Un trio avec ma belle-sœur et sa copine

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Un trio avec ma belle-sœur et sa copine
Publié
le 06/10/2014 à 00:00 , Mis à jour le 29/01/2020 à 07:05
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Et le couple frôle le naufrage. Quand l’ombre tutélaire de celle qui lui a donné la vie s’invite entre notre homme et nous, le ciel passe à l’orage. « Je ne suis pas ta mère ! » s’indigne-t-on. Comment sortir de ce trio toxique et couper le cordon pour de bon ? Paroles d’experts.
Un soir, l'orage a éclaté. Hélène était en train de faire la valise de son mari qui partait, comme souvent, en voyage. Elle faisait le compte dans sa tête. "Il part trois jours, il lui faut six chemises, six paires de chaussettes, six caleçons…" Elle pliait soigneusement les vêtements quand soudain elle fut secouée par un hurlement venu de la salle de bains. C'était lui, son mari, fou de rage : "Tu te moques de moi ou quoi ? Combien de fois faudra-t-il que je te dise que je veux une crème de corps au jasmin et pas à la rose ?" - "Il n'y en avait pas à la pharmacie", répondit calmement Hélène. - "Dans ce cas, on va chercher dans une autre pharmacie", rétorqua le mari furieux. Hélène serra les poings, jeta la valise par terre et se mit, à son tour, à crier, exaspérée : "Tu sais quoi mon vieux ? Je ne suis pas ta mère !"Telle est la phrase que le psychanalyste Serge Hefez (1) déclare entendre le plus souvent dans son cabinet, lors de ses thérapies de couple . Où trouve-t-elle son origine ? Dans l'exaspération des femmes de se sentir toujours toisées à l'aune de celle qui donna la vie à leur tendre moitié ? Dans la nostalgie que l'homme éprouve au souvenir du dévouement maternel ? Dans l'incapacité du petit garçon devenu grand de se passer de l'ombre tutélaire de sa génitrice, au point d'imposer à sa compagne, parfois même au-delà de la mort, sa présence tenace, encombrante et rarement bienveillante ?
"Soit l'homme est à glagla devant sa mère, soit il est à genoux en mode dévotion", résume la psychanalyste Françoise Davoine. Sylvie, elle, se souvient encore de ce que sa future belle-mère lui avait dit le jour de son mariage : "Tiens, regarde ma robe. C'est une robe demi-deuil." Le mari avait trouvé la réplique pleine d'humour. Le couple ne fit pas long feu.
"Eh oui, à l'origine de tous les maux, il y a la mère, dit en souriant Serge Hefez. J'exagère. Mais à peine." Ce n'est d'ailleurs pas sa consœur Françoise Davoine qui va le contredire, elle qui a passé en revue dans son livre Mère folle (Éd. Arcanes / Érès) toutes les formes possibles d'images maternelles, de Médée, qui tue ses enfants, à Jocaste, mère d'Œdipe, qui épouse son fils, avec qui elle aura quatre enfants.
Qu'elle ait été présente ou non, aimante ou pas, cassante, arrogante, exigeante, épatante, méchante, charmante, troublante, intelligente, accaparante…, rien n'y fait. La mère, astre et désastre pour ses enfants, est souvent source de névrose, de psychose, de mal-être. "C'est normal, poursuit Serge Hefez : la mère est le premier objet d'amour d'un enfant. C'est elle qui le nourrit, le baigne, le cajole, le gronde. La première angoisse de l' enfant , c'est à elle qu'il la doit. Lorsqu'elle s'en va pour la première fois, le nourrisson se demande avec effroi : "Va-t-elle revenir ?". Dans ses bras, l'enfant apprend ce qu'est l'amour, avec toute l'ambivalence de la passion amoureuse. Et c'est toujours dans ses bras qu'il peut aussi faire l'expérience du désamour. L'appréhension de ce sentiment va le poursuivre le reste de son existence." Et qui trinque ? "Le couple, répond Serge Hefez. Car l'homme cherchera à retrouver cet être total et fusionnel avec lequel il a vécu sa première passion." Davantage que la femme ? "Oui, car la phase de séparation d'avec la mère est plus simple chez une petite fille, explique le médecin sexologue Ghislaine Paris (2). La petite-fille se détache de sa mère pour tomber dans les bras de son père, qui devient son beau chevalier. Le garçon se détache de sa mère plus tard, à l'adolescence, et là il se retrouve tout seul." Ainsi, devenu homme, il cherchera dans sa future compagne la réplique de maman ou son contraire.
La littérature comme le cinéma regorgent de mères admirables ou détestables que les auteurs n'ont jamais cessé de célébrer ou d'étriller, et dont ils n'ont jamais vraiment pu se remettre. C'est la mère de Romain Gary dans "la Promesse de l'aube" qui suscite, prévoit, organise le destin de son garçon : "Tu seras ambassadeur, mon fils", lui crie-t-elle tous les matins dans l'escalier de leur pension de famille. C'est aussi la mère de Guillaume Gallienne dans Les Garçons et Guillaume, à table ! . "Elle est géniale ma mère", répète continuellement l'auteur. Tellement géniale qu'il mettra des années avant de trouver son identité sexuelle. Ou celle d'Albert Cohen, qui lui consacre un livre, et dont la critique affirme que Le Livre de ma mère est la plus belle histoire d'amour jamais écrite. Dans ces conditions, comment créer un couple ? "La femme veut bien essayer de tout faire : être épouse, amante, infirmière, habilleuse… mais elle ne veut pas devenir la maman de son homme ; là, elle coince", tranche la psychanalyste et philosophe Anne Dufourmantelle (3). "D'autant, poursuit Ghislaine Paris, que cette position lui ôte tout pouvoir sexuel. Quelle femme voudrait avoir des relations sexuelles avec son fils ?
Pourtant, l'homme n'en démord pas. "Beaucoup ne veulent pas savoir où sont les sacs-poubelle et s'il y a de la lessive dans le placard, poursuit Anne Dufourmantelle. Ils téléguident donc leur femme pour qu'elle occupe la place de ménagère." Et si elle refuse, que se passe-t-il ? Trois scénarios possibles, selon Ghislaine Paris. "Soit ce refus engendre une rupture - due à une accumulation de désaccords -, soit un électrochoc sur le mari qui cherchera peut-être à s'amender, soit, enfin, et ce serait le dénouement vertueux, l'abandon du jeu de rôles de chacun des acteurs." Le schéma est-il le même chez les jeunes couples ? "Non, car ils sont encore dans une relation amoureuse, dans une phase de découverte de l'autre. Mais dès que le couple s'installe, ces réflexes peuvent reprendre le dessus."
Si certaines femmes refusent d'être la maman de leur mari, d'autres, à l'inverse, acceptent. Pourquoi ? "Elles y trouvent leur compte, poursuit Anne Dufourmantelle. Dominer son foyer est une forme de pouvoir. Les femmes savent que le mari peut aller chasser ailleurs, mais qu'il y a de fortes chances pour qu'il revienne au foyer. D'où la nécessité d'en cultiver la flamme." Les épouses maternantes seraient-elles donc plus nombreuses que l'on imagine ? "Combien de fois ai-je entendu des femmes me dire, en parlant de leur mari, qu'elles avaient un troisième enfant à la maison ou qu'elles avaient mis l'interdiction parentale pour ne pas que leur mari joue à des jeux vidéo dès qu'il rentre du bureau", atteste Ghislaine Paris.
"Voilà, c'est dit, les femmes veulent le pouvoir et les hommes ont du mal à l'accepter, conclut Françoise Davoine. Mais on ne remet pas en cause, d'un coup de baguette magique, cinq mille ans d'éducation judéo-chrétienne. Cette situation est vieille comme le monde. Il faut donc trouver, pour la combattre, des remèdes eux aussi vieux comme le monde. J'ai peut-être une solution qui me vient des Indiens." Et de raconter alors comment, alors qu'elle était en vacances dans la réserve indienne de Rosebud aux États-Unis, Stanley Red Bird, dit "Oiseau rouge", mi-cheyenne, mi-sioux, expliqua que parmi les coutumes de sa tribu il en existait une à laquelle personne ne dérogeait : une fois marié, un homme ne doit plus jamais avoir de contact avec sa mère. Au moindre risque de rencontre, cette dernière déplie une couverture pour faire écran entre elle et son fils. "Quelle sagesse ! s'exclame Françoise Davoine. Au lieu d'essayer de pacifier des relations familiales que chacun sait volcaniques et insolubles, ces Indiens apportent de la raison dans ce qui est irraisonnable." À méditer !
(1) Auteur de Le Nouvel Ordre sexuel , Éd. Kero, 15, 95 €. (2) Auteur de Faire l'amour pour éviter la guerre dans le couple , Éd. Albin Michel, 15, 20 €. (3) Co-auteure avec Laure Leter de Se trouver , Éd. JC Lattès, 17 €.
ENQUÊTE - Reconversions, ruptures, déménagements… Le cap de la quarantaine est, bien souvent, synonyme de bouleversements intimes et professionnels. Des transformations qui peuvent culminer en véritable crise - mais aussi se révéler riches d'enseignements.
ENTRETIEN - Dépression, cancer, burn-out... Quand la personne que l'on aime souffre, on ferait tout pour elle. Mais cet absolu est-il la meilleure des réponses? Non, à en croire les experts.
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Mon mari, sa mère et moi : le trio toxique
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Accueil » Chez mon patron avec sa femme
Résumé : Invité par mon patron à un dîner chez lui, je ne pensais pas passer, grâce à sa femme, une soirée aussi chaude.
– François, vous n’avez pas oublié notre dîner, demain soir chez moi.
– Non, bien-sûr. Cependant, ma femme ne pourra être des nôtres. Un empêchement de dernière minute…
– C’est bien dommage. J’aurais tant aimer faire sa connaissance. Quoi qu’il en soit, demain, 20 heures !
Je me présentai au domicile de mon patron le lendemain, à l’heure prévue, un bouquet de fleurs et une bouteille de vin à la main. Sa femme m’ouvrit.
– Bonsoir ! Vous devez être François. Enchantée. Moi même, c’est Sonia.
– Enchanté.
– Entrez ! Alain n’est pas encore là, mais il est sur le chemin.
J’entrai. L’appartement était charmant, meublé avec goût.
Sonia m’entraîna au salon.
– Je vous propose un apéro en attendant. Un kir royal, cela vous convient ?
– Parfaitement, bien volontiers.
Après m’avoir servi, elle s’absenta un instant pour aller en cuisine. J’en profitai pour pour jeter un coup d’œil à leur bibliothèque, très bien fournie. Classiques, modernes, auteurs contemporains, livres d’art, je note même, dans les rayons du haut, une section de récits érotiques. Apollinaire, Sade, je devine même une bande dessinée coquine.
Sur la table basse où Sonia a posé la flûte de champagne et quelques apéritifs se trouvait un album photo. Je me mis à le feuilleter négligemment : Des photos du couple, essentiellement prises en vacances. Décidément cette femme a une plastique superbe, les photos en maillots de bain me dévoilent son corps aux courbes parfaites.
Je tournai les pages, et me sentis tout à coup gêné : La voilà seins nus, ils sont très beaux. Je ne pus m’empêcher de m’attarder dessus, jetant de temps à autre un regard vers la cuisine.
– Elle est belle, hein ?
C’est mon patron qui m’a surpris. J’en rougis, et refermai l’album.
– Je vous en prie, continuez, vous lui ferez plaisir.
– Chéri, tu es là ? La voix de Sonia se fit entendre de la cuisine.
– Oui ma puce.
– Tu t’occupes de notre invité ?
– Bien-sûr, mais il s’est occupé tout seul : Il regarde tes photos.
– Qu’il continue !
– François, vous n’avez plus le choix : Ceci ressemble fort à un ordre. Et si au bureau c’est moi le patron, ici c’est elle qui commande.
Il m’envoya une œillade.
– Allez-y, reprenez.
Timidement je rouvris l’album. Je retrouvai rapidement la page où elle est seins nus, tournai vite pour ne pas être gêné, mais les photos suivantes étaient du même tonneau. Les photos ont été prises au bord d’une piscine. Sur les photos, la femme de mon patron prend des poses lascives, se caressant les seins, pointant sa langue au travers de ses lèvres. Deux pages plus loin la voilà qui retire le bas, et la photo d’après, je pus admirer sa toison.
– C’est beau, n’est-ce pas ?
– O.. Oui…
Ja balbutiai.
– N’ayez pas honte, admirez !
C’est Sonia qui s’adressait à moi, de retour de la cuisine.
Je tournai encore les pages. Allongée sur un transat, les cuisses écartées, Sonia laisse admirer son sexe. Sur la photo suivante elle y a porté la main et manifestement se masturbe intensément.
– Mon dieu !
Je n’ai pu retenir ma surprise : Sur les pages suivantes, c’est Alain, mon patron, qui est allongé sur le transat. Une photo avec la verge au repos, sur l’autre il bande et se masturbe, le gland décalotté.
Tout ceci finit par m’exciter. Si peu de temps après notre partie carrée avec nos amis Agnès et Gilles (et la fin de soirée), me voilà une fois de plus avec des personnes un tantinet exhibitionnistes.
Les photos suivantes les réunissent. Une fellation, un cunnilingus, une pénétration en levrette.
Une dernière page de photos détaille la lente pénétration de la queue d’Alain dans l’anus de sa femme.
– Visiblement vous aimez vous exhiber. Vous seriez capable de la faire en direct, devant moi ?
Sans un mot, elle saisit le pantalon de son mari, fit glisser la braguette, passa sa main dans le slip pour en tirer une bite visiblement déjà bien vigoureuse. Elle la caressa. Très vite, ils se déshabillèrent l’un l’autre pour se retrouver nus devant moi. Elle écarta les jambes, fourra un doigt bien profond dans son vagin, le retira et vint l’essuyer sur ma main pour que je puisse constater à quel point elle mouillait. Puis ils reprirent devant moi les poses qu’ils avaient sur les photos : Elle le prit en bouche et le suça longuement, il l’allongea sur le dos et vint lui écarter les cuisses pour plonger le nez dans son vagin puis y placer sa langue. Quand elle eut joui une fois, elle lui ordonna de la pénétrer, ce qu’il fit, puis elle se retourna et il la prit en levrette. Elle se retrouva face à moi et me regarda.
– À poil.
La phrase a résonné comme un ordre, et mon patron eut à peine le temps de me rappeler qu’ici c’est elle la patronne : J’obéis.
– Masturbe-toi.
Je pris ma bite en main et actionnai mon dard déjà bien dur. Elle sembla jouir alors.
– Approche.
Je m’approchai. Elle prit ma bite, la mena à sa bouche et me suça avec empressement. Ce fut l’extase. Je sentais que la jouissance approchait, mais elle arrêta alors la succion, et me dit d’aller prendre la place de son mari. J’obéis, et l’instant d’après me voilà occupé à la limer avec délectation pendant qu’elle se gavait de la pine imposante de son mari.
À nouveau je sentis la jouissance approcher, mais elle interrompit le tout et nous proposa de passer à table.
Je me sentis frustré, mais comme nous allions souper dans le plus simple appareil, je me dis que la fête n’était pas finie.
Effectivement vers la fin du repas, Sonia disparut sous la table et bientôt je sentis une main redonner de la vigueur à mon membre, puis une bouche.
– Alors François, me lança Alain, satisfait de votre soirée ?
– Je mentirai à dire le contraire.
– Et le meilleur est encore à venir, vous pouvez m’en croire.
Les caresses manuelles et buccales se sont tues. Sonia ressortit de sous la table, à l’opposé d’où elle était entrée. Elle marcha à quatre pattes jusqu’au fauteuil, s’y cala, les reins cambrés et le cul en l’air, et oscilla du derrière.
– C’est une invitation, me dit Alain. Allons l’honorer.
Il se leva, vint se placer derrière elle, la pénétra et la lima. Il m’expliqua la règle du jeu :
– Quand on sent que l’on risque de jouir, on se retire, et on laisse la place à l’autre.
Et nous voilà l’un après l’autre à la pénétrer, la limer, jusqu’à la limite de l’éjaculation, et à laisser la place à l’autre. Je me délectais du spectacle de la bite d’Alain s’enfonçant dans le con de Sonia, j’admirai les va-et-vient qui m’excitaient, et quand Alain sentit la limite atteinte, il se retira sagement pour me laisser disposer à nouveau du fourreau. Il vint alors caresser les seins de son épouse pendant que je la pénètre, et m’invite à en faire autant quand c’est à son tour de limer.
Je ne saurais dire combien de temps ce manège a duré, ni combien de permutations Alain et moi avons effectuées. Sonia passait d’orgasme en orgasme, visiblement jamais rassasiée.
– Sodomise-moi. Dit-elle à Alain.
Il se plaça pour obéir à l’ordre. Comme sur les photos, je vis le gland se poser sur la rondelle, et sous le coup de pression d’Alain, la rosette se dilata pour laisser entrer la bite, qu’Alain enfonça jusqu’aux couilles, le tout avec beaucoup de précaution. Il fit quelques mouvements de va-et-vient durant lesquels je pus voir la hampe glisser dans l’anus. Je me mis à me masturber, mais Sonia m’en dissuada d’une tape sur la main. Je crus qu’Alain allait jouir, mais il se retira et m’invita d’un geste à prendre sa place.
– Allez, à votre tour !
Le ton était impérieux, ce qui ne fit que rajouter à mon excitation. J’opérai comme Alain, plaquant mon gland sur l’anus et le faisant pénétrer doucement, ce qui se fit sans difficulté. Je notais que mon patron ne perdais pas une miette de cette séance de sodomie, lui aussi se mit à se masturber, mais Sonia le laissa faire, probablement trop prise par l’excitation pour prendre conscience de la branlette de son mari. Il me sembla qu’elle jouit à nouveau. J’avais une très forte envie de jouir, mais me retins : Je sentais que le moment n’était pas encore venu.
Sonia se dégagea et se retourna vers nous, toujours à genoux. Elle prit une bite dans chaque main et nous caressa. Son doigt passait sur le gland puis allait aux testicules. Puis elle délaissa nos bites et se mit à se caresser les seins et à se mettre un doigt sur le clitoris et dans le vagin.
– Maintenant.
C’est une invitation que manifestement Alain comprenait. Il se mit à se masturber frénétiquement et je ne tardai pas à l’imiter, devinant l’issue que nous réclamait Sonia. Sa caresse à elle sur son sexe se fit aussi plus pressante et rapide. Moi, une main sur la bite, l’autre sur mes couilles, je reg
La cachette parfaite
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