Une étudiante avec un homme costaud

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Une étudiante avec un homme costaud
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© Gentside. Crédit photographique pour toutes les images de ce site (sauf indication) : © GettyImage.
Des chercheurs ont étudié la force physique des hommes d'aujourd'hui pour la comparer à celles des hommes il y a 30 ans. Le résultat est clair, la force physique de ces messieurs a bel et bien diminué au fil du temps !
Dans une étude publiée sur le Journal of Hand Therapy , des chercheurs ont observé que la force physique des hommes avait diminué depuis 30 ans. Pour obtenir ces conclusions, ils ont mesuré la force des mains de 237 étudiants américains en bonne santé, âgés de 20 à 34 ans.
Ils ont examiné leur capacité à pincer et presser un dynamomètre, et ont comparé ces résultats avec ceux effectués sur une population similaire, il y'a 30 ans. Cette expérience a démontré que les jeunes d'aujourd'hui ont moins de force dans les mains que leurs pères ! En revanche, chez les femmes cette force est restée stable, même si les chercheurs ont pu constater une légère baisse.
En 1985, les hommes à l'époque âgés de 20 à 34 ans pouvaient serrer leur main avec une pression de 53 kg. Aujourd'hui les étudiants atteignent, en moyenne, 44 kg seulement... Il faut cependant bien noter que la comparaison effectuée dans cette étude n'est pas parfaite puisque les cobayes recrutés il y a 30 ans n'étaient pas tous des étudiants, et n'avaient pas forcément les mêmes activités physiques.
Mais les résultats semblent plutôt logique puisque, même si les étudiants actuels sont plus sportifs que leurs aînés, force est de constater qu'en 30 ans, le travail manuel a largement diminué, laissant place au travail tertiaire, et à la robotisation dans les usines. La force des mains serait également significative de bonne santé, et donnerait une idée de l'espérance de vie... Il va donc falloir se muscler un peu plus les mains !


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Par
Sophie de Tarlé •

Publié le 04/10/2017 à 17:00
• Mis à jour le 29/01/2018 à 17:17

INTERVIEW - Dans son livre «Les nouvelles courtisanes», la journaliste Nadia Le Brun a mené une enquête fouillée sur ces sites spécialisés qui mettent en relation des hommes mûrs avec des étudiantes.
«Améliorez votre style de vie, sortez avec un “sugardaddy”». La semaine dernière, un site de rencontres d’un genre très particulier a fait polémique en Belgique . Le principe? Il met en relation des hommes âgés, de préférence riches, avec des étudiantes, de préférence jeunes et jolies. Une pratique sulfureuse répandue dans le monde entier, mais qu’il est difficilie de quantifier.
La journaliste Nadia Le Brun a mené l’enquête auprès de ces hommes d’âge mûr et auprès de ces étudiantes afin de connaître leurs motivations et la teneur de leurs relations. Les nouvelles courtisanes, publié le 4 octobre chez Kero, est un livre sans tabou sur un sujet qui l’est hautement.
Le Figaro - Comment avez-vous eu l’idée d’enquêter sur les «sugar babies»?
Nadia Le Brun - J’ai eu l’idée de faire cette enquête parce que les jeunes et jolies étudiantes sont entrées dans
ma vie personnelle et ont mis à mal ma féminité de quadra. Un soir, où je retrouve un homme à une soirée, il me présente sa «sugar baby». Une étudiante en sciences po qui préparait l’Ena. Une jeune fille ravissante, sans aucun attribut d’escort, à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession. Il l’entretenait. Autrement dit, il était son protecteur et subvenait à tous ses besoins financiers, le temps de ses études. En échange de rendez-vous réguliers et intimes avec elle, il lui payait le loyer de son appartement, ses factures, ses frais quotidiens, l’invitait dans des grands restaurants ou en voyage…
Quand il m’apprend cela, je suis mal à l’aise, mille questions me traversent l’esprit et le champagne aidant, j’interroge l’étudiante sans passer par quatre chemins. ‘Comment à 20 ans, peux-tu coucher avec un mec de 60 ans passés? Pourquoi te fais-tu entretenir, plutôt que de chercher un job d’étudiant? As-tu conscience que tu te prostitues? Y en a-t-il beaucoup comme toi?’ Elle me répond en toute transparence. J’oscille entre incompréhension, stupéfaction et indulgence. Bref, ça attise ma curiosité et me donne l’idée de réaliser ce livre sur les relations tarifées entre ces étudiantes qui font de grandes écoles ou de hautes études et ces hommes aisés et bien plus âgés.
Dans quelle mesure cette pratique s’apparente-elle à de la prostitution?
Les sites de mise en relation entre ces jeunes filles et ces hommes ne sont pas condamnables par la justice pour proxénétisme. Ils contournent les lois en revendiquant qu’ils ne sont qu’une plateforme de mise en relation et profitent du vide juridique qui entoure le web. Jamais, le mot prostitution n’est évoqué. Le succès de ces sites est basé sur la force de leur marketing: ils sont déculpabilisants! Ils vantent des relations romanesques et hédonistes.
Quoi de mal pour les jeunes filles désargentées de trouver un arrangement financier pour leur permettre de faire de grandes écoles ou de hautes études avec un protecteur, présenté comme altruiste et philanthrope? Ainsi, les jeunes filles ne se voient pas prostituées, et les hommes ne se considèrent pas comme des clients. C’est un jeu de dupe, un jeu de rôle, un double jeu où chacun trouve son compte.
Mais l’argent est tout de même le moteur de ces rencontres?
Oui, bien sûr. Ce phénomène sociétal vient des Etats-Unis, royaume des «babies», où les frais de scolarité sont très élevés. Il a pris son essor via Internet. C’est ainsi qu’il y aurait 679.407 babies au Royaume-Uni, 49.637 en Allemagne, et 40.000 françaises sur le seul site le plus important. En France, plus d’un quart des étudiants déclarent avoir connu de grandes difficultés à se nourrir, à se loger ou régler leurs factures. Face à cette précarité, certains opportunistes ont crée ces sites de rencontres, il y a plus d’une dizaine d’années. Ce qui permet à certaines jeunes filles d’avoir recours à ce genre de liaisons suivies et tarifées… sans pour autant se considérer comme des prostituées.
Quels sont les dessous de ces relations tarifées?
Au fil de mon enquête, je me suis rendue compte que ces jeunes filles avaient, pour la plupart, un passé ponctué de violences physiques ou psychologiques. Et en même temps une farouche détermination de s’en sortir et de réussir. Pour cela, elles jouent le jeu de la séduction qui n’est pas sans rappeler les codes des courtisanes des siècles passés. Elles flattent, elles admirent, elles écoutent et donnent l’illusion aux hommes qu’ils sont des pygmalions.
Sont elles amoureuses de leur sugar daddy? Parfois elles les aiment bien. Quid aussi de la sexualité qui est au cœur de cette relation rémunérée? A tous et à toutes, j’ai posé la question et ils m’ont répondu sans tabous. Beaucoup de ces jeunes filles m’ont dit qu’elles prenaient du plaisir et qu’elles se révélaient sexuellement avec ces hommes mûrs. Ce qui n’est pas le cas avec les garçons de leur âge, trop influencés par les films pornos et qui les déçoivent. S’agissant des hommes, en dépit de leur position sociale élevée, je les ai trouvés souvent étonnement crédules: ils idéalisent leur relation avec une sugar baby, et minimisent le rôle de l’argent dans leur relation.
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Chacun y trouve son compte. En quoi est-ce dérangeant? Si j’avais les moyens je prendrais une sugar baby et peut-être même plusieurs!
bertrand barbet le 05/12/2020 à 15:08
Ce qui est dommage, c'est qu'elles préfèrent vendre leurs corps, plutôt que d'essayer de faire autrement. Il y a le marché de l'emploi, certes fermé et bouché, d'autant plus vrai qu'aujourd'hui avec la crise du Covid, mais il y a un marché en plein essor, comme le marketing de réseau, avec des sociétés légales faisant parti intégrante de la Fédération de la Vente Directe (au même titre que EDF, Engie, KparK, Bonduelle...) Que, malheureusement, en France, beaucoup s'imaginent un système pyramidal à effet boule de neige ou système de Ponzi qui eux, sont illégaux. C'est dommage que les personnes fassent encore la confusion. Car mal compris par les médias qui influencent les gens. Certes il y a des '' faux'' qui ne sont pas référencés par la FVD. Mais il y en a des honnêtes. Ce n' est pas de l'argent facile et rapide comme certains se l'imaginent (vendre du rêve), mais c'est possible d'avoir des compléments (une centaine d'euros) supplémentaires par mois et pourquoi pas plus.
Le Comte de MAQUENS le 27/10/2017 à 20:33
Bonjour, Il s'agit bien d'une entreprise qui incite à la prostitution. Elle commet donc un délit puisque cela est interdit en France. Cela dit, 2 choses : 1). si c'est un délit, il faut interdire et sanctionner. Comment ? La Justice devrait communiquer là-dessus. 2). dans certains quartiers "spécifiques" de Paris, Lille, Marseille, Lyon, Toulouse, etc...on se prostitue au nez et à la barbe des forces de l'ordre, y compris chez les étudiants. Pour ces derniers, soit qu'ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins, parce que "pauvres", soit qu'ils ont simplement besoin d'acquérir plus de produits que leurs camarades qui ont les moyens, acquièrent. Qui interdit et sanctionne fortement cette deuxième catégorie des prostitués ? Conclusion : avec les nouveaux moyens de communication, les initiateurs de cet étalage vont faire travailler leur imagination et changer de modes de "recrutement". On peut supposer que, face à cela, l'imagination des brigades anti-prostitution en tous genres va se mettre en mouvement pour contrer la contre-offensive potentielle des initiateurs de cette publicité "osée" il faut bien le reconnaître. Le Comte de Maquens.


Quel code est dissimulé dans l'image ? *


Gaël ANDRE, étudiant en Master en Nutrition Sportive au campus de Toulouse, nous parle d'un sujet peu connu jusqu'à maintenant : la préparation alimentaire chez un sportif d'ultra-endurance !
Anaëlle LOPEZ, étudiante en dernière année de Master à l'EDNH, nous explique le lien entre les calories et la perte de poids.


Chloé MASSON, étudiante en 2ème année de Bachelor à l'EDNH, nous partage une recette gourmande de tartelettes aux flocons d'avoine et fruits de saison !


Bastien SCHULZ, étudiant à l'EDNH et également sportif de haut-niveau, nous parle aujourd'hui de la problématique des caries causées par le sucre chez les sportifs :
"Pour les amateurs de chiffre, Samuel Honrubia ne sera pas le premier à Istres. Dans son histoire, le club provençal a déjà compté dans ses rangs un champion olympique, le Croate Zlatko Saracevic (titré en 1996), comme des champions du monde (Christian Gaudin, Bruno Martini). Mais incontestablement, avec la venue de Samuel Honrubia, c'est un joli coup réalisé par le club istréen. L'ancien 'Costaud' va pouvoir distiller ses conseils comme d'autres l'ont fait pour lui dans ses jeunes années montpelliéraines :
"Jouer au handball est une chance, un privilège mais surtout un rêve que le gamin que j'étais a réalisé. Je sais que la fin de cette aventure approche alors je profite de chaque saison qui me sera donnée. J'ai encore envie de jouer et quand j'ai su que le club d'Aix ne pourrait pas me proposer de prolongation, j'ai contacté Stéphane Cambriels (aujourd'hui à Istres) qui m'avait recruté au PAUC en janvier 2020 en lui disant que j'aimerais bien travailler avec Gilles (Derot, l'entraîneur istréen). Istres est un club de handball historique et j'aime la mentalité de cette équipe."
Cette envie de collaborer avec l'entraîneur istréen a pris source en 2017, lors de la cérémonie de fin d'année de la LNH, lorsque Honrubia fut titré, en D2, avec Tremblay :
"Je me souviendrais toujours d'une chose qu'il m'a dite : 'Pour moi, le meilleur joueur cette saison, c'était toi.' J'aime les relations humaines au-delà de l'aspect professionnel, c'est ça qui m'anime sur le terrain, quand un entraîneur a confiance en toi, tu es prêt à tout pour lui."
Présent à la Halle Polyvalente, le mois dernier, en match de préparation, le N.34 aixois s'est engagé pour les deux prochaines saisons avec Istres.
Champion du monde 2015 et joueur en D2 ? C'est une évidence, le garçon n'a pas peur de chambouler les codes. Comme de se retrouver la saison prochaine à Istres qui possède l'un des plus petits budgets du championnat. Une opportunité pour le Biterrois de rester près des siens.
Depuis son retour sur les parquets en janvier 2020 sous les couleurs aixoises, Honrubia est en forme. Il s'est également servi de la période d'arrêt durant la pandémie pour reprendre ses études :
"Ma femme et moi avons fait des choix de vie avec les options que l'on avait. L'avantage de cette période, c'est que j'ai pu commencer et continuer mes études à l'EDNH (Ecole de Diététique et Nutrition Humaine) sereinement. J'ai beaucoup apprécié et j'apprécie toujours énormément ma vie au PAUC. Je suis très tristre de partir. J'avais comme souhait de continuer et peut-être finir ma carrière ici, mais la situation économique n'étant pas simple, le club a fait des choix que je respecte et comprends."
Ce ne sont pas les dirigeants istréens qui vont s'en plaindre. L'aile gauche restera bien pourvue pour la saison prochaine :
"C'est vraiment une plus-value. Je suis content de travailler avec ce garçon sur le plan humain, je sens qu'il a des valeurs, qu'il va au bout des choses. Je pense qu'il transmettra beaucoup de choses sur l'aspect professionnel à nos jeunes du centre de formation voire à l'équipe, entre autres sur son hygiène de vie", conclut Gilles Derot."
Article rédigé par Renaud Blaise pour le journal "LaProvence".
Aujourd'hui, nous vous présentons Flavie Boulais, étudiante en 1ère année de Bachelor Diététique et Nutrition Sportive au campus de Nantes et sportive de haut-niveau en cyclisme.
Aujourd'hui, nous vous présentons Chloé Masson, étudiante en Bachelor Diététique et Nutrition Sportive au campus de Lyon et sportive de haut-niveau en triathlon.
Aujourd'hui, nous vous présentons Bénédicte Siosse, étudiante en Master Diététique et Nutrition Sportive au campus de Lyon et athlète professionnelle de Taekwondo.
Aujourd’hui, nous vous présentons Jocelyn Guillot, étudiant en 2ème année de Bachelor Diététique et Nutrition Sportive et cycliste professionnel.
Aujourd’hui, nous vous présentons Capucine Bertrand,
Aujourd’hui, nous vous présentons Samuel Honrubia, étudiant en 2ème année de Bachelor Diététique et Nutrition Sportive et hadballeur professionnel.

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Le 10 août 2022 à 13h34 , modifié le 10 août 2022 à 13h45
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L’Égypte marquée par une nouvelle affaire de féminicide. Le parquet égyptien a annoncé tôt mercredi avoir placé en détention un étudiant pour le meurtre d’une camarade ayant refusé ses avances. L’affaire survient deux mois après qu’un assassinat similaire a provoqué l’indignation dans le pays. Il y a deux semaines, un tribunal demandait à diffuser en direct l’exécution du meurtrier de Nayera Achraf , une étudiante poignardée à mort devant son université en juin pour « dissuader le plus grand nombre ».
Ce mardi, un Égyptien de 22 ans a « poignardé à plusieurs reprises avec un couteau la victime, Salma », à quelques pas du palais de justice de Zagazig, rapporte le parquet. Elle aussi âgée de 22 ans selon la presse locale, la victime étudiait le journalisme dans cette ville à 60 km au nord du Caire.
Le meurtrier présumé risque désormais la peine de mort dans le pays qui distribue le plus de peines capitales au monde pour avoir tué celle que de nombreux Égyptiens appellent désormais « la nouvelle Nayera Achraf » sur les réseaux sociaux.
Pour beaucoup d’internautes, « Salma a été assassinée simplement parce qu’elle est née femme dans une société misogyne ». Mais dans le pays conservateur, de nombreux autres blâment la jeune fille qui « n’aurait pas dû être amie avec un homme ». « Tant qu’il y aura des sympathisants qui donnent des excuses aux auteurs de ces crimes, ils continueront », conclut une autre internaute.
Les Égyptiennes se disent régulièrement exposées à la violence et lésées par la loi, dans un pays où l’islam rigoriste n’a cessé de gagner du terrain depuis les années 1970. Selon les autorités, près de huit millions de femmes avaient subi des violences en 2015 de la part d’un époux, d’un proche ou d’un étranger dans l’espace public.
Si un quart du gouvernement et un tiers du Parlement sont des femmes, pour les féministes, ce n’est qu’une façade car cela n’a pas empêché le gouvernement de proposer (sans succès) début 2021 un projet de loi visant à restreindre les droits des près de 50 millions d’Égyptiennes en permettant par exemple à leur père ou à leurs frères d’annuler leur mariage.
Plusieurs féminicides ont également fait la une des médias en Égypte ces derniers mois, notamment celui d’une présentatrice de télévision, Chaïma Gamal. En mars, c’est un adolescent qui avait été condamné à cinq ans de prison avec sursis, pour le suicide d’une lycéenne qu’il faisait chanter en publiant des photomontages dénudés d’elle sur Internet.
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