Un pique-nique qui part en orgie

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Un pique-nique qui part en orgie
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UNE orgie d'art nous est offerte dans les galeries nationales du Grand Palais, grâce à l'exposition «Le siècle de Titien» (l'âge d'or de la peinture à Venise), qui ne réunit pas moins de quelque 150 tableaux, 100 dessins et une vingtaine de gravures. Maints chefs-d'oeuvre recrutés de par le monde sont ici montrés, autorisant le plus fécond comparatisme.
C'est ainsi qu'on peut voir, entre autres, de Giorgione, le «Portrait de jeune homme» de la Gemäldegalerie de Berlin, celui non moins sublime du Szépmüvészeti Muzeum de Budapest, «Laura» (Kunsthistorisches Museum de Vienne) ou «la Vecchia» des Gallerie dell'Accademia de Venise... De Titien, l'inventaire présenté est considérable, depuis «Flore» de la galerie des Offices jusqu'au bouleversant «Supplice de Marsyas» du château archiépiscopal de Kromeriz en Bohême, jamais vu en France, en passant par «l'Education de l'amour» de la galerie Borghèse, «Danaé», «Vénus avec Cupidon et un organiste» (toutes deux prêtées par Madrid), «l'Annonciation» de l'église San Salvador de Venise et autres trésors inestimables. Ajoutons, pour faire bon poids, «Vénus et l'Amour» de Lorenzo Lotto (Metropolitan Museum de New York); «le Christ au jardin des oliviers», du Tintoret (église San Stefano de Venise) et, du même, la fascinante scène de meurtre de «Caïn et Abel»; «Vénus et Adonis» de Véronèse (musée du Prado) et des toiles de Giovanni Bellini, Paris Bordon, Schiavone, Dosso Dossi, Sebastiano del Piombo, Cariani, Palma Vecchio...
Bref, un ensemble quasi exhaustif qui permet, selon ses initiateurs, Michel Laclotte et Giovanna Nepi Sciré, d'en avoir le coeur net sur les influences, les correspondances, l'émulation, voire la concurrence et la collaboration d'une phalange d'artistes qui se définirent peu ou prou autour de la «manera moderna», dont on s'accorde à voir le père en Giorgione (1477-1510), génie mort au même âge que le Christ.
C'est à lui qu'on doit ce frémissement neuf de la lumière, ce pressentiment de l'invisible et la plus vibrante sensualité par le truchement d'une couleur fluide, obtenue par une plus forte concentration des pigments. On lui est aussi redevable d'avoir en quelque sorte systématisé l'insertion de la nudité féminine dans le paysage que Titien (1490-1576), son cadet, qui jouira d'une longévité fertile avant d'être emporté par la peste, ne se fera pas faute d'explorer, jusqu'à inventer, dans son «Concert champêtre» (musée du Louvre) le thème des femmes nues et des hommes habillés sur l'herbe, qui hantera durablement, sous la forme du «déjeuner», les peintres des siècles suivants, de Manet en Picasso.
D'Annunzio, dans «le Feu», résume l'enjeu avec superbe lorsqu'il écrit: «Je vois Giorgione dominer la contrée merveilleuse, tout en ne percevant pas sa personne mortelle. Je le cherche dans le mystère de la nue ignée qui l'enveloppe (...). Certains ne lui reconnaissent aucune oeuvre sûre. Et pourtant, tout l'art vénitien semble enflammé par sa révélation. Le grand Titien semble avoir reçu de lui le secret d'infuser un sang lumineux dans les veines de ses créatures.»
C'était bien vu. L'exposition le prouve. La salle 2 (il y en a 20, agencées par Richard Peduzzi avec le grand goût qui le caractérise), consacrée à Giorgione, après qu'on eut pu voir en introduction des oeuvres de Bellini, notamment, qui fut son maître - Bellini dont Dürer, en 1506, dit qu'il «est très vieux, mais c'est encore le meilleur peintre de tous» -, nous fait offrande de merveilles.
Giorgione, sur la lancée de Léonard, accomplit un bond en avant insurpassable dans la véracité psychologique en peinture, en même temps qu'il abolit toute sécheresse dans l'insertion du sujet sur la toile, installe la figure humaine de plain-pied dans le monde qui l'entoure, l'inscrit en communion dans l'atmosphère, posant et résolvant en acte, au sein de la plus souple harmonie, la question épineuse du «passage» entre la figure et le fond du tableau. Il suffit de contempler «la Vecchia», le «Jeune Berger à la flûte» (prêté par Sa Gracieuse Majesté britannique, d'ordinaire peu prêteuse), le «Jeune Garçon à la flèche» de Vienne ou «les Trois Ages de la vie» du Palazzo Pitti de Florence pour saisir comment, par le biais d'une conquête technique qui favorise l'application plus épaisse de la peinture à l'huile, Giorgione atteint avec un mélange de couleurs la vérité qui est vie et mouvement, en supprimant le contour qui «bloque» les silhouettes sur le fond, disposant au contraire celles-ci dans des ombres floues et estompées.
Le jeune Titien procédera de même, à un point tel qu'il y eut longtemps une difficulté certaine à démêler entre eux le tien du mien, ces querelles d'attribution n'étant pas terminées (1). Mais ce qui chez Giorgione fut révolution - la recherche du fondu et de l'éclat chromatique - s'est mis à couler de source chez Titien. Sa maîtrise sera souveraine, tant dans le portrait d'apparat (qu'il s'agisse de François Ier ou d'Eleonora Gonzaga, d'Alphonse d'Avalos ou du pape Paul III Farnèse, pour ne rien dire de «l'Homme au gant» du Louvre, cette admirable carte de visite de l'humanité pensante) que dans le thème religieux («la Mise au tombeau» et «la Vierge au lapin» du Louvre; «la Crucifixion» d'Ancône; «l'Annonciation» de Venise; «Ecce Homo» de Saint-Louis (Missouri) ou «Saint Jérôme» de l'Escurial). Que dire alors de ses profanes nudités mythologiques, ses Vénus, Danaé et Flore à la carnation palpipante? Au soir de sa vie, la palette s'assombrit et des faisceaux de lumière irradient à point nommé des scènes d'angoisse. Dans «le Supplice de Marsyas», c'est le regard insoutenable de la victime - le satyre écorché suspendu tête en bas - brillant d'un effroi panique, qui capte toute l'attention.
Ce n'est pas qu'autour de Giorgione et Titien il n'y ait de belles et bonnes peintures, mais auprès d'eux, mis à part Tintoret et Véronèse, qu'elles que soient leurs vertus respectives, leurs contemporains pâlissent, soit par goût de l'anecdote, soit par esprit de système trop visible.
On sort du Grand Palais la tête émerveillée et puissamment nostalgique d'un temps de révélations grandioses sur la beauté et la souffrance. C'était au bord de la lagune, à quelques encablures de la Contre-Réforme qui s'annonçait.
(1) Voir là-dessus le catalogue (390 francs), qui constitue un monument d'érudition à la hauteur de l'événement.

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La somptueuse et belle Gilgamesh se baladait dans la foret accompagner de l'un de ses gardes du corps car elle voulait absolument faire un pique-nique "Alala j'espère au moins rencontrer des gens que je connait dans cette foret car les pique nique seule c'est pas drôle, regarde la-bas il y a un belle endroit si on s'installait la pour nous pouvoir déguster notre magnifique repas" Gilgamesh et son garde du corps allèrent s'assoir et commencèrent a déguster leur magnifique repas
Decado marchais d'un pas rapide. Dans l'étroit regard violet du seigneur brillent les flammes de la colère. Sa mâchoire et ses poings sont serrés. La rage coulais dans ses veines et son cœur crie de vengeance. Il rencontra la belle Gilgamesh en train de savouré un délicieux repas. Malgrès sa rage il lui dit d'un air calme Bonjour comment allez vous puis je me joindre à vous ?
Gilgamesh leva les yeux pour voir le visage de decado qui n'avais pas l'air de bon poil se matin mais elle accepta quand même sa demande après tout elle n'arriverais jamais a manger tout son repas même avec l'aide de son garde du corps "Bien sur mon cher ami instal toi il y a bien asser pour nous 3" Gilgamesh a finalement rencontrer quelqun qu'elle connaissait c'était ce qu'elle voulait pour cette matinée elle était heureuse sous le soleil brulant
Merci j'espère que tu as du lait de chèvre. Il est vrai que je suis de fort mauvaise humeur je rencontre des soucis majeur dans mon empire et je pense que seule le massacre et la guerre pourras les résoudre... Si je puis me permettre ton garde du corps mange un peu trop et manque d'exercice il devrait rejoindre la caserne d'entrainement de mon armée afin de perfectionné son maniement d'arme et son endurance
Gilgamesh regarda decado d'un air gentil et admiratif, puis elle se mit a rire telle une gamine "tu as bien raison mon ami mais tu sais je suis une bien jeune reine et mes soldats ne se comptes pas vraiment par milliers comme les tiens mais plutôt par dizaines et oui je veux bien que mon garde du corps rejoigne ta caserne, cela n'en serais que plus utile pour nouer notre amitiés" Gilgamesh regarda son garde du corps et lui proposa cette idée, le garde accepta tout de suite et se remis a manger au sitôt
Il va être à bonne école sois en certaine. J'apprécie les personnes qui ont du caractère, indéniablement il est un guerrier née cela ce voit dans sa façon de bougé. Et vous quel nouvelle de votre empire j'ai vue au dernière missive que vous exposiez une nouvelle galerie d'objet precieux ?
"Oui tes nouvelles sont vraies j'expose en ce moment dans mon musée se trouvant entre les remparts de ma capitale trois œuvres d'une beauté incroyable, elles sont toutes trois uniques et elles pourraient si elles tombaient entre de mauvaise mains révéler la fin de notre monde" Gilgamesh était peu être jeune et naïve mais elle savait a qui elle pouvait faire confiance et decado fesait partit de ces rares personnes "Si cela vous fait envie il s'agit de l'épée, du casque et du bouclier du dieu qui a créer notre monde" Gilgamesh était maintenant libérer d'un poids une autre personne digne de confiance partageait son lourd secret
Je me promenais dans la forêt, quand j'aperçu le seigneur Decado en charmante compagnie. Ils étaient tout deux en train de pique-niquer. Apparement complices, leur discussion semblait animée de secrets et de confidences... Je choisis donc de ne pas les déranger, et je passais mon chemin...profitant de la végétation luxuriante pour ne pas être vue.
La colère de Decado pulsait toujours dans les veines du seigneur, ses sens était au aguets. Un craquement leger retentit soudain dans la foret. Il se leva scruta d'un regard vif la forêt mais il ne distingua rien. Seul le bruit du vent sur les feuilles orangés. Je vous pris de m'escusé Gilgamesh, je vais voir ce qui ce passe dans les environs avec tous ce qui ce trame contre moi en ce moment je préfere ne rien négligé.
Gilgamesh se releva et regarda Decado inquiète, elle avait peur pour sa sécurité, elle pris son courage a deux mains et lui dit d'un ton sur et courageux "Je vous accompagne nous serons plus en sécurité a trois vous, moi et mon garde du corps" Gilgamesh toujours très stresser ne se rendait pas compte du danger au quel elle s'exposait
En m'éloignant, je ne vis pas une brindille qui était sur mon chemin..Le bruit sec me fit sursauter. Ciel!J'allais me faire repérer..Je savais que l'oreille du Seigeur Decado était très affûtée. Il m'avait sûrement entendue..Je me retournais et...
Gilgamesh qui cru entendre un petit bruit se retourna vers le seigneur decado "Mon ami avez vous entendu ce bruit, j'ai peur"
Decado crue voir une ombre non loin de la, il intima au garde du corps et à Dame Gilgamesh de ne pas bouger puis se mis marcha d'un pas sur et sans bruit en direction de la menace potentiel. ll sortit rapidement une épée courte.
Ectorion se baladait tranquillement, complètement bourré, une amphore de bonne liqueur à la main. Il avait comme d'habitude les traits tirés, le teints cireux. En même temps, avec tout ce qu'il buvait... Il faisait régulièrement des pauses, allongé par terre parce que le sol se renversait sous ses pieds (ou bien l'inverse?). Il criait bêtement dans les bois. Youhou! On m'a dit qu'il y avait une ORGIE! Vous êtes où les amis? Les mecs, venez! Ectorion avait en effet emmené avec lui une partie de ses citoyens qui étaient de toute façon inutiles en ville. Ils étaient au moins aussi bourrés qu'Ectorion, le Grand Seigneur (de la Biture). Ils trainaient une grande charrette emplie d'amphores, de fruits, de viandes marinées et confites, de gibier cuisiné, de moult épices, de femmes, de draps, de pillards.... de pillards?? Ectorion se retourna brusquement, tombant par terre en tenant de sortir une imaginaire épée. Ses citoyens, se croyant invincible sous l'effet de l'alcool, sautèrent sur les bandits, en étripant quelqu'un à main nu. Néanmoins, les gredins, sobres, mieux armés et entrainés réussirent à s'enfuirent, poursuivit par une armée titubante de pèquenots complètement saoul. Ectorion repris de plus belle Youhou! On m'a dit qu'il y avait une ORGIE! C'est où??
...je vis le seigneur Decado qui se dirigeai vers moi. Rangez donc votre épée,seigneur Decado. Ce n'est que moi. Je ne désirais pas vous déranger...
Gilgamesh et son garde du corps exécutèrent les ordres du seigneur decado, pour une sureté plus sur ils dégénèrent tout deux une épée pour assurer leur protection en cas d'attaque d'ennemis les visant "faite attention mon seigneur Decado"
Decado vis la belle et noble Willjo il remit d'un geste rapide son épée au fourreau Toute mes escuses jamais je ne pourrais levé la mains sur vous, mais la prudence est parfois importante. Votre présence ici est un plaisir immense.
Gilgamesh voyant Decado ranger son épée était plus tranquille, elle entendit aussi les cris d'ectorion et lui cria fort et sans hésitation "Nous somes la mon seigneur Ectorion venez"
je suis aussi heureuse de vous voir. Mais je dois déjà regagner mon château. Et je crois que vous avez laissé une demoiselle seule..avec pour toute défense ce lourdeau qui doit lui servir de garde du corps...Je m'en retourne donc chez moi et vous prie de retourner auprès de celle qui vous tenait compagnie. je crois que le seigneur Ectorion est dans les parages et ses hommes sont souls, comme d'habitude... Ne craignez pas pour moi, je repars...
Je ne peux vous laissez partir dite moi au moins que nous nous reverrons bientôt votre compagnie est si agréable que j'ai parfois du mal à me passé de vous. Vous savez apaisé ma colère votre cœur est si pur
C'est promis...je reviendrai bientôt Bonne nuit à vous,et que vos rêves vous apaisent...
Gilgamesh de son coter attend toujours le seigneur Decado, elle commence a s'inquiéter, et si la femme avec qui il a commencer a parler l'avais enlever ou pire tuer, toutes sortes de scène affreuse venaient en tête a Gilgamesh "Decado pourvu qu'il ne vous sois rien arriver, je m'en voudrais énormément"
Decado pris la main de la noble Willjo lui dit un dernier mot et la laissa partir. Que votre nuit sois aussi douce que la peau d'un nouveau née. Il la regarda partir puis se rappela que Gilgamesh attendais toujours non loin de la dans la foret, et ce n'est pas son garde du corps qui offrais une protection suffisante. Il la rejoignit rapidement Pas trop inquiète ? lança t il tous en reprenant son souffle
Gilgamesh heureuse de revoir Decado lui dit gentillement "non vous êtes la maintenant donc ça vas"
Ah bah vous b'la -hips- mis... voila les amis! J'ramène du monde et d'la boustifaille! Ectorion s'allongea au sol ou plutôt tomba comme une défécation, releva fièrement le haut de son corps pour atteindre miraculeusement la position assise. Il prit alors deux verres et servit ses compagnons. Bon on fait quoi? Vous m'avez pas l'air très motivé pour une fête qui va durer toute la nuit! Je dois fêter mon dieu en faisant la fête! Il m'a d'ailleurs tout à l'heure, grâce à la biture, protégé des brigands. Ectorion leur raconta, la langue pâteuse, la mésaventure qu'il lui était arrivé dans les bois, avec les voleurs de petits chemins. Allez! Santé à notre pacte de sang représentant cette alliance soudée!

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