Un peu de stratégie, attaque d'une ligne de front

Un peu de stratégie, attaque d'une ligne de front

Actualités mondiales & françaises


On va se détendre un peu avec cet article 😊


Comme annoncé sur la chaîne Zz, et pour comparer avec le choix des LDNR, voici la stratégie que j'applique depuis fin novembre contre un front extrêmement bien défendu, avec nombreuses positions défensives bien préparées, champs de mines en profondeur etc.

Nous sommes le 19 mars 1943 au matin, dans le secteur du village de Karbusel, 45 km au sud-est de Leningrad, moins de 10 km à l'Est de Sologubovka.

L'idée est de sonder toute la ligne de front avec un soutien d'artillerie et espérer, soit de réussir à finir par repousser l'adversaire grâce à l'attrition, soit de percer à un endroit plus faible ou disposant d'une topographie favorable.

Les premières heures, c'est un mur impénétrable (j'ai failli abandonner l'idée de l'offensive, puis je me suis autorisé de perdre une part significative de troupes avant d'abandonner) mais une faiblesse est constatée au centre de la ligne, légèrement à l'ouest.

Le but devient alors de percer sur plusieurs kilomètres en profondeur pour passer le no man's land complexe, bourré de mines, bunkers et de troupes ennemies solidement retranchées. On parle d'une partie du siège de Leningrad, ce n'est pas à prendre à la légère.

Un grand effort est déployé pour réussir à conserver ce passage dans la ligne ennemie, puis à engouffrer un maximum de troupes dans la brèche, tout étendant un peu le passage de chaque côté.

C'est une réussite.

Ensuite, l'objectif est de mener des combats dans l'arrière des troupes ennemies, un secteur où l'adversaire n'a pas de positions préparées ; la tâche y sera plus facile, et permettra également d'attaquer l'ennemi par l'arrière, par le nord et le sud simultanément, c'est toujours plus sympathique. L'idée est donc de s'écarter le plus possible de la ligne de front dans un premier temps, pour tenter d'encercler les positions ennemies, bien au large.

Je fonce plein sud et me contente de défendre le reste de la ligne de front d'origine.

De plus, je défends les flancs de la percée et n'engage aucune offensive vers l'ouest (certains y verront une erreur, une lenteur de ma part, qui s'explique par le fait que je préfère attaquer avec un ratio de troupes extrêmement supérieur, compte tenu du sérieux de la force ennemie qui me fait face).

Puis, une fois le front coupé en deux, fracturant l'ennemi en deux parties, l'empêchant de manœuvrer et de transférer du renfort d'un côté vers l'autre, j'attaque par le flanc et l'arrière la partie Est. Le village de Lodva, au sud-est, devrait tomber dans la journée du 20 mars j'espère. Il s'agira de batailles difficiles puisque là, nous sommes dans les positions préparées, mais j'attaquerai depuis l'ouest et non depuis le nord.

Seulement ensuite, je laisserai mes unités les plus épuisées sur place pour empêcher tout retour ennemi depuis le sud de Lodva, et je prendrai un certain temps pour basculer tout le reste de mon dispositif vers l'ouest, en vue de relancer l'offensive lorsque j'aurai une extrême supériorité, par le sud, très loin des positions défensives de l'ennemi. Et je remonterai vers le village de Karbusel à l'ouest, avant d'achever l'ennemi vers le nord-ouest.

Je m'attends à l'arrivée de renforts ennemis, dont peut-être des blindés, par le sud-ouest. Pour cela, je me dépêche d'en finir avec la partie Est, puis j'espère prendre possession de la partie ouest avant l'arrivée des renforts ennemis. Pour cela, je me pose actuellement la question de lancer l'attaque à l'ouest sans attendre que Lodva ne tombe. Ca ne m'engage à rien : simples reconnaissances offensives, je sonde la défense ennemie à l'ouest, et si la défense est molle, je progresse. A voir, ma décision n'est pas encore prise. Quelqu'un de plus agressif n'aurait pas figé la partie ouest et aurait attaqué les deux côtés simultanément. Personnellement, je ne le "sens" pas, la situation risque de me mettre mal à l'aise alors qu'actuellement, j'ai un net avantage : inutile de provoquer une situation difficile. D'autant plus qu'une bonne partie de mes troupes au centre/sud sont à court de munitions et exténuées.

D'un autre côté, je n'ai pas figé la partie ouest sans raison. On me demande de prendre et de tenir plus de la moitié des objectifs pendant plus de la moitié du temps. Or, il y a plus d'objectifs au sud et à l'Est qu'à l'ouest : c'est ce qui a partiellement motivé ma stratégie. Le temps commence à jouer en ma faveur. En cas de difficultés, il me suffit de passer en mode défensif. Et là, c'est mon point fort, même si jouer la défense ne m'intéresse pas, car je m'ennuie rapidement. Il suffit de tenir suffisamment de temps pour obtenir la victoire.

Mais mon objectif personnel est de détruire entièrement l'adversaire, et de le fragmenter, comme dans l'exemple de Dzhgun, sud-ouest de Kharkov, en mai 1942.

Je ne vous montre pas les échecs, ce n'est pas l'objet ici.

Revenons à Karbusel :

Notez qu'un observateur extérieur aurait passé un temps impressionnant à dire que « les soviétiques font n'importe quoi, en fonçant plein sud, depuis le centre/ouest, ils ne cherchent pas à saisir les objectifs, surtout les objectifs principaux, ils perdent du temps, l'adversaire accumule des "points" » passivement. Oui, il faut savoir perdre du temps et faire des efforts supplémentaires, pour en gagner beaucoup plus et plus facilement plus tard. Cf. la situation 24 heures plus tard.


On comparera avec le choix du GQG russe de l'époque, généralement j'ai toujours de l'avance. Et on peut comparer avec vous si vous le souhaitez. Un autre article est en cours de préparation au sujet de ce simulateur.

Maintenant, retournons à l'époque actuelle, région ukrainienne de l'ex-Empire Russe/URSS.


Mise à jour à 16h00 - 19h00

Lodva a été pris pour la deuxième fois de la journée.

La première attaque a eu lieu à 12h par l'ouest et le nord. Etonnamment, l'ennemi m'a surpris.

Un tiers de mes troupes maintenaient une pression depuis le nord (en 7/9), un tiers a exercé une attaque de cisaillement depuis l'ouest (en 9/8), vers le nord du village ; l'autre tiers également en 9/8 a exercé une attaque sur le sud du village. J'estimais que l'ennemi m'attendrait en 8/9, ça n'a pas été le cas. Ses troupes étaient concentrées dans le village et soutenues par de l'artillerie au sud et au sud-est.

J'ai alors ordonné à mes troupes au nord de sonder le no man's land, en traversant si possible la forêt au nord pour se rapprocher du village. Ce qui a été fait sans rencontrer la moindre résistance, en subissant quelques pertes en raison des champs de mines. Cependant, le groupe fut accueilli par un tir nourri d'artillerie dès qu'il s'exposa. C'est là que le groupe sud-ouest est entré dans le jeu : en tentant d'attaquer l'ennemi situé au sud du village. Mais l'ennemi était bien retranché. Mon groupe sud-ouest ne put que détourner par moments l'attention des artilleurs situés au même endroit. Le groupe devant cisailler l'ennemi n'a pas eu ce rôle et a rejoint le groupe nord, au nord du village. A force de pression depuis le nord et le sud-ouest, le village tomba ainsi que les positions du groupe de soutien ennemi, au sud, fuyant face aux éléments avancés de mes troupes.

A 15h, profitant d'un repli temporaire de mes troupes qui s'étaient trop distancées des lignes principales, vers le sud du village, l'ennemi reprit Lodva avec un groupe moins sérieux. Une tactique similaire, en attaquant par le nord et le sud-ouest, en contournant davantage Lodva par l'Est, apporta le même résultat victorieux.


L'ennemi a ainsi ralenti mon plan qui prévoyait l'envoi de troupes excédentaires vers l'ouest, en vue de reprendre les combats vers l'ouest avec un beau surnombre.


Au sud-ouest, pressentant l'arrivée de renforts ennemis, dès 12h, j'ai tenté d'accélérer le mouvement en reprenant les combats, en sondant les lignes ennemies, sans toutefois exiger une progression. Cela a permis de constater que l'ennemi avait déjà déployé de nombreux renforts. Mes troupes, épuisées à cet endroit du front, ont eu du mal à tenir leurs positions, l'ennemi tentant des contre-attaques. Vers 15h, une rotation d'unités a pu avoir lieu, consolidant la ligne de front.

A 16h auront lieu de nouvelles batailles avec des troupes renforcées et polyvalentes (infanterie, chars, canons etc). La mission n'est pas forcément de progresser à tout prix, mais de faire subir une forte attrition à l'ennemi, de saisir des opportunités, en attendant le renfort des unités situées sur Lodva d'ici la fin de nuit j'espère (à moins de nouvelles contre-attaques ennemies sur Lodva).* Ainsi, je maintiens et renforce ici une agressivité malgré un adversaire exprimant une forte puissance.

Lorsque des troupes supplémentaires arriveront, je pourrai prendre le risque, si je le veux et si c'est nécessaire, de perdre 500 ou 1 000 hommes en quelques heures, pour obtenir un gain territorial à cet endroit, qui pourrait me permettre de débloquer la situation si celle-ci est toujours bloquée.


Au nord-ouest :

L'ennemi ne cessait de me harceler en sondant mes lignes depuis le 19 mars. Je l'ai repoussé à coups d'artillerie sur les zones stratégiques. L'ennemi perdait de nombreuses troupes inutilement, le ratio de pertes était souvent de 1 à 5, voire davantage, en ma faveur. Si bien qu'après un temps, j'ai décidé de mener une attaque surprise contre le lac Krugloe, depuis l'Est (2/3), en considérant que l'ennemi s'était considérablement affaibli et que le peu de profondeur à sa disposition l'empêchait de manœuvrer, d'amener des renforts ou de faire des rotations de troupes. Le but n'était pas de prendre possession du lac Krugloe, le but était d'écraser un ennemi affaibli avec un rapport de forces 5 à 10 fois plus élevé, puis de retourner dans les tranchées en 2/3.

Cette nuit, si l'ennemi ne cherche pas à reprendre le lac Krugloe, je prendrai la position. Si l'ennemi reprend le lac Krugloe, je renouvellerai l'opération d'attrition. Cela me permet de bouffer l'ennemi avec peu de risques et d'efforts. Notez que je tiens le point stratégique en 2/3 : le temps joue pour moi à tous les niveaux, inutile de prendre des risques : c'est l'ennemi, désespéré, qui doit saisir cette position stratégique, que je défends facilement.*


Néanmoins, je compte adapter ma stratégie. L'ennemi a renforcé tout ce qui lui reste du sud.** Il m'est difficile de reprendre l'attaque vers l'ouest. Au nord, j'ai cet avantage de pouvoir percer le no man's land à loisir et d'exploiter le manque de profondeur de territoire ennemi, qui l'empêche de manœuvrer facilement. Mes troupes y sont solides, n'ayant mené que de faibles engagements. Cela pourrait devenir le nouvel axe de bataille : retenir au sud et pousser depuis le nord vers le sud.

Prendre la décision de déstabiliser le paradigme bien établi au nord-ouest, qui m'est largement favorable, peut déboucher sur des surprises bonnes ou mauvaises... Cela dépendra de mon ressenti sur la situation générale et sur celle au nord-ouest (avec quelle force l'ennemi reprendra le lac Krugloe) et de mon humeur du moment : agressive ou précautionneuse.


*La situation au nord-ouest (et par moments celle au sud-ouest), rappelle celle de la Russie aujourd'hui en Ukraine : j'ai largement de quoi écraser l'ennemi, mais je reste dans mes tranchées, je grignote l'adversaire, je fais une attaque et me replie immédiatement. Un observateur extérieur se moquerait de moi en me qualifiant de faible, d'avoir raté mon attaque sur Karbusel etc. En réalité, durant tout ce temps, l'ennemi perd par endroit 5 fois plus de personnels, à d'autres endroits il perd des objectifs stratégiques. La situation ne peut devenir gênante que s'il reprend l'initiative. En l'état actuel des choses, pour cela, il lui faudrait continuer à recevoir du renfort en infanterie dans la durée. Quant à des véhicules, ils ne m'impressionneraient pas forcément, dans les forêts. A voir. Mais je n'ai pas l'intention d'attendre qu'il ait de quoi reprendre l'initiative.
Par expérience, je sais que la difficulté s'arrête (ou commence) lorsqu'une des deux parties ne reçoit plus de renforts pour équilibrer ses pertes. Et à ce moment là, tout s'effondre tel un château de cartes. Il est encore tôt je pense à 16h le 20 mars 1943. Patience, je reste optimiste ! L'ennemi se veut impressionnant, seuls les résultats doivent impressionner, pas les prétentions.

**On me reprochera d'avoir laissé l'ennemi renforcer son sud, reconstituer une ligne défensive. C'est un peu comme ceux qui discutent sur Dunkerque en 1940. J'ai fait le choix de ne pas attaquer à l'ouest, car je ne pouvais étaler et étirer mes troupes. De plus, à cet endroit, elles étaient, et sont toujours, très affaiblies en raison des combats précédents. En poursuivant le combat vers l'ouest en même temps que vers l'Est, j'exposais ces troupes peu denses à une attrition, à leur destruction et l'ennemi aurait pu développer une contre-offensive dans le centre de mon dispositif. La percée que j'ai réalisée était suffisamment osée, il faut savoir faire preuve de retenue. Sinon, on perd gros. Quant à Dunkerque, pensez-vous que tous les éléments étaient réunis pour que cette hypothétique attaque ait pu se produire sereinement ? Certains vont jusqu'à s'étonner de l'absence d'un débarquement en Angleterre en juin 1940 ! Avec quelle flotte ? Sans avoir assuré le contrôle des arrières ? Vous rigolez ? La percée jusqu'à Dunkerque était déjà suffisamment osée et éprouvante.


Les premières comparaisons avec les choix du GQG russe de l'époque montrent une différence significative. Il a choisi d'attaquer sur toute la ligne du no man's land. Résultat : il n'a pas avancé, sauf de 1 ou 2 km à un endroit. Mon choix de réaliser une percée en profondeur et d'attaquer la ligne ennemie par ses arrières a été excellent. Maintenant, il faut que je réussisse à maintenir un ratio de pertes fortement en ma faveur (au pire en passant à la défensive), ou que je continue à progresser, et la victoire sera assurée. Vu que l'ennemi a été rapidement balayé d'une grande partie de la carte, l'avantage est de mon côté.


Mise à jour du 23 mars 1943 à 8h

Après la technique testée avec succès au lac Krugloe, l'ennemi n'ayant pas tenté de reprendre ses positions, la tactique a été utilisée à de multiples reprises du nord-ouest au sud-ouest de la carte : provoquer l'ennemi, le laisser attaquer, détruire ses troupes lors de son attaque, et l'écraser lors d'une contre-offensive d'une profondeur très limitée, sans chercher à tenir le terrain. Ainsi qu'exploiter des opportunités.

Pour accélérer le processus et pour pousser l'ennemi à lancer une profonde contre-offensive au nord-est de Karbusel, j'ai ordonné une attaque assez solide sur plusieurs axes (depuis le nord et le nord-est), dans l'objectif qu'il étire ses lignes dans mes profondeurs, pour réduire la densité de ses troupes et les attaquer de toutes parts. L'astuce était de feindre la faiblesse en interrompant les combats rapidement et en se repliant. Cela a partiellement fonctionné. L'ennemi était beaucoup plus puissant que prévu (nous nous sommes retrouvés à 1 contre 4). J'ai perdu du terrain, mais le ratio de pertes a été largement en ma faveur, l'adversaire s'étant cassé les dents sur ma ligne défensive. C'est la seule et unique initiative que l'ennemi a pu obtenir dans l'ensemble du combat, sachant que je lui ai offerte, et cela n'a été que de courte durée, l'ensemble des positions perdues (3 km carrés) ayant été reprises dans les heures qui suivirent. J'ai jugé qu'il n'était pas utile de renouveler l'opération, car la perte territoriale est trop importante par rapport au gain en attrition de l'ennemi. De plus, j'ai jugé que les risques étaient trop élevés : la densité de l'ennemi était bien trop excessive, le jeu des provocations pouvait se terminer par une catastrophe, à 4 contre 1, je pouvais facilement être le perdant. Disons que j'ai eu de la chance que l'ennemi n'ait pas montré d'agressivité à cette occasion. On ne saura jamais la raison de son étrange retenue.

La faible densité de mes troupes dans mes arrières a eu pour conséquence le regroupement de quelques fuyards ayant réussi à traverser mes lignes et reconstituer quelques petits groupes cherchant à s'attaquer à mes lignes de logistique et mes QG laissés sans défense. Mon avantage sur la ligne de front étant écrasant, j'ai lentement renvoyé plusieurs groupes de combat régler ce problème que j'ai jugé peu urgent. En conséquence, quelques rotations n'ont pas eu lieu en première ligne, ou du moins pas en temps voulu, les renforts étant renvoyés nettoyer les arrières. Cela n'a pas eu de conséquences. Cela montre en ce qui me concerne un problème d'optimisation des rotations, et de prise en compte du contrôle des arrières. Cela aurait pu être problématique si je n'avais pas obtenu une supériorité considérable sur l'adversaire.

L'assaut sur Karbusel a eu lieu depuis le nord, en frontal contre les défenses ennemies. Ce n'était pas le plan d'origine ni l'idéal, cependant la concentration de troupe ennemie à l'ouest était trop élevée. Le nord de la ville a été capturé avec de lourdes pertes, un ratio toutefois correct, proche de 50/50. Le village en lui-même, transformé en forteresse par l'ennemi, était bien défendu, mais les pertes qu'il avait subies auparavant, ainsi qu'un fort usage d'artillerie, a permis d'enlever la position sans trop de difficultés.

Tous les objectifs stratégiques ayant été atteints, et compte-tenu de la densité de troupes ennemies au sud-ouest, régulièrement approvisionnées, j'ai décidé de ne pas chercher à expulser l'ennemi de la carte, et de poursuivre la tactique consistant à laisser l'ennemi attaquer, briser son attaque et immédiatement ensuite, lancer une contre-attaque. Un tel comportement de l'ennemi montre un esprit hautement fanatisé : en infériorité numérique écrasante, de telles attaques sont du suicide. De plus, cela se traduit par une lente progression de mes troupes, rappelant la stratégie russe en mars-juin 2022 dans la campagne ukrainienne.

Pour revenir et conclure sur Karbusel, en comparaison, le GQG russe commence seulement ce 23 mars 1943 à légèrement enfoncer le front au centre de la carte. Cela a été un échec total, dû à un manque d'agressivité au départ, un manque de mobilité, des attaques réparties sur une grande longueur de front plutôt qu'en un point précis, cherchant à percer la ligne défensive et l'attaquer par les arrières.


La future campagne

...sur laquelle il faut commencer à réfléchir, le temps que Karbusel soit terminée, est Stepanovka, région de Stalino (Donetsk, cela devrait vous parler) : campagne du 17 juillet 1943 (beaucoup plus tard, je pense faire la contre-attaque allemande de fin juillet 1943, qui offre de superbes choix stratégiques. D'ici là, dans l'hiver-printemps prochain, j'espère faire de petites campagnes hivernales autour de Kharkov, en février 1943. Je n'ai pas encore choisi le côté, je prends l'attaquant, la défense étant trop ennuyante, sauf exceptionnellement).

Lien vers le simulateur.

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