Un vieux éclate une jeune

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Un vieux éclate une jeune
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Un soir que j’étais dans un bar gay, à la recherche d’un mec pour la nuit, un jeune môme de 18 ans vint s’assoir à côté de moi pour engager la conversation. Je le connaissais de vue, car c’était le petit frère d’un de mes ex. Je l’avais rencontré lorsqu’il avait 16 ans et déjà je fantasmais sur lui, car c’était un très beau gosse sensible et intelligent, très blanc de peau, des cheveux souples, les traits du visage assez fins, des yeux très bleus, une bouche sensuelle, une belle dentition, un corps mince et finement musclé, un joli petit cul bien moulé dans son jean. Je me demandais comment était sa queue. Jamais je n’avais tenté la moindre approche, car trop jeune, et c’était un gamin timide, qui rougissait facilement, complètement inexpérimenté, tant niveau fille que garçon.

J’offris un verre d’alcool au gosse et nous parlâmes un peu de son frère, de l’école, mes envies, ses passions et, un peu grisé, il commença à me parler d’un de ses potes, Mehdi, jeune homo très viril et bien foutu, dont il était assez amouraché et à qui il avait fait des avances, mais qui l’avait repoussé, car il n’aimait que les mecs expérimentés. Finalement, en rougissant, le môme osa me faire sa demande :

— Est-ce que… tu pourrais m’apprendre… à sucer un mec ?

J’en revenais pas. Ce jeune bogosse timide me demandait s’il pouvait me sucer ma teub ! Profitant de l’occase, je le regardai dans les yeux.

— Je t’apprendrai comment on suce une queue, mais à une condition : je veux que tu me laisses t’enculer ensuite !

— Je ne sais pas si je suis encore prêt. Je suis vierge et ça me fait peur.

— Ton pote Mehdi n’aime pas les puceaux. Laisse-moi t’enculer, te faire aimer ça et faire de toi un petit suceur expérimenté et tu verras que la prochaine fois, il te laissera le sucer avant de te prendre et de te flanquer quelques coups de reins. C’est bien ça que tu veux de lui, non ?

Le môme hocha la tête sans rien dire. Je payais les consommations puis je l’emmenai chez moi, directement dans ma chambre, et je l’allongeai sur le lit, le dos et les fesses contre le matelas, les jambes pendantes contre le rebord de mon lit qui était assez haut. Je me déshabillai complètement, ne gardant que mon boxer. J’étais bien foutu et je vis que mes formes excitaient le gamin.

— Détends-toi et laisse-toi faire. Tu peux fermer les yeux si tu veux.

Je m’agenouillai devant le lit et je retirai ses baskets puis ses chaussettes, admirant ses jolis pieds, puis je lui levai les bras pour lui enlever son tee-shirt. Je contemplai un instant sa jeune poitrine imberbe, ses tétons qui commençaient à poindre et son ventre plat. Avec précaution, je déboutonnais son pantalon puis sa braguette et je fis glisser son jean pour lui découvrir les cuisses et les jambes. Je regardai le môme allongé en boxer sur mon lit, une bosse commençait à se former dans son calbut et ça m’excitait grave. Je pris ma teub en main pour me masturber puis de nouveau je m’agenouillai au bord du lit et je me mis à lui embrasser et à lui lécher les pieds, ce qui le fit gémir et raidir, puis je fis glisser ma langue le long de ses jambes, lui redressant les poils, lui léchais les genoux et enfin, lui écartant les jambes, je glissais ma tête sous son paquet pour lui lécher l’intérieur des cuisses. Le gosse avait un beau paquet. Je sentais ses couilles grossir dans son boxer et rapidement, j’y passai la langue.

Délicatement, je m’approchai de son visage pour lui embrasser les lèvres. Je lui murmurai d’ouvrir la bouche et j’y glissai ma langue pour explorer son orifice. Nos deux langues se rencontrèrent et se léchèrent longuement tandis que de la main, je lui caressai la queue par-dessus le tissu de son sous-vêtement. Le môme bandait fort.

Abandonnant sa bouche, je lui léchais les joues puis je lui suçais les tétons, bien dressés, et je laissai glisser ma langue le long de sa poitrine et de son ventre jusqu’à son nombril. Je léchais un moment le tour et l’intérieur de son nombril puis j’embrassai son bas ventre et enfin sa queue, très raide dans son boxer tendu à l’extrême.

Lentement, je lui retirai son boxer, libérant sa teub qui se dressa instantanément vers le plafond. Elle était longue et fine, très belle.

— Concentre-toi sur tes sensations et garde tout en mémoire, car ce que je vais te faire, tu me le feras tout de suite après !

Le gamin hocha la tête, les yeux fermés. J’enlevai mon boxer, pour pouvoir me masturber plus facilement, et je posai ma bouche sur ses couilles, d’abord pour les embrasser puis pour les lécher et enfin les gober, jouant avec ses boules, le faisant gémir et soupirer. Quand j’en eus terminé avec ses couilles, je léchai sa tige très raide avec ma langue, faisant de longs va-et-vient de son gland à ses couilles. Je lui léchai le gland et j’avalai son précum. Puis je lui pompai le dard, avalant sa tige entièrement, le faisant durcir dans ma bouche, le suçant sur toute sa longueur ou lui léchant le gland à l’intérieur de ma bouche. C’était vraiment bon de sucer cette jeune teub qu’aucune bouche n’avait explorée jusqu’alors. Tout en le suçant, je lui avais glissé un doigt dans le cul et je lui limais doucement le trou avec mon doigt. Le gamin appréciait, je le sentais sur le point de venir, j’accentuai le mouvement et il éjacula avec force, répandant sa semence dans le fond du gosier, inondant ma bouche de son jeune foutre de puceau. J’avalai une partie puis je m’emparais de sa bouche pour y fourrer ma langue pleine de son jus et mélanger dans nos bouches sa semence et nos deux salives. Le môme n’avait encore jamais goûté son sperme et j’étais décidé à lui remplir bientôt la bouche du mien. Je lui suçais ensuite la tige et le gland pour profiter de son foutre jusqu’au bout.

Le petit gars avait joui violemment et semblait assez sonné par son plaisir. Je le relevai avec douceur et le fis s’agenouiller devant moi.

Le gosse avait encore son propre sperme dans la bouche. Il sortit timidement la langue de sa bouche puis, avec hésitation, il commença à me lécher les couilles. C’était la première fois qu’il léchait les grosses couilles d’un mâle et il prit son temps, passant et repassant sa langue sur mes boules puis les avalant, les suçant, les léchant de nouveau, jusqu’à ce qu’elles soient bien dures et bien fermes.

Ma queue se dressait devant son visage, énorme. Le gamin posa ses lèvres sur mon gland. Il ouvrit sa bouche vierge, qu’aucune bite n’avait encore jamais pénétrée, et j’y introduis lentement mon membre raide. Le môme se mit à l’ouvrage. Il suçait ma teub avec ses lèvres et sa langue me léchait le gland à l’intérieur de sa bouche. Il s’y prenait bien, avec sa petite bouche de puceau, et je sentais la jouissance venir. La langue du gosse léchait mon précum. Au moment d’éjaculer, je bloquai sa tête et je me vidai les couilles dans sa bouche, le forçant à avaler mon foutre chaud et poisseux jusqu’à la dernière goutte. Le gosse m’avait bien excité et j’avais joui dans sa gueule très abondamment. Sans avoir à lui demander, le gamin me lécha docilement la bite et le gland pour me nettoyer.

— Hé bien, te voilà un homme déjà plus expérimenté ! Tu as bu ton sperme et le mien et bientôt, ce sera au tour de Mehdi de te faire goûter sa semence !

Le môme rougit. Je le fis mettre à quatre pattes sur le lit et je lui dis de se cambrer et de m’offrir son cul encore puceau. Le gosse hésitait :

— Peut-être un peu au début, mais tu y prendras aussi du plaisir. Pense à la queue de Mehdi et laisse-moi te dépuceler comme il faut.

Je fis cambrer le gamin, lui relevant le cul pour pouvoir atteindre ses couilles avec ma langue. Je lui léchais les couilles puis ma langue remonta de ses boules jusqu’à son trou, effectuant de longs va-et-vient sur sa raie imberbe puis s’attardant sur le contour de son petit trou rose de puceau encore jamais léché. J’approchai ma bouche de son cul lisse et doux et pendant de longues minutes, je lui bouffai le cul avec volupté. Jamais encore je n’avais si bien léché le cul d’un jeune garçon.

Je retirai ma bouche de son trou pour y coller mon gland. Le petit puceau m’offrait son cul vierge. Je sentis ma bite déjà très raide durcir davantage à la pensée d’être le premier à sodomiser ce jeune cul bien serré. Je conseillai au gosse de se décontracter et de respirer, puis lentement je le pénétrai, en douceur pour qu’il s’habitue à la taille de mon engin que j’entrai complètement dans son cul. Le gamin se contracta en sentant ma bite l’introduire puis, quand elle fut bien au fond, il se détendit et je commençai à le limer, doucement d’abord, puis de plus en plus vite. Quelle extase d’enculer ce petit cul vierge bien serré ! Je sentais à chaque coup de reins le foutre monter en moi. J’accélérai la cadence, sans me soucier des gémissements du petit enculé, prêt à éclater en lui, puis avec un cri j’éjaculai au fond de son trou, cinq saccades de foutre que je lui logeai direct bien au fond, remplissant pour la première fois ses entrailles d’un foutre bien chaud et bien épais. J’étais heureux d’être le premier à l’inonder et déjà j’étais déterminé à ce que ce ne soit pas la dernière. Le môme était trop bon. J’étais décidé à l’enculer encore plusieurs fois pour parfaire son apprentissage.

De toute évidence, le gosse avait aimé se faire sodomiser, car il continuait à bander très dur. Je lui suçai la queue pour la durcir encore davantage puis je le couchai sur le dos et je vins m’empaler sur sa jeune tige raide et bien dressée. Comme le reste, sa bite n’avait encore jamais servi. Je lui tenais les bras écartés et le gamin me laissa lui manœuvrer la queue comme il s’était laissé déflorer la bouche et le cul. Je continuai de lui maintenir les bras écartés tandis que je faisais coulisser mon trou sur sa teub, allant et venant sur sa tige de plus en plus vite pour le pousser à l’éjaculation. Le petit gars adorait ça et ne tarda pas à jouir abondamment dans mon trou.

Le môme était à présent complètement dépucelé, prêt à servir à d’autres. Ma teub avait défloré sa bouche puis son anus, remplissant de sperme l’une et l’autre, puis il avait déchargé à son tour dans mes entrailles après s’être vidé une première fois dans ma bouche. Le gamin était repu, mais l’enculage m’avait excité. Je le couchai sur le ventre, lui redressant le cul pour lui sucer le trou puis je l’enculai une nouvelle fois, cette fois-ci rapidement et violemment, lui remplissant une seconde fois les entrailles. Je l’enculai une troisième fois au cours de la nuit, cette fois-ci couché sur le dos, les jambes relevées, puis une quatrième au petit matin, après l’avoir fait jouir dans ma bouche.

En guise de petit-déjeuner, je lui demandai de mettre en application ce que je lui avais appris la veille. Le gamin se mit à genoux sans se faire prier et me pompa le dard avec talent, après m’avoir léché le cul et les couilles, se permettant même de me glisser un doigt dans le trou et me limant jusqu’à ce que j’éjacule au fond de sa gorge et lui remplisse la bouche de ma semence. Vraiment très agréable comme début de journée.

Le môme et moi, on continua à se fréquenter, histoire que je termine son apprentissage et que j’en fasse un suceur et un enculé chevronné. On cessa de se voir lorsqu’il commença à sortir avec Mehdi, lui offrant sa bouche et son cul. J’étais jaloux, car je m’y étais quand même attaché, à ce joli môme, et pas seulement pour le sexe. Cependant, je ne pouvais pas le blâmer : c’est vrai qu’il était beau, le Mehdi. Déjà, mon cerveau imaginait des scènes : moi enculant Mehdi tandis qu’il se faisait sucer par le môme ou bien moi suçant leurs deux queues et les faisant jouir en même temps dans ma bouche ou encore Mehdi et le gosse à quatre pattes l’un à côté de l’autre et moi les sodomisant à tour de rôle tandis qu’ils se roulaient des pelles. J’imaginai aussi le môme nous offrant son cul, à Mehdi et à moi, pour une double pénétration. Peut-être un plan à trois, un de ces jours ? Qui sait…


[Pour rendre le récit plus excitant, il n’est pas fait mention de préservatif. Dans la réalité, il va sans dire que le môme et moi avons bien entendu utilisé des capotes à chaque fois. Sans mauvais jeu de mots, on n’est pas des teubé (ha ha ha)]


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