Un petit coup de main pour le don de sperme

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Un petit coup de main pour le don de sperme
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Le 3 novembre 2017 à 11h03 , modifié le 25 janvier 2022 à 14h51
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Eric* cherche longuement ses mots, soucieux d'ĂȘtre bien compris. Si, Ă  l'Ăąge de 27 ans, il a choisi de donner son sperme, c'est pour impulser « ce petit coup de pouce » qui fera le bonheur de couples infertiles . Une grande campagne lancĂ©e jeudi par l'Agence de biomĂ©decine le rappelle : ils sont 3 500 Ă  s'inscrire chaque annĂ©e auprĂšs des 105 centres d'assistance Ă  la procrĂ©ation de France. Spots radio, tĂ©lĂ©, Internet... Autant d'appels Ă  la solidaritĂ© Ă©mis pour aider des couples Ă  sortir du calvaire de l'attente.
L'anonymat est la rĂšgle . L'identitĂ© des donneurs jamais rĂ©vĂ©lĂ©e aux receveurs. Cet Ă©tudiant en mĂ©decine de 1,98 m — aussi grand que timide, un visage de gamin cernĂ© de boucles blondes — le sait trĂšs bien : il ne verra jamais grandir ces bĂ©bĂ©s dont il est le pĂšre biologique. C'est un problĂšme pour certains, pas pour lui : « Un enfant, c'est celui qu'on dĂ©sire, qu'on voit naĂźtre et qu'on Ă©duque, dit-il. Je n'ai donc aucune lĂ©gitimitĂ©. » En mai, il franchit la porte de la banque de sperme de l'hĂŽpital Cochin, Ă  Paris (XIV e ), oĂč il a fait un stage un an plus tĂŽt. Il est sĂ»r de lui. Sa mĂšre, sage-femme, le fĂ©licite, ses frĂšres et soeur se montrent indiffĂ©rents, mais il n'en parlera pas Ă  son pĂšre : « trop tabou ». Quatre rendez-vous sont planifiĂ©s jusqu'au dernier, jeudi.
Dans l'Hexagone, ces dons ne peuvent donner naissance qu'Ă  dix enfants au maximum, une restriction imposĂ©e afin de diversifier le profil des gĂ©niteurs. Tout commence par un entretien psychologique, une prise de sang, jusqu'au recueil de sperme dans un cabinet froid, aveuglĂ© par des nĂ©ons oĂč des films Ă©rotiques sont projetĂ©s sur un Ă©cran. « J'avais un peu la pression d'y arriver. Mais je me suis dit : c'est rapide, sans douleur et ça rend des gens heureux », tĂ©moigne Eric.
Cette dĂ©marche s'est imposĂ©e Ă  lui l'an dernier. E., qui prĂ©pare son concours d'internat, travaille soixante-dix heures par semaine. « Je ne pensais qu'Ă  moi, Ă  ma rĂ©ussite. » ÉlevĂ© dans la tradition catholique, celle de l'amour du prochain, il ne se reconnaĂźt pas. En dĂ©cembre, il s'inscrit au don de moelle osseuse. Pas suffisant, il veut faire davantage. Il repense alors Ă  son stage Ă  la maternitĂ© de Port-Royal et Ă  la banque de sperme de l'hĂŽpital Cochin. La sexualitĂ© y est mĂ©dicalisĂ©e, l'Ă©tudiant rĂ©alise la douleur de ceux qui souffrent d'infertilitĂ©, les examens interminables, les essais ratĂ©s.
« Il y avait chez ces couples une grande part de culpabilité de ne pouvoir assumer cette fonction naturelle. C'est comme s'ils se découvraient un handicap. Comment rester indifférent à une telle bataille ? » Il repense à cette femme enceinte grùce à une fécondation in vitro, arrivée affolée aux urgences parce qu'elle fait une fausse couche. « Je lisais du désespoir dans ses larmes », lùche Eric, marqué. Il assiste aussi à un accouchement. Lors d'un autre stage, à l'hÎpital Necker, il découvre aussi une face bien plus sombre dans le service de maternité, celle des bébés secoués. « Il y a un tel contraste entre ces couples qui désirent plus que tout un enfant et ceux qui le maltraitent alors qu'ils en ont un ! » Son don de sperme sera aussi une façon de « réparer cette injustice ».
Ce futur oncologue veut convaincre d'autres hommes car les rĂ©serves sont insuffisantes . Dans tout le pays, on ne compte que 255 donneurs par an. Eric a mĂȘme inventĂ© son propre slogan avec son humour de carabin : « Ils ont besoin de ton coup de main. »
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Publié le 18 janv. 2018
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NĂ© d’un don de sperme anonyme, un pĂšre de famille est parvenu Ă  remonter la piste de son gĂ©niteur, qui a acceptĂ© de rĂ©pondre Ă  ses interrogations. RĂ©cit et vidĂ©o.

Arthur Kermalvezen, 34 ans et pĂšre de famille, est nĂ© d’une insĂ©mination artificielle de sperme avec donneur anonyme. GrĂące Ă  un test gĂ©nĂ©tique et Ă  une longue enquĂȘte gĂ©nĂ©alogique, ce dernier a rĂ©vĂ©lĂ© avoir retrouvĂ© son gĂ©niteur, qui habite Ă  une heure et demie de chez lui.
Pour ce faire, Arthur raconte dans une vidĂ©o du mĂ©dia en ligne Brut., avoir commandĂ© sur internet un test gĂ©nĂ©tique, pour la modique somme de 99 dollars. RĂ©sultat : il dĂ©couvre qu’il “matche” Ă  6,28% avec un petit-cousin prĂ©nommĂ© Larry, qui vit Ă  Londres. ContactĂ© par Arthur, Larry estime que la personne qu’il pense ĂȘtre le gĂ©niteur d'Arthur a droit Ă  l’anonymat, et refuse donc de lui donner ses coordonnĂ©es. « Je suis sĂ»r que vous trouverez par vous-mĂȘme », lui glisse tout de mĂȘme Larry. Et pour cause, Larry, fĂ©ru de gĂ©nĂ©alogie, a publiĂ© son arbre gĂ©nĂ©alogique sur un site dĂ©diĂ© , permettant Ă  Arthur de retrouver son gĂ©niteur par dĂ©duction.
Le 23 dĂ©cembre dernier, ce gĂ©niteur reçoit une lettre d'Arthur, remise en mains propres par les voisins. Et le 25 dĂ©cembre, Arthur reçoit un coup de fil : « Bonjour Arthur, je suis ton gĂ©niteur, bravo de m’avoir retrouvĂ©. »
Par chance, Arthur Kermalvezen tombe sur quelqu’un d’extrĂȘmement ouvert d’esprit, et qui accepte de rĂ©pondre Ă  toutes ses questions. Les deux hommes ont mĂȘme prĂ©vu de se rencontrer pour de bon dans les semaines qui viennent.
Pour ce pÚre de famille, cette démarche est avant tout pour ses enfants : « Je ne peux pas me permettre de laisser mes enfants face à un flou artistique concernant les données médicales », explique-t-il.
Mais au-delĂ  d’une dĂ©marche personnelle, Arthur, qui n’est autre que l’ancien prĂ©sident de l’association ProcrĂ©ation mĂ©dicalement anonyme , souhaite un vrai dĂ©bat de sociĂ©tĂ© sur l’épineuse question de l’anonymat du don de sperme . Pour preuve, il a fait part de la dĂ©couverte de son gĂ©niteur le 17 janvier, la veille de l’ouverture des Etats gĂ©nĂ©raux de la bioĂ©thique !
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Se faire un peu d'argent tout en réalisant une bonne action? C'est possible, avec ces 4 boulots 'volontaires'.
Ceux qui feuillettent réguliÚrement le quotidien gratuit Métro ont sans doute déjà vu de telles annonces: "Recherche volontaires hommes et femmes sains pour participation à une étude médicale." Les chercheurs proviennent soit d'une université, soit d'entreprises pharmaceutiques, comme ATC Pharma ou Pfizer . Ces derniers proposent d'ailleurs une coquette rémunération, pouvant aller jusqu'à 3 .500 euros net. 
"Le total dĂ©pendra de la durĂ©e des essais cliniques et de la contrainte rĂ©elle des tests. Les volontaires ne sont pas payĂ©s en fonction des risques encourus . Pour des essais contraignants, ils peuvent toucher jusqu'à 3500€", explique BĂ©atrice Ledroit, clinical research organisator pour la sociĂ©tĂ© ATC ancrĂ©e au CHU de LiĂšge.
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