Un soldat qui prend son pied avec son sergent

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Un soldat qui prend son pied avec son sergent











Il fait un croche-pied à un fuyard.







Publié le 15/02/2016 à 14:27
, mis à jour

à 14:37




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Même en permission, un soldat ne perd jamais ses réflexes. Le sergent Lawson a suscité l’admiration à Londres en arrêtant un fuyard d’une manière très simple. Il a en effet stoppé le trafiquant de drogue poursuivi par des policiers… en lui faisant un croche-pied.
« J’ai entendu un cri : "Stop ! Police !", et immédiatement mon entraînement militaire a refait surface », a témoigné le sergent Lawson lors d’une interview à la BBC . « J’ai vu les policiers poursuivre l’homme et j’ai pensé : "Il court comme un lévrier, ils ne l’attraperont jamais". Alors j’ai estimé que je pouvais leur faire gagner quelques secondes et j’ai juste tendu ma jambe pour le déséquilibrer », raconte-t-il. La vidéo, enregistrée par les caméras de surveillance et diffusée sur Facebook par la police de Kingtston, a eu un énorme succès sur Facebook où elle a déjà été « likée » près de 8000 fois. En récompense de son aide précieuse aux forces de l’ordre, le sergent Lawson a été décoré et est devenu un véritable héros national !
After the press interviews today Kingston's Borough Commander Glenn Tunstall had a surprise for L/Sgt Matt Lawson... pic.twitter.com/yhNUmaHvfz
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@Marsanto...

Vous y tenez à votre fosse sceptique....
Il parait que des juges ont perquisitionné la fosse sceptique.
Pour la deuxième fois en deux jours...
Cocasse! Mais est-ce que cela méritait une récompense? Peut-être que dans ce pays ils récompensent aussi facilement que chez nous avec la Légion d'honneur?!

@6hif: on attend toujours des exemples de ces fameux délinquants qui déposent plainte dans notre beau pays...
Quant à votre exemple cocasse, moi je l'aurais sans doute délivré. En tout cas, aucune raison de l'emmener à un poste de police pour déranger nos policiers qui ont mieux à faire. En effet, il est sûr et certain que ça ne pouvait pas être un délinquant qui s'est échappé. Vous connaissez beaucoup de délinquants qui, une fois menottés, se voient confier la clé de leurs menottes? Non sérieusement, votre exemple fait bien plus penser à un fan de 50 nuances de Grey! Muahahahah!!

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Père Castor, raconte-nous une histoire de Grenoble !
Saviez-vous, les enfants, qu’on ne s’est pas toujours ennuyé au palais des Sports comme on s’est ennuyé en ce début d’année aux voeux de Destot et de Gallota ? J’en veux pour preuve la manifestation contre le meeting du Sergent Dupuy le 29 avril 1975. Laissez moi vous raconter cette histoire.
Souvenez-vous d’abord qu’à cette époque, le service militaire est toujours obligatoire en France, ce qui a pour effet de maintenir une agitation politique dans et autour de l’Armée. Une partie de l’extrême gauche, alors partisane d’une armée plus démocratique, réclame le droit pour les soldats d’avoir une activité politique, et de s’organiser en comités (sorte de syndicats de soldats). Entre 1974 et 1975, dans les casernes, quelques manifestations de soldats ont lieu, qui ont un peu d’écho chez les civils, et sont réprimées. En avril 1974, un manifeste intitulé « Appel des cent », qui sera signé par plus de 6 000 soldats, fait grand bruit. Il réclame entre autres : « la liberté totale d’information et d’expression politique dans les enceintes militaires », et « la suppression de la süreté militaire, des tribunaux et de toutes les sanctions militaires ».
« Il faut sauver l’honneur de l’armée. [...] Il faut défendre l’armée, car elle est incapable de se défendre elle-même. Si la première mutinerie avait été stoppée dès le départ, plus d’autres n’auraient pris naissance et ne se seraient développées. (...) »
A l’extérieur, les manifestants refluent sous les gaz lacrymogènes, mais ce n’est que pour mieux revenir à la charge. Nouvelle pluie de cocktails molotov. Nouvelle charge de CRS. Le service d’ordre du sergent Dupuy entonne La Marseillaise, et armé de gourdins, tente aussi une charge.
« La violence de ce soir, je la déplore, un jour elle sera portée au niveau national par les marxistes. D’ailleurs, il nous faut choisir vite, ceux d’en face nous ont mis au pied du mur : êtes-vous pour ou contre le marxisme ? »
La conférence prend fin au bout d’une heure :
« La guerre que nous menons est une guerre psychologique. (...) Par l’appel des 100 000 que j’ai lancé, je demande que la subversion dans l’armée cesse à tout jamais. C’est elle qui représente le dernier bastion de notre société. »
L’échange de projectiles se poursuit. Vers 22 heures, les troupes s’amenuisent, et les militants refluent vers le centre-ville. L’ordre de dispersion est donné place Grenette vers 22h30. Le calme revient autour de minuit.
On dénombre une douzaine de blessés, dont 6 parmi les forces de l’ordre, et au moins 2 parmi les militants d’extrême droite. Aucune arrestation n’est à déplorer. Jusque tard dans la nuit, des explosions sont signalées aux abords du stade de Glace. Ce sont les derniers pétards artisanaux qui explosent à retardement, et viennent clore une des soirées les plus animées qu’ait connu le futur palais des Sports.
Les organisateurs publieront quelque temps après une brochure dans laquelle ils tirent le bilan de cette contre-manifestation. Pour eux, c’est un succès sans appel. Ils se félicitent d’avoir réuni tant de monde, et d’avoir réussi dans leur campagne l’alliance de l’extrême gauche avec une partie de la gauche progressiste. Ils s’extasient aussi sur l’emploi de la violence qui « si elle n’a pu être le fait de chacun, a été assumée par tous ». Dans le style triomphaliste de l’époque, voilà qui annonce à coup sûr une prochaine radicalisation des luttes. En réalité, l’extrême gauche grenobloise a réalisé ce jour-là, un joli coup, en mobilisant l’ensemble de ses troupes. Mais l’évènement est globalement resté sans suite et sans réel impact hors de la sphère gauchiste.
Après avoir existé entre 1885 et 1886, Le Postillon a ressurgi depuis mai 2009 , avec pour unique business plan d’occuper le créneau porteur et néanmoins complètement délaissé de la presse locale critique. Devant l’ampleur de la tâche, nous nous concentrons sur des sujets locaux et parlons presque exclusivement de Grenoble et sa cuvette. Aucune association, organisation ou parti politique n’est parvenu jusqu’ici à nous convaincre de devenir son journal de propagande. Et malgré les nombreuses sollicitations, nous avons refusé toute entrée dans notre capital : nous sommes donc complètement indépendants.
Bienvenue sur un SITE-ARCHIVE . Le Postillon n’est pas un média internet, mais uniquement un journal papier de Grenoble et sa cuvette. À contre-courant de la vague numérique, nous tenons à faire exister avant tout un objet dans la vraie vie, qui sent l’encre et qu’on peut se passer de main à main.
Plutôt que de se fatiguer les yeux derrière un écran, nous vous conseillons vivement de vous procurer les exemplaires papier de notre journal (voir « Où le trouver ») que vous pourrez ensuite tranquillement déguster sur une terrasse au soleil ou sous la couette.
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Merci de continuer à transmettre l'histoire de mon grand-père.
Le livre qui raconte l'intégralité de son évasion :
« Kannen … pour être libre… » écrit par Claude Saint Benoît.


Bonjour,

C'est grâce à la lecture du récit fait par le mevo Kannengieser (probablement dans la revue Icare) que j'ai appris la fin du Cne BRESSON dont la sépulture se trouve au cimetière Saint-Véran d'Avignon.





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Faisant équipage avec l’adjudant radio Robert Rabier, le sergent Kannengieser, mécanicien navigant sur Halifax au Groupe "Tunisie", Alsacien et parlant parfaitement l’allemand, réussira l’une des plus étonnantes évasions. Voici le récit qu’il fit à son retour sur la base d’Elvington.
La DCA et la chasse avaient été particulièrement actives au-dessus de la ville, au cours de cette nuit du 16 au 17 janvier 1945. Au retour de Magdebourg, au sud de Hanovre, l’avion est touché par un chasseur ennemi. Le chef de bord donne l’ordre d’abandonner l’appareil. Kannengieser saute et, deux ou trois secondes plus tard, c’est l’explosion même de l’avion qui ouvre son parachute. L’atterrissage est un peu brutal : Kannengieser se retrouve au sol avec un pied foulé.
Il aperçoit à droite, tout près, une forêt, s’y réfugie en semant du poivre pour éviter d’être dépisté par les chiens dont il entend les aboiements se rapprocher, enterre son équipement dans la neige, arrache ses insignes et ses marques distinctives, et se cache. Tout à coup, une douleur subite, intense : il ne s’était pas encore rendu compte qu’il avait reçu en plein vol un éclat dans le genou. Il l’extrait avec son couteau, met des compresses froides sur son pied malade, puis commence à marcher.
Il atteint une grande route, lit sur le poteau indicateur « G…, X kilomètres », continue son chemin, croise parfois des soldats qu’il salue d’un « Heil Hitler ! » retentissant (son battle-dress bleu marine ressemble à celui des panzers). Il se repose, continue son chemin ; son genou le fait souffrir, son pied est enflé ; de nouveau il se repose, puis repart et, après 50 kilomètres de chemin, arrive à H…
Il apprend à la cantine de la gare la présence de travailleurs français dans la ville. Justement, assis seul dans un coin, un ouvrier est attablé. Kannengieser s’approche :
- « Je travaille à G…, explique-t-il, et j’ai oublié mes cartes d’alimentation … »
L’autre, sans lui laisser finir sa phrase, lui tend un ticket de repas. Kannengieser s’assied à côté de lui, engloutit une maigre soupe de rutabagas, et sourit en pensant qu’il y a deux jours, au mess, il murmurait :
- « Encore ce sacré bacon et ces sacrées pommes de terre à l’eau. »
Ils sortent, s’éloignent lentement ; Kannengieser, à deux ou trois reprises, se retourne. Personne derrière eux ; il se décide, sort une carte bleue, sa carte d’identité de personnel français dans la RAF, qu’il tend à l’ouvrier :
- « C’est la prochaine à droite », dit simplement celui-ci.
Quatre jours et quatre nuits, il va être hébergé au camp de travailleurs français, ses papiers sont cachés, il reçoit des vêtements civils, deux ouvriers lui font un lit sous leurs couchettes, on réunit de l’argent et c’est de nouveau le départ vers l’Ouest, cette fois en chemin de fer. Pour ne pas éveiller l’attention, il faut prendre des billets pour de courtes distances. Première étape L…, deuxième étape H… Mais à E… on fait descendre tous les voyageurs pour un contrôle des papiers. Kannengieser explique sans hésitation à un grand diable de Feldgrau :
- « Je travaille sur le terrain d’aviation de R… j’avais laissé… ».
Le policier hésite, le dévisage, va le laisser passer, se ravise et Kannengieser est conduit au bureau militaire le plus proche. Questionné, il répète pour la nième fois comme un automate son scénario primitif :
- « Je travaille sur le terrain d’aviation de R…, j’avais laissé… »
Les gendarmes se regardent, se consultent, on va le laisser partir en lui remettant des papiers provisoires quand un civil, aperçu tout à l’heure en entrant, se lève de sa chaise et le fouille de nouveau.
Un sourire mauvais illumine alors son visage, il saisit un couteau, lacère brutalement la doublure de sa veste et en sort triomphalement la carte de la RAF. Kannengieser est alors empoigné, secoué, giflé et se retrouve un peu groggy, sur le chemin de la gare escorté de deux gaillards en uniforme.
Tout à coup, il entend un bourdonnement qui s’enfle. Il ne rêve pas car ses deux gardes du corps scrutent le ciel avec inquiétude.
À peine la sirène d’alerte a-t-elle cessé que des avions commencent à piquer ; l’un des boches s’aplatit aussitôt dans le ruisseau ; les avions mitraillent à quelques mètres ; l’autre se couche aussi. Kannengieser n’hésite pas : un coup de pied à la tempe du boche, un autre sur la main qui veut saisir un revolver ; le boche veut se relever, Kannengieser se précipite, le saisit à la gorge et alors, dans le vrombissement infernal des avions, dans la poussière et dans le bruit des explosions, il serre, serre ce cou énorme…
Le train roule maintenant vers D… Kannengieser bavarde à présent avec un soldat allemand, lui offre des cigarettes ; à M…, dernière station avant le Rhin, il descend, sort de la gare sans incident et se met à marcher en direction du fleuve.
Au pont il va falloir montrer ses papiers. Kannengieser se souvient de son expérience de la veille. Apercevant un camion rempli de wallons rexistes (parti belge qui collaborait avec les occupan
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