Un vieux porno gay qui fait son effet

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Une scène d'inceste dans "Plus belle la vie" entre un frère et une soeur

Une scène d'inceste dans "Plus belle la vie" entre un frère et une soeur


Par Florian Guadalupe

Journaliste



Passionné de sport, de politique et des nouveaux médias, Florian Guadalupe est journaliste pour Puremédias depuis octobre 2015. Ses goûts pour le petit écran sont très divers, de "Quotidien" à "L'heure des pros", en passant par "Touche pas à mon poste", "Koh-Lanta", "L'équipe du soir" et "La France a un incroyable talent".


Scène d'inceste dans "Plus belle la vie"
© Dailymotion


Le site de la série de France 3 a diffusé un extrait divulgant une relation sexuelle entre un frère et une soeur.


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L'énorme malaise provoqué par Jean Messiha sur CNews

Le prochain épisode de " Plus belle la vie " va être très chaud ! Dans un extrait diffusé sur le site officiel de la série française, les internautes peuvent visionner les ébats sexuels entre Océane, jeune lycéenne du quartier du Mistral et Jonas, surveillant de son établissement, dans le lit de la jeune fille. La scène prend fin lorsque la mère d'Océane pénètre dans la chambre et révèle que tout ceci n'est qu'un rêve de l'étudiante.
La vidéo a choqué de nombreux fans de la série de France 3 , car le scène relève de l'inceste. En effet, les personnages joués par Alexia Fourmond et Geoffrey Piet sont en réalité frère et soeur, bien qu'ils ne le sachent pas encore. La polémique rappelle celle du baiser entre Céline Fremont, incarnée Rebecca Hampton, et un adolescent, lors d'un épisode en octobre dernier.
Côté audience, la série bat toujours son plein. Le feuilleton de la société de production Newen, qui négocie actuellement le renouvellement de son contrat avec France Télévisions, a réuni hier 4,3 millions de fidèles, soit 17,4% du public. puremedias.com vous propose de découvrir l'extrait "hot" de l'épisode de "Plus belle la vie" du lundi 4 janvier sur France 3.
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Mariée depuis treize ans, Inès, 43 ans, est saisie de panique lorsqu'elle comprend qu'elle éprouve des sentiments pour Victor, le père de son mari Thibault. Sa peur surmontée, elle choisit de vivre cet amour, transgressif mais réciproque, et de ne plus se conformer à ce que la société attend d'elle.
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"Ça m'est tombé dessus sans préavis. Un jour l'évidence était là, dans ma tête, dans ma vie, en moi. Une évidence avec effet de souffle. J'éprouvais de l'attirance, pire, des sentiments , pour l'homme assis en face de moi, le père de mon mari, le grand-père de mes enfants.
Nous étions dans le salon, l'ambiance était joyeuse, le quatre-quarts en train de cuire embaumait, mes enfants faisaient des collages et leur grand-père les guidait. Je ne pouvais détacher mon regard de lui, comme si je le découvrais, alors que je le connaissais depuis treize ans et qu'il passait pas mal de temps avec nous – sa seule famille, depuis six ans qu'il était veuf. Il n'y avait plus ni beau-père ni grand-père mais Victor. Je me souviens m'être raidie sur le canapé. Les sons me parvenaient diffus et lointains, j'étais glacée alors qu'il faisait chaud.
Tous mes clignotants étaient passés au mode panique, car je sentais d'instinct que je n'étais pas victime d'une bouffée délirante. J'avais toujours apprécié la finesse d'esprit de Victor, sa culture et son intelligence de la vie, mais là c'était différent.
"Maman, regarde : j'ai dessiné la maison de papy." En entendant la voix de mon fils de 5 ans, mon surmoi a fait son boulot et je suis redescendue aussi sec. "Papy", répétait mon cerveau. L'angoisse ! "Tu débloques, Inès. Stop ! Il faut tuer ça dans l'œuf", me suis-je intimé. Mais ça n'a pas passé. Pendant des semaines, j'ai été comme un hamster dans sa roue, avec un petit moulinet dans la tête. Je mettais tant d'énergie à m'empêcher de penser à Victor que je ne pensais qu'à lui. C'était affreux. Et si bon.
Une ambivalence épuisante, ponctuée d'accès d'allégresse borderline, durant lesquels il m'est arrivé de mettre aux ordures mes dossiers professionnels et de déposer le sac-poubelle plein sur le siège de ma voiture. Jusqu'au jour où Victor s'est jeté à l'eau : "Tu ne trouves pas qu'il y a un problème ? Que nous avons un problème ?" Non seulement il m'avait devinée, mais il partageait mes sentiments. "Euh, si, non, euh, oui, je ne sais pas", ai-je bafouillé. Du bout des doigts, il a saisi les miens. Sa douceur et sa timidité m'ont renversée. Son geste en disait plus long que tout ce que nous aurions pu articuler. J'ai succombé en sachant qu'il y aurait un avant et un après.
Pendant onze mois, nous nous sommes vus en secret, assez facilement car mon emploi du temps de cadre est élastique. Et Victor exerçait une profession libérale.
Nous n'avons pas eu besoin d'apprendre à nous connaître émotionnellement. On se souriait, on se touchait, nos corps parlaient la même langue, nos cerveaux étaient en phase. Quand on le réalise, on ne s'appartient plus tout à fait. Le type d'osmose qui fait dire que l'amour c'est deux inconscients qui se rencontrent, se reconnaissent et se choisissent. Même si tout me disait que nous étions faits l'un pour l'autre, j'ai réfléchi à notre avenir, mais plus je cogitais plus je me consumais, écartelée entre mon amour et le poids de la transgression morale.
Je n'ai jamais eu le sentiment de faire quelque chose de mal, car nous étions deux adultes consentants. Mais notre lien par alliance induisait une insupportable connotation incestueuse. Ce mot reste pénible à prononcer… Ensuite, j'étais submergée par la honte de trahir Thibault, mon mari, car je l'aimais – différemment du début, mais toujours fort – et ne voulais pas lui faire mal. Vos lectrices penseront peut-être : "Sa vie était foireuse, elle cherchait à la pimenter." Non, notre couple allait plutôt bien après treize ans de mariage, et sur tous les plans. Que faire, alors ? Je savais que je le regretterais si je laissais mon amour pour Victor sur le bas-côté.
On n'a qu'une vie, alors j'ai cessé de lutter. Jusque-là j'avais toujours agi en accord avec ce que mon éducation bourgeoise et la société attendaient de moi, pour ma carrière, mes enfants, mon couple. J'étais le bon petit soldat qui réussissait et ne décevait pas. Et j'y trouvais mon compte, ma vie me rendait heureuse. J'existais avant Victor, mais avec lui je me suis sentie pleinement vivante.
Pendant onze mois, nous nous sommes vus en secret, assez facilement car mon emploi du temps de cadre est élastique. Et Victor exerçait une profession libérale. Mais quel malaise, lors des repas ou des vacances en famille avec Thibault, c'était glauque. Un peu comme cacher une boule puante dans un décor paradisiaque. Lorsque la culpabilité m'a rattrapée, elle m'a étranglée. Je n'arrivais plus à me regarder en face. Cela me réveillait la nuit et j'avais des migraines et des crampes musculaires à répétition. Mes amis pensaient que je faisais un burn-out . Mon diagnostic était autre : je n'étais plus quelqu'un de bien à mes yeux. Si je ne reprenais pas ma vie en main, j'allais sombrer. J'ai décidé de quitter Thibault. La culpabilité de Victor s'est ajoutée à la mienne, on s'est engueulé, j'ai cru que c'était la fin de notre histoire, mais elle était solide.
Un soir, j'ai donc décidé de parler à Thibault, chez nous. Il a débouché un grand cru. "La poisse, il s'attend à une bonne nouvelle", ai-je pensé. Assez lâchement, j'avais décidé de procéder par étapes, ne pas tout déballer d'un coup ce soir-là. Le quitter d'abord, son père on verrait plus tard. "J'ai rencontré quelqu'un. On va se séparer, Thibault", lui ai-je annoncé. Il a bu une gorgée, puis a relevé les yeux pour les planter dans les miens, et là j'ai entendu : "Moi aussi." Je m'attendais à tout sauf à ça. Au lieu de répondre : "Tant mieux, on va pouvoir divorcer plus gentiment que prévu", je n'ai pas supporté et j'ai totalement dévissé. Moi, cocufiée, humiliée ! "C'est qui ? Et ça dure depuis quand ?"
Sidérée, j'en ai oublié ma propre situation et j'ai eu envie de lui faire mal comme il me faisait mal. C'est nul, je n'en suis pas fière. Et j'ai balancé : "C'est Victor. – Victor qui ? – Tu connais plusieurs Victor ?" Un silence d'outre-tombe nous a cernés, suivi de : "Je ne te crois pas", mais son visage a traduit l'inverse. Ses yeux clairs ont viré au noir, son front s'est plissé et j'ai eu peur. C'est un bloc de haine contenue qui m'a asséné : "La femme avec qui j'ai voulu faire ma vie n'a pas pu faire ça. Tu dégages ! Tu ne m'intéresses pas, tes explications non plus, je ne veux plus t'entendre, on se verra au tribunal. Demain, je demande le divorce et la garde exclusive des enfants. Et tu peux t'asseoir sur ton droit de visite, tu ne les verras plus. Tu ne crois pas que je vais les laisser à une salope comme toi !" 
Ses menaces et sa colère froide m'ont crucifiée. Et s'il réussissait à m'enlever mes enfants ? Il a pris ses clés : "Quand je reviens, tu n'es plus là." Je suis restée, mais toutes mes tentatives pour lui parler ont échoué et nous n'avons plus communiqué que par avocats interposés. La procédure de divorce a été longue et sordide, jalonnée d'arguties d'avocats. Victor et moi avons eu droit à une enquête sociale.
Victor a eu l'idée qui a probablement sauvé notre amour : il rêvait de parcourir le monde sur son voilier. Sans attendre, il a embarqué. Un éloignement nécessaire pour prendre un nouveau départ.
Les enfants, encore petits, n'ont heureusement pas compris la réalité de l'affaire, mais j'ai beaucoup culpabilisé de les faire grandir en terrain miné. Non, je n'ai pas regretté mon choix, parce que la juge m'a laissé mes enfants, mais oui, j'ai regretté le chaos que ça a créé. Thibault a coupé les ponts avec son père. Victor et moi avons décidé de ne pas afficher notre couple devant les enfants. Nous nous aimions en semi-liberté en quelque sorte. Ce n'était pas ce dont nous avions rêvé.
C'est là que Victor a eu l'idée qui a probablement sauvé notre amour : depuis des années, il rêvait de parcourir le monde sur son voilier. Sans attendre la retraite, il a embarqué. Non, ce n'était pas une fuite ni une rupture déguisée. Il a pris le large pour nous laisser à tous le temps de nous apaiser. La séparation de quinze mois a été éprouvante. Le manque, atroce. Mais cet éloignement était nécessaire pour prendre un nouveau départ.
A son retour, nous nous sommes fait aider d'un psychiatre pour expliquer notre situation aux enfants, alors âgés d'une dizaine d'années. Tout a pu se dire, du plus banal – "C'est chelou, c'est relou…" – au plus moche. Le psychiatre a désamorcé les bombes. Dans le même temps, la compagne de Thibault était enceinte. Une femme très bien, très intelligente. On s'est parlé, un soir où elle ramenait les enfants après le week-end. Je pense qu'elle a bien compris la situation, et elle fait beaucoup pour que s'établisse un semblant d'harmonie entre nous tous. Depuis l'année dernière, Thibault salue à nouveau son père, l'homme avec qui je veux vieillir. 
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