Un trio d’enfer

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Mots clés
Pierre Karl Péladeau (PKP) , course à la chefferie , Parti québécois (PQ) , Véronique Hivon , Alexandre Cloutier , démission de PKP , course à la chefferie du PQ


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Alexandre Cloutier, Véronique Hivon et Jean-Martin Aussant faisaient figure d’inséparables jusqu’à ce que ce dernier claque la porte du PQ, au grand désespoir des deux autres, qui ont tout tenté pour le retenir. À nouveau réunis, ils formeraient un trio d’enfer alliant jeunesse, compétence et ferveur qui ferait trembler les libéraux.
Même si les militants péquistes tenaient à « vivre leur moment Péladeau », M. Cloutier avait été la révélation de la course de l’an dernier. Certains le voient même comme le pendant souverainiste de Justin Trudeau . Déjà auréolée par le doigté avec lequel elle a mené le dossier de l’ aide médicale à mourir , Mme Hivon est devenue une sorte d’égérie de la « convergence ».
M. Aussant fait figure de gourou pour nombre de jeunes souverainistes qui ont vécu son départ d’Option nationale comme un véritable deuil. Même si le caucus des députés conserve une dent contre lui, ses chances seraient bien réelles. Bon nombre des partisans de M. Péladeau se tourneraient vers lui. Rien n’indique toutefois qu’il est prêt à revenir en politique. Les raisons familiales qui l’avaient amené à quitter ON semblent toujours valables.
Quoi qu’il en soit, un parti ne peut pas avoir trois chefs, et chacun des inséparables peut légitimement prétendre avoir les qualités requises, ce qui rend un couronnement très improbable. Sans oublier les autres prétendants, notamment Martine Ouellet , qui a démontré dans le passé qu’elle ne laissera jamais personne lui dicter sa conduite. Même Nicolas Marceau dit être en réflexion. C’est tout dire !
Jean-François Lisée peut compter sur un petit groupe d’admirateurs qui sont séduits par son intelligence, et il faut reconnaître que sa performance à l’Assemblée nationale est impressionnante. La population aurait cependant bien du mal à s’identifier à cet intellectuel un peu froid, qui semble parfois prendre les choses de bien haut pour le commun des mortels.
Bernard Drainville a mis du temps à réaliser à quel point la charte de la laïcité lui a fait du tort. C’est un épisode qu’on préfère oublier au PQ. On ne voudra surtout pas d’un chef qui en raviverait le souvenir, pas même à titre intérimaire. Il le sait sûrement.
Tous les partis cherchent le chef qui les mènera à la victoire, mais le PQ étant ce qu’il est, la course imposera de refaire pour la énième fois le débat sur l’article 1 de son programme, qui porte sur l’accession à la souveraineté.
L’an dernier, l’ascendant que Pierre Karl Péladeau avait pris sur les militants péquistes lui avait évité d’avoir à se mouiller. Alors que ses adversaires s’étaient sentis obligés de préciser leur échéancier référendaire, il avait pu entretenir un grand flou sur ses intentions sans qu’on lui en tienne grief. Bernard Drainville s’était même fait huer copieusement quand il l’avait sommé de les préciser.
Il est probable qu’il aurait aussi pu éviter que les délégués au congrès de juin 2017 l’enferment dans un échéancier contraignant. L’article 1 aurait été formulé de manière à lui laisser toute sa marge de manoeuvre. À six mois de l’élection d’octobre 2018, s’il en était arrivé à la conclusion que le PQ allait tout droit à l’abattoir en promettant un référendum dans un premier mandat, une majorité de militants l’auraient sans doute compris, comme ils avaient donné carte blanche à Jacques Parizeau en 1989.
Cette fois-ci, aucun des candidats potentiels n’a un ascendant comparable. Ils devront dire clairement s’ils entendent tenir un référendum dès le premier mandat ou si la priorité doit maintenant être de faire progresser le Québec en le débarrassant des libéraux.
Martine Ouellet avait été la plus catégorique l’an dernier. Selon elle, un référendum dans un premier mandat était non seulement la seule position compatible avec la raison d’être du PQ, mais également la meilleure façon de remporter la prochaine élection. Bernard Drainville et Jean-François Lisée s’inscrivaient clairement dans la perspective du « bon gouvernement » et des « conditions gagnantes ». En conditionnant la tenue d’un référendum à la signature d’un registre par au moins un million de personnes, Alexandre Cloutier s’était ménagé une porte de sortie. Un an plus tard, ces positions tiennent-elles toujours ?
Véronique Hivon n’a jamais semblé particulièrement pressée de tenir un référendum, mais son report sine die offrirait à Québec solidaire un prétexte en or pour tourner le dos à la « convergence » et faire cavalier seul. Sous la gouverne de Jean-Martin Aussant, Option nationale avait adopté un programme qui s’apparentait à l’élection référendaire. Simplement vouloir remplacer les libéraux ne relèverait-il pas de ce carriérisme qu’il a reproché à ceux qui ont préféré rester au PQ quand lui-même est parti ? Ça discuterait ferme au sein du trio d’enfer.

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Cette course promet d'être moins longue que la dernière gagnée par PKP.

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Moins de 24 heures après le départ abrupt de Pierre Karl Péladeau, la course à la chefferie du Parti québécois (PQ)...

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J'aime beaucoup l'idée d'une loi qui déclencherait un référendum si on réunirait un million et plus de signatures. C'est une excellente façon d'amorcer le débat autour de l'article un du Parti Québécois: un référendum si la population le demande!
C'est aussi une autre façon d'éviter de se faire passer un autre tuyau genre signature de la constitution par un gouvernement en manque de nationalisme canadien ou encore un autre tuyau de pétrole. C'est aussi une bonne ouverture à la démocratie en direct: la population évolue et ne veut plus devoir attendre 4 ans pour manifester sa désapprobation face aux politiques de l'État. Le gouvernement Couillard s'est fait élire sous de fausses représentations. La population devrait pouvoir remettre à l'ordre un tel gouvernement.
Jacques Tremblay
Montréal Qc
À Jacques Tremblay ,

"J'aime beaucoup l'idée d'une loi qui déclencherait un référendum si on réunirait un million et plus de signatures." - Jacques Tremblay

Ne nous laissons-pas polluer les esprit par cette nouvelle péquisterie M. Tremblay.

Inutile de nous encombrer de l'obstacle du million de signatures que Cloutier veut nous imposer pour se garder le contrôle de la question nationale.

Une initiative populaire et républicaine n'a pas besoin de l'approbation d'un parti politique pour fonctionner.

Que les militants.tes créent une organisation non partisane et se crachent dans les mains pour accumuler eux-mêmes 50% + 1 d'appuis et revendiquent collectivement l'indépendance politique du Québec et nul ne pourra dire que la démarche est illégitime.

C'est d'ailleurs une proposition que j'avais remise moi-même par écrit au NMQ en 2011.

Le peuple est souverain ou il ne l'est pas.

Christian Montmarquette
À Jacques Tremblay ,

"J'aime beaucoup l'idée d'une loi qui déclencherait un référendum si on réunirait un million et plus de signatures." - Jacques Tremblay

Ne nous laissons-pas polluer les esprit par cette nouvelle péquisterie M. Tremblay.

Inutile de nous encombrer de l'obstacle du million de signatures que Cloutier veut nous imposer pour se garder le contrôle de la question nationale.

Une initiative populaire et républicaine n'a pas besoin de l'approbation d'un parti politique pour fonctionner.

Que les militants.tes créent une organisation non partisane et se crachent dans les mains pour accumuler eux-mêmes 50% + 1 d'appuis et revendiquent collectivement l'indépendance politique du Québec et nul ne pourra dire que la démarche est illégitime.

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