Un plan à trois britannique

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Depuis le 11 avril, Johnny Depp et Amber Heard s’affrontent au tribunal lors d’un procès pour diffamation.
Le procès pour diffamation qui oppose Johnny Depp et Amber Heard continue à faire couler beaucoup d’encre, exposant leur intimité au grand jour. Mercredi 18 mai, un témoignage explosif a ainsi refait surface. Une déposition préenregistrée de Joshua Drew, l’ex-mari d’une amie d’Amber Heard, Raquel Pennington surnommée « Rocky », a été diffusée au tribunal de Virginie. Il y évoque des incidents entre les deux acteurs dont il a été témoin alors qu’il vivait dans le penthouse de Johnny Depp. Il a notamment déclaré qu’il avait vu la comédienne crier sur l’acteur à plusieurs reprises, mais qu’il ne l’avait jamais vu le frapper. Cependant, une partie de l’interrogatoire n’a pas été utilisée lors du procès mais a été rendue public sur les réseaux sociaux. Un extrait qui témoigne d’un prétendu « plan à trois ».
« Rocky vous a-t-elle dit qu’Amber Heard avait une liaison avec Elon Musk et Cara Delevingne alors qu’elle était encore mariée à Johnny Depp ? », demande un homme hors caméra. « Oui », répond Joshua Drew tout en admettant qu’il ne peut pas préciser la date exacte de l’événement. « Vous a-t-elle dit en paroles ou en substances, alors qu’Amber était encore mariée à Johnny Depp, que tous les trois, Amber Heard, Elon Musk et Cara Delevingne , ont passé la nuit ensemble ? », l’interroge-t-on. Une question à laquelle il a encore une fois répondu « oui ». « Donc ils avaient une liaison à trois ? », poursuit l’interrogatoire. « Correct », déclare Joshua Drew. 
Cette vidéo de la déposition de l’ami du couple avait déjà été partagée par le « Daily Mail » en 2020. Le tabloïd britannique avait annoncé que Johnny Depp accusait son ex-femme de « plan à trois » avec l’entrepreneur Elon Musk et Cara Delevingne alors qu’ils étaient toujours mariés. D’après le tabloïd, les faits remonteraient à 2016 et se seraient déroulés dans le penthouse de Johnny Depp à Los Angeles. Un « plan à trois » qui pourrait forcer le mannequin britannique à comparaître et faire basculer ce procès en diffamation où des millions de dollars sont en jeu. Elon Musk avait, lui, contredit les faits à l’époque dans « Page Six ». 
« Cara et moi sommes amis, mais nous n'avons jamais été intimes. Elle le confirmerait. De plus, je souhaite confirmer à nouveau qu'Amber et moi n'avons commencé à sortir ensemble qu'un mois environ après sa demande de divorce. Je ne pense pas l'avoir intéressée pendant leur mariage ! Concernant ce procès, je recommanderais à toutes les personnes impliquées d'enterrer la hache de guerre et de tourner la page. La vie est trop courte pour une telle négativité prolongée. Personne ne dira, lorsque tout ceci sera terminé, qu'il aurait souhaité que cette bataille judiciaire dure plus longtemps » avait-il déclaré.  
Le 28 avril dernier, Johnny Depp avait lui-même accusé son ex-femme de l’avoir trompé avec Elon Musk . Il avait également exigé du patron de Space X et de l’acteur James Franco remettent tous les messages, mails ou conversations qu’ils avaient eus avec Amber Heard au moment de leur séparation en mai 2016. Les plaidoiries auront lieu le 27 mai prochain. Affaire à suivre…
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Dans les souvenirs de tous les suiveurs de la Formule 1, la saison 2007 est le théâtre d’un plan à trois entre Raikkonen, Hamilton et Alonso pour le titre mondial. Mais un autre triangle se forme cette année-là. Ferrari, McLaren et Renault, bien sûr.
L’histoire qui va suivre pourrait être tout droit tirée d’un scénario hollywoodien. Mais pas besoin de passer par Los Angeles quand on a la Formule 1 dans la vie. En 2007, la bataille fait rage entre Ferrari et McLaren. Après les deux sacres mondiaux de Fernando Alonso, chaussés des mythiques pneus Michelin , les Italiens et les Anglais comptent bien prendre le relais. Mais un scandale dans le microcosme de la F1 va rendre cette saison 2007 trépidante. Digne des séries les plus endiablées telles que Les Feux de l’Amour, au moins.
Tout commence à l’hiver 2007. Nigel Stepney, chef mécanicien de Ferrari depuis plus d’une décennie, est mis à l’écart par la Scuderia. Stepney menace de quitter l’écurie, mais personne ne bronche. L’Anglais reste finalement, mais à quel prix. En effet, pour se venger, Stepney divulgue des informations capitales de la Ferrari à Mike Coughlan, ingénieur McLaren. Le crime de lèse-majesté parfait. Mais le chef mécanicien de Ferrari ne se doute pas une seule seconde que la personne qu’il a choisi d’informer chez McLaren, n’est autre que le François Pignon anglais.
Jusque-là, rien n’a fuité. Jusqu’au jour où Mike Coughlan envoie sa femme Trudy photocopier les centaines de pages techniques concernant la Ferrari. Mais la gaffe ne s’arrête pas en si bon chemin. Trudy ne trouve pas de meilleure idée que de réaliser ces photocopies à Woking même. Petite ville connue mondialement pour abriter l’usine McLaren. C’est comme si ces photocopies avaient été réalisées à Maranello pour Ferrari. On a vu meilleure doublure au pays de James Bond.
Suite à cet agissement étrange, le propriétaire du magasin à Woking décide de contacter personnellement la Scuderia. Photocopier des documents estampillés du logo Ferrari dans une ville accueillant l’usine McLaren, on avoue que ça peut porter à confusion. Et c’est là que cette histoire devient épique. L’information remonte à Luca Di Montezemolo, patron de la Scuderia. Celui-ci décide de porter plainte contre McLaren. Le Spygate, ou Stepneygate, vient de naître.
« Je veux remercier ce gentleman anglais qui, au mois de juin, a voulu nous informer qu’une personne liée à une équipe adverse est entrée dans sa boutique et lui a demandé de photocopier des dizaines de pages contenant des informations techniques sur notre voiture » L. Di Montezemolo
Une balance sans nom au passage. Ce roi.
Mike Coughlan révèle très rapidement que McLaren était au courant de cette supercherie. L’écurie britannique voit tous ses points retirés au championnat, et écope d’une amende record de 100 millions de dollars. De quoi en faire le scandale le plus cher de l’histoire de la Formule 1. Ça fait drôlement cher le pompage.
Toutefois, vous vous demandez comment l’écurie Renault a été concernée par cette affaire ? Voyant qu’elle est en train de chuter toute seule, l’équipe McLaren décide d’accuser à son tour Renault. Dans le jargon, on appelle ça le geste du désespoir. Mais alors qu’on pense que Ron Dennis et sa clique ont tenté le tout pour le tout, il s’avère que l’accusation est finalement fondée.
Après Nigel Stepney chez Ferrari, Mike Coughlan chez McLaren, place à Phil Mackereth chez Renault. Ingénieur du côté de McLaren, ce dernier migre vers Renault comme par hasard. Et pas avec les mains vides. En effet, il apporte à la marque au losange des documents techniques concernant la monoplace de l’écurie britannique. Un plan à trois du tonnerre on vous dit.
La défense de Renault ? On avait connaissance de ces documents, mais on ne les a pas consultés. Et le plus beau dans tout ça, c’est que le Conseil Mondial de la FIA y croit dur comme fer. Dit comme ça, on dirait qu’on a épluché tous les documents du procès à la Spotlight. Alors qu’on n’en sait fichtrement rien. Résultat ? Renault est reconnu coupable d’avoir possédé des documents en lien avec McLaren. Mais évite toute sanction car rien ne prouve qu’elle en a tiré profit. Les filous.
En tout cas une chose est sûre, le gentleman agreement n’existe pas en coulisses.


Le gouvernement conservateur britannique dévoile un plan dictatorial pour «écraser les grévistes du rail»
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Plus de 45.000 cheminots ont entamé jeudi la première de deux journées supplémentaires de grève nationale contre l’entreprise d’infrastructure Network Rail et 14 sociétés d’exploitation ferroviaire. En raison de cette grève, seul un service ferroviaire sur cinq a pu fonctionner dans tout le pays.
De nombreux autres services seront touchés vendredi en raison des effets d’entraînement, la deuxième grève de 24 heures ayant lieu samedi.
Les membres des syndicats «Rail, Maritime et Transport» (RMT), «Unite» et l’«Association du personnel salarié des transports» (Transport Salaried Staffs’ Association – TSSA) sont en grève. Ils luttent contre des salaires bas et des attaques contre les conditions de travail. Mais aussi, ils veulent défendre les avantages acquis par les travailleurs au cours de générations de lutte. Le gouvernement conservateur cherche à imposer ses coupes et ses augmentations de productivité dans le cadre de son plan de reprivatisation qui s’appelle «Great British Railways».
À la veille de la grève, le ministre conservateur des Transports, Grant Shapps, s’est exprimé dans les pages du Daily Mail pour exposer ce que le journal a appelé le «plan en 16 points du ministre pour écraser les grévistes du rail». Shapps a titré son propre article d’opinion: «Nous allons nous attaquer à ces luddites… tout comme Thatcher».
En fait, le plan exposé par Shapps va bien au-delà de toute loi antisyndicale imposée par Thatcher dans les années 1980. Il propose des lois nécessaires à l’instauration d’un État policier, conférant au gouvernement des pouvoirs dictatoriaux pour arrêter toute grève. Le point 10 propose de mettre fin à l’interdiction, prévue par la loi draconienne sur les contingences civiles, d’utiliser les règlements pour mettre fin aux grèves qui, selon le gouvernement, créeraient une «urgence nationale».
Shapps se vante d’avoir«déjà mis deux des 16 mesures en œuvre – l’augmentation des dommages et intérêts pour action illégale, et l’autorisation pour les travailleurs intérimaires de remplacer temporairement les grévistes».
Les autres sont: l’augmentation du seuil de vote pour les grèves; le doublement de la période de préavis pour les grèves pour la porter à quatre semaines; l’autorisation d’une seule grève par mandat; l’imposition de limites absolues sur le nombre de piquets de grève; des restrictions sur les piquets de grève près des infrastructures critiques; la mise en œuvre d’un prétexte de «langage incendiaire» pour poursuivre les piquets. Il y a également un prétexte d’«intimidation en ligne» pour la censure; une autorisation accordée aux employeurs de court-circuiter les syndicats dans les accords avec les travailleurs, l’ingérence du gouvernement dans les scrutins syndicaux; l’instauration d’une limite au temps disponible pour les fonctions syndicales; la mise en œuvre des niveaux de service minimum; l’arrêt de la déduction automatique des cotisations syndicales des salaires et l’imposition d’un impôt sur la paye de grève.
Shapps a laissé entendre que les attaques contre les grévistes du rail sont au cœur d’une offensive contre l’ensemble de la classe ouvrière. Il a écrit que son plan «Great British Railways» était «plus grand qu’une seule industrie. La Grande-Bretagne, comme tout le monde le sait, a un problème de croissance et de productivité… L’un des moyens les plus rapides de stimuler la croissance est de réformer les pratiques de travail dépassées, inefficaces et coûteuses».
Le gouvernement est soutenu par le parti travailliste, dont le leader Sir Keir Starmer a une nouvelle fois demandé à ses députés en vue de se tenir à l’écart des piquets de grève cette semaine, sous peine de perdre leurs postes de représentants de l’opposition. Il n’a pas de désaccord fondamental avec la série de lois adoptées pour bâillonner la classe ouvrière.
Le secrétaire général du RMT, Mick Lynch, a répondu à Shapps en déclarant à Sky News que ce dernier était «de plus en plus hystérique».
«Ce que je pense, c’est qu’il s’agit d’un homme qui s’inquiète pour son avenir. Il doit essayer de montrer ses muscles de droite devant deux personnes vraiment de droite [les candidats à la direction du Parti conservateur, Liz Truss et Rishi Sunak] qui vont devenir son patron».
«Je ne sais donc pas ce que Grant Shapps prépare. Je ne pense pas que les employeurs savent vraiment ce qu’il prépare. Et je ne pense pas que les fonctionnaires du ministère des Transports savent ce qu’il prépare».
C’est une minimisation criminelle de la menace qui pèse sur la classe ouvrière. Si Shapps cherche à se faire une place dans le prochain cabinet conservateur en proposant ces mesures, qu’est-ce que cela dit sur le cabinet et son programme!
Le Parti de l’égalité socialiste a lancé cet avertissement dans sa première déclaration sur les grèves ferroviaires: «La classe dirigeante veut finir le travail que Thatcher a commencé en 1984, lorsqu’elle avait entrepris de casser les reins des mineurs pour mettre fin à toute opposition à sa contre-révolution sociale».
Dans sa déclaration suivante, le PES a précisé: «Il ne s’agit pas d’un conflit industriel ordinaire. Le premier ministre, Boris Johnson, et son gouvernement de gangsters politiques veulent imiter le ciblage des mineurs par Margaret Thatcher en 1984-85, qui s’est soldé par une défaite qui a transformé le Royaume-Uni en un terrain fertile pour les super-riches et a commencé un cauchemar social pour des millions de travailleurs».
Faisant référence aux articles dans les médias de droite qui qualifient les grévistes de «laquais de Poutine», le PES a expliqué: «Tout comme la désignation des mineurs comme “l’ennemi intérieur” par Thatcher a annoncé une offensive massive de l’État se traduisant en 13.000 arrestations, 200 emprisonnements, près de 1.000 licenciements, deux décès sur les piquets de grève et trois dans les mines de charbon, la description des cheminots comme “amis de Poutine” prépare la voie à une mobilisation totale de l’État, cette fois contre l’ensemble de la classe ouvrière».
Shapps a totalement confirmé cet avertissement. Il n’est pas un électron libre «hystérique». Il est actuellement le principal représentant du gouvernement dans un assaut historique contre la classe ouvrière, qui est mené de concert avec les grandes entreprises.
S’exprimant avant la grève lors d’une réunion d’information des membres du RMT, Lynch a fait référence aux «demandes que les sociétés [d’exploitation ferroviaire] présentent sous l’ordredirect du gouvernement». El
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