Un rendee-vous érotique

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Un rendee-vous érotique
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Je jetai un regard furtif à mon reflet dans le miroir de l’ascenseur. La lumière blafarde me renvoyait mon visage pâle et cerné, mes lèvres écarlates et mon cou marbré de rouge. Mon cœur pulsait contre mes côtes tandis que je pressais nerveusement le bouton du quatrième étage.
L’envie de faire demi-tour m’étreignait presque autant que la curiosité d’avancer. Finalement, l’ascenseur s’immobilisa dans un grincement métallique et la voix mécanique annonça le quatrième étage. Mon reflet me dévisagea encore un instant puis je fis volte-face et traversai le couloir en trois grandes enjambées. Je m’arrêtai devant une porte en chêne ornée d’une petite plaque métallique indiquant le nom du praticien avec qui j’avais rendez-vous ; je pressai la sonnette du bout des doigts et poussai la porte sans attendre.
Je découvris un long couloir éclairé par des appliques murales qui s’ouvrait sur une petite salle d’attente tout à fait confortable. La lumière de la rue filtrait à travers le fin voilage pastel qui drapait l’unique fenêtre, et je m’installai du bout des fesses dans un petit canapé. La petite pièce était déserte, et une chaîne hi-fi diffusait quelques notes de jazz dans un coin de la pièce ; en guise de lecture, point de magazines tapageurs, mais des recueils de poésie, disposés sur la table basse. Je finis par me détendre légèrement et fermai mes yeux pour me concentrer sur le rythme de ma respiration, et tenter de juguler mon stress.
Soudain, une main douce se posa sur la mienne, et une voix suave murmura :
Je sursautai et rougis lamentablement à ce contact ; mais le médecin était reparti et traversai déjà le couloir. Je rassemblai mes affaires en hâte et sentis la panique m’envahir, sous la forme d’une chaleur qui mouillait mes aisselles et me chauffait les joues. Mortifiée, je serrai la main du médecin qui m’invita à entrer dans son bureau.
La pièce était chaleureuse et décorée avec goût ; la lumière, chaude et tamisée, évoquait le confort d’un feu de cheminée et un grand canapé garni de coussins et de couvertures de laine invitait au lâcher-prise en son sein. C’est avec raideur que je m’assis cependant, les mains posées sur les cuisses et le regard fixement baissé.
— Je vous propose de commencer par vous mettre à l’aise. Cette première séance dure généralement entre 2 et 3 heures en fonction du patient. Je vois que vos vêtements ne sont peut-être pas les plus adaptés pour une séance de détente ; j’ai des affaires propres derrière ce paravent, que diriez-vous d’enfiler quelque chose de plus confortable avant de commencer ?
Je rougis de plus belle et acquiesçai sans un mot. Je me levai, contournai le paravent et découvris en effet une pile de vêtements à l’odeur délicate de linge propre : un pantalon de jogging ajusté, un pull en cachemire et de grosses chaussettes de laine.
J’entrepris de descendre la fermeture éclair de mes bottes en cuir qui galbaient mes mollets, pour laisser découvrir mes bas que je fis à leur tour descendre soigneusement le long de mes jambes avant de les ranger dans un coin.
Je défis la boutonnière de ma robe préférée que j’avais choisie pour l’occasion, et la fis finalement tomber à mes pieds pour me retrouver uniquement vêtue de ma culotte. J’enfilai le pantalon qui s’avéra tout à fait à ma taille et épousait même de façon assez flatteuse mes cuisses et mes fesses. Après un instant d’hésitation, je retirai à nouveau le pantalon, puis ma culotte, que je déposai sur la commode avec mes bas et ma robe, puis enfilai à nouveau le pantalon, puis le pull sur ma peau nue à travers lequel mes seins pointaient légèrement d’être restés à l’air libre.
Je terminai par les chaussettes, puis revins m’installer sur le canapé. Je crus déceler une lueur d’amusement dans le regard du docteur qui m’observait m’installer. D’avoir retiré ces vêtements que j’avais choisis avec autant de soin comme une armure, un camouflage, me fit sentir tout à coup totalement nue et vulnérable. Peut-être était-ce d’ailleurs l’objectif de cette introduction ?
Je ne savais pas pourquoi j’avais retiré ma culotte, mais cette audace fit parcourir un délicieux frisson le long de ma colonne vertébrale et je regardai enfin longuement le praticien dans les yeux. Je pris la parole, d’un ton plus assuré que je ne m’en croyais capable :
— Je suis ici car malgré toutes mes convictions féministes, je n’arrive pas à prendre le devant de mes relations sexuelles… Je laisse les hommes venir à moi, confortablement, mais je me sens incapable d’initier le rapport… C’est comme si j’étais… tétanisée.
— Je vais commencer par vous poser une série de questions afin de mieux vous connaître, madame Chapuis, m’annonça-t-il, délicatement. Bien entendu, tout ce qui se passe dans ce cabinet est strictement confidentiel et a pour objectif de vous aider à vous épanouir. J’ai donc besoin que vous soyez aussi sincère que possible.
— Bien, dit-il en s’installant dans un large fauteuil, un bloc note et un stylo à la main. Aimez-vous le sexe ?
— Avez-vous un orgasme à chacun de vos rapports ?
— Plusieurs fois par semaine quand tout va bien, murmurai-je.
Ces questions si directes me troublaient et je sentis mon vagin se contracter légèrement.
— Comment qualifieriez-vous la qualité de la communication entre vos partenaires et vous ?
— Très bonne, j’aime parler en faisant l’amour…
— Durant le rapport, vous arrive-t-il de prendre l’ascendant sur vos partenaires, et de quelle façon ?
— Mon mari aime que je le prenne avec un gode ceinture… J’aime aussi être au-dessus lors de la pénétration pour pouvoir caresser mon clitoris et mes seins tout en contrôlant le rythme et la profondeur de la pénétration.
Je me sentais à présent tout à fait à l’aise et les mots sortaient de moi avec la fluidité de l’eau. Le docteur me dévisageait, et je crus déceler une légère crispation de ses doigts sur sa cuisse, ce qui déclencha une nouvelle contraction au creux de mes reins.
Je sentais que mes tétons pointaient à présent ostensiblement à travers le petit pull sous lequel j’étais entièrement nue, mais étrangement, cette sensation était agréable, et même lorsque je croisai le regard du docteur qui semblait avoir remarqué cette érection de mon anatomie, je ne rougis plus.
— En fait, une fois l’acte lancé, je suis tout à fait à l’aise et je dirai même que j’ai une sexualité très épanouie et débridée… J’aime faire l’amour avec plusieurs hommes pour sentir à la fois leurs bouches et leurs sexes partout sur mon corps, j’aime qu’on me fesse, qu’on me sodomise, qu’on m’attache, j’aime sucer, être léchée, j’aime jouir plusieurs fois de suite et à grands flots si bien qu’il faut changer les draps, j’aime qu’on me domine, qu’on m’humilie, j’aime la lingerie, les sextoys, les films et les récits érotiques… Non, vraiment docteur, mon problème, c’est en amont de tout ça. Je n’arrive pas à m’avancer vers un homme, à l’attraper, à le déshabiller… Je suis comme tétanisée. Je suis comme une petite fille prude qui minaude pour qu’on m’attrape et qu’on me baise enfin. Et j’en suis terriblement frustrée, je milite pour l’égalité entre les hommes et les femmes, et je me comporte comme une femme passive, dans l’attente d’être prise… Ah, soupirais-je enfin.
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Jeune autrice curieuse, il s’agit de ma première nouvelle érotique. En relation libre depuis plusieurs années, j’aime le sexe spontané, ludique et complice.
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Accueil » Mon aventure avec un inconnu
Je vais vous raconter l’après-midi torride que j’ai passé avec un inconnu rencontré sur internet…
Depuis toute jeune j’ai toujours été attirée par le sexe, le mien, celui des hommes. Un jour j’ai rencontré le jeune homme qui est par la suite devenu mon mari et qui m’a appris les voluptés de l’orgasme, puis des orgasmes… A l’époque nous nous cachions dans les bois et faisions l’amour dans sa voiture, là je pouvais me laisser aller à crier mon plaisir aussi fort que je le ressentais. Au fur et à mesure que le temps passait cela devenait plus intense, j’éprouvais de plus en plus de plaisir et nous avions de plus en plus d’expérience. L’idée de passer nos vies côte à côte est venue par la suite comme une évidence alors que nous avons commencé à vivre ensemble et que nous nous sommes sentis très heureux.
Pour autant, cette attirance que j’éprouvais pour le sexe ne s’est pas estompée malgré tout l’amour qui me lie à lui. La curiosité, l’envie, l’attirance pour d’autres hommes… J’avais régulièrement des tentations mais jamais je n’y cédais. Un jour un de ces « tentateurs » m’a vraiment fait tourner la tête, n’y tenant plus je décidais de parler de mes envies à mon chéri et à mon grand étonnement, il a accepté que j’ai une aventure avec un autre homme. Je n’en ai été que plus amoureuse de lui et réalisai quelle chance j’avais d’avoir un homme qui m’accepte entièrement, telle que je suis, jusqu’à me laisser la liberté de jouir avec un autre !
Et puis la vie a fait que j’ai eu d’autres soucis, nous avons réalisé plein de projets, le libertinage s’est éloigné de moi. Mais ne m’est jamais sorti complètement de l’esprit !
Un jour où j’étais assez excitée, je me suis inscrite sur un site libertin, toujours cette même curiosité. Parmi les hommes qui m’ont contactée, il s’en est trouvé un qui a retenu mon attention. Allez savoir pourquoi lui ? Il affichait des photos de lui soignées, élégamment habillé, il s’est donné la peine de rédiger une annonce correctement, sa description m’a fait penser à un gentleman… Nous avons échangé quelques mots, il était très correct et n’a pas parlé une seconde de sexe puis au bout de moins de dix minutes, il a pris congé. Le fait qu’il parte m’a totalement déroutée ! Je devais le recontacter si j’étais disponible pour aller boire un verre. Ce ptit mec m’a tourné dans la tête pendant un bon moment, j’ai commencé à fantasmer sur lui et sur sa profession : Infirmier. Quel drôle de garçon qui prend contact sur un site libertin, me pose très peu de questions et s’en va ! N’y tenant plus, je lui ai donné rendez-vous avec la ferme intention d’aller jusqu’au bout si le premier contact était satisfaisant.
Avant de me rendre au rendez-vous, j’ai même réservé une chambre d’hôtel à proximité. Tant pis pour moi si je décidais finalement de ne pas aller plus loin avec lui… Mais je me doutais bien que ça n’allait pas arriver ! Enfin c’était une possibilité. Nous avons fini par aller boire un verre sur une terrasse, et là j’avoue que je n’en menais pas large. Nous savions tous les deux pourquoi nous étions là sans savoir encore si cela allait se produire. Il est difficile de lancer une conversation avec un inconnu !
Mais cet inconnu a vite su briser la glace. Il me disait qu’il était agréablement surpris, qu’il me trouvait très jolie et qu’il se trouvait chanceux. Cette situation inhabituelle me mettait un peu dans tous mes états. Comment réagir ? Je sentais le regard de cet homme se poser sur moi avec de plus en plus de gourmandise, puis il a commencé à m’effleurer l’air de rien, très fugitivement et très légèrement, comme un souffle. J’ai senti le bout de ses doigts passer sur mon bras, puis il a posé sa main sur la mienne au bar. J’ai retiré ma main en lui disant qu’on ne devait pas me voir clairement flirter car j’étais mariée mais au fond de moi j’ai commencé à avoir envie qu’il me caresse à nouveau. Au bout de deux heures, je me suis dit que c’était le moment de passer à autre chose. Il m’avait donné envie d’en avoir plus et en public je ne voulais pas qu’il se passe quoi que ce soit. Une seule solution : Rejoindre l’hôtel.
Je lui ai dit que j’allais lui montrer un endroit dans la ville. Arrivés devant l’hôtel, je crois bien qu’il n’en revenait pas ! Je ne réalisais pas bien encore ce que j’étais en train de faire, c’était comme un jeu, comme une farce ! Arrivés dans la chambre, je me suis assise sur le lit pour me reposer un peu, nous avions déjà pas mal marché. Et là, tout en douceur, il est venu s’asseoir à côté de moi, il s’est approché tout doucement et est venu m’embrasser. Là j’ai réalisé que j’étais dans une chambre d’hôtel, avec un homme dont je ne savais rien. Je crois que c’est ce qui a achevé de me donner terriblement envie de connaître la suite de cette histoire ! Je suis sûre que vous brûlez de la connaitre vous aussi, lecteurs coquins !
Je l’ai laissé poser le premier baiser sur mes lèvres. Je lui ai rendu le deuxième, puis réclamé le troisième du bout de ma langue, il me l’a donné avec la même gourmandise que je lisais dans ses yeux au bar. Nos mains se sont égarées un peu partout sur nos corps… Je l’ai repoussé un instant, la respiration haletante, le visage en feu, le temps de réaliser. Il a bien compris que rien ne pressait, maintenant que j’étais toute à lui sur un lit d’hôtel ! Alors, avec beaucoup de douceur, il s’est occupé de moi, m’a allongée, caressée des pieds à la tête, en semant partout des baisers. Il n’arrêtait pas de me dire « T’es belle ! ». Il m’a fait perdre la tête assez rapidement en fin de compte. Je n’étais déjà plus dans le temps présent mais dans mon excitation que je sentais monter, à chaque caresse et à chaque baiser, je me laisser faire, je laissais monter le plaisir et je le laisser enlever au passage un à un mes vêtements. Nue devant lui, ne pouvant plus retenir mon plaisir, j’ai commencé à gémir sous ses mains et sa bouche, qui avait trouvé le chemin de mon intimité. Je sentais sa langue aller et venir, titiller chaque centimètre entre mes jambes, se délecter de mon petit bouton, goûter mes lèvres, aspirer la douce liqueur, explorer plus en profondeur… J’étais comme prisonnière de son bon vouloir, il contrôlait ma jouissance, la faisait monter patiemment, mes gémissements se sont vite transformés en cris de plaisir, l’encourageant à aller plus loin, plus vite, plus fort… J’ai eu mon premier orgasme assez rapidement . Il m’a regardé et m’a dit « T’es encore plus belle quand tu jouis ! ». Je n’ai pas pu m’empêcher de rire à ces mots, oui je venais d’avoir un bel orgasme, j’étais encore dans les étoiles, je savais que ce ne serait qu’un début.
J’étais tout de même fort reconnaissante de l’immense plaisir qu’il venait de m’offrir. La moindre des politesses était de lui rendre la pareille. Ni une ni deux, je l’ai à mon tour déshabillé et installé confortablement sur le lit. Il m’offrait une belle érection, fièrement dressée, son membre était tout à fait appétissant et de belle taille ! Voilà qui promettait bien des délices pour la suite. J’ai mis tout mon coeur à lui faire une bonne fellation, j’ai tout d’abord commencé par goûter le gland qui n’attendait que ça, puis j’ai pris le membre dans ma bouche, en caressant tout son corps de ma main libre : Celle qui ne tenait pas mon nouveau jouet ! Puis j’ai commencé à activer cette dernière sur la tige, après l’avoir enduite discrètement de salive pour qu’elle glisse bien tout en continuant à le sucer, ma langue décrivant des ronds tout autour, je trouvais cela vraiment délicieux ! Mais ça m’a échauffée moi aussi et j’ai eu l’idée de m’installer à califourchon sur sa tête pour un soixante-neuf de plus en plus chaud !
N’y tenant plus, il s’est finalement levé
Faire sa douce amie profiter
Magnifiques filles joueuses
Fille canon baisée dans sa chatte rasée

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