Un professeur pilonne fort son élève

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Un professeur pilonne fort son élève
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Un jeune homme, élève en classe de 4 ème au lycée de Nkolbison a froidement poignardé son enseignant. Le corps de ce dernier se retrouve au CHU de Yaoundé.
Cet autre acte de criminalité remet au goût du jour, le problème de suivi des enfants par les parents et le contrôle strict des élèves à l’entrée et au sein de l’établissement scolaire.
On se souvient qu’en 2019, un élève perdait la vie au lycée Bilingue de Deido des suites aux coups de poignards.
Le sous-préfet de Yaoundé 7 déjà sur les lieux. Les cours suspendus pour la journée. L’enseignant a été poignardé en plein cours par un élève de 4e qui a fui. Le nom de l’élève Bisse Ngosso Brice agé de 15ans de la 4ème espagnole aurait eu une mauvaise note, pendant que le professeur remettait les copies ,cet élève l’a poignardé avec un compas.
Fait inédit à Nkolbissong: Témoignages

D’après les premières informations obtenues des sources encore sous le choc, la scène a eu lieu il y a 2h environ, dans une classe de 4e Espagole 2 au Lycée classique de Nkolbisson.
Un collègue, prof de Mathématiques en cours d’intégration ( E.C.I.), #NJONI_TCHAKOUNTE_Maurice (né en 1994) enseignait paisiblement jusqu’au moment où son attention sera portée sur un élève manifestement distrait. S’étant rapproché de l’élève, le prof constate que celui-ci est plutôt concentré à pianoter sur le clavier de son #téléphone_portable.
Courroucé,l’enseignant intimera l’ordre à l’élève (15 ans) de lui donner ledit téléphone, qu’il devra faire confisquer par les services administratifs compétents, conformément aux dispositions du règlement intérieur de l’établissent en matière de possession et usage des téléphones portables au sein des établissements scolaires.
L’élève refusera d’obtempérer, malgré les multiples ordres intimés par l’enseignant.
Frustré par l’attitude méprisante de l’élève, le prof va essayer de saisir du téléphone. Une tentative à laquelle l’élève opposera une résistance manifestement violente et farouche. S’en suivra donc une épreuve de bras de fer au cours de laquelle dans des péripéties encore non élucidées jusqu’ici, l’élève se servira d’un objet identifié comme un #compas pour commettre enfin l’irréparable.
Bain de sang. Chaos dans la salle de classe: cris, bousculades, etc. Des collègues accourent. Le prof est en train de se vider de son sang…et de son souffle. Il faut faire vite. Le prof est transporté dans 1 véhicule. Destination: Centre Hospitalier Universitaire (C.H.U.) de Yaoundé.
La voiture transportant le prof arrivera effectivement au C.H.U. Enfin presque. Mais pas le prof. Je veux dire pas son souffle, ni son sang. Ces deux sources vitales se videront net au portail du C.H.U…
Tolé au Lycée classique de Nkolbisson. De hauts responsables du MINESEC y sont en ce moment.
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Doctorant à l’université Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Ancien député (Génération.s) de la Loire de 2007 à 2022, expert en politique publique sportive
Culture Cinéma Télévision Livres Musiques Arts Scènes
Un élève poignarde son professeur et se tue en se jetant d'une fenêtre
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Marseille, 28 janvier. - Alors qu'il venait de donner son cours d'allemand, un professeur de première du lycée Périer à Marseille a été poignardé par un de ses élèves qui, son meurtre accompli, a mis fin à ses jours en se Jetant d'une fenêtre. Le professeur est dans un état grave.
On n'est pas encore parvenu à établir les causes profondes de ce drame et les raisons pour lesquelles le lycéen Richard C... portait un kriss (poignard malais), une " vendetta " et un couteau-poignard de boy-scout.
Lundi après-midi, pendant le cours d'allemand, le professeur, M. Claude Chabod, trente-deux ans, donna un avertissement à un élève : c'était le meilleur ami de Richard, qui s'émut et s'écria : " C'est Injuste ! "
A la fin du cours, les vingt-quatre élèves étaient debout et s'apprêtaient à descendre en récréation. Richard se leva également, s'avança vers M. Chabod qui établissait des notes, leva son bras à deux ou trois reprises. Le professeur s'écroula, ensanglanté. Richard, tenant toujours son poignard, enjamba le rebord d'une fenêtre et se jeta dans le vide, faisant une chute de 15 mètres dans la cour, où une quarantaine d'élèves terminaient leur leçon de gymnastique. Il devait mourir presque aussitôt.
Le professeur fut transporté à l'hôpital de la Timone, où il a été opéré. Il est blessé notamment au poumon gauche.
M. Chabod était arrivé à Marseille il y a six ans, puis était parti au service militaire et était revenu à son poste. C'est un jeune homme souriant, originaire de Pontarller ; il est marié et père de deux enfants de quatre ans et dix-huit mois.
Richard C..., un grand garçon de 75 kilos, doux de caractère, menait une vie très régulière, mais, depuis le suicide d'un de ses camarades, il était devenu triste, taciturne. Faut-il voir dans ce drame qui l'avait profondément impressionné la cause du geste fou qu'il a commis lundi ? On ne sait.
Une enquête administrative est en cours. Elle est confiée à M. Anglaret, inspecteur d'académie des Bouches-du-Rhône, par le ministère de l'éducation nationale. Le lycée Périer qui compte 4 674 élèves; est un établissement très bien tenu qui jamais n'avait connu d'Incident.
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La chorale Symphonie en bleu a choisi pour parrain Cyril Lohbrunner, professeur au collège Victor-Hugo, qui a retrouvé, pour l’occasion, son professeur de piano, Marguerite Lebel, 88 ans,



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Les chorales du Pôle vocal Victor-Hugo, Symphonie en Bleu et la chorale de l'ATSCAF 58 se sont retrouvées à la Résidence du Parc pour un moment musical partagé entre public, choristes et résidents. Près de centre trente personnes y ont participé.
Symphonie en bleu, la chorale dirigée par Béatrice Normand et qui se réunit à la Résidence du Parc, cherchait un parrain. C'est chose faite. Cyril Lohbrunner, professeur de musique au collège Victor-Hugo et chef de chœur du Pole Vocal Victor-Hugo, a souhaité le devenir. À double titre : il est une référence dans ce domaine et une des résidentes, Marguerite Lebel, fut son professeur de piano.
« Après avoir étudié le piano au Lycée Alain-Colas, j'ai pris des cours particuliers avec elle. Nous avons tissé une grande amitié. Pour moi, elle est pareille à un membre de ma famille. Elle m'a montré comment appréhender la musique avec humilité. Je retrouve ici, son piano quart de queue sur lequel j'ai étudié. Je jouerai pour lui rendre hommage, l'étude n° 2, écrite pour elle, du ciné-concert Oliver Twist, dont je suis le compositeur », explique Cyril Lohbrunner.
Marguerite Lebel, qui a pensé à lui pour être parrain, est enchantée de retrouver son élève : « Aujourd'hui l'élève a largement dépassé le professeur et c'est bien », affirme-t-elle. Elle qui a enseigné pendant trente ans, continue, à 88 printemps, de jouer du piano, pour les autres pensionnaires de la résidence.
La chorale Symphonie en Bleu souhaite créer du lien et favoriser les échanges parmi les occupants de la Résidence et les personnes extérieures qui la rejoindront. Ouverte à tous les âges, elle souhaite créer un pont entre les générations, grâce à la musique. Le groupe se réunit tous les lundis, de 17 h 45 à 19 h, à la Résidence du Parc. « Sont les bienvenus toutes celles et ceux qui auront envie de venir », précise Fabienne Corde, directrice de l'établissement.
De son côté, Cyril Lohbrunner a convié son public à assister à son prochain concert donné samedi, à 19 h, à l'église Saint-Étienne.
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Une mauvaise blague de potache ou bien une réelle volonté de nuire? Aucune piste n'est écartée après la découverte par Fabrice*, un enseignant de la section professionnelle du lycée Voillaume d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), d'une lettre de menace de mort reçue à son domicile. Le ou les auteurs, anonymes, s'en prennent également à sa femme et à ses enfants. Ce professeur en sciences industrielles, qui est en arrêt maladie pour quinze jours, vient de porter plainte.
« T'es mort », « on va violer ta femme », « on sait où tes enfants vont à l'école »â?¦ les mots sont d'une rare violence.
Fabrice a découvert cette lettre le 27 décembre en rentrant de congés. Si les éléments du courrier sont si précis, c'est parce que, avant les vacances, l'enseignant s'est fait dérober son ordinateur portable dans son bureau. Celui-ci est réapparu en fin de journée, ce qui a laissé le temps aux voleurs d'obtenir des informations très personnelles. Dès qu'il a été mis au courant, lundi à la rentrée des vacances, le proviseur, François Tomasi, n'a pas hésité à se rendre dans la classe dont l'enseignant est le professeur principal et a lu la lettre devant tous les élèves. « Sept d'entre eux (NDLR : sur 24) se sont mis à rire en expliquant que cela ne voulait rien dire et qu'entre eux ils se parlaient comme ça, raconte-t-il. Sans se rendre compte des conséquences que ce type d'acte pouvait provoquer. » Une situation qui n'a pas beaucoup surpris Jacques, un des collègues de Fabrice. « C'est vrai qu'on sent une montée de l'agressivité chez les élèves depuis quelques années, analyse-t-il. Dès que l'on émet la moindre critique, ils se posent en victimes. Mais dans ce cas précis, le ou les auteurs vont très loin. Le style et le choix des mots transpirent la haine. Si j'avais reçu une telle lettre, j'aurais immédiatement envoyé ma famille à l'hôtel. »
François Tomasi regrette que ce genre d'événement puisse éclipser l'important travail pédagogique réalisé par ses équipes. Pour mettre un terme à ces dérives, il va, dès la semaine prochaine, convoquer individuellement chaque élève de la classe concernée avec sa famille pour rappeler la gravité de ces faits. D'autant que l'an
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