Un trio dans un appartement
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Faits divers Deux individus soupçonnés d'actes de torture sur un trentenaire dans un appartement à Riom (Puy-de-Dôme)
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Soupçonnés d’actes de torture et de barbarie, deux hommes ont été placés en garde à vue, à Riom (Puy-de-Dôme), puis mis en examen. La victime, un homme de 35 ans, avait subi de multiples violences dans un appartement du centre-ville.
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Il y a eu des coups sur le visage, à de très nombreuses reprises, jusqu’à lui briser la mâchoire et lui entailler une oreille. Des brûlures sur le torse, aussi, avec un plat chauffé au micro-ondes. Un Riomois âgé de 35 ans a vécu un véritable calvaire, durant plusieurs semaines, au printemps 2020, dans un appartement situé en centre-ville de Riom.
Les faits se sont produits lors du premier confinement. Le trentenaire avait alors volontairement emménagé avec trois autres personnes, originaires de Rodez, dans l’appartement loué par un ami riomois.
Sans nouvelle de sa part, ses parents signalent sa disparition, fin juin. Le trentenaire, est retrouvé quelques jours plus tard par les enquêteurs de la Brigade de sûreté urbaine (BSU) du commissariat de Riom, dans un autre appartement riomois.
Le visage tuméfié, il est conduit au centre hospitalier, où il se voit délivrer 45 jours d’Incapacité totale de travail (ITT). Mais devant les forces de l’ordre, l’homme reste silencieux sur l’origine de ses blessures.
Encouragé par sa famille, le Riomois finit par prendre la parole quelques mois plus tard, en décembre. Le trentenaire affirme avoir fait l’objet de violences récurrentes dans l’appartement riomois, entre mars et avril 2020.
S’il accuse dans un premier temps le trio originaire de Rodez, à savoir deux femmes et un homme âgés d’une trentaine d’années, les enquêteurs du commissariat de Riom découvrent au fil de leurs investigations que le principal auteur des violences semble être le locataire de l’appartement, un homme âgé de 50 ans.
Dans ce déchaînement de violences, cet ami de la victime aurait aussi utilisé comme bras armé l’une de ses connaissances, un homme de 56 ans habitant le bassin d’Issoire. Au-delà des coups, le trentenaire aurait également été victime de sévices à caractère sexuel.
Les deux quinquagénaires ont été placés en garde à vue en fin de semaine dernière au commissariat de Riom. Ils auraient reconnu une partie des violences devant les policiers. Présentés devant le parquet, ils ont été mis en examen pour violences aggravées et actes de torture et de barbarie. Roland L., le locataire du logement, a été placé en détention provisoire, et son comparse issoirien laissé libre sous contrôle judiciaire.
L’enquête va désormais se poursuivre, afin de déterminer le rôle exact de chacun des protagonistes, tous placés depuis quelques années sous tutelle ou sous curatelle, mais aussi les raisons, encore obscures, qui ont mené à ce déchaînement de violences.
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Un 80 m2 pensé pour une vie de famille épanouie
Par Constance Biard,
publié le
21/06/2022 à 07:00
21/06/2022 à 07:00
Malgré une belle hauteur sous plafond, une terrasse et le charme d'une grande verrière, Charlotte et Geoffroy n'arrivent pas à se sentir à l'aise dans leur duplex de 80 m2 à Clichy-la-Garenne. Devenus propriétaires il y a un an, ils ne trouvent pas l'agencement idéal. Après avoir fait leur rencontre via des amis en commun, l'architecte d'intérieur Marika Hannotin prend le temps de discuter avec eux et comprend l'importance que tient leur vie de famille. Avec un enfant en bas âge et un second de prévu, le quotidien des propriétaires s'organise autour des moments qu'ils peuvent passer ensemble, idéalement dans la grande pièce de vie du duplex. Le couple désire donc faire de cet espace un lieu chaleureux, où il fait bon se retrouver. Au vu de sa disposition sur deux étages, l'architecte d'intérieur part sur une inspiration "cabane dans les arbres", mettant en valeur un appartement perché sur les toits de la capitale.
Afin de redonner une âme à cet appartement moderne, Marika Hannotin mise sur la présence de bois, dans un esprit naturel, proche d'une cabane dans les arbres. Avec son parquet et ses aménagements en chêne, le duplex dispose déjà d'un certain charme, à magnifier à travers une décoration tout en rondeur. Les propriétaires désirent également s'inspirer des paysages et des couleurs de Madagascar, où ils ont passé leur voyage de noces. Une envie d'ailleurs qui se retrouve dans les teintes utilisées, mais aussi dans la forme de certains meubles, notamment les étagères du salon semblables à des lianes. Côté agencement, la pro de l'agence Marika Architecture d'Intérieur ne touche pas à la disposition des pièces et se concentre uniquement sur celle du mobilier. Elle offre un cadre au salon et optimise la chambre parentale . Les propriétaires souhaitent également aménager une seconde chambre d'enfant, pour leur bébé à venir. En bref, se créer un cocon où passer de bons moments en famille. Quand Marika Hannotin demande à Charlotte et Geoffroy un mot qui pourrait décrire leur envie de logement, ils répondent d'ailleurs "nid". L'architecte d'intérieur interprète ce choix en faisant du duplex une cabane dans les arbres, destinée à une famille hédoniste en quête de chaleur. - >> Le projet en bref >> Le lieu : Clichy. La surface : 80 m2 . La durée des travaux : 1 mois . L'idée : créer un cocon ludique et fonctionnel, pensé comme une cabane dans les arbres où Charlotte et Geoffroy peuvent poursuivre leur vie de famille. - >> A lire aussi >> Un duplex rénové par des amoureux de la déco
1
- L'entrée se concentre sur la couleur
- Dans l'entrée de l'appartement, Marika Hannotin mise sur la couleur avec une affiche aux nuances chaudes et au motif inspiré par les tropiques, notamment l'île de Madagascar. Elle détourne le regard du meuble de rangement relativement simple, mais pratique avec deux enfants . En bref, la décoration murale donne le ton de l'entrée et du reste de l'appartement, qui n'a pas peur de la couleur. - En photo : affiche "Vanuatu" de Léa Morichon, Sergent Peaper ; meuble d'entrée "Compo", La Redoute Intérieurs - >> Pour aller plus loin >> Créer une belle entrée déco pour moins de 150 euros
2
- Place à la lumière dans le salon
- Avec sa verrière XXL qui court jusqu'au plafond, la pièce de vie dispose d'une luminosité qui a séduit les propriétaires à l'achat de l'appartement. Mais cet agencement apporte également des contraintes. Le haut plafond offre ainsi un visage froid à la pièce, là où Charlotte et Geoffroy rêvent d'un intérieur chaleureux, comme un cocon sous les toits. Marika Hannotin travaille ainsi sur les volumes, occupant la partie haute avec un trio de suspensions et habillant le mur d'étagères imposantes. La disposition des meubles joue également un rôle dans ce nouveau style. Le canapé - déjà présent dans la décoration - délimite le salon de la salle à manger et de la cuisine, créant un effet cocon dans la pièce. Cet agencement est renforcé par l'utilisation d'un tapis au sol. - >> A lire aussi >> Salon toit-cathédrale : 12 intérieurs bien aménagés et décorés
3
- Le bois comme inspiration
- Le bois est très présent dans l'appartement, que ce soit au sol avec un parquet ou dans les aménagements d'origine. La balustrade de la mezzanine adopte ainsi le chêne. S'il est un temps question de la repeindre en blanc, Marika Hannotin choisit de la conserver, car elle fait partie de l'âme du lieu, mettant en valeur le duplex et l'esprit cabane dans les arbres. Le bois s'installe également sur les meubles, notamment une enfilade vintage et l'étagère murale. Cette dernière se veut organique, inspirée des lianes de la jungle de Madagascar. Elle équilibre la présence du bois par une table basse noire, qui modernise l'ensemble. - En photo : suspensions "Chapen", Forestier ; étagère "Climb", La Chance ; table basse "Turning table", Blou - >> Pour aller plus loin >> Salon blanc : ces photos vous prouvent qu'il peut aussi être chaleureux !
4
- Une touche vintage donne de la personnalité au salon
- Afin d'apporter une âme à cet appartement neuf, l'architecte d'intérieur opte pour des meubles avec une forte personnalité et des lignes atypiques. C'est par exemple le cas de cette enfilade vintage, chinée sur Selency . Son style moderne et graphique fonctionne en duo avec un revêtement en bois, chaleureux. En bref, une question d'équilibre. - >> A lire aussi >> Comment bien chiner ? Réponse d'un professionnel
5
- Alliance entre lignes droites et rondeurs
- Afin d'équilibrer les lignes droites des meubles du salon, Marika Hannotin ajoute des touches plus douces, comme cette lampe. Il s'agit en réalité d'un isolateur électrique, transformé en luminaire par la marque Dealeuse. Une pièce presque unique qui offre une touche de charme au salon. Le principal défi de la rénovation étant d'ajouter une âme au bien, l'architecte d'intérieur se sert d'objets forts, avec une histoire. - En photo : lampe Dealeuse
6
- Equilibrer les volumes
- La hauteur sous plafond de la pièce de vie est une contrainte autant qu'un atout. Afin d'équilibrer les volumes, Marika Hannotin utilise des luminaires. Dans le salon et la cuisine ouverte attenante, des suspensions brouillent les perspectives. La pro les choisit toutes en arrondi, afin d'adoucir le style contemporain de l'appartement. Elle laisse en revanche la vue sur la terrasse dégagée, mettant ainsi en avant la belle verrière. - En photo : suspension cuisine "Flowerpot", &Tradition
7
- Jeu de matières dans le séjour
- Afin de réduire la présence du bois au sol, l'architecte d'intérieur se sert d'une astuce toute simple : le tapis. Elle sélectionne un modèle bohème en jute, une matière naturelle. Son motif arrondi apporte de la douceur au salon et répond à la table basse noire. La pièce s'organise autour du tapis, spécialement les assises. Il agit donc comme une démarcation dans cet espace ouvert. - En photo : tapis "Rocky Sauge", Elitis - >> Pour aller plus loin >> Où placer un tapis dans le salon ?
8
- Equilibrer la présence du bois dans la salle à manger
- La salle à manger ouverte sur le salon est située sous la mezzanine, à l'entrée de l'escalier menant aux chambres d'enfants. Comme la rambarde de l'étage, l'escalier se décline en bois sur fond blanc. Avec la table, elle aussi en bois qui est conservée, Marika Hannotin souhaite équilibrer la décoration. Des chaises bleu ciel en PVC rejoignent ainsi la pièce, tandis qu'un mur vert habille la cage d'escalier. Au plafond, la suspension s'accorde à celle de la cuisine, mais en blanc afin de ne pas surcharger l'espace. Comme dans le salon, un tapis plus neutre s'installe au sol. Dans des teintes claires, il reprend des touches de bleu rappelant les assises. - En photo : chaises "Chaise Evo-C", Jasper Morrison pour Vitra ; mur peint en teinte "Smoke Green", Farrow & Ball ; tapis "Kipari", Habitat - >> A lire aussi >> Comment rendre une salle à manger chaleureuse ?
9
- La peinture pour mettre en valeur les aménagements existants
- Sou
Une cougar chiennes
Une superstar chaude baisée par un mec noir
Une à l'intéreur et une dans la main