Un regroupement de sexe allongé

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Un regroupement de sexe allongé
Publication 29 juin 2021, 10:21 CEST , Mise à jour 3 déc. 2021, 09:51 CET
COMPRENDRE : Les origines de l'Homme
Cette tombe d’enfant est la plus vieille sépulture humaine jamais découverte en Afrique
Dénisoviens : nouvelle découverte sur ce mystérieux ancêtre de l'Homme
Découverte de l'une des plus longues séries d'empreintes humaines préhistoriques
Découverte d'un ancêtre de l'Homme sur le toit du monde
Ces dents appartiendraient à un mystérieux ancêtre de l'Homme
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L’Homme dragon a vécu il y a au moins 146 000 ans, dans une région glaciale du nord-est de la Chine.
L’étrange crâne de l’Homme dragon a été retrouvé peu avant l’invasion japonaise dans le nord-est de la Chine au début des années 1930. Une équipe d’ouvriers locaux construisait un pont près de Harbin, une ville située dans la province la plus au nord du pays, lorsque l’un d’entre eux a trébuché sur un trésor enfoui dans la boue du fleuve. Il s’agissait d’un crâne humain, allongé, dont l’imposante arcade sourcilière occultait les larges trous qui renfermaient autrefois des yeux.
Sa taille était plutôt inhabituelle. « Il est énorme », souligne Chris Stringer , paléoanthropologue au musée d’histoire naturelle de Londres.
Sans doute conscient de l’importance de sa découverte, l’homme a caché le crâne dans un puits abandonné. Aujourd’hui, près de quatre-vingt-dix ans plus tard, une étude publiée dans la revue The Innovation soutient que ce crâne appartient à une nouvelle espèce humaine : Homo longi , ou l’Homme dragon.
Deux autres études révèlent que ce crâne exceptionnellement bien conservé appartenait sûrement à un homme mort il y a au moins 146 000 ans . Sa combinaison de caractéristiques anatomiques plus ancestrales et plus récentes lui confère une place unique au sein de l’arbre généalogique de l’Homme.
« J’ai tenu entre mes mains de nombreux crânes et fossiles humains mais jamais un comme celui-ci », assure Xijun Ni , paléoanthropologue à l’Académie chinoise des sciences, un des auteurs des trois études.
Au vu de la forme, de la taille du crâne de Harbin et en le comparant à d’autres fossiles déjà connus, les chercheurs estiment qu’il est proche de plusieurs autres fossiles humains déroutants, datés de la même période et retrouvés en Asie. Leur analyse laisse penser que ces fossiles appartiennent à un groupe étroitement lié à notre propre espèce, peut-être même plus que l’Homme de Néandertal.
« C’est un fossile spectaculaire », relève María Martinón-Torres , directrice du centre national de recherche sur l’évolution humaine de l’Espagne, qui n’était pas impliquée dans les études.
Toutefois, la désignation du groupe et de l’espèce proposée alimente le débat au sein de la communauté scientifique. Certains experts sont tentés d’affirmer que l’Homme dragon aurait des liens de parenté avec le mystérieux Homme de Denisova. Il s’agit d’un cousin de l’Homme de Néandertal dont on n’a retrouvé que très peu de fossiles : quelques dents, un morceau de crâne fracturé, un os de petit doigt et peut-être une mâchoire cassée.
Même si Mme Martinón-Torres se réjouit de l’état de conservation et de la mosaïque de caractéristiques du crâne de Harbin, elle déclare qu’à « ce stade, [elle n’est] pas sûre qu’il soit très différent des autres groupes déjà connus ».
Malgré tout, ce crâne illustre la complexité des branches de l’arbre généalogique humain. Il prouve également comment l’étude de l’ensemble des ancêtres humains et de leur répartition dans le temps peut nous aider à déchiffrer nos propres origines.
« Nous oublions, même en tant qu’anthropologues, qu’il est très étrange que nous soyons les seuls hominidés encore vivants », déclare Laura Buck , anthropologue et biologiste à l’université John Moores de Liverpool, qui ne faisait pas partie de l’équipe de chercheurs.
Avant sa mort, l’ouvrier ayant trouvé le crâne a légué son secret bien gardé à ses petits-enfants. En 2018, ils se sont aventurés jusqu’au puits pour récupérer le trésor. Qiang Ji, paléontologue à la Hebei GEO University of China, a eu vent de cette découverte et est allé y jeter un œil. Il n’était pas certain de la portée de cette trouvaille et a donc pris une photo pour l’envoyer à Xijun Ni.
« J’étais sous le choc », se rappelle-t-il. Non seulement le fossile était remarquablement bien préservé, mais il présentait également un étrange mélange de caractéristiques. Le crâne de Harbin est bas et large, doté d’une arcade sourcilière proéminente, courante chez les hominidés ancestraux. Seule une dent est restée accrochée à cette boîte crânienne dépourvue de mâchoire. Toutefois, ladite dent possède trois racines, un trait rare chez les Hommes modernes. D’autres caractéristiques, notamment des pommettes fines, plates et situées en bas de la face, rappellent davantage notre propre espèce.
« On a un sentiment très étrange lorsqu’on fixe ses orbites », raconte Xijun Ni. « On a l'impression qu’il essaie de nous faire passer un message. »
Qiang Ji a persuadé la famille de l’ouvrier de donner le spécimen au musée des géosciences de la Hebei GEO University. L’équipe a recueilli des informations en provenance de quatre-vingt-quinze fossiles de crânes, de mâchoires et de dents représentatifs de divers groupes d’hominidés, couvrant plus de six-cents caractéristiques au total. Ils se sont ont ensuite servi d’un superordinateur afin de construire des milliards d’arbres phylogénétiques. Ce sont des outils utilisés pour élucider les relations évolutives entre les hominidés en représentant le moins de stades évolutifs. Selon la plupart des scientifiques , il s’agit de la représentation la plus fidèle. L’arbre qui en est ressorti a placé le crâne de Harbin sur une nouvelle branche, étroitement liée à notre propre espèce.
« J’étais surpris de voir ça », déclare M. Stringer, l’un des auteurs de deux des études ayant défini le groupe et l’âge du fossile. Il s’attendait à ce que le crâne de l’Homme dragon soit placé sur une ramification de la branche de l’Homme de Néandertal.
Une partie de l’équipe a estimé que le crâne de Harbin était si différent des autres fossiles d’hominidés qu’il devrait être associé à une nouvelle espèce. Xijun Ni a dressé la liste des caractéristiques qui, ensemble, définissent l’ Homo longi : des orbites particulièrement carrées, une boîte crânienne longue et basse, une absence de crête sagittale le long de la ligne médiane du sommet du crâne, etc.
« Il ne se distingue pas des autres par une seule caractéristique. Il s’agit en quelque sorte d’une association. »
Néanmoins, tous les scientifiques et experts ne considèrent pas que l’Homme dragon est une espèce à part entière. Beaucoup ne valident pas non plus sa position sur l’arbre généalogique des hominidés.
Selon Mme Buck, de nombreuses caractéristiques propres à ce crâne semblent plutôt relever d’une question d’échelle que de traits distincts. Elle ajoute que des variations sont possibles au sein d’une même espèce. Les différences de sexe ou d’âge de l’individu, les adaptations régionales et la datation du fossile peuvent toutes, entre autres, induire des changements mineurs à l’échelle individuelle.
La question est maintenant de savoir à quelle espèce appartenait l’Homme de Harbin s’il n’en forme pas une à part entière. M. Stringer rappelle qu’une association similaire de caractéristiques modernes et anciennes a été observée sur un fossile appelé crâne de Dali . La nouvelle étude a déterminé qu’il appartenait au même groupe que le crâne de Harbin. Excavé dans la province de Shaanxi au nord-ouest de la Chine, on suppose que ce crâne appartient à sa propre espèce, Homo daliensis .
« On assiste déjà à une certaine augmentation du nombre de noms d’espèce en anthropologie », ajoute Bence Viola , paléoanthropologue à l’université de Toronto qui ne faisait pas partie de l’équipe. Selon lui, il serait préférable de grouper le nouveau crâne à H. daliensis ou de ne pas attribuer de nouveau nom à cette potentielle espèce plutôt que d’en inventer un autre.
Les Dénisoviens forment eux aussi un groupe mystérieux. Bien qu’il ne soit pas officiellement reconnu comme une espèce à part entière, il a probablement peuplé l’Asie pendant des dizaines de milliers d’années. De nombreux fossiles asiatiques sont supposés appartenir à ce groupe. Cependant, puisque les scientifiques n’ont mis au jour que quelques traces de leur existence, une confirmation génétique est nécessaire. Malheureusement, la conservation de l’ADN devient de plus en plus rare avec les fossiles plus anciens.
En 2019, des scientifiques ont annoncé avoir découvert une mâchoire fracturée au sein du plateau tibétain qui proviendrait d’un Homme de Denisova. Ces ossements seraient donc les premiers fossiles de ce groupe d’ancêtres de l’Homme retrouvés en dehors de la grotte qui lui a donné son nom.
Le nouvel arbre phylogénétique suggère que l’Homme dragon est sûrement étroitement lié à cette mâchoire, appelée mandibule de Xiahe.
« Ils appartiennent sûrement à la même espèce », assure Xijun Ni. Il reste prudent quant à l’appellation Dénisovien pour identifier l’espèce à qui appartenait cette mâchoire et le crâne de Harbin. En effet, l’identité de la mandibule a été établie grâce à l’extraction de protéines à partir de l’os et d’ADN à partir de sédiments, et non directement depuis l’ADN du fossile.
M. Viola, qui faisait partie de l’équipe ayant décrit les Dénisoviens pour la première fois, ne partage pas cette opinion. Il estime qu’il est logique que la mandibule de Xiahe appartienne aux Hommes de Denisova. Il précise toutefois que même si l’Homme dragon appartenait aux Dénisoviens, la nouvelle analyse place le crâne de Harbin et la mandibule de Xiahe sur une branche distincte des Néandertaliens.
Le crâne de Harbin, avec sa combinaison de caractéristiques ancestrales et modernes, vient s’ajouter à la longue liste de fossiles retrouvés en Asie qui ne s’intègrent pas parfaitement aux branches de l’arbre généalogique de l’Homme.
Une disposition étrange, étant donné qu’un tel regroupement ne concorde pas avec l’histoire des Dénisoviens telle que l’étude de leur génétique l’a suggéré. Ces analyses ont démontré que l’ancêtre commun aux Néandertaliens et aux Dénisoviens s’est séparé des prédécesseurs de l’ Homo sapiens il y a environ 600 000 ans. Ce même ancêtre s’est ensuite divisé en deux groupes : les Néandertaliens, qui se sont répartis en Europe et au Moyen-Orient, et les Dénisoviens, qui ont migré vers l’Asie .
Les relations entre tous ces groupes sont « inévitablement étroites et difficiles à résoudre », écrit Katerina Harvati par e-mail, qui ne faisait pas partie de la recherche. « Je pense qu’il s’agit probablement d’une question qui devra être étudiée de plus près une fois que l’on disposera de plus de données », assure Mme Harvati, de l’université Eberhard Karl de Tübingen.
De nouveaux indices pourraient par ailleurs se profiler à l’horizon. L’équipe ayant rédigé les nouvelles études se penche actuellement sur les potentielles analyses génétiques de l’Homme dragon. Les chercheurs se montrent prudents, puisqu’une telle manipulation demande de détruire de petits échantillons du fossile.
Que l’Homme de Harbin constitue une nouvelle espèce ou non, ses caractéristiques remarquablement bien conservées nous rappellent que la nature est rarement uniforme. En outre, la catégorisation de ces vestiges ne cessera de se compliquer à mesure que de nouvelles découvertes seront effectuées.
« Ce que l’on considère comme espèce est en réalité une question philosophique plutôt qu’une vérité biologique », indique Mme Buck. Certes, la définition des espèces peut s’avérer utile, mais elle estime que « le plus intéressant serait de savoir comment ils se sont adaptés et comment ils vivaient. »
Là aussi, l’Homme dragon offre des suppositions excitantes. La localisation exacte où l’ouvrier l’a sorti de la boue reste inconnue mais la région concernée est située très au nord, explique Michael Petraglia , paléoanthropologue à l’institut Max-Planck de science de l’histoire humaine, qui ne faisait pas partie des études. Même avec les conditions climatiques relativement clémentes de l’époque actuelle, les températures dans cette région peuvent chuter à -23 °C. Il y a 146 000 ans, il n’y faisait sûrement pas plus chaud.
L’équipe suppose que certains des traits robustes du crâne reflètent une adaptation à un climat beaucoup plus froid. Il se pourrait aussi que l’environnement ait isolé l’Homme dragon et ses semblables des autres hominidés. Une telle séparation pourrait être à l’origine des traits distinctifs observés sur les ossements.
La base de données complète de l’équipe et les images détaillées de l’Homme de Harbin sont désormais accessibles au public, permettant aux autres chercheurs d’explorer les particularités de cet hominidé eux-mêmes. Nombre d’entre eux semblent impatients.
Comme le dit Sarah Freidline , de l’université de Floride centrale, par e-mail : « Un crâne aussi complet comme celui de Harbin est le rêve de tout paléoanthropologue. »
Cet article a initialement paru sur le site nationalgeographic.com en langue anglaise.
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Ce texte est issu d'un traitement automatique (ocr) et n'a pas été revu ou corrigé.
Hommes & Migrations Année 1991 1141 pp. 13-17
Fait partie d'un numéro thématique : Elles... Femmes en mouvement(s)
Silberman Roxane. Regroupement familial : ce que disent les statistiques. In: Hommes et Migrations , n°1141, mars 1991. Elles... Femmes en mouvement(s) pp. 13-17.
REGROUPEMENT FAMILIAL : CE QUE DISENT LES STATISTIQUES
LES statistiques sur les femmes immigrées relèvent
de deux grandes catégories : les unes portent sur la population étrangère et française par acquisition instal¬ lée en France (recensements, enquête emploi par exemple), les autres se rapportent aux entrées sur le territoire et sont traitées en fonction de la procédure d'immigration (entrées au titre de la main-d'œuvre, entrées des familles, demandeurs d'asile...). On rapproche souvent sans précautions ces deux sources très diffé¬ rentes, en faisant des unes l'explication des autres.
Ainsi la féminisation de la population étrangère — qui suscite un intérêt nouveau pour les immigrées — est attribuée à la persistance, voire à l'intensification des entrées des familles en dépit des freins mis à l'im¬ migration de main-d'œuvre. Ce jugement général se retrouve au niveau plus particulier des différentes nationalités présentes dans les flux migratoires actuels, maghrébines notamment, pour lesquelles on avait souli¬ gné dans la période précédente le faible pourcentage de femmes. On parle alors de changement de compor¬ tement en matière de regroupement familial, et d'arri¬ vées çroissantes de femmes aux caractéristiques sensi¬
blement différentes de la période précédente. Ces juge¬ ments ne sont pas sans alimenter la politique restrictive en matière d'entrée des familles (suppression de la pro¬ cédure de régularisation, utilisation à des fins de frei¬ nage du critère de logement, mise en place probable d'un contrôle un an après l'introduction...). La réalité est pourtant plus complexe, les effets d'optique nombreux, alimentés par une utilisation sommaire de statistiques qui comportent par ailleurs des lacunes importantes, et l'approche en terme de nationalités est plus simplifica¬ trice qu'éclairante.
* CNRS — Laboratoire d'analyse secondaire et de méthodes appliquées à la sociologie (LASMAS).
A travers les trois recensements de 1968, 1975 et 1982, on observe une croissance régulière du pourcen¬ tage de femmes dans la population étrangère en France, respectivement 39,25 %, 40,13 % et 42,51 %. En valeur absolue, comme en amplitude, ces pourcen¬ tages sont semblables à ceux qui caractérisent les flux migratoires en France avant la Seconde Guerre mon¬ diale. On constate également que les évolutions que
HOMMES & MIGRATIONS N° 1141 — MARS 1991

Ce texte est issu d'un traitement automatique (ocr) et n'a pas été revu ou corrigé.
Syria. Archéologie, Art et histoire Année 1996 73-1-4 pp. 141-152
Le Goff Isabelle. Etude des restes humains. Appendice.. In: Syria . Tome 73 fascicule 1-4, 1996. pp. 141-152.
L'étude anthropologique est effectuée d'une part pour décrire les trois sujets et les comparer ultérieurement avec la population locale ou contemporaine et d'autre part pour caractériser la nature du recrutement de cette tombe.
Nous avons suivi les recommandations de D. Ferembach et al. (1979), pour la détermination du sexe.
La partie antérieure du coxal n'est pas conservée, nous privant de la branche ischio- pubienne, symphyse pubienne et tubérosité ischia- tique incluses. La sexualisation du squelette se base sur la cotation de 6 caractères (-11/12) : le coefficient négatif (-0,91) permet de formuler l'hypothèse d'un sexe féminin.
Une grande partie du basicrâne est détruite, la face demeure indépendante du reste du squelette céphalique. Les malaires et le maxillaire sont très abîmés.
Les 7 caractères disponibles sont cependant nettement féminins ; le coefficient de sexualisation est effectivement assez fortement négatif (-16/ 12 = -1,33).
Le coxal comme le crâne appartient donc à un individu féminin.
Les coxaux du squelette B sont dans le même état de conservation que ceux du squelette A. La cotation se base aussi sur 6 éléments dont l'équation offre un résultat légèrement positif (+0,25). Le caractère masculin est peu marqué.
II ne subsiste rien du basicrâne, sinon sous la forme de quelques esquilles. Là encore la jonction de la partie faciale avec le calvarium est impossible.
Sur les 6 caractères morphologiques disponibles, le calcul du coefficient n'autorise aucun diagnostic (0). L'individu B est classé parmi les sujets indéterminés.
Nous avons suivi l'équation proposée par C. Masset (1982), pour calculer l'âge approximatif du crâne d'une population standardisée.
Cette équation pour les sutures exocrâniennes fixe un âge moyen de 42,9 ans et pour les sutures endocrâniennes un âge moyen de 38 ans, sachant que l'écart type est de + ou - 15 ans.

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