Une étudiant se fait évaluer par un prof

Une étudiant se fait évaluer par un prof




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Une étudiant se fait évaluer par un prof



Пожалуйста, свяжитесь с владельцами веб-сайта и проинформируйте их об этой проблеме.

Страница, которую вы пытаетесь просмотреть, не может быть показана, так как она использует неверную или неподдерживаемую форму компрессии.


Отправка сообщений о подобных ошибках поможет Mozilla обнаружить и заблокировать вредоносные сайты


Сообщить
Попробовать снова
Отправка сообщения
Сообщение отправлено


использует защитную технологию, которая является устаревшей и уязвимой для атаки. Злоумышленник может легко выявить информацию, которая, как вы думали, находится в безопасности.

© Copyright 2022 St. Joseph Communications.

Restons connectées
Recevez chaque jour de la semaine des contenus utiles et pertinents : des recettes délicieuses, des articles astucieux portant sur la vie pratique, des reportages fouillés sur les enjeux qui touchent les femmes. Le tout livré dans votre boîte courriel à la première heure !

Oui, je souhaite recevoir l'infolettre quotidienne. Je comprends que je peux me désabonner à tout moment. * *
St. Joseph Communications uses cookies for personalization, to customize its online advertisements, and for other purposes. Learn more or change your cookie preferences. By continuing to use our service, you agree to our use of cookies.
We use cookies ( why? ) You can change cookie preferences. Continued site use signifies consent.
© Copyright 2022 St. Joseph Communications.
Il n’y a aucune espèce de consentement valide éthiquement parlant entre un prof et son étudiante, et ce, même si celle-ci a 18 ans ou plus.


Par Marilyse Hamelin

7 février 2018

J’adorais la philosophie au cégep, surtout le cours I, qui parlait des Grecs anciens. Il faut dire que j’avais un super enseignant, qui avait le don de faire vivre la matière. Pour peu, on avait l’impression de voyager 2500 ans en arrière et d’être assis en cercle autour de Socrate en train de professer.
J’arrivais en avance aux cours, m’assoyais première rangée, posais beaucoup de questions et participais avec passion aux débats. Peu à peu, bien involontairement, je suis devenue ce qu’on appelle un chouchou, moi, l’ancienne élève rebelle et contestataire, qui posait ses pieds chaussés de bottes d’armée sur les pupitres et qui avait passé son secondaire à se balancer sur les deux pattes arrière de sa chaise; le genre de cas désespéré qui se retrouve toutes les semaines chez le directeur.
J’éprouvais pour mon prof de philo un mélange d’admiration et d’amitié.
Un jour que nous étions quelques élèves à poursuivre la discussion après le cours dans la classe, puis dans le couloir, chacun filant vers ses occupations tour à tour, je me suis retrouvée seule avec lui, sans vraiment m’en rendre compte ou le rechercher.
J’ai figé, puis j’ai fait comme si rien ne s’était passé.
Quand, honteuse, j’ai fini par raconter ma mésaventure à ma mère, elle a téléphoné à mon père, qui, très en colère, a porté plainte à l’établissement, ou au syndicat, je ne me souviens plus très bien. De toute manière, c’est resté lettre morte.
Après cela, j’ai beaucoup moins aimé la philo. Je me sentais trahie et mal à l’aise. J’ai revu ce prof quelques années plus tard, à la Cinémathèque québécoise. J’ai fait semblant de ne pas le voir et il a fait de même. J’imagine qu’il a dans les 80 ans aujourd’hui, s’il vit toujours.
J’aimerais bien ne pas avoir d’anecdote personnelle à vous raconter sur le sujet que je compte aborder d’aujourd’hui. Déjà que, l’automne dernier, je vous ai relaté le harcèlement sexuel que j’ai subi des années plus tard de la part d’un employeur …
Et j’aurais tout aussi bien pu vous parler d’une autre «fâcheuse situation», bien pire, dans laquelle je me suis retrouvée à l’université avec un professeur, mais peu importe. Si je vous raconte cela aujourd’hui, ce n’est pas pour vous dire que je suis donc bien malchanceuse. Je suis convaincue que vous qui me lisez avez vécu pareilles ou pires situations. Ce n’est pas pour rien que l’on dit «moi aussi» sans arrêt depuis octobre dernier!
Et puis, cette brève attaque à mon intégrité physique subie au cégep, bien que marquante pour moi, n’est rien en comparaison de ce que des femmes disent avoir vécu aux mains du professeur retraité de l’Université de Montréal Jean Larose, comme elles en ont témoigné dans un grand dossier de la collègue Rima Elkouri dans La Presse + .
Nous parlons parce qu’il faut qu’on en parle, parce que ces cas d’abus de pouvoir et de confiance ne sont pas anecdotiques, mais systémiques.
Les journalistes ont pour l’instant creusé ce qui s’est produit à Concordia, puis à l’Université de Montréal, mais on se doute bien que le problème touche toutes les institutions postsecondaires.
Concordia est devenue le mois dernier la première université québécoise à avoir adopté un (timide) guide pour dissuader tant les relations amoureuses que sexuelles entre étudiants et professeurs et, le cas échéant, les encadrer en les considérant comme des conflits d’intérêts devant être déclarés à l’employeur.
Or, il semblerait que ce soit déjà le cas à l’Université de Montréal, où les professeurs ont cette obligation de dévoiler, selon Guy Breton et Louise Béliveau, respectivement recteur de l’institution et vice-rectrice aux affaires étudiantes et aux études. C’est ce qu’ils ont affirmé à Rima Elkouri. De plus, un groupe de travail se penche sur une possible interdiction, ce qui obtient la faveur de Louise Béliveau, peut-on lire dans l’article.
Par ailleurs, la sortie du guide de Concordia pourrait s’apparenter à une tentative de mettre le couvercle sur la marmite, puisqu’elle survient dans un contexte de crise, alors qu’une enquête a été ouverte à propos du harcèlement sexuel et de l’abus de pouvoir exercés par des professeurs à l’endroit d’étudiantes du programme de création littéraire de l’université.
Cette situation a d’ailleurs incité le recteur à présenter ses excuses . Malgré tout, plusieurs étudiantes dénoncent la manière dont la direction mène l’enquête et pourraient refuser de collaborer.
Ces problèmes ne datant pas d’hier, selon les informations qui ont filtré dans les médias, on peut comprendre l’exaspération des principales intéressées. C’est pourquoi il aurait été de loin préférable que Concordia interdise formellement ce type de relations, intenables d’un point de vue éthique. L’université a plutôt joué de prudence, disant baser son code sur les balises fixées par la loi 151 de la ministre Hélène David. Or, dimanche matin, cette dernière a plutôt tweeté :
«Aucun abus de pouvoir ne doit être toléré. La loi 151 adoptée en décembre 2017 oblige le dévoilement et l’encadrement de toute relation intime dans le contexte d’une relation pédagogique ou d’autorité. Les universités doivent être exemplaires dans le traitement des plaintes. #PL151»
Récemment adoptée, la loi 151 dicte aux établissements postsecondaires la marche à suivre pour se doter d’une politique de lutte contre le harcèlement et les violences. Ainsi, si Concordia est la première, elle ne sera certainement pas la dernière. Tous devront en adopter une d’ici septembre 2019. La loi prévoit même un mécanisme de reddition de compte et confère à la ministre le droit d’intervenir directement auprès d’un établissement qui n’aurait pas rempli ses obligations.
Pourquoi le gouvernement n’est-il pas allé jusqu’à proposer l’interdiction totale dans sa loi? Était-ce légalement envisageable? J’en ai discuté avec la juriste Aurélie Lanctôt. Elle a évoqué les risques potentiels, pour le gouvernement, liés à l’acceptabilité sociale d’une interdiction complète, de même que les possibilités de contestation de la validité juridique d’une telle mesure (ce que les journalistes appellent couramment «passer le test de la charte») pour conclure que les deux ont probablement joué. Or, comme le veut l’adage, ce n’est pas parce que de telles relations sont légales qu’elles sont morales.
Depuis 2015, l’université Harvard interdit les relations sexuelles entre étudiants de baccalauréat et professeurs à la Faculté des arts et des sciences, ainsi qu’entre étudiants des cycles supérieurs et professeurs, lorsque ces derniers leur enseignent, dirigent leurs travaux ou les évaluent d’une façon ou d’une autre.
Qu’attendons-nous? On dirait bien qu’il reste énormément de travail de sensibilisation à faire pour détricoter cette idée d’une relation sexuelle ou amoureuse égalitaire entre un professeur et son étudiante.
Lorsque j’ai fait, en 2016, une tournée de conférences portant sur le consentement sexuel dans les cégeps avec le rappeur Koriass et Julie Miville-Dechêne, ex-présidente du Conseil du statut de la femme, je disais toujours aux étudiantes, et par ricochet aux enseignants présents dans l’auditorium, qu’il n’y a aucune espèce de consentement valide éthiquement parlant entre un prof et son étudiante, et ce, même si celle-ci a 18 ans ou plus.
Pourquoi? Parce qu’il existe un rapport d’autorité, de hiérarchie entre les deux, ce que reconnaît d’ailleurs Concordia dans son guide, en parlant d’un «déséquilibre de pouvoir». S’ajoutent bien souvent à cela le rapport de force lié à la différence d’âge et, dans le cas d’un professeur avec une étudiante, le rapport de force lié au sexe (à moins de croire que nous vivons dans une société où l’égalité entre les femmes et les hommes est parfaitement atteinte…).
Pour toutes ces raisons, une relation dite consentie peut dans les faits s’avérer abusive. À tout le moins, on n’est pas là en terrain égalitaire. Comme l’a dénoncé sur son blogue l’écrivain Mike Spry en parlant de l’époque où il étudiait à Concordia, «les aspirants écrivains sont constamment remis à leur place. On leur rappelle les bienfaiteurs à qui ils doivent chaque poème édité, chaque livre publié et parcelle d’attention reçue. Pour les femmes, cela se manifeste souvent en prédation sexuelle».
Que de telles relations soient désormais frappées de désapprobation sociale plutôt que d’être complaisamment tolérées, c’est déjà un début. J’ose espérer que le guide de Concordia, un bref document de trois pages, pourra être bonifié et que les autres institutions feront preuve de davantage d’audace et de sens des responsabilités en optant pour l’interdiction.
Le professeur Yvon Rivard parlait récemment à la radio de la possibilité pour les professeurs de se constituer en ordre… Voilà qui faciliterait l’interdiction formelle de ces relations dans un contexte pédagogique, à l’image des codes d’éthique auxquels sont notamment soumis les psychologues et les médecins.
Marilyse Hamelin est journaliste indépendante et conférencière. On peut notamment la lire dans Le Devoir , la Gazette des femmes et le magazine spécialisé Planète F . Elle blogue également pour la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) et est l’auteure de l’essai Maternité, la face cachée du sexisme, publié chez Leméac .
Les opinions émises dans cet article n’engagent que l’auteure et ne reflètent pas nécessairement celles de Châtelaine .
Mode végane : quels sont les nouveaux cuirs végétaux ?
Marilyn Castonguay, une grande actrice discrète
La Côte-Nord, d'une beauté insoupçonnée
Bourse : des applications sous la loupe
COVID longue : quand la maladie s'installe pour longtemps
Nita Prose, nouvelle reine du polar
© Copyright 2022 St. Joseph Communications.


Je me souviens des coups de règle dit :
BienEnseigner © Copyright 2022, Tous droits réservés 
Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience . Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez refuser si vous le souhaitez.
Accepter En savoir plus
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these cookies, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities ...

Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. This category only includes cookies that ensures basic functionalities and security features of the website. These cookies do not store any personal information.

Any cookies that may not be particularly necessary for the website to function and is used specifically to collect user personal data via analytics, ads, other embedded contents are termed as non-necessary cookies. It is mandatory to procure user consent prior to running these cookies on your website.
L’enseignement est une fonction respectable qui a un impact sur bien des vies. Les enseignantes et enseignants passent des journées et des soirées à développer des outils pédagogiques susceptibles de stimuler le désir d’apprendre des jeunes. Mais, le corps enseignant doit savoir ce qu’il endosse comme responsabilités à la fois dans la classe, dans l’école et dans la société en général, etsavoirtout ce que les profs n’ont pas le droit de faire.
En effet, la profession enseignante dispose d’un statut social ambigu. Parfois, dans le quotidien de notre pratique, nous avons l’impression d’être relégués à un rôle d’exécutant, sans prise directe sur notre travail, qu’on appelle pourtant une profession. Donc, il est essentiel de bien connaître les interdictions des profs.
Les réseaux sociaux ont amené de nouvelles situations dans l’enseignement. Cette prise de parole sur Internet comporte des pièges qu’il importe de connaître. En d’autres termes, tout ce que nous publions en ligne fait ensuite partie du domaine public. De plus, si vous permettez à tout le monde d’avoir accès à votre profil, l’information que vous y publiez sera indexée automatiquement sur des bases de données comme Google. Ces détails personnels seront toujours disponibles sur Internet, même si on les a retirés de sa page Facebook. C’est pourquoi il est préférable de respecter certains principes :
Une étude menée par l’UNICEF (2015) montre que la pratique des châtiments corporels a des effets néfastes sur l’apprentissage. En effet, il y a un lien entre la pratique des châtiments corporels à l’école, d’une part, et des faibles résultats aux examens ainsi que des effets négatifs sur le bien-être psychosocial des enfants, d’autre part. La violence à l’école explique en grande partie pourquoi les enfants n’aiment pas l’école et elle provoque aussi un décrochage scolaire.
Parfois, les classes soient surchargées et que les écoles aient de faibles ressources. Cela peut fortement diminuer la patience du personnel enseignant. Et donner lieu à des réponses inappropriées et empreintes de colère dans la gestion du comportement des élèves. Les enseignants peuvent avoir des difficultés à garder le contrôle de leur classe et risquent de s’en prendre aux enfants. Cela ne justifie pas, toutefois, qu’ils puissent évacuer leur stress sur les élèves.
Par contre, la discipline positive et non violente produit de meilleurs résultats en classe, alors que la pratique des châtiments corporels est associée avec de nombreux résultats négatifs, tels que de faibles résultats aux tests de quotient intellectuel, un moindre vocabulaire, des capacités cognitives affaiblies, un développement cognitif freiné et des résultats scolaires décevants.
Régler les problèmes de discipline requiert des interventions empreintes de créativité, d’empathie, de soutien, de respect et de professionnalisme, et non pas de violences et humiliations sur les élèves. Il existe de nombreuses ressources facilement accessibles pour établir et maintenir des stratégies de gestion de classe, tout en respectant les droits fondamentaux des enfants.
Le refus de prendre un élève en cours est une tentation fréquente des enseignants pour gérer des problèmes de comportement des élèves difficiles. Les enseignants doivent rappeler qu’il ne peuvent pas décider des élèves qu’ils accueillent. En France, un jugement de la cour d’administration d’appel de Nancy de novembre 2006 a ainsi pu justifier une sanction à l’adresse d’un enseignant qui refusait l’accès de son cours à un élève, l’ayant pourtant gravement insulté.
Aux États-Unis, la loi donne aux enseignants les moyens de protéger un environnement discipliné. Les enseignants peuvent retirer de la classe les élèves qui perturbent continuellement ou gravement l’apprentissage.
Le déplacement des élèves dans la voiture d’une enseignante ou d’un enseignant n’est pas recommandé. Car il pourrait entraîner des allégations de toutes sortes. Mais il est possible, exceptionnellement, d’utiliser cette façon de se déplacer moyennant quelques obligations à respecter. Avant de prendre la route, l’enseignante ou l’enseignant devrait impérativement :
À travers le monde, certains établissements primaires et secondaires, privés ou publics, imposent le port de l’uniforme. Cependant, les élèves considèrent le port de l’uniforme comme une torture, mais pour d’autres, cela comporte des avantages non négligeables. L’uniforme scolaire est un outil pédagogique au service du projet éducatif de l’école. Il favorise le sentiment d’appartenance à l’école, et permet d’effacer les inégalités.
En France, le ministre de l’Éducation nationale s’est dit favorable à l’uniforme dans les établissements scolaires. Sur la Rive-Sud de Montréal, les uniformes ont fait leur apparition dans les écoles publiques il y a déjà quelques années.
La question est sur la table depuis quelque temps. Certains estiment que les jeunes, particulièrement au secondaire, n’ont pas de limites en ce qui a trait à leur tenue vestimentaire.  Décolletés plongeants, nombrils à l’air ou sous-vêtements apparents sont monnaie courante et les professeurs n’en peuvent plus de dicter la discipline à la place des parents.  En effet, même si la plupart des écoles exigent le port de « tenues convenables », qui exclut les jupes et shorts très courts, les vêtements à connotation violente ou les camisoles, un temps précieux est perdu pour obliger les élèves à les respecter. 
En effet, l’utilisation du téléphone portable en classe peut nuire à la concentration nécessaire aux activités d’enseignement. Pour toutes ces raisons, les écoles et les collèges interdisent l’utilisation du téléphone portable. Donc, l’enseignant doit obliger les élèves à éteindre leurs téléphones portables.
Il appartient à chaque établissement de déterminer des modalités pratiques pour assurer le respect de la loi. Mais, combien de temps peut-on confisquer un mobile ?
Tout téléphone confisqué doit être restitué soit à l’élève lui-même, soit à l’un de ses responsables légaux à la fin de la journée. L’enseignant assume la responsabilité de l’appareil en tant que gardien durant la confiscation en cas d’éventuels dysfonctionnements, ou dégradations de l’appareil.
D’abord, l’enseignant ne peut pas mettre un zéro pour sanctionner un problème de comportement. En d’autres termes, ce n’est pas un outil de sanction du comportement. Il ne figure pas à ce titre dans le règlement intérieur comme une des punitions mises à disposition de l’équipe éducative. L’enseignant peut recourir au zéro. Pour vous aider à vous y retrouver, voici les différentes circonstances selon lesquelles vous pouvez y avoir recours ou pas. 
Cependant, le prof peut mettre le zéro à condition qu’il vienne sanctionner un travail qui ne remplit pas le cadre pédagogique défini par l’enseignant. Attention toutefois de bien le préciser sur la copie, dans le rapport ou bien sur le mot dans le carnet de liaison afin d’éviter toute ambiguïté.
Un enseignant n’a pas le droit d’exiger un certificat médical pour justifier de l’absence d’un élève à un contrôle. Mais, certains enseignants considèrent cette exigence comme normale. De plus, les parents n’ont aucune obligation de fournir ce justificatif en cas d’absence. Cependant, l’enseignant
Casting avec la française Sabrina Sweet
Après le dîner; C'est sexe bisexuel hardcore nonstop
Une ado blonde se penche et se fait sodomiser

Report Page