Un trio avec deux filles incroyables

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Un trio avec deux filles incroyables



TĂ©moignages


Je n’ai jamais cru Ă  la solidaritĂ© fĂ©minine, jusqu’à ce que





Océane Viala

26 fév 2020


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madmoizelle



TĂ©moignages



Se mĂ©fier des femmes, ĂȘtre blessĂ©e par des filles
 Et finir par retrouver foi en ses sƓurs, de sang ou de cƓur : voici de belles histoires Ă  ce sujet.

La crĂ©atrice de paye ta shnek (qui a arrĂȘtĂ© ce compte) a rĂ©cemment ouvert un nouveau compte Instagram : sissislafamille, elle publie des jolis tĂ©moignages de solidaritĂ© fĂ©minine face aux agressions en tout genre (plus particuliĂšrement sexuelles bien sur ...). C'est une vrai une ode Ă  la sororitĂ©, ça fait du bien de lire ces tĂ©moignages

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Le vendredi 13 mars
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Cette Grosse Teuf est soutenue par le site Copines de voyage , qui t’a rĂ©servĂ© plein de surprises pour le jour J !
ChĂšre lectrice, il y a quelques jours je t’ai sollicitĂ©e pour que tu me parles de ce que t’inspirent les mots « solidaritĂ© fĂ©minine » .
Si la sororitĂ© et la solidaritĂ© fĂ©minine semblent ĂȘtre les blasons du fĂ©minisme moderne, quand j’ai recueillis vos tĂ©moignages, vous avez quasiment toutes confiĂ© que la mĂ©fiance envers les filles a longtemps Ă©tĂ© votre norme.
C’est le cas d’ElĂ©onore, 20 ans, qui a beaucoup souffert de sa relation avec celles qui ont croisĂ© sa route , et ce jusqu’au lycĂ©e :
« Longtemps j’ai pensĂ© que solidaritĂ© et fĂ©minine Ă©taient antinomiques.
Les jeunes filles que j’avais croisĂ©es dans ma vie m’avaient fait croire qu’il fallait ĂȘtre la plus jolie, la plus brillante, la plus extravagante. Celle qu’on remarque, celle qui se dĂ©marque.
Au sein du groupe, j’ai toujours Ă©tĂ© en marge, je me sentais complĂštement loin d’elles , loin de leurs conversations.
Mariane a aussi 20 ans, et elle a commencĂ© son tĂ©moignage sur le mĂȘme ton, en dĂ©crivant les relations conflictuelles et toxiques qu’elle a pu entretenir avec des filles dans son adolescence :
« Pendant longtemps j’ai voulu me dĂ©brouiller toute seule, sans l’aide de personne, et surtout pas des filles.
J’avais pour but d’ĂȘtre la meilleure dans tout ce que je rĂ©alisais.
J’ai grandi dans l’idĂ©e qu’ĂȘtre une fille Ă©tait synonyme d’ĂȘtre faible, stupide, nunuche, bref, moins bien qu’un homme .
C’est ce qui m’a conduite Ă  vouloir me dĂ©passer dans tout ce que je faisais pour ĂȘtre jugĂ©e comme Ă©gale aux hommes.
Et c’est sans doute pour cela que j’ai eu pas mal de rapports conflictuels avec de nombreuses filles . »
Quand elle avait 15 ans ElĂ©onore est tombĂ©e malade, et elle n’a pas trouvĂ© de soutien ni de force dans ses amies de l’époque. Elle leur en a beaucoup voulu.
À partir de cette dĂ©ception, elle a perdu confiance en l’amitiĂ© entre filles :
« Je suis tombĂ©e malade. J’avais 15 ans. J’étais jeune, mais je me sentais si vieille. Je voulais disparaĂźtre, m’effacer, alors j’ai arrĂȘtĂ© de manger .
Et comme j’aimais ça, manger
 Elles se sont dit que je retrouverai l’appĂ©tit.
Pas l’une d’entres elles ne m’a forcĂ©e Ă  sortir de mon isolement, ne m’a dit que j’étais jolie, joyeuse, pleine de vie et d’envies avant, qu’il fallait aller mieux, que ça suffisait maintenant.
J’aurais voulu entendre des mots durs, j’aurais voulu entendre des mots doux, mais Ă  part ma sƓur, personne ne les a prononcĂ©s, ces mots.
Ma meilleure amie s’en est allĂ©e. Sans raison. Suppression de sa personne . Aujourd’hui encore, mon cƓur saigne.
Elle prĂ©fĂ©rait la fĂȘte et les garçons, pas le temps pour ce genre de problĂšmes
 Onze ans d’amitiĂ©, Ă©vaporĂ©s. »
L’histoire de Mariane rejoint un peu celle d’ElĂ©onore.
Elle a vu son groupe d’amies exploser, à force de jalousie et de concurrence :
« Je faisais partie de ces ados un peu « différentes », trÚs discrÚtes.
Des amies, je n’en avais que trois mais je les considĂ©rais comme mes sƓurs. Nous Ă©tions extrĂȘmement proches les unes des autres.
Notre petit groupe a fini par ĂȘtre rĂ©duit en miettes Ă  cause de ce sentiment destructeur qu’est la jalousie . Suite Ă  cela, je suis tombĂ©e en dĂ©pression.
Je me suis retrouvĂ©e toute seule. AbandonnĂ©e par les uniques amies que j’avais et en lesquelles j’avais confiance. J’ai fini par haĂŻr les filles et tout ce qu’elles reprĂ©sentaient.
J’avais en tĂȘte que les filles sont des ĂȘtres jaloux, mauvaises langues, vipĂšres qui se chamaillent pour savoir laquelle sera la plus jolie ou la plus intelligente. »
Pourtant, ElĂ©onore et Mariane m’ont bien Ă©crit pour parler de solidaritĂ© fĂ©minine , de bienveillance entre femmes, de relations prĂ©cieuses et de symbiose qui fait grandir et met du baume au cƓur .
AprĂšs sa maladie et la rupture avec sa meilleure amie, ElĂ©onore a rencontrĂ© ses nouvelles copines, qui sont aujourd’hui ses lumiĂšres au quotidien.
Elle tĂ©moigne de l’amour qu’elle Ă©prouve envers elles :
« Je suis entrĂ©e en prĂ©pa , et j’ai rencontrĂ© deux filles. Deux filles incroyables .
On formait un trio. Toute l’annĂ©e, c’était des midis Ă  chanter, des rires Ă  en pleurer, des histoires sans pudeur, des confidences.
À la fin de l’annĂ©e, on est parties Ă  Porto. C’était d’une simplicitĂ©, mais d’une beauté  Je pouvais enfin ĂȘtre moi-mĂȘme.
J’ai ri, j’ai ri trĂšs fort. J’ai bu du vin, un peu trop de vin. Je revivais. Elles savaient tout de moi, de mon passĂ©.
Tout au long de l’annĂ©e, elles m’ont fait regoĂ»ter Ă  des petites bouchĂ©es d’existence . C’était simple et grandiose Ă  la fois. Évident.
Enfin, j’ai dĂ©mĂ©nagĂ© dans le sud, Bretonne que je suis. Et lĂ  encore, j’ai rĂ©appris Ă  aimer encore plus intensĂ©ment.
Je n’ai fait qu’une avec une fille, mon amie, ma sƓur, mon autre. Je suis fiĂšre quand elle parle et mĂȘme quand elle rĂąle.
Je lui pardonne quand elle fait des erreurs, parce qu’elles sont belles, ses erreurs. Elle me pousse Ă  ĂȘtre celle que je n’aurais jamais dĂ» cacher.
Je suis fiùre d’elle, de nous, et un peu de moi.
DerniĂšrement, j’ai beaucoup de dĂ©sirs qui naissent en moi. J’explose et je m’impose de me laisser exploser. Comme une bulle Ă©clatĂ©e.
J’ai 20 ans, et grĂące Ă  ces filles je commence Ă  souffler ! »
Mariane, malgrĂ© la duretĂ© de ses premiĂšres expĂ©riences d’amitiĂ© avec des filles, a su tourner la page de sa dĂ©pression.
C’est en partie grñce à sa mùre qu’elle estime aujourd’hui que le soutien sans bornes entre femmes est essentiel :
« Étrangement, les personnes qui m’ont le plus soutenues Ă  cette pĂ©riode et qui m’ont le plus comprises ont Ă©tĂ© des femmes.
Ma sƓur, mes grands-mùres et surtout : ma mùre.
C’est elle qui m’a permis de mettre un mot sur mon mal-ĂȘtre et qui m’a fait comprendre ce qui se passait. Et c’est la premiĂšre Ă  m’avoir dit que ce n’était pas grave, que ça se soignait.
Elle avait dĂ©jĂ  vĂ©cu ça, elle a su me comprendre et me soutenir . Elle a pris tout son temps pour que j’aille mieux. Elle m’a accompagnĂ©e chez le docteur, chez le psy.
Elle m’a obligĂ©e Ă  sortir pour que je ne me renferme pas sur moi-mĂȘme. Elle m’a fait ce que je voulais Ă  manger alors que je n’avais plus d’appĂ©tit.
Elle m’a emmenĂ©e faire les magasins pour trouver des habits colorĂ©s.
J’ai perdu beaucoup de poids pendant cette pĂ©riode et j’étais en train de passer mon bac. Je ne m’aimais plus et je me trouvais laide.
Mais ma maman m’a toujours rassurĂ©e, elle m’a permis de reprendre confiance en moi.
Le rĂ©sultat ? J’ai eu mon bac avec mention. J’ai repris le poids que j’avais perdu. J’ai recommencĂ© Ă  me maquiller, Ă  me coiffer. J’ai vaincu ça et maintenant je suis heureuse.
GrĂące Ă  elle, je me suis rĂ©conciliĂ©e avec les femmes et j’ai compris que oui, il existe des filles qui prennent soin des autres.
Que nous ne sommes pas toutes en compĂ©tition et que nous devons nous entraider quand l’une d’entre nous va mal.
Quand je suis arrivĂ©e Ă  la fac aprĂšs avoir effacĂ© cette horrible pĂ©riode, j’ai d’ailleurs rencontrĂ© de nouvelles amies avec lesquelles je m’entends plus que bien.
Nous avons la mĂȘme vision du monde ; ça me fait du bien d’ĂȘtre avec des filles simples, pas prises de tĂȘte, avec qui je peux parler librement de tous les sujets, mĂȘmes les plus tabous.
C’est grĂące Ă  ma maman que j’ai vĂ©cu ma premiĂšre vraie histoire de solidaritĂ© fĂ©minine. Et qui de mieux pour comprendre une femme qu’une autre femme ? »
Des partages de ressentis, d’émotions, et une comprĂ©hension sans bornes sur les choses intimes que vous vivez au quotidien.
C’est finalement la conclusion de vos belles histoires d’amitiĂ© entre femmes et de solidaritĂ© fĂ©minine !
Et toi, est-ce que tu en as une belle Ă  raconter ? Est-ce que toi aussi tu es passĂ©e par une pĂ©riode de mĂ©fiance envers les filles qui t’entourent ?
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