Un trio avec une rousse coquine

Un trio avec une rousse coquine




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Un trio avec une rousse coquine


Par: SenewebNews - Seneweb.com |
23 janvier, 2012 Ă  13:01:10
 | Lu 380251 Fois |
 142 Commentaires

Dof Diop
En Janvier, 2012 (13:13 PM)
Reply_author
En DĂ©cembre, 2021 (23:40 PM)
Pecosse
En Janvier, 2012 (13:24 PM)
Saup Rek
En Janvier, 2012 (13:24 PM)
Assane Diop
En Janvier, 2012 (13:27 PM)
Kocc Barma
En Janvier, 2012 (13:29 PM)
Pouding
En Janvier, 2012 (13:39 PM)
Senerusse
En Janvier, 2012 (14:45 PM)
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En Janvier, 2012 (15:00 PM)
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En Janvier, 2012 (15:46 PM)
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En Janvier, 2012 (16:06 PM)
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En Janvier, 2012 (16:38 PM)
M E N T E U R
En Janvier, 2012 (18:33 PM)
Doxandem
En Janvier, 2012 (19:20 PM)
Boypalm
En Janvier, 2012 (19:31 PM)
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En Janvier, 2012 (03:28 AM)
Faya Faya
En Janvier, 2012 (18:22 PM)
Danzante
En Janvier, 2012 (22:42 PM)
Sidirama
En Janvier, 2012 (10:44 AM)
Conseil Constitutionnel TraĂźtr
En Janvier, 2012 (11:21 AM)
Insa Ndao
En Janvier, 2012 (17:42 PM)

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Woman dies from injuries after car hits crowd


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Woman dies from injuries after car hits crowd

L’oncle
et sa fiancĂ©e sont revenus tard Ă  la maison ivres mort. L’homme
se jette sur le lit, la femme presque nue, s' assoupit Ă  l’entrĂ©e de
la
maison .A son arrivé le neveu constate l'état de sa tante , en
profite pour la tirer dans le couloir et abuser d’elle. Quelques
instants aprùs, l'oncle recouvre ses esprits et surpris de l’absence de
sa
compagne se met Ă  la chercher dans toute la maison .Entendant son oncle,
le neveu s' enfuit Ă  toute vitesse mais laisse sur place ses
chaussures.
A son arrivée prés de sa dulcinée Timothée, c'est le nom
de l'oncle,
remarque les chaussures qu’il croit appartenir à un de ses hîtes
prĂ©sent depuis 3 jours Ă  son domicile. N’empĂȘche le doute qu’il se
serait passe quelque chose de pas "catholique" persiste. Timothée ramÚne
sa dulcinée dans
leur chambre et veut entretenir des relations avec elle. La jeune dame
refuse et dit : « Mais tu veux me tuer aujourd’hui?Ce sera la seconde
fois. Je suis fatiguée...
» Furieux car il vient de tout comprendre,Timothée bondit du lit et
s’empare d’un bñton
pour aller agresser...l'hÎte qui heureusement dort à poings fermés
victime d’une fiùvre. De plus ses chaussures, à lui, sont bel et bien
dans la chambre .
Il retourne donc dans le couloir oĂč traĂźnent toujours
les chaussures et voit son neveu...les pieds nus.Il comprend tout de
suite que c'est lui l'auteur de "l'agression" sur sa fiancée et qu'il a
failli attaquer l'hÎte à tort. Timothée chasse alors purement et
simplement le neveu de la maison de peur de le tuer s'ils restent sous
le mĂȘme toit renseigne "le quotidien"


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Je vais vous raconter ce qui m’est arrivĂ© un jour que j’étais en train d’attendre que l’heure de mon prochain rendez-vous approche. Je suis reprĂ©sentant en matĂ©riel professionnel pour la restauration et je dois souvent attendre la fin du «coup de bourre» du dĂ©jeuner pour rencontrer mes clients.

Ce jour-lĂ , je me dĂ©cidai pour un grand centre commercial Ă  proximitĂ©. Je repĂ©rai un cafĂ© Ă  proximitĂ© d’un escalier reliant les deux Ă©tages du centre commercial. Je me dis qu’en buvant un verre, je pourrais avoir une vue intĂ©ressante sous les jupes des femmes qui monteraient ou qui descendraient. Je me suis installĂ© Ă  une table qui Ă©tait juste Ă  l’aplomb des marches. J’avais une vue imprenable et je me demandais mĂȘme si cette table n’avait pas Ă©tĂ© mise lĂ  exprĂšs, surtout lorsque je vis le sourire coquin de la serveuse qui prit ma commande.
Certes, la journĂ©e Ă©tait ensoleillĂ©e et la tempĂ©rature agrĂ©able pour un mois d’avril, mais je crus rĂȘver au vue du nombre de femmes en jupes ou robes suffisamment courtes qui sont passĂ©es devant mes yeux, sans mĂȘme prĂȘter attention aux dĂ©lices qu’elles me laissaient entrevoir. Je voyais plus de paires de bas ou de strings que si je m’étais baladĂ© au rayon lingerie d’un grand magasin. Je commençai Ă  ĂȘtre pas mal excitĂ© quand je regardai ma montre et que je m’aperçus que mon rendez-vous Ă©tait dans un quart d’heure. Je payai et j’allai Ă  mon rendez-vous.
Le rendez-vous se passa et je repensai au spectacle que j’avais eu et me dis que je reprendrais bien un verre avant de rentrer chez moi. Il Ă©tait 17 heures et ma table du midi Ă©tait libre. Je fus surpris de dĂ©couvrir ce cĂŽtĂ© voyeur en moi mais je me laissai guider par une petite voix dans ma tĂȘte. Avec les premiĂšres sorties des bureaux avoisinants, le dĂ©filĂ© reprit et c’est lĂ  que l’histoire se corsa.
Une femme que j’avais vaguement repĂ©rĂ©e Ă  une autre table se leva. Elle passa Ă  proximitĂ© de ma table en me fixant dans les yeux et me sourit. Je lui rendis son sourire et la regardai passer. Elle devait avoir environ 35 ans, brune, cheveux courts, yeux noirs et elle Ă©tait habillĂ©e avec une jupe portefeuille et une veste assortie gris clair sur un pull mauve. TrĂšs chic, pensai-je Ă  ce moment lĂ . Mon cƓur se mit Ă  battre plus fort quand je vis qu’elle commençait Ă  monter l’escalier. Elle me fixa toujours dans les yeux mais ne souriait plus.
Elle avait un regard beaucoup plus fĂ©lin. Je ne tardai pas Ă  quitter ses yeux pour regarder ses jambes qui se dĂ©voilĂšrent au fur et Ă  mesure qu’elle montait. Je dĂ©couvris qu’elle portait des bas couleur chair. Elle Ă©tait Ă  1.5 mĂštre au dessus de moi quand elle s’arrĂȘta et qu’elle chercha quelque chose dans le fond de son sac. De ma position, je vis ses jambes entiĂšres, ses bas et une partie de ses fesses. Je ne pus distinguer si elle portait un string ou rien du tout. À cette pensĂ©e, mon sexe qui bandait dĂ©jĂ  depuis un moment, me fit mal tellement il Ă©tait serrĂ© dans mon pantalon.
La femme ne bougea pas et cet instant me sembla durer des heures. Je n’en revenais pas, elle savait forcĂ©ment que je la matais. Soudain, elle s’accroupit pour poser son sac sur la marche et m’offrit ce que je n’aurais pas imaginĂ©. J’avais son sexe lisse Ă  1.5 mĂštre des yeux. Elle n’avait pas de culotte ! Mon sexe faillit exploser tout comme ma tĂȘte. Elle semblait se moquer que son petit manĂšge fut visible dans toute la galerie commerciale. J’étais le seul Ă  avoir cette vue de sa chatte.
Elle se releva avec une cigarette, l’alluma de son briquet et me fit un clin d’Ɠil coquin en reprenant sa montĂ©e. Je restai abasourdi. L’idĂ©e de la suivre et de l’accoster me traversa l’esprit quand je vis qu’un homme l’attendait en haut des marches. Il l’embrassa fougueusement et me regarda avec un air content de lui. Elle se retourna et me fit un signe de la main pour me dire au revoir. Tandis qu’ils s’éloignaient, je me rendis compte que j’avais Ă©jaculĂ© dans mon caleçon sans mĂȘme me toucher. Je me dis que ce couple mais surtout cette femme exhibitionniste, m’avait fait un cadeau que je n’étais pas prĂȘt d’oublier. Depuis, je renouvelle frĂ©quemment mes visites dans ce centre, sans rĂ©sultats aussi mĂ©morables.
Bonjour,
Et oui, nous sommes nombreuses à aimer nous exhiber dans des lieux publiques. Certaines sont plus hardies que d’autres et vont plus loin que la simple exhibition.
C’est une des façons dont, mon mari et moi, nous servons parfois pour « jouer » avec des inconnus ou pour faire des connaissances.
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