camarades qui ont les moyens, acquièrent. Qui interdit et sanctionne fortement cette deuxième catégorie des prostitués ? Conclusion : avec les nouveaux moyens de communication, les initiateurs de cet étalage vont faire travailler leur imagination et changer de modes de "recrutement". On peut supposer que, face à cela, l'imagination des brigades anti-prostitution en tous genres va se mettre en mouvement pour contrer la contre-offensive potentielle des initiateurs de cette publicité "osée" il faut bien le reconnaître. Le Comte de Maquens.


Cet article date de plus de sept ans.



Publié le 21/04/2015 14:25


Mis à jour le 21/04/2015 14:26



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Margot est étudiante mais elle doit mener une double vie pour boucler ses fins de mois. Elle se dévoile dans un documentaire diffusé, mardi à 20h40, sur France 5.
Mères célibataires, étudiantes, elles sont nombreuses à devoir travailler comme escort-girls pour arrondir leurs fins de mois. Une double vie qui n’est pas forcément facile à assumer. Sarah Lebas et Damien Vercaemer ont recueilli les confidences de cinq d’entre elles, dans un documentaire intitulé "Escort girls, une vie dans l’ombre" , diffusé mardi 21 avril, à 20h40 sur France 5, dans "Le monde en Face" .
Si certaines ont dû se résoudre à cette vie pour élever leurs enfants, d’autres le font pour payer leurs études. Dans cet extrait, Margot raconte son expérience d’étudiante en droit sans le sou, obligée de cumuler deux emplois pour subvenir à ses besoins.
De guerre lasse, la jeune femme a fini par s'inscrire sur un site, sur les conseils d’une amie, pour faire financer ses études par des hommes d’affaires, qu’elle accompagne lors de sorties dans des grands restaurants et avec qui elle doit se montrer "gentille" . "Je me souviens du premier homme qui m’a donné une enveloppe avec 600 euros en espèces. Pour moi, c’était un mois de salaire de job étudiant" , se confie-t-elle.
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Selon certains rapports, de plus en plus de femmes deviendraient travailleuses du sexe pendant leurs études pour payer leurs frais de scolarité et leur loyer. C’est notamment le cas de cette jeune étudiante universitaire britannique qui a accepté de se confier au « Daily Star ».

Cette femme, qui n’a pas voulu révéler son identité, avoue que c’est lors de sa première année universitaire qu’elle a commencée à entendre parler d’étudiantes qui travaillaient dans l’industrie du sexe. Dans l’un de ses cours, elle a rencontré une fille qui gagnait sa vie comme effeuilleuse dans un bar. 
Cette fille lui a présenté une autre étudiante qui travaillait comme escorte. Elle l’a initiée au milieu. Elle lui a entre autres donné des trucs pour éviter les mauvais clients et aussi comment travailler de façon sécuritaire. Elle lui a également suggéré des endroits où elle pourrait « promouvoir » ses services. 
Selon elle, elle est loin d’être la seule qui fait ça. « Le travail du sexe auprès des étudiants est beaucoup plus commun de ce que la majorité des gens pensent, et ça va aller en augmentant, à mesure que les frais, le loyer et le coût de la vie va augmenter », croit-elle.
Par exemple, son ancienne coloc échangeait des faveurs sexuelles avec son propriétaire pour pouvoir payer le loyer. Une autre fille travaillait comme travailleuse du sexe à temps partiel pour pouvoir se payer un biller d’avion pour aller voir sa famille. 
Elle n’est pas devenue une travailleuse du sexe du jour au lendemain. Elle a d’abord essayé de travailler dans des commerces « traditionnels » comme un bistro, un pub et comme serveuse, mais elle avoue que ce n’était pas assez payant .
Étant donné que son prêt étudiant ne pouvait même pas payer son loyer à Londres, elle n’a pas eu d’autres choix que de se tourner vers le milieu de la prostitution. D’ailleurs, depuis qu’elle est dans ce milieu, elle soutient qu’elle a une bien meilleure qualité de vie . 
Elle assure que c’est le travail idéal . C’est bien payé et l’horaire est flexible . Elle peut travailler le nombre d’heures qu’elle désire par semaine. Elle n’a pas de véritable patron qui va l’obliger à travailler de 9 à 17h le samedi et le dimanche. Quand une semaine elle a trop de travaux, elle travaille moins.
Pour recruter des nouveaux clients, c’est assez simple. Elle fait de la pub sur un site Internet. Elle a aussi plusieurs clients réguliers qu’elle voit à leur domicile , dans une chambre d’hôtel ou encore sur les lieux de leur travail .
Et ses parents là-dedans? Étant donné qu’elle voulait rester anonyme , il y a peu de chance qu’ils soient au courant. Et vu qu’elle provient d’une famille pauvre, ceux-ci ne pouvaient pas l’aider financièrement pendant ses études. 
Tout n’est pas rose, cependant, dans son emploi. « Ma plus grande peur c’est d’être arrêtée parce que si j’ai un casier judiciaire, ça va rester toute ma vie. Ce serait un obstacle majeur lorsque je vais me chercher un emploi », affirme-t-elle.
Mais comme elle aime à le répéter, le travail du sexe paie beaucoup mieux et offre un meilleur horaire que n’importe quel autre emploi qu’elle connait. 
Et vous? Que pensez-vous des étudiantes qui travaillent comme escorte à temps partiel pour payer leurs frais de scolarité? Ne risquent-t-elles pas de gâcher leur avenir?
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Prostitution via Shutterstock.com


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