Un petit plaisir entre hommes

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Un petit plaisir entre hommes
1750 - Le dernier bûcher de Sodome - Jean Diot et Bruno Lenoir, sont surpris par le guet rue Montorgueil à Paris en flagrant délit d'homosexualité, alors généralement considéré comme un outrage à la pudeur. Finalement condamnés à la peine maximum, ils sont brûlés vif sur la place de l'HÎtel de ville le 3 juillet 1750. Ils resteront comme les derniers homosexuels en France à avoir été exécutés pour ce motif. En 2011, le Conseil de Paris a voté à l'unanimité un voeu du groupe communiste demandant la pose d'une plaque dans le quartier Montorgueil pour leur rendre hommage.
Certified Sex and Relationship Therapist
SEXUALITÉ - Bon nombre d 'hommes ont des relations avec d'autres hommes pour de multiples raisons, que je vais tñcher d'analyser pour vous. En voici quelques unes.
J'ai rĂ©cemment Ă©crit un billet de blog sur le clip de la chanson All american boy, par l'auteur-compositeur Steve Grand. On y voit un homosexuel tomber amoureux d'un hĂ©tĂ©rosexuel et Ă©changer avec lui un baiser furtif. Dans mon billet, je me demandais comment un homo peut ĂȘtre attirĂ© par un hĂ©tĂ©ro, mais cette question en amĂšne une autre : comment un homme hĂ©tĂ©rosexuel peut-il ĂȘtre sentimentalement ou sexuellement attirĂ© par d'autres hommes ? Pourquoi l'hĂ©tĂ©ro apparaissant dans le clip en vient Ă  rendre le baiser ?
Voici un scĂ©nario trĂšs frĂ©quent : un homme entre dans mon cabinet, sur les conseils de son thĂ©rapeute et des livres sur le coming out qu'on lui a donnĂ©s. Il m'explique que son thĂ©rapeute a tentĂ©, sans succĂšs, de lui faire rĂ©vĂ©ler son homosexualitĂ© ou sa bisexualitĂ©, mais bien qu'il ait eu des relations sexuelles avec d'autres hommes et visitĂ© des sites pornos gay, il insiste sur le fait qu'il n'est pas gay. Il dit ne pas ĂȘtre homophobe non plus ; s'il s'avĂ©rait en effet qu'il Ă©tait gay ou bisexuel, il l'accepterait sans problĂšme, mais le fait est que l'Ă©tiquette ne lui semble pas appropriĂ©e.
Au cours des trois derniĂšres dĂ©cennies, en rĂ©action aux idĂ©es prĂ©conçues et aux comportements homophobes, le vent a tellement tournĂ© que la thĂ©rapeutique et le politiquement correct veulent qu'un homme qui a des relations sexuelles avec des hommes soit "dans le dĂ©ni" et ait besoin d'aide pour reconnaĂźtre et accepter son "vĂ©ritable" penchant homosexuel. Le fait est qu'aucun des deux extrĂȘmes ne correspond au ressenti de bon nombre d'hommes. En rĂ©alitĂ©, beaucoup d'entre eux, qui ont des relations sexuelles avec des hommes, ne sont pas gays ou mĂȘme bisexuels. Les hommes homosexuels ou bisexuels en viennent Ă  dĂ©velopper une identitĂ© gay ou bisexuelle. Ce n'est pas le cas des hommes en question, bien que leur situation psychologique et Ă©motionnelle corresponde aux premiĂšres Ă©tapes vers le coming out.
Lorsque j'écris sur les hommes hétérosexuels qui ont de l'attirance, voire des relations sexuelles, avec d'autres hommes, je reçois bon nombre de réactions négatives, en particulier de la part d'homosexuels qui ont vécu dans le placard, tùchant de se convaincre de leur hétérosexualité, allant parfois jusqu'à se marier avec des femmes. "Vous ne laissez pas ces hommes sortir du placard, vous leur faites du mal !", me crient-ils. Mais ce qu'ils ne comprennent pas, c'est que je ne m'adresse pas à des hommes comme eux. Eux rejetaient une identité : une image sexuelle et romantique de l'homosexualité. Ce n'est pas à ce genre d'hommes que je m'adresse.
En 2008, j'ai lancé Straight Guise , un site et un blog ouvert à toute personne désireuse de lire, poster des commentaires ou discuter sur le sujet des relations entre hommes. On y explore les nombreuses raisons qui font qu'un homme a des relations sexuelles avec un homme. Seules quelques unes d'entre elles ont à voir avec l'homosexualité ou la bisexualité.
Bon nombre d 'hommes ont des relations avec d'autres hommes pour de multiples raisons, que je vais tùcher d'analyser pour vous. En voici quelques unes :
Il ne s'agit en aucun cas d'une liste exhaustive des raisons qui mĂšnent un homme Ă  passer Ă  l'acte avec un autre homme. Quoi qu'il en soit, il est primordial de fournir Ă  tout homme ayant des relations sexuelles avec des hommes des informations sur l'homosexualitĂ©, la bisexualitĂ© et le processus d'un coming-out, ainsi que sur les agressions sexuelles, la dĂ©pendance au sexe, les problĂšmes familiaux et les problĂšmes de comportement qui pourraient conduire au dĂ©sir d'avoir des rapports sexuels avec des hommes. Cependant, seul l'homme concernĂ© est en mesure de dĂ©cider si son attirance pour les hommes est le dĂ©but d'une marche vers le coming out, la marque d'une agression sexuelle ayant eu lieu pendant l'enfance, une addiction au sexe, ou tout autre type de rĂ©action. Peut-ĂȘtre est-ce aussi qu'un homme peut simplement vouloir, de temps en temps, une relation sexuelle avec un homme et que ça ne veuille rien dire de plus. A ce qu'on dit, Freud aurait dĂ©claré : "Parfois un cigare n'est qu'un cigare !"
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Source : * Didier Dumas. La sexualitĂ© masculine. Pluriel. Hachette. ** John Gray. Mars et VĂ©nus sous la couette. Coll Bien ĂȘtre, J'ai Lu (Poche).
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Publié par Dr Catherine Feldman , le 02/07/2003 à 02:00
« La jouissance sexuelle correspond Ă  une intense circulation Ă©nergĂ©tique qui provient du contact des muqueuses », explique le psychanalyste Didier Dumas dans son ouvrage consacrĂ© Ă  la sexualitĂ© masculine*. Mais au-delĂ  de cette expĂ©rience commune, le plaisir de l'homme ne trouve et ne partage, ni la mĂȘme origine, ni la mĂȘme expression que celui de la femme.
Pour des raisons en partie biologiques, l'homme recherche avant tout l'orgasme dans la sexualité .
L'érection est la premiÚre manifestation de son désir et instinctivement celle-ci représente une mise sous tension dont l'homme va chercher à se libérer au travers de la relation sexuelle avec, pour aboutissement, une éjaculation.
Cette focalisation du désir et de l'excitation au niveau de leur pénis explique la raison pour laquelle ils attendent rapidement de leur partenaire qu'elle les caresse aux endroits les plus sensibles dont le pénis fait partie, alors que les femmes ont besoin de caresses préliminaires, souvent en dehors de leurs zones génitales.
Comme l'explique Didier Dumas, particuliĂšrement Ă  l'Ă©coute des hommes et de leur sexualitĂ©, si la jouissance sexuelle est souvent dĂ©crite avec les mĂȘmes mots par les uns ou les autres, ce qui les fait jouir ne comporte souvent aucune logique. « Certains sont attirĂ©s par les gros seins, d'autres par les petits ou encore les talons aiguilles ». « Et le pĂ©nis n'est pas forcĂ©ment le seul organe Ă©rogĂšne de l'homme » prĂ©cise-t-il.
Pour certains, par exemple, la pointe du mamelon, pour d'autres, l'anus sont des zones qui procurent une jouissance extrĂȘme.
La jouissance des hommes aussi
 est d'abord dans la tĂȘte
Il ne faut pas s'y tromper. Si la jouissance résonne dans le corps, « elle n'en dépend pas moins des fantasmes qui la gouvernent ».
Autrement dit, pour l'homme (comme pour la femme), le premier organe sexuel est d'abord
 le cerveau !
Pour un homme, la jouissance s'apparente surtout à une délivrance qui survient aprÚs une phase de tension sexuelle. Et, « quel que soit le degré d'amour que lui porte sa partenaire, c'est à l'instant précieux de l'orgasme qu'un homme peut le mieux recevoir cet amour » explique le célÚbre thérapeute conjugal américain**.
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Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 06/11/17 à 10h03
— Mis à jour le 06/11/17 à 12h57

A l'occasion de «Movember», mouvement dĂ©diĂ© Ă  la sensibilisation des cancers masculins, «20 Minutes» se penche sur le plaisir prostatique. Une pratique encore taboue et source de clichĂ©s Tous les hommes sont Ă©ligibles Ă  ce plaisir, sans exception. Certains nous dĂ©taillent cette «quĂȘte»
VIDEO. «Ejaculer au moins vingt fois par mois participe à la bonne santé de la prostate»


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SociĂ©tĂ© VIDEO. Plaisir prostatique, «il faut s’affranchir des clichĂ©s»

«POINT P» A l’occasion de « Movember », « 20 Minutes » s’intĂ©resse au plaisir prostatique. Des hommes racontent leur « exploration » aprĂšs avoir cassĂ© le tabou autour de cette pratique
.
C’est l’une de ses premiĂšres petites amies qui lui avait montrĂ© la voie. « Au dĂ©but, quand elle m’a rentrĂ© un doigt dans l’anus durant l’acte, j’ai Ă©tĂ© surpris, mal Ă  l’aise. En rĂ©alitĂ© elle venait de m’ouvrir les portes du plaisir prostatique », affirme Baptiste, aujourd’hui trentenaire. Depuis, cette sensation est devenue une vĂ©ritable « exploration », une « quĂȘte » souvent personnelle, mais loin d’ĂȘtre isolĂ©e. Si l’accĂšs Ă  cette jouissance ne s’obtient « pas en un claquement de doigts », prĂ©cise-t-il, elle reste Ă  la portĂ©e de tout ĂȘtre masculin. Et pour cause.
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« Tous les hommes sont Ă©ligibles Ă  ce plaisir, sans exception. C’est organique. A l’instar des femmes qui ont toutes un clitoris et peuvent donc accĂ©der au plaisir clitoridien. AprĂšs, le sexe est aussi une question de psychologie », analyse Alain HĂ©ril, psychanalyste et sexothĂ©rapeute . Et dans le cas de la prostate – glande de l’appareil reproducteur masculin situĂ©e Ă  5-7 centimĂštres de l’anus et principalement associĂ©e au cancer –, le tabou sexuel est encore trĂšs fort. AccĂ©der au plaisir du « point P » demande en effet une dĂ©construction mentale des schĂ©mas sociaux et un certain lĂącher prise.
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« La prostate est lĂ , au bout de l’index ou du majeur », illustre Alain HĂ©ril. Ce Graal s’obtient donc en « se glissant un doigt dans l’anus, en le remontant trĂšs lĂ©gĂšrement vers cette glande, afin de la masser », poursuit-il. A la diffĂ©rence de sa cousine « masturbatoire », cette pratique davantage « cĂ©rĂ©brale » oblige l’homme – notamment dans le cas d’un plaisir solitaire – Ă  une attitude « plus douce, lente et attentionnĂ©e » et s’obtient en grande partie par la respiration, dĂ©cortique le spĂ©cialiste. A un dĂ©tail prĂšs.
« Beaucoup d’hommes ne sont pas habituĂ©s Ă  cela et doivent surtout changer leur mode de penser s’ils veulent y parvenir. Si cette pratique est taboue en Occident, elle est courante dans des cultures orientales et extrĂȘme-orientales depuis plusieurs millĂ©naires », rappelle le psychanalyste. Seul ou en couple, « il faut en effet tout dĂ©construire », note Baptiste. Alors, oĂč se situe le blocage dans notre structure sociale ?
« Notre sociĂ©tĂ© a construit l’homme comme Ă©tant le pĂ©nĂ©trant, le dominant, le puissant. Et la femme comme la pĂ©nĂ©trĂ©e, la dominĂ©e, la vulnĂ©rable. Et nous sommes prisonniers de la puissance de ces structures », dĂ©bite Baptiste. Se faire toucher la prostate, via quelques phalanges, dans un cadre de plaisir, remettrait donc en cause pour certains, la fiertĂ©, la virilitĂ©, la masculinitĂ© . « Il faut s’affranchir de ces clichĂ©s confortĂ©s en plus par beaucoup d’insultes et de termes pĂ©joratifs », note Baptiste. « A travers le plaisir prostatique, qui passe par l’anal, on touche Ă  la reprĂ©sentation dans l’inconscient collectif que l’homme pĂ©nĂ©trĂ© est dans un Ă©tat de soumission, qu’il se fĂ©minise, qu’il n’est plus viril », expose Alain HĂ©ril. « C’est faux ! Ce n’est pas du tout le cas », s’exclame-t-il.
« La prostate, c’est le siĂšge du plaisir masculin. Notre anatomie est faite comme ça. Par ailleurs, ça ne remet absolument pas en cause l’orientation sexuelle », martĂšle Baptiste. En recevant un doigt dans l’anus « la femme prend surtout le pouvoir », exalte-il. Mais pour parvenir Ă  ce bien-ĂȘtre, l’homme qui accepte de « renverser les rĂŽles » doit aussi oublier son outil de « dominant » : Le pĂ©nis.
Un atelier sur le plaisir prostatique le 8 octobre. DĂ©couvrez la puissance du point P. https://t.co/ZY3OFCi5rb pic.twitter.com/757m1NVe7T
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« Il faut accepter que le pĂ©nis ne soit pas au centre du dĂ©bat. Les hommes ne sont pas habituĂ©s Ă  ça. Ils sont familiarisĂ©s Ă  quelque chose qui jaillit de leur corps, alors que lĂ  c’est en interne, sans Ă©jaculation », indique Alain HĂ©ril. D’autant, qu’il est mĂȘme dĂ©conseillĂ© de faire deux choses Ă  la fois.
« Il est absolument nĂ©cessaire de ne pas toucher votre pĂ©nis durant une session car cela rĂ©oriente et Ă©crase au niveau du cerveau les sensations subtiles venant de votre prostate par celle venant du pĂ©nis. MĂȘme si vous en avez trĂšs envie, toucher votre pĂ©nis est la meilleure solution pour ne pas avancer sur le chemin de l’orgasme prostatique », prescrit Adam, 43 ans, Ă  la tĂȘte du site NouveauxPlaisir.fr. Car une fois les « codes » cassĂ©s, le plaisir semble alors en libre accĂšs. Intense.
« Un plaisir diffĂ©rent », « des vagues surprenantes », « des sensations vertigineuses », « des Ă©tincelles », « une machine Ă  jouir », « l’impression de dĂ©valer une piste de ski », « c’est un peu ressentir en tant qu’homme un orgasme fĂ©minin »  Les tĂ©moignages d’hommes contactĂ©s par 20 Minutes ne tarissent pas d’éloges sur cette jouissance qui « secoue l’ensemble du corps » et « dure plus longtemps ». « C’est comme si cette chĂątaigne assez ridicule se transformait en un soleil. Tout ce que j’avais vĂ©cu avant c’était presque de la simulation », reprend Baptiste qui a achetĂ© depuis peu un masseur prostatique afin de poursuivre son exploration. Pour Adam, aussi, la recherche s’est construite par Ă©tapes, pour ce plaisir si « puissant ».
« J’ai dĂ©couvert ce plaisir, il y a huit ans, par curiositĂ©. Je suis tombĂ© sur un article en anglais sur le sujet, alors qu’en France, il n’y avait rien sur cet orgasme non-conventionnĂ©, qui est encore diffĂ©rent de l’orgasme anal », rembobine-t-il. DĂšs lors, il a essayĂ© : « Au bout de quelques sĂ©ances, j’ai dĂ©couvert ce plaisir et cet orgasme que l’on peut rĂ©pĂ©ter plusieurs fois ». Aujourd’hui, il veut partager une connaissance « dĂ©complexĂ©e » sur le sujet et a Ă©crit sur son site un texte : Le TraitĂ© d’Aneros , du nom du cĂ©lĂšbre masseur prostatique imaginĂ© initialement par des mĂ©decins pour traiter des maladies de la prostate. Dans cette bible, cette « carte au trĂ©sor » gratuite, il distille des tips , conseils et mĂ©thode.
Son but : « Je veux partager ma dĂ©couverte du plaisir prostatique. Ma vision est que la sexualitĂ© doit ĂȘtre positive et ludique et la dĂ©couverte de l’orgasme prostatique a Ă©tĂ© pour moi Ă  la fois une rĂ©vĂ©lation mais aussi un dĂ©clic dans la comprĂ©hension du plaisir et des orgasmes ». Mais comment illustrer celui de la prostate ?
« Un orgasme Ă©jaculatoire, c’est un orgasme de la montagne : il monte vers le point culminant et ça redescend ensuite. L’orgasme prostatique est celui de la vallĂ©e : il est plus doux, plus long, par vagues », dĂ©crit Alain HĂ©ril. Une vague qui pourrait mĂȘme faire Ă©voluer la sociĂ©tĂ©.
« Les hommes ne connaissent pas leur corps. Pourtant, il est important de s’informer sur ce qu’est la prostate, Ă  quoi elle sert, ce qu’elle gĂ©nĂšre. B
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