Un plan à trois texan
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Un plan à trois texan
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La Fille aux yeux d'or
Honoré de Balzac
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Après Ferragus et La Duchesse de Langeais, La Fille aux yeux d'or clôt en 1834 la trilogie de l'Histoire des Treize, où Balzac invente une sorte de communauté consacrée au service du diable. Niché au coeur de Paris, l'hôtel particulier des San-Réal est une enclave orientale qui abrite les amours saphiques de la marquise de San-Réal, sorte d'" Othello femelle ", et de Paquita, la Fille aux yeux d'or. Mais la jeune fille est également convoitée par Henri de Marsay, jeune dandy parisien qui en est fou. Le boudoir à l'atmosphère enivrante où Henri retrouve Paquita devient alors le cadre d'un crime affreux. En parfait conteur, Balzac soutient jusqu'à son terme le rythme et l'intensité d'une histoire cruelle, dans laquelle les blessures d'amour - ou plutôt d'amour propre ? - sont aveuglément réparées dans le sang.
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La jument
Esparbec
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Rien ne prédestinait Mélanie à devenir une « jument », c’était une femme comme tant d’autres, qui s’ennuyait et ne savait trop quoi faire de sa peau.Après avoir couché avec les maris de toutes ses amies, la jeune épouse de Me de Challonges décide, pour « se donner un peu de mouvement », de faire de l’équitation.Un beau matin, après avoir accompagné ses enfants à l’école, elle se rend à l’écurie d’Hugo von P., le maître du manège. Mais là, notre apprentie Messaline va vite s’apercevoir qu’on dresse deux sortes de juments….Dans l’odeur du cuir, du stupre et du crottin, un Esparbec pur et dur de la meilleure cuvée.
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Sois belle et tais-toi
Marie Gray
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Mylène a tout pour être heureuse. Stéphane, c'est une deuxième chance au bonheur. Parfait avec ses enfants, mari attentionné, beau bonhomme, il est un *homme à femmes* comme tant d'autres, avec ses qualités et ses petits travers, mais bon… un homme demeurera bien toujours un homme, non! À coup de commentaires plus ou moins subtils, Josée et Cynthia tentent de lui ouvrir les yeux, mais Mylène préfère faire l'autruche et ignorer les signaux d'alarme provoqués par l'attitude parfois douteuse de son conjoint. Malgré tout, elle a de plus en plus de mal à trouver les remarques de son conjoint aussi drôles, coquines et inoffensives qu'autrefois. Lorsque son monde éclate, trop de choses deviennent tout à coup aveuglantes. Ce qui est acceptable et ce qui ne l'est plus, entre autres… Lecture divertissante qui pose les *vraie questions*, Sois belle et tais-toi s'adresse à celles qui rêvent du jour où les hommes et les femmes s'uniront pour que la culture du respect supplante celle de la crainte.
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Calendar Girl - Juillet
Audrey Carlan
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Direction Miami, où Mia est engagée pour jouer dans le clip d’un artiste de hip-hop ultrapopulaire. Anton Santiago a la beauté du diable, un corps de rêve, danse comme un dieu et met toutes les femmes dans son lit. Même si elle a été choisie pour jouer les séductrices, Mia va aussi pouvoir se remettre doucement des événements du mois précédent et créer avec Anton une belle complicité amicale. Mais une surprise de taille va venir agrémenter son séjour à Miami et orienter son destin…
MIA VA-T-ELLE RELEVER SON INCROYABLE DÉFI ?
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Cinquante nuances plus sombres -...
E L James
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Après Cinquante nuances de Grey, découvrez Cinquante nuances plus sombres… Dépassée par les sombres secrets de Christian Grey, Ana Steele a mis un terme à leur relation pour se consacrer à sa carrière d’éditrice. Mais son désir pour Grey occupe toujours toutes ses pensées et lorsqu’il lui propose un nouvel accord, elle ne peut y résister. Peu à peu, elle en apprend davantage sur le douloureux passé de son ténébreux Mr Cinquante Nuances… Pendant que Christian tente de vaincre ses démons intérieurs, Anastasia est confrontée à des tourments inédits de jalousie, qui la conduiront à prendre la plus importante décision de sa vie.
La petite musique distillée par la voix de Séverine Cayron accentue le trouble et les ambiguïtés de ce roman plongeant au plus intime du désir.
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Ultima - Maestra livre 3 -...
L. S. Hilton, Laure Manceau
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Elisabeth Teerlinc, marchande d'art, femme fatale, sait reconnaître les faux. Après tout, elle-même n'est qu'une imitation, un personnage créé de toutes pièces. Son véritable nom, Judith Rashleigh, est enterré sous les mensonges, tout comme les hommes qui ont cru pouvoir la détruire.Prise entre les feux croisés d'un chef de la mafia serbe et d'un inspecteur italien corrompu, elle est chargée de contrefaire un célèbre tableau afin de le céder pour 150 millions de dollars à une société de vente aux enchères – celle-là même où elle fut assistante...Pour Judith, la perspective de duper son ancien chef et le monde de l'art est aussi excitante que le sexe « extrême » qu'elle pratique. Mais s'exposer ainsi sous les feux des projecteurs n'est pas sans risque, et le masque qu'elle s'est habilement construit menace de tomber... Plongez dans le dernier volet d’une trilogie noire et érotique.
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2 Histoire des premières spécifications
4 Exemple : perpendicularité d'un alésage
4.1 Du modèle de peau à l'objet idéal
5 Principes fondamentaux - ISO 8015 :2011
5.3 Vocabulaire et opérations de base
5.5 Exécution graphique de la cotation
6.2.1 Ligne quelconque ou profil de ligne
6.2.2 Surface quelconque ou profil de surface
6.4.3 Spécification de localisation (Positionnement)
6.6 Exceptions au principe d'indépendance
6.6.2 Exigence du maximum de matière
6.6.3 Exigence du minimum de matière
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NF EN ISO 5458
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NF EN ISO 10579
NF EN ISO 13715
NF EN ISO 14405-1
NF EN ISO 14405-2
NF EN ISO 14638
ISO 14660-2
NF EN ISO 17450-1
NF EN ISO 17450-2
NF EN ISO 22432 (ex ISO 14660-1)
NF EN ISO 25378
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En technologie et en mécanique , les spécifications de tolérance géométrique , portées sur le dessin technique ont pour objet la maîtrise de la géométrie de la pièce à fabriquer.
On parle aussi de spécification géométrique de produits , ou geometrical product specification , d'où le terme cotation GPS . On parle aussi de cotation ISO , la cotation étant définie par une série de normes ISO .
Une pièce est manufacturée pour remplir des fonctions. Certaines fonctions ne sont remplies que si la pièce a une forme définie, ce qui détermine la manière dont elle est conçue, dessinée. Cependant, l'objet réel, fabriqué, possède des défauts. La cotation fonctionnelle a pour but de définir les défauts acceptables.
Dans la cotation fonctionnelle, on distingue
La cotation GPS a pour but de lever les ambiguïtés sur les plans. En particulier, l'organisation de l'entreprise tend de plus en plus vers l'externalisation (recours à la sous-traitance) et l'internationalisation ; la personne qui doit interpréter le plan n'a donc pas nécessairement les mêmes habitudes que la personne qui l'a conçu. La mise en œuvre de la cotation GPS est surtout intéressante dans le contexte des grandes séries, en raison de la démarche à mettre en route, en particulier de formation des différents intervenants et de contrôle.
La notion d'interchangeabilité a été développée par le général français Jean-Baptiste de Gribeauval dès 1765. Un des intérêts à l’époque était de pouvoir échanger des pièces défectueuses de mousquets et de pistolets avec des pièces de remplacement récupérées sur d’autres pistolets sur le champ de bataille même. C’est à ce moment-là que les notions de géométrie idéale et de réalisation imparfaite ont pris tout leur sens. Des méthodes ont été conçues pour contraindre les variations géométriques et les vérifier par des calibres entre/n’entre pas.
Le « principe de Taylor » apparaît sous la norme ISO/R 1938 de 1971 [ 1 ] , pour devenir ensuite le « principe d'enveloppe » qui vient de disparaître pour « l'exigence d'enveloppe » dans les révisions des normes ISO 14405-1:2010 (ISO 8015:2006) et ISO 286-1:2004.
Au début des années 1990, un premier constat sur les normes relatives au tolérancement et à la métrologie révèle les lacunes et les contradictions. La raison provient des trois différentes instances chargées de ces questions, les instances :
Les normes sont développées au coup par coup sans une vision globale.
Pour répondre à la continuité de la chaîne d'information du produit, de son opérateur de spécification à son opérateur de vérification, une première norme est élaborée établissant un schéma directeur des normes et des travaux à entreprendre, la norme FD CR ISO/TR 14638, décembre 1996
[ 2 ] .
Cette norme met en place une matrice des chaînes de normes GPS générale, la matrice GPS.
Dès lors, les normes ISO de spécification du produit deviennent des normes ISO-GPS.
[ 3 ]
Les normes en question sont [ 4 ] :
En France, la cotation GPS a été introduite au programme de l'enseignement technique (avec les « fiches GPS » [ 5 ] ) au milieu des années 1990 , sous l'impulsion d'un inspecteur général, à la suite d'un séminaire national de l'IGEN.
On part d'une pièce dite « idéale ». L'idée générale est de comparer la pièce réelle, fabriquée, à la pièce idéale. Il faut donc pour cela procéder à des contrôles, soit par des moyens classiques — pied à coulisse , micromètre , marbre , cales et comparateur , piges , jauges , … —, soit avec une machine à mesurer tridimensionnelle (MMT ou « tridim' »).
Considérons une partie fonctionnelle de la pièce, par exemple un alésage (trou calibré). La cotation dimensionnelle va définir les variations admissibles du diamètre par rapport à la cote nominale, mais il peut aussi être nécessaire de préciser, par exemple,
Prenons l'exemple de la perpendicularité. Mathématiquement, on peut facilement déterminer l'angle que fait l'axe d'un cylindre par rapport à un plan. Mais ici, nous sommes en présence d'une surface réputée cylindrique — on dit encore nominalement cylindrique — et d'une surface réputée plane, mais qui présentent des irrégularités. Il faut donc, à partir de ces surfaces imparfaites, non-idéales, construire des surfaces parfaites, et les comparer.
Il existe plusieurs manières de faire, mais les normes en la matière s'attachent à permettre tant que faire se peut un contrôle par des moyens classiques.
Développons l'exemple de la perpendicularité d'un alésage par rapport à une surface. La figure ci-contre montre
On considère la pièce réelle, et on en « extrait » la partie qui nous intéresse, ici l'alésage ; on dit que l'on partitionne la pièce. La surface de cette partie, surface non idéale, est appelée modèle de peau ou skin model . Puis, on détermine un objet idéal à partir de ce modèle de peau, ici, le cylindre parfait du plus grand diamètre inscrit dans l'alésage. D'un point de vue du contrôle, cela revient à essayer différentes piges — des cylindres calibrés — de diamètre croissant et à retenir la pige la plus grande entrant dans le trou, ou bien à utiliser un mandrin expansible ( alésomètre ).
Ce cylindre idéal est le cylindre associé à l'alésage ; il a un axe et une surface, on s'intéresse ici à son axe.
Puis, on isole la surface nominalement plane, et on prend le plan tangent ayant la direction moyenne du plan. D'un point de vue du contrôle, cela revient à poser la pièce sur un marbre ; d'un point de vue mathématique, on détermine le plan parfait minimisant l' écart quadratique par rapport à la surface réelle (méthode des moindres carrés, voir l'article Régression linéaire ), et on le translate pour qu'il soit à l'extérieur de la matière. Ce plan idéal est le plan associé à la surface réelle.
Reste à définir les orientations acceptables de l'axe par rapport au plan. Pour cela, on prend la normale au plan, et on construit un cylindre ayant pour axe cette normale, et ayant pour diamètre la tolérance, indiquée en millimètres ; c'est la zone de tolérance (ZT) . L'alésage est conforme si l'axe du cylindre parfait associé peut être placé entièrement dans cette zone de tolérance.
La perpendicularité est une affaire d'angle, on aurait donc pu s'attendre à ce que l'on définisse une tolérance en degrés, la zone de tolérance aurait alors été un cône. Mais en cotation GPS, les tolérances sont toujours indiquées en millimètres, les zones de tolérances sont toujours des formes extrudées (ayant une section droite uniforme), à quelques exceptions près (tolérances de forme quelconque).
Parmi les 14 principes, les principes d'indépendance, d'invocation, de l'élément et de dualité sont explicités.
Le premier principe du tolérancement géométrique est le principe d'indépendance :
Cela signifie qu'une cote indique soit une tolérance dimensionnelle, soit une tolérance géométrique. De fait, les dimensions sont déterminées localement
et non globalement : on considère la distance entre des points pris deux à deux, et non pas une enveloppe devant contenir la surface. On ne peut mettre en place une cote dimensionnelle que si l'on peut matériellement vérifier la distance entre paires de points ; par exemple, on ne peut pas tolérancer la distance d'un élément par rapport à l'axe d'un perçage puisque cet axe n'a pas de point matériel permettant la mesure.
Il existe quelques exceptions à ce principe d'indépendance (voir plus bas ).
Le principe d'invocation permet d'appeler l'ensemble des normes ISO-GPS tant au niveau des spécifications macrogéométriques qu'au niveau des spécifications microgéométriques. Il est important de rappeler qu'une écriture (dimensionnelle, géométrique, rugosité, etc) appelle le principe d'invocation.
Évolution majeure à considérer en URGENCE...
Le tolérancement s'intéresse à des objets géométriques, qui sont des points, des lignes et des surfaces. On distingue
Les objets non-idéaux sont aussi appelés « modèle de peau » (skin model) : on ne s'intéresse pas à la matière, mais uniquement à la forme de la surface ou de la ligne, à la « peau » de l'objet.
Le tolérancement géométrique nécessite de « créer » des objets idéaux ou non-idéaux, soit à partir du dessin de définition , soit à partir de la pièce réelle. On définit pour cela des « opérations », les principales sont :
On utilise en outre les opérations suivantes :
D'un point de vue du vocabulaire, il faut donc bien distinguer la « référence », qui est un élément non-idéal, de la « référence spécifiée », qui est un objet idéal associé à une référence.
Les tolérances de forme ne font appel à aucune référence. Par contre, pour les autres tolérances géométriques, il faut utiliser une ou plusieurs références. Lorsqu'il y en a plusieurs, on parle de « système de référence » et l'ordre a de l'importance ; la première citée est la « référence primaire », la seconde la « référence secondaire » et ainsi de suite. On peut avoir jusqu'à six références, mais la plupart du temps on en a une à trois.
L'ordre des références présente des similitudes avec l' isostatisme dans la mise en position des pièces (MiP). Lors de la cotation du dessin, le concepteur doit avoir en tête la manière dont la pièce va être fabriquée et contrôlée, afin justement que les références correspondent aux surfaces et arêtes utilisées pour la mise en position.
La référence primaire, éventuellement référence unique, est une surface plane ou un cylindre :
L'axe en question est le premier axe du repère .
On peut avoir besoin d'une référence secondaire. Si la référence primaire est un plan, alors
On peut avoir besoin d'une référence tertiaire. Si trois références sont des plans, alors la référence tertiaire agit comme un appui ponctuel : il ne définit pas de direction, mais uniquement une origine.
L'indication de la cote sur le dessin de définition suit un formalisme rigoureux.
Les références sont indiquées par une lettre encadrée, reliée à l'élément de référence par un trait fin s'attachant à l'élément par un triangle noir plein. On distingue deux cas :
De la même manière, si la flèche de cote géométrique est alignée avec la flèche de cote dimensionnelle, l'élément tolérancé est l'élément médian ; si la flèche de cote géométrique n'est pas alignée, c'est l'élément désigné qui est tolérancé.
La cotation d'un élément est composée de plusieurs cadres successif comprenant :
Un même élément peut comporter plusieurs cotes GPS, par exemple une cote de localisation et d'orientation ; les cotes sont alors indiquées l'une en dessous de