Un plan à trois militaire intense

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Trois militaires à bord d'un avion.

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Titre
Trois militaires à bord d'un avion.


Description
Trois militaires dont deux caporaux-chefs à bord d'un avion.
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« Le défilé militaire du 14 Juillet est une intense aventure humaine »










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Chargé de l’organisation du défilé du 14 Juillet, le général de corps d’armée Christophe Abad, gouverneur militaire de Paris, nous dévoile les coulisses de l’événement, aboutissement d’un an de travail. Plus globalement, il nous explique l’étendue de son rôle et de ses missions.
Lors de tel ou tel événement, on entend souvent parler de la présence du gouverneur militaire de Paris (GMP), sans vraiment savoir à quoi correspond la fonction. Selon vous, pourquoi est-elle méconnue ?
Général Christophe Abad : Je ne pense pas qu’elle soit si méconnue que cela. Si méconnaissance il y a, elle ne porte pas sur l’existence du GMP proprement dite, mais plutôt sur son périmètre de responsabilités. Son travail est souvent résumé à l’organisation des grandes cérémonies militaires parisiennes, car c’est tout simplement son activité la plus médiatisée, en premier lieu bien sûr le défilé militaire du 14 Juillet. Assez trivialement, certains pourraient même dire que le grand public n’entend parler du GMP que ce jour-là. Or son rôle et ses domaines d’intervention sont bien plus larges.
Le GMP est avant tout un chef qui commande des opérations militaires - l’Histoire nous le rappelle avec, entre autres, Gallieni et Koenig, deux de mes illustres prédécesseurs. Au-delà, c’est un ambassadeur des armées puisqu’il côtoie des autorités politiques, des capitaines d’industrie et des personnes exerçant d’importantes responsabilités dans des domaines très variés. Enfin, c’est un promoteur de la singularité militaire. J’estime en effet qu’une cérémonie militaire est un marqueur fort de cette singularité.
Concrètement, comment tout ceci se traduit-il dans vos missions ?
Celles-ci sont au nombre de quatre, pour lesquelles je suis assisté par un état-major situé à Saint-Germain-en- Laye, dans les Yvelines, et par un cabinet, ici, aux Invalides (1) . Ma première mission : commander les opérations militaires à Paris et en Île-de-France. La plus connue est l’opération Sentinelle de lutte contre le terrorisme, déclenchée à la suite des attentats de janvier 2015. Avec la pandémie, s’est ajoutée Résilience, contribution des armées aux actions gouvernementales de lutte contre la Covid-19. Cela s’est notamment traduit par le déploiement de « vaccinodromes » dans les deux hôpitaux militaires franciliens (2) . Toujours dans ce cadre opérationnel, je suis aussi responsable de l’engagement des moyens militaires lors du déclenchement des plans d’urgence liés à un événement sécuritaire, industriel ou climatique - par exemple, une éventuelle crue de la Seine.
Ma deuxième mission consiste à entretenir et à développer le lien armées-Nation. Cela se manifeste par des actions auprès de la jeunesse et par l’organisation des grandes cérémonies militaires. Présidées la plupart du temps par le chef de l’État ou par une haute autorité politique comme le ministre des Armées, elles imposent un niveau d’exigence total. La troisième mission n’est pas du tout connue du grand public, et c’est normal. Il s’agit de la coordination des acteurs du soutien aux 50 000 agents - militaires et civils - du ministère des Armées travaillant en Île-de-France. Le but est que ceux-ci exercent leur métier dans les meilleures conditions possibles. Cela englobe également leurs conditions de vie comme l’hébergement des jeunes cadres. Ma dernière mission est très forte et symbolique : ce sont les actions d’accompagnement au profit des soldats blessés et des familles endeuillées, en situation d’urgence comme dans la durée.
Au quotidien, quelle est la journée type du GMP ?
Il n’y en a pas vraiment. C’est d’ailleurs tout l’intérêt de ce poste. Si je devais cependant en dégager une, le matin, je serais en treillis en train de patrouiller aux côtés de soldats de Sentinelle au coeur de Paris. L’après-midi, je présiderais une réunion de coordination des acteurs du soutien en Île-de-France. Puis, en début de soirée, je participerais à une cérémonie militaire dans la cour d’honneur des Invalides. Tout ceci nécessite une grande agilité. C’est stimulant et passionnant.
Votre mission la plus connue est l’organisation du défilé militaire du 14 Juillet à Paris. L’aboutissement d’un an de travail…
Tout à fait. L’année dernière, j’ai réuni l’ensemble de mes troupes le 15 juillet au matin pour effectuer un retour d’expérience à chaud sur ce que nous avions vécu, aussi bien la veille que les semaines précédentes. Ce défilé constitue une opération particulièrement complexe sur le plan logistique. Il nécessite une préparation minutieuse et une exécution rigoureuse, comparables à la prestation d’un patineur artistique. Pendant trois minutes, ce dernier est dans l’excellence, avec le sourire. Cela impose en amont de nombreuses heures de travail, de chutes et de souffrance. C’est cela, le 14 Juillet. Rien ne doit être laissé au hasard, tout doit être parfait, à la seconde près.
Plus globalement, que représente pour vous ce défilé militaire ?
Le 14 Juillet est un rendez-vous intime et singulier entre les Français et leurs armées depuis 1880. Cette année-là, le défilé militaire s’était déroulé sur l’hippodrome de Longchamp. Et c’est déjà le gouverneur militaire de Paris qui l’avait organisé ! Aujourd’hui, il fait partie de l’ADN de la fête nationale des Français et doit être vu sous un prisme double. C’est bien sûr une parade à l’esthétique irréprochable, qui allie tradition et modernité, et permet aux armées de mettre en valeur une jeunesse généreuse ainsi que des équipements performants. Mais percevoir le 14 Juillet uniquement comme un spectacle serait réducteur. C’est aussi une démonstration de force d’unités sûres de leur capacité et qui expriment ce jour-là leur détermination et leur engagement à protéger la Nation et les Français.
Vous coordonnez également les « plans hommage » en l’honneur des soldats morts pour la France. Est-ce la mission la plus chargée en émotions ?
Ce sont effectivement des moments très forts, très particuliers. Après le rapatriement du (ou des) défunt(s) et avant la cérémonie dans la cour d’honneur, j’accueille ici, aux Invalides, les familles endeuillées, avec le précieux appui des cellules d’aide aux blessés et en présence de mon épouse. Cette dernière apporte un supplément d’âme et d’humanité, une proximité dans les échanges, que ce soit avec une maman, une soeur, un frère, des enfants… C’est très complémentaire de mon rôle.
Parmi les cérémonies mémorielles gérées par le GMP, quelle est la plus porteuse de sens selon vous ?
Je suis particulièrement sensible au ravivage de la flamme sous l’Arc de Triomphe. Cette cérémonie sobre et solennelle est quotidienne. Mais lorsque le Président de la République ou une haute autorité politique ou militaire y participe, le GMP l’organise.
À chaque fois que je me retrouve devant la tombe du soldat inconnu, entouré d’anciens qui portent des drapeaux et de jeunes qui incarnent notre avenir, je trouve le symbole extrêmement fort. La cérémonie annuelle du 18 Juin au mémorial du Mont-Valérien me touche également beaucoup. Ce fut notamment le cas l’an passé en présence d’Hubert Germain, alors dernier compagnon de la Libération encore en vie (3) .
Vous travaillez sur le site de l’Hôtel national des Invalides, un lieu chargé d’histoire dont vous êtes l’autorité fonctionnelle.
Le charme des vieilles pierres est indéniable. Plus sérieusement, cette « ville dans la ville » est vraiment un site exceptionnel, de plus de 350 ans, unique par sa puissance architecturale et la diversité de ses vocations. Tout d’abord, la mémoire et la reconnaissance des serviteurs d’hier, avec l’Institution nationale des Invalides, et d’aujourd’hui, avec les cérémonies d’hommage qui y sont organisées. Mais c’est aussi un panthéon des gloires militaires, l’empereur Napoléon Ier en premier lieu. J’ajoute enfin une dimension culturelle forte avec trois musées (4) et une vocation cultuelle incarnée par la cathédrale Saint-Louis des Invalides, « église des soldats ».
Dans deux ans, Paris accueillera les Jeux olympiques et paralympiques (JOP). À quel niveau le GMP est-il associé à cet événement ?
C’est un rendez-vous unique, hors norme, à la fois en termes de densité, de complexité et de durée. Pour marquer les esprits, c’est l’équivalent en simultané d’une quarantaine de championnats du monde sur une cinquantaine de sites, réunissant plus de 10 000 sportifs de plus de 200 nationalités, 20 000 journalistes et 13 millions de spectateurs. Étant donné le nombre de chefs d’État, de gouvernement et de très hautes personnalités amenés à être présents en permanence, c’est aussi l’équivalent d’un G20, d’une assemblée générale des Nations unies et d’un forum de Davos qui s’étendraient sur toute la période. Le mandat que m’a confié le chef d’état-major des armées consiste à représenter les armées dans les instances de gouvernance de ces JOP et de porter leur voix avec un message simple : elles seront au rendez-vous de cet événement majeur pour la France, son image et son rang dans le monde. Mais elles exécuteront leurs missions, qui doivent rester des missions militaires, en appui des forces de sécurité intérieure que sont la Police nationale et la Gendarmerie nationale, sans s’y substituer.
Tout d’abord, dans l’esprit actuel de Sentinelle mais à une autre échelle, nous effectuerons des patrouilles dans les rues en étant dynamiques et imprédictibles, sans jamais repasser au même endroit, au même moment et selon les mêmes modalités. Ensuite, apporterons notre expertise dans un certain nombre de domaines qui restent à préciser (lutte antidrone, lutte contre les risques NRBC (5) …), y compris dans la capacité à commander et à coordonner des moyens sur le terrain.
Dans cet agenda chargé, qu’est-ce qui vous permet de vous régénérer ?
Je consacre mon peu de temps libre à ma famille et à l’activité sportive, en l’occurrence la marche et le vélo. J’ai coutume de dire que, lorsque j’étais plus jeune, je faisa
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