Un plan à trois vintage

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États-Unis: victoire pour Joe Biden avec l'adoption de son plan pour le climat et la santé au Congrès
Le plan de 430 milliards de dollars a été adopté à une mince majorité par les élus démocrates. C'est une victoire pour le président américain à moins de trois des élections de mi-mandat.
États-Unis: victoire pour Joe Biden avec l'adoption de son plan pour le climat et la santé au Congrès
Joe Biden, président des Etats-Unis, au balcon de la Maison Blanche le 1er août 2022 - AFP
Le Congrès américain a définitivement adopté vendredi le vaste plan d'investissement de Joe Biden sur le climat et la santé , une victoire politique significative pour le président américain, à moins de trois mois d'élections législatives déterminantes.
Avec leur mince majorité, les démocrates de la Chambre des représentants ont permis l'adoption de ce plan de plus de 430 milliards de dollars, faisant suite à un vote similaire au Sénat il y a quelques jours .
Le texte, qui doit mettre le pays sur la bonne trajectoire pour atteindre ses objectifs de réduction de gaz à effet de serre, sera promulgué par Joe Biden la semaine prochaine, a indiqué le président dans un tweet.
Salué par la majorité des associations de lutte contre le changement climatique, cette réforme comprend 370 milliards de dollars dédiés à l'environnement, et 64 milliards de dollars pour la santé.
Baptisée "Inflation Reduction Act", elle entend dans le même temps réduire le déficit public avec un nouvel impôt minimal de 15% pour toutes les sociétés dont le bénéfice dépasse le milliard de dollars.
Le camp républicain accuse pour sa part le texte de générer des dépenses publiques inutiles, et fustige l'utilisation du fisc américain pour les financer. L'ancien président Donald Trump avait appelé sur son réseau social Truth Social tous les républicains à se prononcer contre. Arrivé au pouvoir avec d'immenses projets de réformes, Joe Biden plaidait à l'origine pour un plan d'investissement plus vaste encore. Mais les élus démocrates ont peu à peu dû revoir leurs ambitions à la baisse, afin de contenter notamment le sénateur Joe Manchin de Virginie-Occidentale, État connu pour ses mines à charbon. Son soutien était indispensable pour passer l'étape du Sénat.
Le texte reste malgré tout le plus grand investissement jamais engagé aux États-Unis pour le climat. Il doit permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40% d'ici à 2030. Le but fixé par Joe Biden est une réduction d'au moins 50% d'ici cette date, mais d'autres mesures notamment réglementaires pourraient permettre d'en partie combler l'écart, selon des experts.
Les mesures prises vont "encourager d'autres pays à intensifier leurs engagements", s'est félicité vendredi Dan Lashof, directeur de l'organisation World Resources Institute aux États-Unis.
Sous cette réforme, un Américain recevra jusqu'à 7500 dollars en crédits d'impôts pour l'achat d'une voiture électrique. L'installation de panneaux solaires sur son toit sera prise en charge à 30%.
Des investissements sont également prévus pour le développement du captage de CO2, la résilience des forêts face aux incendies, ou encore la rénovation des logements pour les ménages les plus modestes.
Plusieurs milliards de dollars de crédits d'impôts seront également proposés aux industries les plus polluantes afin de les aider dans leur transition énergétique -- une mesure vivement critiquée par l'aile gauche du parti, qui a malgré tout dû se ranger derrière ce texte.
Le second volet de ce grand plan d'investissements entend en partie corriger les immenses inégalités dans l'accès aux soins aux États-Unis, notamment en baissant le prix des médicaments.
Medicare, un système public d'assurance santé destiné entre autres aux plus de 65 ans, pourra pour la première fois négocier directement les prix de certains médicaments avec les laboratoires pharmaceutiques, et ainsi obtenir des tarifs plus concurrentiels. Les seniors seront par ailleurs garantis de ne pas avoir à débourser plus de 2000 dollars par an pour leurs médicaments, à partir de 2025.
Le projet de loi prévoit aussi de prolonger des protections de l'"Affordable Care Act", l'emblématique assurance santé plus connue sous le nom d'"Obamacare", qui contenait des mesures facilitant l'accès à l'assurance santé via des subventions aidant les familles à payer leur couverture médicale.
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Publié le
11/08/2022 à 13:00 , mis à jour à 15:58






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Le président iranien Ebrahim Raïssi en conférence de presse à Téhéran, le 21 juin 2021.
Dans l'ombre de la guerre en Ukraine et des tensions autour de Taïwan , l'avenir d'une autre crise internationale se décide ces jours-ci à Téhéran. Après dix-huit mois de négociations, l'Iran, l'Union européenne, les Etats-Unis, la Russie et la Chine sont parvenus à un texte final pour encadrer le programme nucléaire iranien, en échange de la levée des sanctions internationales. Reste désormais à le signer, et Téhéran se garde bien de donner une tendance. 

Pourtant, le temps presse. Dans trois mois, lors des élections de mi-mandat, les Américains peuvent faire basculer le Congrès dans le camp républicain, opposé à tout accord avec l'Iran. Depuis 2018 et le retrait décidé par Donald Trump, Téhéran marche vers la bombe atomique avec de moins en moins de contrôles, à l'aide de nouvelles centrifugeuses et d'uranium enrichi. D'après les analystes, deux années séparent Téhéran de l'arme nucléaire. 

"En cas d'accord, c'est gagnant-gagnant : la communauté internationale va pouvoir s'assurer que l'Iran ne devienne pas une puissance nucléaire dans un futur proche et les Iraniens auront accès à des fonds bloqués sur des comptes à l'étranger - en Corée du Sud, en Irak ou au Japon, souligne Farid Vahid, directeur de l'Observatoire de l'Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la Fondation Jean-Jaurès. On évoque entre 120 et 150 milliards de dollars, qui constitueraient une bouffée d'oxygène pour l'économie iranienne. Le taux de change sera favorable au rial iranien, l'Iran va connaître une croissance économique et surtout va pouvoir revendre son pétrole et son gaz plus facilement." 

Le retour dans l'accord international et la levée des sanctions ne seraient toutefois pas pour tout de suite. Le texte sera d'abord soumis au Congrès américain, qui devra l'adopter sous trente jours. Puis l'Iran devra donner des garanties sur sa coopération avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et accueillir, de nouveau, ses inspecteurs dans ses installations. "Même si l'accord est signé demain, il n'y aura pas de ruée vers l'or immédiate vers l'Iran, prévient Ellie Geranmayeh, directrice du programme Moyen-Orient à l'European Council on Foreign Relations. Les conséquences bénéfiques pour l'économie iranienne ne se feront pas sentir avant plusieurs mois et ne seront pas comparables au boom de 2015, après la signature du premier accord nucléaire." 

Refroidies par le précédent de 2018 et le retour des sanctions américaines, les entreprises européennes risquent de patienter avant de s'aventurer de nouveau en Iran. De même, un accord sur le nucléaire iranien ne réglera pas la crise énergétique en Europe, Téhéran n'étant pas prêt à ouvrir ses vannes pétrolières et gazières vers notre continent, pour des raisons à la fois pratiques et idéologiques. "Traditionnellement, l'Iran exporte son pétrole vers l'Asie, indique Farid Vahid. Il va pouvoir continuer avec des prix plus compétitifs, et aura surtout accès à des paiements en dollars, ce qui lui manque cruellement aujourd'hui." Cette arrivée d'hydrocarbures sur le marché asiatique devrait par ailleurs faire baisser les cours mondiaux du pétrole, ajoute le chercheur. 

Le chef des négociateurs iraniens Ali Bagheri quitte le palais de Coburg à l'issue des pourparlers sur le nucléaire iranien, le 4 août 2022 à Vienne
Ces derniers jours, la presse de Téhéran reste étonnamment discrète sur l'accord nucléaire. Difficile de jauger l'état d'esprit des Iraniens, sur le point de signer il y a six mois, puis persuadés de pouvoir obtenir davantage de la part des Occidentaux après le début de la guerre en Ukraine. De nouvelles exigences de l'Iran, comme l'arrêt de certaines enquêtes de l'AIEA, pourraient faire capoter l'accord. 

Si la porte des négociations se ferme, le risque d'intervention militaire en Iran s'en trouverait multiplié. "Dans ce scénario catastrophe, la pression économique et diplomatique sur l'Iran grandirait de tous les côtés, y compris du Moyen-Orient, où les adversaires de la République islamique, tels qu'Israël ou l'Arabie saoudite, pourraient encourager les Américains à frapper les installations nucléaires iraniennes, estime Riccardo Alcaro, analyste à l'Istituto Affari Internazionali. Israël pourrait d'ailleurs prendre seul cette initiative, ce qui obligerait les Etats-Unis à intervenir en soutien." 

Une guerre conventionnelle contre l'Iran ne serait toutefois pas à l'ordre du jour. "L'Iran, c'est trois fois la taille de la France et 33 % de zones montagneuses, précise Farid Vahid. Une intervention terrestre reste très peu probable, surtout après ce qu'il s'est passé en Afghanistan." Israéliens ou Américains s'en tiendraient à des bombardements ciblés sur les installations nucléaires iraniennes et d'autres sites militaires, avec le risque évident de représailles massives. 

A minima, les Etats-Unis poursuivraient leur politique de "pression maximale" instaurée par Trump, déterminés à asphyxier l'économie iranienne. Ces derniers mois, l'explosion des prix des produits alimentaires et de l'énergie a déclenché des manifestations massives en Iran, réprimées par les forces de l'ordre. "Le refus d'un accord sur le programme nucléaire serait avant tout une catastrophe pour la population iranienne, pas tant que ça pour le régime, pointe Farid Vahid. L'Iran deviendrait encore plus agressif dans la région et se rapprocherait encore davantage de la Chine et de la Russie. A coup sûr, les Iraniens intensifieraient leurs activités nucléaires et pourraient bientôt avoir l'uranium nécessaire à une arme atomique." 

L'ancien président américain Donald Trump lors d'un rassemblement de conservateurs à Orlando, en Floride, le 26 février 2022
Le peu de confiance qui pouvait exister entre Washington et Téhéran a été réduit à néant en 2018, lorsque Donald Trump a décidé unilatéralement de retirer son pays de l'accord nucléaire. Humilié par le revirement américain, le gouvernement conservateur de Rohani avait été moqué en interne pour sa naïveté. 

Depuis un an, ce sont les ultraconservateurs de Raïssi qui ont pris le pouvoir à Téhéran. Leur principale crainte reste de subir le même affront que leurs prédécesseurs et ils savent parfaitement qu'aux Etats-Unis, les républicains annuleraient tout accord en cas de changement de majorité. "Les dirigeants iraniens regardent de très près la politique américaine et l'éventualité d'une grande claque pour les démocrates lors des élections de mi-mandat, en novembre, insiste Ellie Geranmayeh. Cela renforcerait l'argument de ne pas se précipiter et de ne pas renoncer au programme nucléaire en échange d'un accord qui pourrait être d'une très courte durée." 

Un accord signé, puis de nouveau annulé par les Américains, finirait d'enterrer tout espoir de diplomatie entre l'Iran et l'Occident. Entre-temps, le régime iranien profiterait de l'ouverture économique pour se renforcer. "Plus les Iraniens seront riches, plus il y aura d'argent pour le budget militaire de Téhéran et pour ses alliés combattants, comme le Hezbollah au Liban, juge Farid Vahid. Ce qui inquiète réellement Israël, ce n'est pas tant l'enrichissement de l'uranium iranien que l'enrichissement de l'Iran tout court et son influence croissante au Moyen-Orient." 

Dans cette optique, Téhéran a repris le dialogue avec ses rivaux arabes de la région ces dernières semaines, notamment les Emirats arabes unis et l'Arabie saoudite. A défaut d'espérer un apaisement avec les puissances internationales, l'Iran pourrait commencer par calmer le jeu avec ses voisins. 


Environnement 10/07/2020 00:02
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L'argent épargné pendant le confinement suffirait-il à relancer la croissance?
Macron et Merkel présentent un plan de relance européen de 500 milliards d'euros
L'ONG WWF, avec l'aide d'un cabinet d'audit financier, a calculé le nombre d'emplois qui seraient soutenus par une relance verte.
ENVIRONNEMENT - “Insérer le plan de relance dans les limites du climat”. C’est ce qu’a recommandé à Emmanuel Macron le Haut Conseil pour le climat dans son avis annuel, rendu le 8 juillet. En clair s’assurer qu’en sauvant l’économie , on sauve également la planète.
C’est justement ce qu’a tenté d’imaginer le WWF, dans un rapport dévoilé ce vendredi 10 juillet. L’ONG estime qu’un plan de relance vert permettrait de soutenir un million d’emplois en 2022 et jusqu’à 1,8 million d’ici 2030. C’est bien plus qu’avec une politique de “business as usual” et mieux que les objectifs et engagements actuels de la France “sur lesquels on a du retard et qui ne seront peut-être même pas tenus”, rappelle au HuffPost Pierre Cannet, directeur du plaidoyer chez WWF.
“Avec le plan de relance, si vous mobilisez des milliards sans favoriser la transition, on va soutenir un système qui a une certaine inertie”, met-il en garde. À l’inverse, le programme imaginé par l’ONG “a une conclusion positive, avec des emplois non délocalisables et distribués sur l’ensemble du territoire”. Le rapport doit être remis ce vendredi au gouvernement.
WWF s’est appuyé sur l’expertise d’EY (Ernst & Young), l’un des plus grands cabinets d’audit financier au monde. “Nous avons utilisé leur modélisation, également exploitée par l’Insee, l’Ademe ou des entreprises du secteur public”, explique Pierre Cannet. En gros, il suffit d’apporter de nombreuses données économiques et sociales pour que le modèle, basé sur les travaux d’économistes, calcule le nombre d’emplois générés.
Trois scénarios ont été testés. Le premier est celui imaginé par WWF d’un véritable plan de relance vert et ambitieux. Le second prend en compte les objectifs et engagements actuels de la France dans la transition énergétique. Le dernier, “tendanciel”, imagine une économie absolument non décarbonée, dans lequel la relance servirait simplement à compenser la crise économique pour revenir au principe “business as usual” (on fait comme d’habitude).
Six secteurs clés ont été étudiés: la rénovation énergétique des bâtiments, les énergies renouvelables, les transports ferroviaires et en commun, les transports individuels (notamment le vélo), l’agriculture biologique et le tourisme. Les résultats de WWF sont résumés dans les graphiques ci-dessous.
Comment ont été choisies ces propositions? Elles sont en partie issues des citoyens car certaines proviennent de la Convention citoyenne pour le climat. Une consultation en ligne menée par la WWF a également été organisée, de même que des “entretiens menés avec une vingtaine d’entreprises, des acteurs des secteurs étudiés, des collectivités territoriales et des associations d’élus”.
Par exemple, pour la rénovation thermique des bâtiments, le rapport se base sur les propositions de la Convention climat visant à rendre obligatoire la rénovation thermique d’ici 2040. Pour le développement des énergies renouvelable, WWF a calculé l’impact de projets décentralisés
Remercié par deux déesses
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Une étudiante jeune et innocente se fait baiser sur la table du prof

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