Un plan à trois lesbien

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Un plan à trois lesbien
Empfohlen: STORYTIME | Carla m’a laissée pour morte! [fr/eng sub]
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«Je ne sais pas si je peux lui faire confiance pour que nous vivions quelque chose de l'ordre du voyage –sentimental ou terrestre.» | Vidar Nordli-Mathisen via Unsplash




Société


C'est compliqué


polyamour


relation amoureuse


bisexualité


voyage


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 22 janvier 2019 à 15h28
«C’est compliqué» est une sorte de courrier du cœur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes. Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com.
Vous pouvez aussi laisser votre message sur notre boîte vocale en appelant au 07 61 76 74 01 ou par Whatsapp au même numéro. Lucile vous répondra prochainement dans «C'est compliqué, le podcast», dont vous pouvez retrouver les épisodes ici .
Et pour retrouver les chroniques précédentes, c’est par là .
Depuis deux ans maintenant, je connais une fille, une amoureuse d'enfance. Nous nous sommes retrouvés, j'ai quitté un peu toute ma vie établie pour la retrouver à Lille, et nous élaborons un certain nombre de projets communs.
Nous avons vite discuté de relation libre, ouverte, non centrée sur le couple, une forme de polyamour mais pas tout à fait.
Au bout d'un an, nous avons finalement décidé d'un commun accord que nous partirions ensemble en voyage à long terme, à bord d'un van qui serait notre domicile. Difficile d'y établir un quelconque polyamour me direz-vous, puisque la définition de ce périple se concentre sur un véhicule de douze mètres carrés dans un monde qui n'est pas toujours ouvert à tout.
Nous avons donc mis en place, ces six derniers mois, tout ce qu'il fallait pour pouvoir partir ensemble et s'ouvrir au monde, plutôt que de rester sédentaires dans notre vie professionnelle comme amoureuse.
Les règles établies jusqu'ici étaient plutôt simples. Si nous avions des relations en dehors du cercle du couple, c'était ensemble et si possible avec des inconnus. Une première marche permettant de s'habituer à voir l'autre –que l'on aime– dans les bras de quelqu'un d'autre.
Les derniers mois ont été très difficiles, au niveau relationnel. Son travail l'a beaucoup affectée (relation avec le social, dans des milieux défavorisés et mettant en péril le bien-être d'enfants). Je l'ai soutenue dans ces moments, parfois sans être trop présent intellectuellement (je n'écoutais pas toujours tout, j'étais ailleurs, peut-être dans mes projets d'entreprise en création). La relation amoureuse s'en est trouvée altérée, beaucoup moins de câlins, de mots doux et de relations sexuelles.
Jusqu'à ce que... je parte quelques jours prendre l'air au soleil, faire du «coworking nomade» et qu'elle passe une soirée en plan à trois avec des amis, à qui elle dira «tout va bien, il est d'accord» .
Tout se chamboule, rien n'était prévu, elle vit sur l'émotion et sur l'instant, sans se poser de questions. Elle m'en parle finalement après un mois et m'assure qu'elle «n'a pas l'impression de me tromper» . Moi non plus, me dis-je, car si on reprend la définition du couple que nous avions dessinée ensemble, la base de tout était une ouverture. Mais je me sens trahi, car cela bafoue les règles simples que nous nous étions fixées. Et je ne sais pas si je peux lui faire confiance pour que nous vivions quelque chose de l'ordre du voyage –sentimental ou terrestre.
Voilà, après cette annonce difficile, nous avons tracé –à mon initiative– les idées plus larges d'un couple polyamoureux. Se retrouvent dans les deux dernières années des épisodes de soirées, jusqu'à ce plan à trois, où finalement tout est centré pour elle sur le sexe féminin. Son attirance semble plus forte pour les femmes et il n'y a pas eu de petits gestes envers d'autres hommes que je pourrais retenir: toutes les expériences sexuelles ou de l'ordre du flirt sur ces deux ans se sont orientées vers d'autres femmes. Est-elle lesbienne ou bi? Peut-être a-t-elle un malaise avec notre relation dont elle ne parle pas? Je cherche à comprendre.
Entre blessé par ces annonces et tentant de redéfinir un couple qui nous convienne, où son attirance pour d'autres personnes –indépendamment du genre– puisse être vécue et la nécessité de trouver une cohérence de notre couple dans ces projets imminents de voyage, j'en perds mon latin. Elle me dit que finalement, me savoir avec d'autres femmes la blesserait aussi.
C’est un beau voyage que celui que vous entreprenez, tant sur le plan sentimental que physique. Et c’est tout naturellement que se dressent des épreuves de la sorte. En effet, malgré l’ébauche à deux de contours de règles, ces dernières peuvent être remises en cause dès la mise en pratique. Les sentiments et les désirs sont un peu impalpables, peuvent surgir ou s’évanouir à tout moment et s’opposer à la raison. C’est votre façon de dialoguer et de rebondir ensemble qui sera décisive pour la suite de l’aventure.
Elle est là, en réalité, la plus grande épreuve du polyamour. Il faut accepter de tout partager avec l’autre, d’assumer ce que l’on est au fond. Dans le couple traditionnel se cachent souvent des secrets que l’on peut garder pour soi, des doutes qui ne seront jamais partagés. Mais dans le polyamour et dans le partage d’une sexualité à plusieurs, il faut s’assumer et l’assumer face à l’autre.
Ces questions que vous vous posez sur votre compagne à propos de son orientation sexuelle, elle se les pose sans doute également. Sa bisexualité probable et sa curiosité évidente ne vous mettent en réalité pas en danger. Maintenant que vous avez mis le doigt sur ce fait, vous pourriez même très bien décider de l’accompagner sur ce chemin de l’épanouissement de son désir profond.
Si le polyamour est un idéal pour vous, c’est aussi, loin de la simple théorie, l’acceptation que la vie est faite de surprises, de rencontres, d’évolution du désir –le sien et celui de l’autre. Les règles, ce sont vos règles, dans le respect des limites, les vôtres et celles de votre partenaire principal.
Ce n’est pas dans une impasse que vous vous trouvez tous les deux, mais dans la première vraie épreuve de votre projet. C’est d’honnêteté et de courage dont il est question. Allez-vous avoir la force de casser vos a priori et de réellement inventer vos règles, cette fois avec l’expérience de la pratique? Allez-vous accepter qui elle est? Êtes-vous prêt à autant de sincérité de votre côté? Mesurez votre chance de partager votre vie et un si beau projet avec quelqu’un qui vous fait assez confiance pour se présenter à vous ainsi, sans filtre et sans faux-semblants.
C’est normal de douter mais le doute fera toujours partie de votre vie si vous suivez cette voie. Vous avez décidé de partager avec quelqu’un que vous aimez une liberté presque totale. Et il en va de même pour elle. Personnellement quand je doute, je choisis de me recentrer sur les bases. Revenez à l’essentiel. Dans «polyamour», il y a surtout «amour». Si vous le pouvez, retrouvez les câlins, les mots doux, la complicité, la sexualité partagée. Parfois mille mots et des heures de réflexion valent moins qu’un geste vers l’autre. Aimez-vous d’abord.
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Chaque année, on se laisse tenter par le doux goût de vide de ces magazines. Et chaque année, je constate un phénomène tout à fait désagréable bien qu'inévitable: je vieillis.

Louison
— 20 août 2022 — Temps de lecture : 2 min
Peut-être pensaient-ils bien faire en offrant des os et un crâne à leurs propriétaires.

Repéré par Héloïse Le Fourner
— 19 août 2022 — Temps de lecture : 2 min

Denis Pessin
— 18 août 2022


«Je ne sais pas si je peux lui faire confiance pour que nous vivions quelque chose de l'ordre du voyage –sentimental ou terrestre.» | Vidar Nordli-Mathisen via Unsplash




Société


C'est compliqué


polyamour


relation amoureuse


bisexualité


voyage


Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser

Lucile Bellan
— 22 janvier 2019 à 15h28
«C’est compliqué» est une sorte de courrier du cœur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et où une chroniqueuse vous répond. Cette chroniqueuse, c’est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni médecin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problèmes. Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez écrire à cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com.
Vous pouvez aussi laisser votre message sur notre boîte vocale en appelant au 07 61 76 74 01 ou par Whatsapp au même numéro. Lucile vous répondra prochainement dans «C'est compliqué, le podcast», dont vous pouvez retrouver les épisodes ici .
Et pour retrouver les chroniques précédentes, c’est par là .
Depuis deux ans maintenant, je connais une fille, une amoureuse d'enfance. Nous nous sommes retrouvés, j'ai quitté un peu toute ma vie établie pour la retrouver à Lille, et nous élaborons un certain nombre de projets communs.
Nous avons vite discuté de relation libre, ouverte, non centrée sur le couple, une forme de polyamour mais pas tout à fait.
Au bout d'un an, nous avons finalement décidé d'un commun accord que nous partirions ensemble en voyage à long terme, à bord d'un van qui serait notre domicile. Difficile d'y établir un quelconque polyamour me direz-vous, puisque la définition de ce périple se concentre sur un véhicule de douze mètres carrés dans un monde qui n'est pas toujours ouvert à tout.
Nous avons donc mis en place, ces six derniers mois, tout ce qu'il fallait pour pouvoir partir ensemble et s'ouvrir au monde, plutôt que de rester sédentaires dans notre vie professionnelle comme amoureuse.
Les règles établies jusqu'ici étaient plutôt simples. Si nous avions des relations en dehors du cercle du couple, c'était ensemble et si possible avec des inconnus. Une première marche permettant de s'habituer à voir l'autre –que l'on aime– dans les bras de quelqu'un d'autre.
Les derniers mois ont été très difficiles, au niveau relationnel. Son travail l'a beaucoup affectée (relation avec le social, dans des milieux défavorisés et mettant en péril le bien-être d'enfants). Je l'ai soutenue dans ces moments, parfois sans être trop présent intellectuellement (je n'écoutais pas toujours tout, j'étais ailleurs, peut-être dans mes projets d'entreprise en création). La relation amoureuse s'en est trouvée altérée, beaucoup moins de câlins, de mots doux et de relations sexuelles.
Jusqu'à ce que... je parte quelques jours prendre l'air au soleil, faire du «coworking nomade» et qu'elle passe une soirée en plan à trois avec des amis, à qui elle dira «tout va bien, il est d'accord» .
Tout se chamboule, rien n'était prévu, elle vit sur l'émotion et sur l'instant, sans se poser de questions. Elle m'en parle finalement après un mois et m'assure qu'elle «n'a pas l'impression de me tromper» . Moi non plus, me dis-je, car si on reprend la définition du couple que nous avions dessinée ensemble, la base de tout était une ouverture. Mais je me sens trahi, car cela bafoue les règles simples que nous nous étions fixées. Et je ne sais pas si je peux lui faire confiance pour que nous vivions quelque chose de l'ordre du voyage –sentimental ou terrestre.
Voilà, après cette annonce difficile, nous avons tracé –à mon initiative– les idées plus larges d'un couple polyamoureux. Se retrouvent dans les deux dernières années des épisodes de soirées, jusqu'à ce plan à trois, où finalement tout est centré pour elle sur le sexe féminin. Son attirance semble plus forte pour les femmes et il n'y a pas eu de petits gestes envers d'autres hommes que je pourrais retenir: toutes les expériences sexuelles ou de l'ordre du flirt sur ces deux ans se sont orientées vers d'autres femmes. Est-elle lesbienne ou bi? Peut-être a-t-elle un malaise avec notre relation dont elle ne parle pas? Je cherche à comprendre.
Entre blessé par ces annonces et tentant de redéfinir un couple qui nous convienne, où son attirance pour d'autres personnes –indépendamment du genre– puisse être vécue et la nécessité de trouver une cohérence de notre couple dans ces projets imminents de voyage, j'en perds mon latin. Elle me dit que finalement, me savoir avec d'autres femmes la blesserait aussi.
C’est un beau voyage que celui que vous entreprenez, tant sur le plan sentimental que physique. Et c’est tout naturellement que se dressent des épreuves de la sorte. En effet, malgré l’ébauche à deux de contours de règles, ces dernières peuvent être remises en cause dès la mise en pratique. Les sentiments et les désirs sont un peu impalpables, peuvent surgir ou s’évanouir à tout moment et s’opposer à la raison. C’est votre façon de dialoguer et de rebondir ensemble qui sera décisive pour la suite de l’aventure.
Elle est là, en réalité, la plus grande épreuve du polyamour. Il faut accepter de tout partager avec l’autre, d’assumer ce que l’on est au fond. Dans le couple traditionnel se cachent souvent des secrets que l’on peut garder pour soi, des doutes qui ne seront jamais partagés. Mais dans le polyamour et dans le partage d’une sexualité à plusieurs, il faut s’assumer et l’assumer face à l’autre.
Ces questions que vous vous posez sur votre compagne à propos de son orientation sexuelle, elle se les pose sans doute également. Sa bisexualité probable et sa curiosité évidente ne vous mettent en réalité pas en danger. Maintenant que vous avez mis le doigt sur ce fait, vous pourriez même très bien décider de l’accompagner sur ce chemin de l’épanouissement de son désir profond.
Si le polyamour est un idéal pour vous, c’est aussi, loin de la simple théorie, l’acceptation que la vie est faite de surprises, de rencontres, d’évolution du désir –le sien et celui de l’autre. Les règles, ce sont vos règles, dans le respect des limites, les vôtres et celles de votre partenaire principal.
Ce n’est pas dans une impasse que vous vous trouvez tous les deux, mais dans la première vraie épreuve de votre projet. C’est d’honnêteté et de courage dont il est question. Allez-vous avoir la force de casser vos a priori et de réellement inventer vos règles, cette fois avec l’expérience de la pratique? Allez-vous accepter qui elle est? Êtes-vous prêt à autant de sincérité de votre côté? Mesurez votre chance de partager votre vie et un si beau projet avec quelqu’un qui vous fait assez confiance pour se présenter à vous ainsi, sans filtre et sans faux-semblants.
C’est normal de douter mais le doute fera toujours partie de votre vie si vous suivez cette voie. Vous avez décidé de partager avec quelqu’un que vous aimez une liberté presque totale. Et il en va de même pour elle. Personnellement quand je doute, je choisis de me recentrer sur les bases. Revenez à l’essentiel. Dans «polyamour», il y a surtout «amour». Si vous le pouvez, retrouvez les câlins, les mots doux, la complicité, la sexualité partagée. Parfois mille mots et des heures de réflexion valent moins qu’un geste vers l’autre. Aimez-vous d’abord.
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Chaque année, on se laisse tenter par le doux goût de vide de ces magazines. Et chaque année, je constate un phénomène tout à fait désagréable bien qu'inévitable: je vieillis.

Louison
— 20 août 2022 — Temps de lecture : 2 min
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Elles cherchent des couples pour trio
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