Une étudiante et son vagin

Une étudiante et son vagin




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Une étudiante et son vagin
Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Une nouvelle étudiante met sa virginité aux enchères
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Par Fréréric Joignot (Blog Je ne pense qu'à ça)
 En avril 2014, la Californienne Elizabeth Raine, 27 ans, étudiante en médecine, a décidé de mettre sa virginité aux enchères sur Internet . Fort cher à croire l'appel de son annonce : "The high price of innocence " (photo). Elle n’est pas la première cette année. La brésilienne Catarina a offert la sienne en ligne au plus offrant en janvier. 1 million de dollars. L'Américaine se présente en tenue légère, sans montrer son visage, sur un site proche d'un catalogue de lingerie, où elle explique sa démarche dans plusieurs textes paradoxaux. Curieusement en effet, elle avance qu’elle ne sacralise pas la virginité, comme cela est courant parmi les familles conservatrices et religieuses et dans les sociétés patriarcales empreintes de machisme. « Je ne crois pas que la virginité est un don sacré qui doit être réservé à l’homme que j’aime (...) elle n’est pas un témoignage de mon honneur, ma vertu ou ma puretén’est pas un témoignage de mon honneur, ma vertu ou ma pureté» écrit-elle, alors qu'il est probable que ce soit des hommes marqués par ces valeurs qui soient intéressés par son offre.
Elizabeth Raine considère sa virginité « comme un élément constitutif » de sa personne, et la preuve de sa « liberté d’esprit et son indépendance ». En effet, à 27 ans, aux Etats-Unis, où la moyenne d’âge du premier rapport sexuel oscille entre 15 et 17 ans, on imagine sans peine qu'une aussi belle femme a fait le choix de rester vierge si longtemps. Elle ajoute d’ailleurs, à destination des futurs enchérisseurs : « Si ma virginité à un prix, mon amour-propre est inestimable ». 
Bien sûr, l'indignation et l'incompréhension se bousculent sur les chats d'Internet, assorties de questions directes. Est-ce faire preuve d’estime de soi que d’offrir son premier rapport au plus offrant ? N’est-il pas triste et destructeur de commencer sa vie sexuelle en se prostituant avec un homme peut-être laid ou repoussant ? N'est-elle pas pressée par la pauvreté pour se vendre, quand elle pourrait faire l'amour avec un homme qu’elle désire ? Elizabeth Raine répond à toutes ses interrogations. Elle affirme qu’elle est maîtresse de son corps et d’elle-même, sans honte, et a réfléchi à la prostitution. Elle ne considère pas qu’un acte sexuel payant, par ailleurs sans lendemain par définition, « porte atteinte à son propre code moral ». Elle affirme encore qu’il s’agit d’un choix non contraint, consenti, car elle est, prétend-elle, à l’abri de « toute pression financière ». 
Dans une interview publiée sur le site Nerve.com , Elizabeth Raine explique cependant qu’elle a décidé de jouer sa virginité en ligne suite au succès rencontré par l’étudiante californienne Nathaly Dylan, en septembre 2008. Cette étudiante gironde de 22 ans, étudiante à San Diego, Californie, en quête d’une bourse universitaire, avait reçu quelque 10,000 propositions après avoir mise en vente sa « première fois » lors de la fameuse émission radiophonique d’Howard Stern, où elle avait expliqué : « Nous vivons dans une société capitaliste. Pourquoi ne serais-je pas autorisée à capitaliser sur ma virginité ? » Les enchères venaient « d’hommes bizarres » - décrivant tout ce qu’ils voulaient faire avec elle –, certaines étaient le fait de « riches hommes d’affaires » qui envoyaient des « demandes polies ». La plus élevée montait à 3,7 millions de dollars. C’était un canular.
 La brésilienne Catarina Migliori, elle, appelle à se faire déflorer pour la seconde fois. Elle avait déjà participé en septembre 2008 au film du vidéaste australien J.S, « Virgin Wanted » où elle racontait sa vie et s'offrait. Sa proposition suscita d'innombrables réactions, si bien que Playboy Brésil la mettait nue en couverture. L'e nchère finale fut emportée un riche japonais se faisant appeler « Natsu », pour 780,000 dollars (600,000 euros). Hélas, quand Catarina le rencontra à Sydney, en Australie, « Natsu » n’avait pas l’argent. Quant au vidéaste, il escomptait lancer une émission de télé-réalité avec ses bouts d'essai sur le principe de la mise aux enchères de jeunes vierges.
Cela n'a pas décourager Catarina de tenter l'aventure. La virginité des jeunes femmes a toujours eu une valeur commerciale, dans presque toutes les civilisations - sauf chez de nombreux Amérindiens et les Incas où elle était déconsidérée. En Europe du Sud, les familles la négociaient âprement lors des mariages arrangés afin de garantir la lignée des héritiers, tout en vantant la pureté de leur fille - sans oublier sa vente en direct dans les maisons closes de la second moitié du XIXe. Nous pourrions penser qu’avec l’avénement de la liberté individuelle, de l’égalité des femmes et des mariages d’amour et de désir partagés, quand la décision d’une alliance amoureuse vient après une vie sexuelle assez étoffée pour choisir en connaissance de cause, la virginité a perdu en signification et en cotation économique.
Ces dernières années, une dizaine de jeunes femmes ont marchandé sur Internet leur défloration . En mai 2009, une Roumaine de 18 ans, Alina, qui voulait entrer à l’université, s’est inscrite comme vierge sur le site allemand de ventes aux enchères sexuelles gesext.de . Le gagnant anonyme, un businessman italien de 45 ans, l’accueillait à Venise dans un hôtel de luxe, après avoir fait vérifier médicalement sa virginité. Il a payé 10,000 euros. En janvier 2013, en Belgique, une certaine Cindy, 24 ans, expliquait avec un cynisme consommé sur le site DH.be que la virginité est devenue une denrée si rare qu’elle doit pouvoir être monnayée : « A 18 ans, j’étais toujours vierge, ce qui est rare de nos jours. Je me suis dit : purée, je vaux un beau petit paquet d’argent qui sait ? » Elle poursuivait : « « Tout le monde rêve de gagner au Loto. J’ai décidé d’être ma propre loterie et de valider mon ticket gagnant ». A-t-elle réussi ? Cindy n’en a jamais rien dit dans la presse.
Bien sûr, à chaque fois, comme pour Alina, les enchérisseurs exigent des jeunes femmes qu’ils apportent la preuve de leur virginité. Nous pénétrons là un domaine sensible. En effet, anatomiquement, la présence d’un hymen intact, la fine membrane qui ferme partiellement l’entrée du vagin, si importante dans les civilisations attribuant une haute valeur à la chasteté des femmes avant le mariage, est difficile à garantir... Celui-ci peut être déchiré lors d’activités physiques ou des cours de gymnastique. Des tampons hygiéniques peuvent le percer. Certaines femmes n’en ont pas naturellement. Des hymens souples, fréquents, sont distendus lors d’un rapport sexuel sans se rompre pour autant. Enfin, de nombreuses femmes, surtout dans les pays musulmans, recourent à une hyménoplastie ou reconstruction d’hymen pour satisfaire aux règles de leur religion, et rassurer leur époux comme les familles suspicieuses. Autrement énoncé : la présence ou non de l'hymen, comme son altération, ne sont pas fiables pour s’assurer de la virginité d’une femme.
Ajoutons que si Elizabeth Raine assure que le sien est intact, cela va-t-il rassurer pour autant les internautes intéressés ? La virginité d’une femme signifie-t-elle juste qu’elle n’a pas eu de pénétration vaginale ? Que penser alors des relations sexuelles buccales ou anales, ou même d’étreintes passionnées et caressantes ? Quand, dans nos sociétés, la femme perd-elle son innocence et sa pureté - au premier baiser, au premier mot amour, pour une main baladeuse ? A l'usage, la virginité glisse sans cesse dans un univers fantasmatique, à haute dimension symbolique. N’est-elle pas un mythe, une légende, une question de foi et de croyance plus qu'une réalité tangible - comme celle de la Vierge Marie ? N’est-elle pas une illusion pour rassurer des prétendants exclusifs et satisfaire à une morale sexuelle stricte ?
Interviewée sur ces thèmes sur le site Nerve.com , Elizabeth Raine a répondu avec une froideur amusée.
-Le désir de vouloir être « le premier pénis » rappelle le fait de planter son drapeau sur un territoire inexploré, non ?
E.R : -Les hommes sont en effet des créatures très compétitives et territoriales.
-S'ils sont assez stupides pour payer une construction sociale comme la virginité, il faut les laissez faire ?
E.R : Je ne peux pas être en désaccord avec cela. (…)
-Si vous pouviez le faire avec quelqu'un pour la première fois, fictif ou réel, ce serait qui ?
E.R : -Avec la personne qui va payer le plus, quel qu'il soit.
- Les gens évoquent souvent Ryan Gosling (l’acteur), qu’en dites-vous ?
E.R : - Non, non, pas lui… À moins qu'il paie. »
Fréréric Joignot (Blog Je ne pense qu'à ça)
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Atteinte du syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser, Annabelle Astley tient à sensibiliser le public.
Annabelle Astley avait 16 ans lorsqu’elle a appris qu’elle avait le syndrome de Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser. Née avec une partie de vagin et sans utérus, la jeune femme a dû subir un traitement de dilatation extrêmement douloureux, un processus que les femmes atteintes de la maladie doivent souvent subir pour être sexuellement active avec un homme.
Mais après que l’étudiante s’est finalement ouverte à son ancien petit ami, elle a été très déçue de découvrir qu’il en avait parlé à tout le monde à l’université. Après l’avoir quitté, elle décidé de partager des informations sur son état avec ses abonnés adeptes TikTok dans le but de sensibiliser le public.
Annabelle, citée par Sudinfo, a déclaré au Mirror : « C’était la première personne à qui je faisais confiance et avec qui je couchais. J’espère que les choses seront différentes avec mon prochain partenaire et que j’aurai le courage de lui dire. » Mais la jeune femme relativise : « Cela m’a finalement rendue un million de fois plus forte en tant que personne, je peux désormais en parler librement. C’est important pour moi d’en parler sur TikTok. » a-t-elle ajouté.
Annabelle a révélé certaines des questions très étranges qui lui sont posées sur les réseaux sociaux. Les gens lui ont demandé ce qu’était un utérus, si elle était un garçon ou encore si elle était transgenre mais la jeune femme a aussi eu des centaines de commentaires positifs et encourageants de la part de filles atteintes de la même maladie qu’elle.

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Un étudiant se coince dans une statue de vagin de 32 tonnes
Ce n’est pas une blague ! Les faits sont bien réels. Un étudiant américain s’est retrouvé coincé dans une sculpture de marbre représentant un vagin. Le jeune étudiant voulait tout simplement prendre un selfie à l’intérieur du vagin géant. Sans doute un de ses fantasmes. Il a dû être secouru par 22 pompiers qui l’ont extrait de son piège, le vagin.
C’est dans une statue de vagin de 32 tonnes qu’un étudiant américain s’est retrouvé coincé à Tübingen , dans le sud de l’Allemagne. Le jeune étudiant à dû mobiliser 22 pompiers pour l’extraire de ce vagin géant.
Pour parvenir à cette délivrance, les pompiers ont eu recours à des doses massives de lubrifiant et d’un forceps . Un histoire digne d’un accouchement géant en plein air ! Les pieds du jeune américain étaient bloqués entre les parois de la statue, représentant l’orifice du vagin . Il ne s’attendait pas à ça. Il s’y était introduit pour tout simplement immortaliser le moment. Mais difficile de sortir de la cavité.
Cette tentative d’exploration s’est fini par une bonne dose de honte , pour cet étudiant. Néanmoins il n’y a pas eu de casse au niveau de la statue et de l’étudiant lui-même. D’après un témoin, la situation n’a pas amusé les pompiers . En revanche, cette situation a bien fait rire les étudiants qui passaient par là. Un autre témoin sur les lieux a déclaré: J’y étais! Il voulait juste prendre une photo marrante .
Pour le coup il se souviendra de cette histoire et sa tentative de selfie pour le restant de ses jours. La statue de vagin géante est une oeuvre baptisée TheChacan-Pi («Faire l’amour»), réalisée par le Péruvien Fernando de la Jara . Ce statut trône dans le parc de l’Institut de microbiologie et de virologie de Tübingen depuis 2001 . Elle est censée représenter une «porte sur le monde»…

Tags : Allemagne - campus - étudiant - vagin






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