Un voyage en camping sauvage

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Un voyage en camping sauvage
Faire du camping sauvage | Tout ce que vous devez savoir
Il n’est pas recommandé de faire passer le poids de la tente avant sa résistance, isolation, taille, ou toutes autres caractéristiques nécessaires pour un bon confort.
En ce qui concerne les vêtements, ceux en synthétique et en laine sont plus aptes à vous garder au chaud. Oubliez donc le coton.
Étudiante française entreprenant sa découverte du monde, mais surtout passionnée de voyage, de photo et d'écriture.
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Faire du camping sauvage, c’est être libre de ses déplacements, et complètement autonome en ce qui concerne son hébergement. Dormir dans sa tente c’est aussi se sentir plus proche de la nature et un peu plus aventurier que dans son quotidien (sauf si vous êtes aventurier à plein temps comme Mike Horn ou Bear Grylls). Cependant, il y a certaines choses primordiales à savoir avant de déplier sa tente, je vous les présente dans cet article 🙂
Il y a de nombreux choix de tentes, deux places ou trois places ? Légère ou plutôt compacte ?
La plupart du temps, une tente deux places est privilégiée pour sa taille et son poids. On ne pense jamais avoir besoin de place pour un troisième voyageur. Seulement, dans la pratique, une tente deux places limite l’espace et le confort. Nous oublions souvent la taille de nos sacs et l’importance de les placer à l’intérieur, à l’abri de l’humidité.
Durant mon dernier voyage de Glasgow jusqu’à Isle of Skye, j’ai décidé d’inaugurer ma nouvelle tente en camping sauvage avec mon copain du moment (ce qui fût une bonne idée, n’importe quel corps chaud est bon à prendre). 
Afin de bien choisir sa tente il faut savoir quelles sont les conditions météorologiques qui vont être rencontrées. Par exemple, sachant que je déménageais en Écosse, j’ai choisi une tente solide et résistante à des vents de 70km/h et à plus de 5000 mm de pluie.
Les tentes de trekking sont légères et compactes, tandis que les tentes de camping peuvent être plus faciles à déplier mais plus lourdes. En effet, il est important de vérifier le poids de sa tente et à quel point elle est compacte, surtout si vous voyagez à pied ou si vous allez devoir la porter sur de longs trajets (deuxième avantage d’avoir un second corps avec soi).
Faire du camping sauvage en France est assez compliqué, mais pas impossible ! Pour ne pas avoir de problème, il faut s’assurer de la légalité du lieu en s’assurant de respecter les règles suivantes :
Pour plus de précisions, je vous conseille d’aller sur le site du gouvernement qui parle du camping hors terrain aménagé et des règles à respecter.
Certains parcs nationaux ont leurs propres règles et autorisent notamment le bivouac (camping sauvage d’une nuit maximum entre 19h et 9h). Ca vaut le coup de se renseigner, surtout quand on sait à quel point certains parcs sont magnifiques. Ce que vous pouvez aussi faire, c’est simplement aller sonner chez des particuliers qui possèdent un grand terrain, avec un peu de chance vous aurez un lieu pour camper tranquillement et vous pourrez faire de belles rencontres.
Certains pays possèdent également une législation autorisant l’utilisation des lieux naturels, et donc toute sorte de camping (principalement les pays nordiques). Cette loi provenant de Suède et Finlande stipule que « l’entière utilisation des espaces naturels » est permise.
Vous pouvez trouver des informations plus spécifiques sur les pays autorisant le camping sauvage, ici .
Afin de bien choisir l’emplacement de votre tente, il faut privilégier les lieux secs et si possible à l’abri du vent. Ne faites pas la même erreur que nous : n’installez pas votre tente sur le sommet de la plus haute montagne, là où le vent et la pluie peuvent facilement vous atteindre.
Évitez les zones inondables en cas de pluie, les sols creux, là où une accumulation d’eau pourrait arriver, et ne vous installez pas sous un arbre, là où des branches pourraient vous tomber dessus. Même s’il est attrayant de s’installer en face d’une rivière afin de se réveiller avec une superbe vue, cela pourrait devenir dangereux dans certains cas (sans compter le bruit qui risquerait de déranger votre sommeil).
N’attendez pas la nuit tombée pour chercher votre lieu de campement, sinon vous aurez du mal à évaluer tous les risques, mais également à planter votre tente dans le noir… croyez-en l’expérience.
Dépendamment du pays dans lequel vous êtes, et la période de l’année, les nuits dans une tente peuvent être particulièrement difficiles à vivre. Comme je l’ai mentionné précédemment, vous pourrez donc avoir besoin d’un second corps chaud afin de vous auto-réchauffer dans la nuit.
Pour bien choisir votre sac de couchage, utilisez toujours la température de confort comme température de référence, et non la température extrême. Celle-ci indique la température extrême d’hypothermie, celle où votre vie serait en danger. L’isolation de votre sac doit être bien adaptée à vos conditions climatiques, de même pour la taille qui ne doit pas être plus grande que nécessaire. Être dans un sac trop large risquerait de vous refroidir, celui-ci peut garder la chaleur de votre corps, mais il ne peut pas réchauffer l’air froid autour de vous. C’est à ce moment précis que nous comprenons l’utilité de la cordelette qui sert à fermer la capuche du sac, afin de ne surtout pas laisser passer d’air.
Même si un sac de couchage est particulièrement efficace en matière d’isolation, afin de ne pas voir son corps se refroidir en entier, un matelas de sol est un allié non négligeable (en cas d’oubli, vous pouvez toujours placer des feuilles mortes sous votre tente, ou même une couverture de survie en plastique sous votre sac pour l’isolation). En effet, la meilleure solution pour ne pas perdre sa chaleur est d’éviter tout contact avec le sol.
Si vous êtes à tendance frileuse, n’oubliez pas que notre principale chaleur corporelle s’enfuit par les extrémités. Il faut donc prévoir capuche, bonnet, et même chaussettes pour dormir (même si ce n’est pas le plus confortable, je vous l’avoue).
Si vous avez besoin de vous réchauffer en dehors de votre tente, vous pouvez lire l’article : se protéger du froid .
Si vous partez en camping sauvage pour un long séjour, vous aurez besoin de ravitaillement en nourriture. Au cas où vous n’auriez pas vu le film culte Into the Wild, n’essayez pas de vous nourrir de plantes sauvages que vous ne connaissez pas, cela pourrait mal finir.
Il existe de nombreux équipements faciles à transporter en sac à dos si vous décidez de cuisiner vous-même avec vos propres moyens (vaisselle de camping, réchaud à gaz ou électrique…). Si vous ne pouvez pas prévoir d’avance le déroulement de votre alimentation, favorisez le transport d’aliments simples et légers comme des barres céréales protéinées ainsi que des légumes comestibles crus.
Dans le choix de votre réchaud (à gaz ou à essence), il est nécessaire de prendre en compte le transport. Si vous avez prévu un voyage aérien, votre réchaud à essence est obligatoire, quant à celui de gaz, il pourra être utile dans vos trekkings locaux.
Lorsque l’on voyage avec sa tente, il n’est pas toujours facile de transporter une grande quantité d’eau, ni même de trouver des points d’eau potable, il faut donc s’adapter. Il existe certaines astuces afin de ne pas tomber malade en buvant une eau naturelle : un filtre mécanique (comme des gourdes et bouteilles à filtre intégré), filtre chimique comme le charbon ou les particules d’argent, des pastilles désinfectantes, ainsi que l’ébullition.
Pour plus de sécurité, certains préconisent même d’associer plusieurs manières de purification.
Comme toutes ces solutions ont des avantages et des inconvénients, si vous voulez en savoir plus, je vous invite à vous informer sur les moyens de purifications de l’eau grâce à des sites complémentaires.
En fonction de l’environnement dans lequel vous êtes, vous devez également porter attention aux animaux qui vous entourent.
Afin de ne pas voir votre tente déchirée par des ours, renards ou autres animaux sauvages, essayez de cuisiner et garder votre nourriture le plus loin possible de votre campement, vérifiant que le vent n’y apporte pas l’odeur.
En cas de pays avec présence d’ours, un arbre est la cachette la plus appropriée (minimum 4 m au-dessus du sol).
Faire un feu de camp peut s’avérer utile pour se réchauffer, préparer son repas mais aussi éloigner les animaux sauvages ou simplement pour s’éclairer.
Faites cependant attention à la législation interdisant les feux dans certains lieux, (comme ceux protégés). Il est dangereux d’en faire dans une forêt, surtout si les branches sont basses, ainsi que près des habitations. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le site : prevention-incendie-foret.com
Il faut d’abord chercher un endroit à l’abri du vent, un sol dénudé de roches, feuilles ou brindilles, le tout n’étant pas trop près de votre matériel (les tentes étant particulièrement inflammables, et la fumée pas tellement agréable).
Pour réussir votre feu, entourez la zone choisie de pierres ou faites-le directement dans une zone plus creuse que le niveau du sol. Il est important de définir la limite et la dimension de votre feu, afin de bien prévoir les ressources nécessaires pour l’éteindre avec facilité.
Pour commencer votre feu, il vous faudra : de quoi allumer votre feu (briquets, allumettes ou firesteel), un combustible (papier journal, feuilles mortes, carton, brindilles sèches..) et du bois, que vous devrez préparer à l’avance.


Principalement avec de l’eau. Comme on n’est jamais trop prudent, n’hésitez pas à vous y reprendre plusieurs fois. Il est recommandé d’y ajouter de la terre afin de réduire son apport en oxygène, et donc de l’éteindre entièrement. Éparpillez également le bois restant afin de laisser le moins de traces possible.
Et surtout, restez toujours attentif, un feu peut rapidement devenir incontrôlable.
N’oubliez pas qu’un vrai campeur laisse la nature comme il l’a trouvé, aucune traces en dehors de celles que l’expérience lui donne.
Faire du camping en France est assez compliqué hahahaha amateurs.. 6 ans que je campe partout en France c’est ultra simple dans les campagnes on est envahis de champs du nord au sud mais quelle blague! Surement le pays le plus facile du monde a mon sens
J’aimerai vivre en autarcie, mais j’ai peur de craquer.pouvez vous me conseiller,m’aiguiller voire savoir si c’est possible.
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Arriver de nuit et ne découvrir le paysage que le lendemain matin, au réveil. Avoir la plage pour soi aux premières heures du jour. Être à l’affût du spot ultime. Éviter les foules en toute liberté. Se réveiller face à la mer, la forêt ou la montagne. Dormir à la belle étoile. Randonner, pêcher, camper au milieu d’espaces naturels sublimes. Changer de rythme. Se sentir libre.
Si l’on veut goûter aux plaisirs du « camping sauvage » (c’est-à-dire en dehors d’un terrain de camping désigné), il faut d’abord apprendre à se défaire du confort encombrant pour faire avec l’essentiel.
En se délestant des contraintes ordinaires, on retrouve la légèreté du nomade : on avance, à pied ou en camion, sans l’impératif du retour à la base. Sans foule et sans Wi-Fi. Avec une ligne de conduite pour seul chemin tracé : respecter la nature comme on respecte un hôte.
Elle réside principalement dans l’installation et la durée : le bivouac est un campement sommaire (à la belle étoile ou sous une petite tente légère) en pleine nature, pratiqué par des randonneurs, des alpinistes ou des cyclistes. Ils n’ont bien souvent pas d’autres choix que de faire halte loin de toute civilisation pour se reposer, avant de repartir en expédition. Le bivouac est temporaire et éphémère, uniquement pour la nuit.
Le « campeur sauvage », lui, bourlingue au volant de son van, son camping-car ou son camion, et se pose une ou plusieurs nuits au même endroit. Dans un parking, en bordure de route, de forêt ou de champs. A la différence du bivouac, il peut durer pluisieurs nuits : en fait, c'est du camping (avec tente, camping car, caravane...) en dehors des zones autorisées. Mais, au fond, la démarche reste la même : l’envie de renouer avec la nature, l’aventure, et de redonner un certain sens au voyage.
« En France, le camping sauvage est autorisé… là où il n’est pas interdit ! » résume Yann Peucat dans son ouvrage « Les vacances sauvages ».
Et le camping sauvage est interdit dans de nombreux endroits , listés par la loi comme un inventaire à la Prévert : en bord de mer, dans les sites classés ou en instance de classement, dans les forêts, parcs et bois protégés, sur les routes et chemins, à moins de 200 m d’un point de captage d’eau potable, à moins de 500 m d’un monument historique, et sur tous les terrains privés sans l’autorisation du propriétaire.
En revanche, le bivouac (avec un sac de couchage, sans tente pour ne pas dénaturer le paysage) est autorisé dans la plupart des parcs naturels , comme celui du Mercantour ou des Pyrénées. Renseignez-vous directement sur leur site Internet, chacun érige ses propres règles.
Mais concrètement, comment savoir si le spot où vous espérez passer la nuit se situe sur un terrain public ou privé, sur un site protégé ou près d’un monument historique ? Lorsque vous avez (enfin) trouvé un emplacement pour planter votre tente ou garer votre camion, il est souvent trop tard pour se poser la question de la légalité. Le plus simple est de demander aux propriétaires de terrains privés la permission de camper ou de se renseigner auprès des mairies pour connaître les lieux autorisés. Vous pourriez avoir de bonnes surprises, car certaines petites communes sont souples et possèdent une réglementation particulière à ce sujet.
Commençons par la préparation du voyage . Pour le camping sauvage , votre véhicule sera à la fois votre moyen de transport et votre mode d’hébergement : il faut donc le chouchouter et effectuer un « bilan de santé » avant de prendre la route. Un contrôle technique chez le garagiste ou, a minima, un contrôle par vos soins vous évitera bien des pépins.
Pensez à vérifier si vous êtes à jour avec votre assureur, ainsi que le niveau d’huile, le liquide de refroidissement, le liquide de frein, le niveau du liquide du lave-glace, les phares, les clignotants, l’éclairage intérieur, l’état et la pression des pneus. Emportez aussi une boîte à outils composée de câbles de batterie et d’une mini-trousse de bricolage. Prendre un double des clés (bien caché) sera tout aussi judicieux.
En cas de problème, et c’est valable pour tous types de voyage, scannez tous vos papiers (passeport, certificat d’assurance, carte grise…), notez quelque part le numéro d’assistance de votre assurance et de votre carte bancaire.
Si vous voyagez à l’étranger, pensez au guide de conversation : il se révèle indispensable dans les pays où la population est fâchée avec l’anglais. Et parfois, c’est en discutant avec les gens que l’on trouve les meilleurs plans !
Enfin, n’oubliez pas d’emporter ces quelques affaires primordiales : une tente ou un sac de bivouac, un sac et un tapis de couchage, une lampe torche, du matériel de cuisine et de la nourriture, des sacs afin de stocker puis jeter ses déchets.
Si vous partez en bivouac en itinérance sur plusieurs jours, optez pour un matériel léger, aussi bien la tente que le matelas de sol, et imperméable, ainsi qu'un sac de couchage léger et chaud.
Légéreté également pour le sac à dos et veillez à vérifier le confort de portage et le volume (au moins 40 litres en rando légère et jusqu'à 70 l pour plusieurs jours). Pensez également à emporter de quoi réchauffer votre nourriture (réchaud), des ustensiles, une bouteille ou gourde filtrante et des vêtements et équipements adéquats pour la marche et les conditions climatiques. Etudiez bien les possibilités de ravitaillement en nourriture et en eau sur place.
On vous recommande aussi la lecture du dossier très complet du site Novo Monde .
Pour s’orienter, mieux vaut redoubler de précaution en cumulant GPS et cartes . La quête de la crique idéale ou du point de vue époustouflant au réveil peut prendre une journée. Une fois repéré sur la carte, on lance le GPS et c’est parti. Vous pouvez utiliser l’application HereWeGo (une sorte de Google Map) pour le GPS, car elle possède une option de guidage hors connexion. À l’étranger, cela évite de gaspiller la 3G. L’autre outil indispensable, Park4night , sert à trouver des lieux où passer la nuit.
Que vous fassiez du camping sauvage ou des bivouacs , soyez respectueux de l’espace dans lequel vous vous trouvez. Laissez le site propre et soyez le plus discret possible par respect pour la faune et la flore locales. Faites attention aux animaux sauvages, évitez de faire du bruit. Toujours dans le souci d’être le moins intrusif possible, arrivez tard et partez tôt. Emportez vos déchets, ne laissez rien traîner dehors avant de vous coucher, effacez vos traces avant de repartir. Et bien sûr, les feux sont strictement interdits. 
Le choix de l ’ emplacement est aussi crucial. Voici quelques recommandations supplémentaires : optez pour un terrain plat, pas trop découvert (éviter les grandes plages) avec le moins de voitures possible aux alentours, et un arbre pour accrocher aux branches la douche que vous aurez bricolée.
Consulter aussi le site lecampingsauvage.fr
Dans la plupart des pays européens, le camping sauvage est interdit ou fortement limité. 
Au Danemark , il est globalement interdit, mais il existe des zones spécialement aménagées, à l’instar de certaines forêts. La Couronne vous permet de passer la nuit sur ses terres sauvages, il suffit de bien s’informer en amont sur ce site , qui liste aussi les différents types de camping autorisés.
En Autriche et en Allemagne , il est en général interdit, toutefois il n’y a pas de règle commune. Une nuit en bivouac est tolérée. Le camping sauvage est aussi plus ou moins légal en Lettonie et en Lituanie, avec quelques restrictions.
Même chose en Italie et au Monténégro : c’est interdit dans les zones touristiques et sur la côte, mais toléré ailleurs, tout comme le bivouac (sur l’ensemble du territoire). Dans les deux cas, certains coins sont très peu fréquentés et offrent pourtant de magnifiques paysages de vallons, de montagnes et de forêts. En Italie, on ira par exemple sur les îles Éoliennes, un archipel volcanique très calme à la mi-saison. À Stromboli, vous pouvez vous baigner dans les pierres volcaniques et observer les jets de lave surgir de terre à la nuit tombée.
Le camping sauvage est autorisé en Albanie , où la population est particulièrement hospitalière. Par ailleurs, on pense peu à l’Albanie, mais le pays détient un remarquable site archéologique, un riche patrimoine dans son ensemble et une Riviera qui n’a rien à envier à la côte italienne. La plupart des pays d’Europe de l’Est n’ont pas vraiment de réglementation sur le sujet. Parmi eux, la Géorgie , qui regorge de paysages vraiment variés, de toute beauté, est encore peu touristique. Vous êtes libres de camper presque n’importe où, à l’exception des parcs nationaux. Le camping sauvage y est répandu et ne fait l’objet de quasiment aucune restriction.
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