Une étudiante en pleine forme se donne en solo

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En Egypte, pays ou le harcèlement sexuel est un véritable fléau, l’agression d’une étudiante de l‘université du Caire suscite la polémique. Le 16 mars, une jeune femme dont l’identité n’a pas été révélée, s’était réfugiée dans les toilettes, après avoir été agressée sur le campus. Selon les membres du mouvement « Shoft Taharosh », (« J'ai été témoin de harcèlement », en arabe) elle avait été poursuivie par un groupe d’étudiants qui l’insultaient et tentaient de la déshabiller. Des vidéos postées sur les réseaux sociaux la montre escortée à l’extérieur de l’établissement par des membres de la sécurité.
Informé de cette affaire, le doyen de l’université, Gaber Nassar, a reproché à la jeune femme d’avoir porté une tenue inappropriée. « Nous n'imposons pas de tenue particulière mais il faut respecter les coutumes et les traditions de la société », a-t-il déclaré à la télévision privée ONTV. Le jour de son agression, l’étudiante portait un pantalon noir et un pull rose fuchsia à manches longues.
« Cette étudiante est entrée dans l'enceinte de l'université vêtue d'une abaya (longue robe noire traditionnelle chez les femmes des pays du Golfe) par-dessus ses habits parce que la sécurité ne laisse pas entrer d'étudiants portant des tenues extravagantes », a expliqué le doyen, assurant qu’elle l’avait retirée une fois sur le campus. « L'erreur de cette fille ne justifie pas ce que les étudiants ont fait », a-t-il ajouté. Aussitôt, ses propos ont provoqué une vague d’indignation. « Tout le monde trouve une justification au harcèlement et c'est à la victime qu'on fait porter la responsabilité », a dénoncé Fathi Farid, un des fondateurs de « Shoft Taharosh ». Selon le « Daily News Egypt » , le mouvement anti-harcèlement a contacté le ministère de l’Enseignement supérieur et les présidents d’université dès le lendemain, afin de faciliter les campagnes de prévention dans les établissements. De son côté, le doyen de l’université a ensuite assuré que les agresseurs seraient poursuivis en justice.
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Accueil » “Je suis étudiante et je me prostitue pour éponger mes dettes”
Rose a 23 ans. C’est une étudiante brillante, une activiste féministe. Elle a des dettes et elle se prostitue. Océane lui prête sa plume pour raconter son rapport à la prostitution, aux choix et à leurs conséquences.
À l’heure où elle me parle, Rose a 23 ans, et elle se prostitue depuis plus d’un an. Notre premier contact s’est fait par un email, lancé comme une bouteille à la mer sur la boîte de réception de madmoiZelle.
Le premier message de Rose sonnait comme une pulsion, comme un besoin soudain de dire à quelqu’un ce qu’elle vit. Un message pour relâcher une tension latente.étudiante
Quelques jours plus tard, j’ai rencontré une jeune femme terre à terre, pragmatique, cérébrale. Récemment arrivée à Paris pour la poursuite de ses études, Rose bûche et travaille beaucoup.
Une vie d’étudiante à Paris En alternance, elle bosse 35 heures par semaine, en plus de ses projets universitaires. étudiante
Le temps et l’énergie lui manquent pour faire un job étudiant, elle veut se consacrer à ses études, mais la vie parisienne l’endette chaque jour un peu plus. étudiante
Indépendante, avec déjà un prêt étudiant sur les épaules, elle peine à demander de l’aide, protège ses parents, et veut rembourser les amis qui l’ont déjà aidée par le passé. étudiante
Avec un découvert de quelques centaines d’euros tous les mois, et après un avertissement de son banquier, Rose finit par s’inscrire sur un site de sugar dating :
« Au départ j’ai commencé à penser à la prostitution, j’en rigolais avec mes amis. C’était pour tester les limites, je pense. J’ai fait ça pendant plus d’un mois. étudiante
Et au bout d’un mois je me suis penchée sur le principe du sugar dating, en sachant pertinemment que c’était de la prostitution déguisée. étudiante
J’étais au boulot, j’ai reçu un mail de mon banquier et c’était le truc de trop. Je me suis inscrite sur un coup de tête, j’y ai passé une après-midi, et en une après-midi près d’une cinquantaine d’hommes m’ont contactée. »
Le sugar dating : de la prostitution déguisée Rose s’est inscrite sur un site Internet dont la promesse est de rencontrer un sugar daddy pour pouvoir mettre du beurre dans ses épinards, en quelque sorte. étudiante
Elle évoque avec un certain malaise le fait que ce site cherche à faire oublier que c’est de la prostitution. Autant chez les hommes, en grande majorité du côté du payeur, que chez les femmes en demande de soutien financier :
« Il n’y a pas de contrôle, je me suis inscrite en cinq minutes, j’aurais très bien pu être mineure. étudiante
C’est très faux, parce que ça se présente comme un site de rencontre, sauf que les hommes mettent leur salaire sur leur profil. étudiante
Nous en tant que fille, on met soi-disant nos préférences sexuelles, mais on sait très bien qu’il vaut mieux mettre le maximum possible pour être choisie.[…]
À chaque fois, il y avait ce discours de « ce n’est pas de la vraie prostitution », parce qu’il y a une relation plus que sexuelle. Même eux disaient que s’ils vouaient une prostituée, ils seraient allés voir une prostituée.
Qu’ils étaient là pour pouvoir aider les jeunes femmes, pouvoir nous accompagner, nous aider à grandir et à nous épanouir. C’est un discours paternaliste par excellence.
Ils n’ont pas envie d’une pute, de l’image qu’ils ont d’une pute. Ils ont envie d’une fille qui fasse bien au restaurant, qui puisse tenir une conversation, mais sans leur tenir tête. »Elle joue un rôle, tente de garder le contrôle sur son intimité, de maintenir une distance. Elle se fait un personnage, romance pour faire croire aux hommes qu’ils sont « l’élu ».
Mais plus les conversations avancent, plus elle se rend compte que les attentes des hommes, pour la plupart assez âgés, sont malsaines :
« J’étais un peu trop vieille pour beaucoup. J’étais déjà construite. Et ça les dérangeait. Il faut montrer qu’on est faible.
Le discours des hommes m’a beaucoup choquée, même les plus attentionnés, les plus « gentils », comme celui que je fréquente.
C’est un homme de 43 ans qui n’est pas dérangé d’être attiré par quelqu’un de 16 ans, il m’a trouvée attirante intellectuellement, et c’est pour ça que ça marche. Mais d’habitude il choisit des filles plus jeunes. »
Rose est en colère, non pas contre la notion de prostitution en elle-même, mais plutôt contre les rouages du système qui en favorise les déviances.
« Si j’ai envie de vendre mon cul, c’est mon cul, et voilà. La prostitution dans l’idée ne me dérange pas, c’est le choix de chacun. Mais c’est le système qu’il y a autour qui est particulièrement dégueulasse.
Le fait que la majorité des femmes et des hommes qui se retrouvent dans cette situation-là ne sont pas en pleine conscience, n’ont pas totalement le pouvoir sur leur corps.
Actuellement on laisse des très jeunes femmes se faire manipuler, se faire toucher, se faire payer par des hommes qui ont l’âge d’être leur père ou leur grand père, et ça passe. On accepte ça. »
Premiers rendez-vous Alors Rose fait une sélection, parle avec quelques hommes et en rencontre une dizaine pour un premier rendez-vous de test. Les « moins malsains », dans une tranche d’âge entre 35 et 45 ans.
Habituée à avoir des relations de couple avec des hommes plus âgés qu’elle, Rose n’est pas dérangée par leur physique, mais elle ne veut pas qu’ils aient l’âge de son père.
Elle choisit finalement un homme de 43 ans, gentil, avec qui elle a des affinités, et sur qui elle estime pouvoir avoir le dessus :
« Je l’ai choisi parce que je sais que j’ai le dessus sur lui physiquement et mentalement.
D’une certaine manière, je sais que je ne suis pas en danger avec lui. Je n’irais pas jusqu’à dire que je me sens en sécurité, mais je sais qu’il ne me fera pas de mal.
Ça fait quelques années qu’il voit des filles dans ce contexte-là, sa compagne est au courant, elle est au courant qu’il m’a donné de l’argent. »
Quand elle raconte leur premier rendez-vous, il ressemble à n’importe quel premier rendez-vous romantique. Invitation au restaurant, discussion, et à ce stade du processus, Rose se convainc encore qu’il s’agit d’une rencontre classique, comme elle a l’habitude d’en faire.
Mais très vite la relation est biaisée et lui échappe à cause de l’intérêt financier :
« La première fois qu’on s’est rencontrés, on a marché, il m’a invitée au restaurant, et au final le premier pas est venu de moi, et on a couché ensemble. Ce soir-là, oui, j’en avais envie.
Mais très rapidement, quand la relation comme elle l’est maintenant s’est installée, j’en avais plus envie. À partir du moment où je me suis sentie dépendante de lui il me dégoutait.
On se fréquente depuis plus d’un an, au début on se voyait presque deux fois par semaine, et très rapidement j’ai réussi à mettre des distances avec l’excuse du boulot, mes problèmes de santé, ma relation de couple fictive.
Parfois je disais avoir mes règles pendant trois semaines, j’ai passé beaucoup de nuits sans qu’il me touche. Il pense vraiment qu’on a une relation très forte, à la limite je pourrais peut-être le voir comme un ami, mais toute cette question d’argent et de sexe fait que c’est impossible. »
Entre intimité et relation tarifée Rose reçoit plus d’argent qu’elle ne l’aurait espéré. Entre 300 et 500 euros par mois, ce à quoi s’ajoutent les invitations au restaurant, les petites attentions, les chèques cadeaux et tickets restaurants. Un mois où elle a besoin de plus, il lui donne jusqu’à 1 000 euros.
Cette relation prend la forme d’une relation exclusive, basée sur plus de discussions que de relations sexuelles.
En un an, ils couchent une quinzaine de fois ensemble, elle esquive, il la respecte, elle se confie assez pour lui faire croire qu’il connaît tous ses sentiments, mais elle garde quelques barrières.
Et pourtant petit à petit la ligne entre prostitution, argent, et intimité devient floue :
« Je ne peux pas faire la distinction entre comment je fonctionne dans mes relations sentimentales et comment je fonctionne avec lui.
Il n’y a plus de barrière entre ma vie privée et cette relation, surtout qu’il vient parfois chez moi.
Il ne reste jamais dormir, mais quand je lui dis que j’ai trop de travail il vient passer deux ou trois heures le soir.
Par exemple j’ai des photos d’ami·es et de famille partout sur les murs, mais quand il vient je les enlève. Je n’ai pas envie qu’il me connaisse réellement, parce que je trouve qu’il me connaît déjà trop.
Il peut avoir accès à mon corps, mais pas à mes sentiments. Plus ça va, et moins je peux l’embrasser, parce que c’est trop intime. Pareil avec les préliminaires, j’évite avec lui.
Pour moi c’est l’acte sexuel le plus intime, et avec lui je ne peux pas. »
Subir ce contre quoi on se bat Rose est une féministe dans l’âme, élevée par une mère qui s’est investie pour la cause, et qui lui a inculqué depuis le plus jeune âge ses valeurs féministes. Je sens en elle un combat, deux polarités.
La Rose qui défend et accompagne ses amies au planning familial ou au commissariat quand elles sont victimes de violences ou qu’elles rencontrent des problématiques dans leur vie intime.
Et la Rose qui subit, et dont la vie sexuelle est elle-même teintée de violence.
« Ma relation à ma sexualité et à mon corps a plutôt été malsaine toute mon adolescence.
Ma première fois, j’avais 16 ans, j’ai couché avec lui pour ne pas qu’il me quitte, et il m’a quittée le lendemain.
Ça a été très traumatisant comme première fois, et après il y a eu quelques agressions sexuelles.
J’ai toujours été la féministe, celle qui aide les autres. Mais ma sexualité était un chaos total, et ça a été comme ça longtemps.
En arrivant à Paris, j’étais dans une phase où je me disais, de toute façon, que je couche avec un connard, ou que je couche avec un connard qui me paye, c’est pareil.
Aujourd’hui je m’accepte un peu plus, j’accepte mon corps, j’accepte la notion de plaisir aussi, que j’ai eu du mal à accepter pendant longtemps.
Honnêtement, je vis beaucoup mieux ce que je vis au niveau sexuel avec cet homme-là, que ce que j’ai pu vivre avec d’autres garçons avant.
Dans cette relation, il n’y a pas du tout de violence. »
Se sortir de l’engrenage de la prostitution Rose a finalement avoué sa situation à ses plus fidèles ami·es.
Avoué oui, mais en leur disant que c’était terminé. Comme un premier pas dans son cheminement pour mettre fin à cette relation dans laquelle elle se sent aujourd’hui enfermée.
Depuis quelques mois elle prépare sa sortie, immisce la fausse idée d’un départ pour une année d’études à l’étranger, et d’un début de relation avec un autre homme.
« Je suis inquiète par rapport à l’argent, j’ai peur que dans deux ans il sonne à ma porte pour me dire « tu me dois tant ».
Pendant un moment, je me suis sentie redevable envers lui, mais plus maintenant, plus je prends du recul sur la situation plus je me rends compte que je ne le suis pas. Il n’a pas le droit de me faire ressentir ça, mais il le fait sans s’en rendre compte.
Dernièrement, j’ai réussi à remonter un peu financièrement, même si c’est toujours un peu bancal. J’espère pouvoir le convaincre de me faire un dernier virement avant d’arrêter.
Quand j’évoque avec Rose son futur, l’après, les conséquences et le potentiel contrecoup de cette expérience, je sens pour la première fois une hésitation.
Consciente que ce qu’elle s’est infligé n’est pas anodin, elle continue à rationaliser son vécu, et ne regrette pas d’avoir trouvé cette solution à ses problèmes d’argen
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