Un âne pour les gouverner tous

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Création : 25/10/2009 à 20:58
Mise à jour : 09/04/2015 à 19:01
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" Un anneau pour les gouverner tous... Un anneau pour les trouver... Un anneau pour les emmener tous, et dans les Ténèbres... Les lier ! "
De tous les artefacts que la Terre du Milieu a porté, voici le plus tristement connu : l'Unique, ou l'Anneau de Pouvoir. Aussi appelé Fléau d'Isildur par les Hommes (en particulier les Gondoriens), le simple fait de le mettre au doigt rendait invisible son porteur, et pouvait prolonger sa vie tant que l'Anneau le permettait. Mais avant d'en dire plus, une petite histoire s'impose... Voyez plutôt :
Sauron, le Seigneur des Ténèbres, a forgé cet anneau, beaucoup de gens le savent... Mais saviez-vous aussi qu'il était à l'origine de la création de tous les anneaux de Pouvoir...?
Car à l'époque du Deuxième Age, Sauron vivait parmi les elfes Noldor d'Eregion, sous le nom d'Annatar (le Dispensateur), et fit semblant de vouloir se lier d'amitié avec eux. Mais son véritable dessein était d'obtenir la confiance de ces Elfes-forgerons, pour la plupart des fils de Fëanor, et dont il convoitait l'habileté pour les inciter à forger des anneaux de pouvoir destinés à chaque dirigeant de chaque peuple, et qu'il prévoyait de reprendre par la suite.
C'est ainsi que Celebrimbor (qui signifie " main d'argent "), lui-même petit-fils de Fëanor et dirigeant des artisans Noldor de Gwaith-i-Mírdain (la Confrérie des Orfèvres), forgea de sa main les anneaux de pouvoir. à l'origine destinés pour les Elfes. Mais pendant ce temps, Sauron forgea au Mordor (dans la Montagne du Destin) son propre anneau de pouvoir, crée pour gouverner tous les autres. A l'intérieur de cet anneau, il y déversa ce qu'il y avait de mauvais et de cruel en lui, ainsi que sa malveillance.
De sorte que, lorsque cet anneau vit le jour, tous les porteurs des anneaux déjà existants sentirent son pouvoir maléfique, et les retirèrent pour ne pas tomber sous le joug du Seigneur des Ténèbres. Seuls trois anneaux de pouvoir elfiques résistèrent à son influence, et restèrent cachés dans le plus grand secret...
Par la suite, Sauron déclara la guerre à l'Eregion, et après s'être emparé des anneaux de pouvoir (par la force et le pillage), il en redistribua sept aux Seigneurs Nains, ce qui leur conféra un désir de richesse toujours plus grand. Puis il en donna neuf aux Humains, qui sombrèrent lentement dans les Ténèbres, pour finalement devenir les Spectres de l'Anneau que tout le monde connaît mieux sous le nom de Nazgùls.
Mais alors que l'espoir faiblissait et que Nùmenor venait de sombrer par la faute de Sauron, les Elfes et les Hommes s'assemblèrent pour mettre fin au mal de Sauron, et lors de la bataille de la Dernière Alliance, les Peuples Libres se battirent contre les armées du Mordor. Par la suite, la main d'Annatar fut tranché par Isildur, et le mal disparut de la Terre du Milieu... Pour un temps.
Car Isildur conserva l'Anneau de Pouvoir au lieu de le détruire dans la Montagne de Feu d'où il fut forgé, et le Troisième Age s'annonça ensuite par la Guerre de l'Anneau comme nous la connaissons sous les récits de " Bilbo le Hobbit ", puis du " Seigneur des Anneaux ".
Récits qui racontent l'aventure de Bilbon Sacquet avec la Compagnie des nains de Thùrin, et durant laquelle le hobbit "cambrioleur " tombera sur un drôle d'anneau magique lui permettant de se faufiler entre ses ennemis... Ces mêmes légendes qui parlent de la manière dont le pouvoir de l'Unique parvint plus tard à semer le doute et le désarroi dans la Communauté de l'Anneau, chargée de détruire le dit artefact malfaisant qui permettait à Sauron de perdurer sous la forme du Grand Œil de Barad-dùr.
Ces mêmes contes qui expliquent comment Frodon Sacquet, Hobbit de la Comté et " héritier " de l'Anneau de Bilbon, affronta tous les dangers et les forces du Mal avec comme guide Gollum, hobbit déformé par l'emprise de son " Précieux " qu'il conserva pendant près de 500 ans !
Ces mêmes histoires qui narrent les nombreuses batailles des peuples libres pour résister à la volonté de l'Unique et de son véritable maître, et permettre à Frodon (et à Samsagace Gamegie) de jeter l'Anneau des Ténèbres dans les Flammes du volcan du Mordor, entraînant ainsi la chute définitive de Sauron, et la fin du Troisième Age de ce monde.



anneau , Unique , Sauron , Mordor , montagne du destin , maître anneau , Annatar , Gwaith-i-Mírdain , Celebrimbor , Noldor , Nazguls , Isildur , Bilbon , Frodon , Gollum , Grand Œil , Sam , precieux




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Ce blog est Uniquement Réservé à tous, que vous soyez Fan ou Curieux d'en savoir plus ! Le Noir parlé du Mordor est strictement restreint à tout article le concernant de près ou de loin ! Et je précise que les Bavardages entre Orcs et Uruks sont Formellement Interdits, sous peine d'Exclusion des Terres d'Arda ;) ! Les Archives de Référence étant aussi Diverses que Variées, elles ne sont Malheureusement pas toutes citées, bien que la majeure partie soit tirée des Oeuvres du Seigneur Tolkien. Ce Blog est issu d'une Pure fiction. Toute ressemblance avec la Triste réalité serait Totalement fortuite, et toute Plainte déposée à cet égard ferait immédiatement l'objet de Poursuites par l'armée du Roi des Morts, et croyez moi, vous auriez Tort ;D ! /!\ ATTENTION /!\ Désormais, je Refuse de voter ou de laisser des com's sur Commande ! Y a des limites, quand même ! Je tiens aussi à remercier tous ces Fans qui font Honneur à mon blog !!! Merci ='D ! Bonne visite !



Jouer
Musique Elfique Patrice Deceuninck - Rivendell (The Ring Bearer)
# Posté le mardi 13 novembre 2012 19:12
Modifié le jeudi 15 novembre 2012 00:38

lameguepoule ,
Posté le mardi 13 novembre 2012 23:09

Tu dis au début que Sauron se trouvait en Eregion et qu'il y créa l'Anneau Unique puis tu dis que l'Anneau devait être jeté dans les flammes de la Montagne du Destin, en Mordor alors euh il a été créer où l'Anneau? En Eregion ou en Mordor?


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Cartographie libertaire du continent informatique » Épisode 1 : Un anneau pour les gouverner tous
fleur parmi les fleurs / 1 mars 2013
Begaudeau.info, le site officiel de François Bégaudeau
La démocratisation de l’accès à la machine c’est formidable. L’ordinateur est devenu le meilleur ami de l’homme en remplacement du chien. Il présente des avantages supérieures : il ne réclame pas de faire ses besoins mais contente les nôtres, il ne mange pas, il ne réclame aucune caresse et accepte sans couiner une bonne branlée quand on est contrarié. Le maître des lieux lui-même n’échappe pas à ce plaisir, il me disait récemment alors qu’il tentait de suivre à distance mes instructions pour régler un problème informatique « je suspens les opérations pour l’instant, afin de préserver l’intégrité physique de mon ordinateur ». On notera les termes choisis qui témoignent de sa grande mesure. Il est l’exception qui confirme la règle. Nous autres cherchons en général une solution avec force gifles contre l’écran et autres bordées d’injures fleuries mais ces légers conflits avec notre animal préféré ont des vertus exutoires. En outre nulle Brigitte Bardot ou Frigide Barjot pour nous emmerder avec une morale rétrograde. Les problèmes ne sont au bout du compte pas problématiques et au pire on a toujours dans nos relations un copain geek 1 prêt à rendre service .
Des problèmes mais pas de problématiques. Hum, pas si sûr. Réfléchissons un peu.
D’abord basiquement un ordinateur c’est le triomphe des mathématiques. Au début était le verbe oui, et Socrate et Montaigne et Diderot et Flaubert et deux ou trois autres. Mais au début était aussi le calcul, Aristote crachait pas dessus, puis vint le temps des instruments et systèmes de calcul, Adam Smith adorait ça, enfin celui des machines et automates, Bill Gates et Steve Jobs trouveraient quelques signatures pour soutenir leur candidature à l’Académie des Génies. L’intelligence artificielle dont nous héritons assoit le règne d’un type particulier de raisonnement, une pensée en base 2, oui ou non, cause ou conséquence, stimulus et réponse, 0 ou 1, homme ou femme, acheter ou vendre, en avoir ou pas. La machine répond aux ordres mais nous devons tordre notre langue naturelle pour qu’elle soit interprétable par son propre langage. Elle ne comprend pas tout, elle ne fait pas ce que je veux, mon vouloir est passé à la moulinette de son pouvoir, entre le projet et l’objectif il y a toujours une question à résoudre : Comment on fait ? Comment ça marche ? Il y a un néologisme pour ça : Howto ? C’est la source de certains des énervements décrits plus haut. On est moins dans l’expérience que dans la prescription, moins dans la pratique que dans la technique. Pour penser à travers une machine, il y a une procédure. En outre les étapes de cette pensée disparaissent sous le résultat final, impossible d’explorer les différentes couches comme on le fait d’un tableau de De Vinci ou du manuscrit original du Voyage au bout de la nuit. On ne rature pas, on annule et remplace. De la pensée optimisée pourquoi pas, un outil pour améliorer la productivité sans doute, à la condition de respecter le protocole.
Le chemin est court qui mène du code à la normativité dont le revers de la pièce est l’exclusion : conforme ou pas. Ce pas serait franchi si une ou deux entités influentes se retrouvaient en position dominante et imposaient leur code propriétaire, verrouillé, breveté au plus grand nombre. Impossible alors de l’adapter à nos envies, d’en imaginer des évolutions. Impossible peut-être de partager des données entre deux ordinateurs qui ne sont pas régis par ce même code. Pire encore serait l’impossibilité de disposer comme bon me semble de ce que j’ai produit grâce au code, si par exemple son propriétaire s’octroyait un droit de regard sur ce que je crée.
L’analogie avec une recette de éclairera peut-être le profane. Je me base ici sur un article du site Framasoft (vitrine d’une association de défense des libertés utilisateur) qui à l’opposée des dérives envisagées ci-dessus m’offre le droit de remixer ou compléter son contenu.
Imaginons que vous vous trouvez dans un restaurant et que vous mangez un excellent plat. Peut-être aurez-vous l’envie de pouvoir le cuisiner chez vous pour vos amis ? Peut-être aurez-vous l’idée de lui soustraire ou de lui ajouter quelque chose ? Inspiré par cette base peut-être aurez-vous le génie de créer un autre met délicieux C’est impossible si vous n’avez pas la recette du plat : ingrédients, proportion, cuisson. Vous pouvez toujours le manger dans le restaurant, mais même si vous connaissez le goût, vous ne savez comment le reproduire. La liberté d’échanger des recettes de cuisine est pourtant essentielle pour les cuisiniers comme pour les simples gourmets. Tout comme l’est la liberté d’expérimenter, de recréer ou d’inventer à partir d’une recette originale.
Ici, le chef serait hargneux, mangeant chez lui vous vous engageriez en payant votre addition à ne rien tenter d’approchant sous peine de poursuite.
Goûter ce met serait donc réservé à qui a les moyens de se payer son restaurant, ce qui excluerait la plus grande part de l’humanité.
Des conditionnels pour une fiction ? Non, un choix stylistique pour interroger la réalité. Le règne de Microsoft conditionne présentement le rapport du particulier et de l’entreprise à la machine avec son pack Windows + MS Office. Le petit monde de la culture et des médias est lui plutôt régi par Apple MacOsx sans toutefois échapper à MS Office. Je suis peut-être paranoïaque mais je trouve suspect de ne pouvoir travailler, créer, m’informer qu’après avoir attendu que s’affiche à l’écran un logo représentant une fenêtre stylisée 4 carreaux 4 couleurs primaires ou une pomme pas finie de manger. Il se trouve qu’on est -ça se pourrait- à la croisée des chemins et qu’il s’agit de déterminer si la machine nous émancipe ou nous enferme.
Bonjour Monsieur Auchan, salut Madame Carrefour, je veux un ordinateur
– Ah non juste la machine, après je me débrouille.
– Bah si vous faites forcément, la vente liée c’est un délit. Si si, la machine sans rien, je vous rappelle la jurisprudence : Le 23 juillet 2007, la société Acer a été condamnée à rembourser 311,85€ de licences de logiciels pré-installés sur un ordinateur vendu 599€ à un particulier
NDLR : Le juge a estimé que le consommateur désireux d’acheter un ordinateur pouvait légitimement contester que la configuration d’usine comprenne également des logiciels qu’il n’a pas choisis et dont le coût en euros fût estimé à : Windows XP Edition Familiale 135,20 + 49,90 pour l’installation, Microsoft Works 60, PowerDVD 41, Norton AntiVirus 38, NTI CD Maker 37. La société a aussi dû verser 500€ à titre de dommages et intérêts ainsi que 150€ pour les frais de justice
Un ordinateur ne coûte rien ou pas grand chose, c’est les logiciels installés par défaut qui en font le prix. En plus les logiciels évoluent bizarrement à un rythme effréné qui m’obligent à des mises à jour régulières. Obsolescence programmée 2 alors même que pour ce qu’en j’ai fait une machine plus ancienne et des versions des programmes antérieures suffiraient largement à mon usage. On se sucre sur mon dos. Et sur le dos des administrations ou des entreprises. Gogo. Soumis.
Ça y est je suis propriétaire d’un ordinateur, je l’allume, un texte imbuvable me demande de signifier mon accord au contrat de licence d’utilisation des éléments installés. Hop, yes, ça y est, je suis le dernier avatar de l’évolution, un Homo Numericus, mais j’ai apposé ma signature sur quoi exactement ?
Aidons nous des articles licence logiciel et licence propriétaire de Wikipédia : Mon accord porte sur des limitations légales, matérielles, ou logicielles dans l’utilisation, la diffusion, la modification, ou l’évolution. Les droits des utilisateurs de logiciels propriétaires sont souvent réduits à son exécution pour des usages donnés. Tous termes relatifs à des notions de vente ou d’achat d’un logiciel dit « propriétaire » signifient « cession de droits d’utilisation du logiciel » et ne signifient pas « transfert de propriété du logiciel ». L’auteur d’un logiciel dit « propriétaire » garde le contrôle de l’évolution, de la distribution et/ou de l’usage de ce logiciel et de ses mises-à-jour. Il en est donc le propriétaire, et le logiciel reste sa propriété – et non l’inverse. L’auteur confie son logiciel à l’utilisateur pour que celui-ci en fasse un usage défini, l’utilisateur renonce à notamment étudier le fonctionnement du logiciel (rétro-ingénierie). Le renoncement à ce droit nécessite un accord explicite ; c’est pour cela que l’on parle d’un « contrat de licence » plutôt que d’une simple licence.
Explication : si tu achètes une machine à café et qu’il te plaît d’essayer d’y infuser de la gélatine de porc rien ne t’en empêche. Là, la machine à café n’est pas à toi, c’est une sorte de location et tu n’as le droit que d’y faire du café, voire tel café particulier. En réalité un logiciel propriétaire serait mieux nommé sous le terme de logiciel privateur. Le principal inconvénient tient aux difficultés d’interopérabilité avec des logiciels du même type. Puisque je ne peux lire ou modifier un fichier produit avec le programme dominant je dois le posséder sous peine de marginalisation, ce fut longtemps le cas de la suite Microsoft Office. Mais cela se ramifie beaucoup plus loin quand c’est un type de système d’exploitation -le cerveau de l’ordinateur- qui s’est imposé comme la norme. Tout programme est alors conçu pour être compris par lui sans être forcément interprétable par un autre système. Ce programme s’imposant à son tour comme un standard il implique que je possède le système d’exploitation pour lequel il a été conçu. Double peine et serpent de sa queue plein la bouche.
– Exemple 1 : Cinéaste je me dois d’utiliser Final Cut pour pouvoir travailler à distance en collaboration avec d’autres, je suis obligé d’acheter un Mac.
– Exemple 2 : Je suis un mexicain en situation précaire aux USA, j’ai récupéré un vieil ordi sur lequel tourne un système d’exploitation alternatif -disons ubuntu linux pour faire simple- et tu m’envoies un titre musical que tu as créé puis enregistré au format au mp3, je ne peux pas l’écouter car ici la technologie mp3 est brevetée, elle est incluse dans windows ou osx grâce à un accord commercial mais ubuntu lui n’a pas raqué pour être autorisé à le lire…
L’employé ne peut l’être sans la maîtrise de MS Word.
Le formateur ne peut animer sa formation sans le support de MS PowerPoint.
Le scénariste doit -c’est mieux- communiquer son histoire et ses dialogues avec le support de Final Draft.
Le photographe ne photographie pas d’un doigt prompt mais d’une main habile sous Adobe Photoshop.
Le comptable ne peut compter sans MS Excel.
Le manager stimule-contrôle ses troupes à travers MS Outlook.
L’outil n’est plus l’accessoire mais la condition. Le travail n’est pas allégé mais encadré, rationalisé, standardisé. L’industrie informatique modélise, évalue et norme. La domination de Microsoft et d’Apple entérine mathématiquement l’écart entre développement, voie de développement, sous-développement. Leur extrême vigilance a attaqué pour violation de brevet les alternatives gratuites présentant les mêmes fonctions que leurs programmes a de quoi décourager nombre de développeurs qui doivent et réinventer le fil à couper le beurre et persuader l’utilisateur que leur logiciel n’est pas un sous-produit ou une machine à gaz difficile à maîtriser. Chacun finit par se persuader que la productivité ne peut faire l’économie des royalties dues à ces mastodontes. Ce prix prohibitif est inaccessible à la plupart des hommes, femmes et enfants de cette planète.
Gogo. Contraint. Émancipation zéro.
Un ou zéro. En être ou pas. La dialectique toujours. Il se trouve que l’informatique a révolutionné nos modes de communications et notre accès à l’information, il se trouve que l’informatique a révolutionné l’économie et est l’instrument de sa tertiarisat
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